Le Joli Mois De Mai - Troisième Partie.
Nous partons en voiture et nous garons sur un parking quelques kilomètres plus loin. Ayant mis des tenues plus adaptées mais ne mettant pas moins leurs formes en valeur, les filles circulent maintenant bras dessus bras dessous, quelques pas devant nous. Sous leurs robes légères nous savons les trésors quelles ne manqueront pas de nous offrir encore.
Avant de trouver un restaurant, nous décidons de nous installer à la table dune brasserie assez chic, en terrasse. Les filles assises côte à côte rient de nos blagues et se rapprochent physiquement, leurs mains se frôlent, Lisa passe ses doigts dans les cheveux bouclés de Christelle ce qui reste un privilège rare quelle naccorde qua de rares personnes. Mais après ce que nous venons de vivre, Lisa fait vraiment partie de son cercle le plus intime maintenant. Après avoir commandé à une jeune et jolie serveuse de quoi nous rafraîchir, les filles se mettent à se peloter de manière discrète au début puis de plus en plus visible. Une main plongée sous la robe titille le sexe de lautre. La jeune serveuse revenant avec notre commande reste bouche bée devant le petit jeu de nos deux femmes. Debout à quelques centimètres de Lisa, le plateau à la main elle ne manque rien de leur activité en déposant nos verres. Amusées nos coquines la regardent en souriant, comme pour linviter à se joindre à elles. Mais tournant les talons, elle repart vers le bar sans en demander plus. Dans sa jupette ses fesses rebondies balancent et on devine la fine marque dun slip brésilien qui souligne ses formes. Tout le temps que nous passons dans létablissement, elle observe notre table à chaque occasion, Seb se demandant même si à un moment, cachée derrière le zinc elle ne se caresse pas elle aussi. Nous ne le saurons jamais car le temps sécoule et nous voulons passer à table assez vite. Affamés certes mais aussi désireux de nous retrouver au lit tous les quatre.
Le restaurant choisi offre une carte simple, de bon goût et quelques vins alléchants servis au verre.
En demandant un coin calme pour quatre personnes nous ne pensons pas être aussi bien placés par le maître dhôtel. En mezzanine, se trouve une alcôve parfaite où nous serons tranquilles. Une table ovale épouse les contours dune banquette confortable. Au mur un grand miroir baroque plonge ses reflets vers nous. Le serveur, qui nous précède dans les escaliers nous glisse, plein dhumour, que de là-haut nous avons une vue imprenable sur la mer !
De lautre côté de la salle, sur une autre mezzanine beaucoup plus grande, dautres tables attendent leurs convives. Petit à petit la salle se remplit et entre chaque plat voire entre chaque bouchée, nous profitons de notre isolement pour caresser notre voisine ou nous laisser caresser. Jongler avec les allées et venues du personnel nous servant ajoute du piquant à nos jeux. Garder mon sang froid, face au serveur qui nous apporte notre plat alors que ma voisine me branle lair de rien est un exercice très excitant. Nous manquons quand même de nous faire pincer quand Lisa surprend Christelle en glissant son pied nu sous sa jupe en présence du serveur. Son petit cri de surprise passa pour de lenthousiasme à la vue du dessert. Elle qui naime pas les desserts !
Le repas sécoule en douceur et, le moment de laddition venu, je descends régler. Je patiente devant la caisse que les clients précédents règlent leurs consommations et dans mon dos une voix masculine, me demande si le repas sétait bien passé. Je me retourne et mon regard croise celui dun homme dune bonne cinquantaine dannées, très élégant, accompagné dune très jolie blonde, lil pétillant de malice. Je me rends compte à cet instant que nos petits jeux coquins navaient pas été aussi discrets que nous le croyions.
- « Effectivement il y a un très beau choix ! » ajoute la jolie blonde.
- « Et tout est très appétissant ! » renchérit lhomme.
Je les remercie, paie la note et prend congé en les saluant. Seffaçant le couple me souhaite une bonne soirée et la femme me dit :
- « À bientôt peut-être ? »
Je retrouve Christelle, Lisa et Sébastien et je leur explique la situation.
- « Tiens, tiens ! Et ils sont comment ? » me demande Lisa.
- « Lui : très classe, la cinquantaine élégante, svelte, cheveux courts poivre et sel, visage assez émacié, quelque chose entre Vincent Cassel et Georges Clooney en plus mince. Elle ? : la blonde qui va avec, plantureuse, très grande, très bien foutue, jolies jambes, escarpins, tailleur, chemisier, maquillage parfait
La classe quoi ! »
- « Pas comme nous
» risque Seb.
- « Détrompe-toi, nous étions visiblement tout à fait à leur goût
»
- « La blonde, je ne sais pas mais Georges et Vincent, moi ça mirait bien ! » dit Christelle décidément insatiable.
Nous sortons du restaurant et prenons le chemin du retour à pied. Nous tenant par la taille, Lisa et moi marchons devant, Seb et Christelle sont ensemble juste derrière nous. Arrivés sur le parking nous allons monter en voiture quand une berline au ralenti sapproche. La vitre du passager se baisse et la jolie blonde du restaurant se penche et nous dit :
- « Re bonsoir !... Nous nous sommes dit mon mari et moi que nous aimerions beaucoup finir notre soirée en bonne compagnie
Nous avons une chambre à lhôtel Royal pour le week-end. Voulez-vous partager un peu de Champagne et faire plus ample connaissance ? Je mappelle Valérie. » Elle tenait à bout de bras deux bouteilles de Mumm cordon rouge.
- « Et je mappelle Nicolas, ajoute le « sosie » de Georges, en se penchant à son tour vers nous.
- « Pourquoi pas » dit Christelle.
Lisa se détachant de mon bras sapproche de la voiture et ajoute :
- « Je suis Lisa, vous connaissez déjà Pascal, voici Christelle et Sébastien mon mari. On vous suit en voiture, lhôtel Royal cest celui de la place de la victoire ? »
- « Celui-là même » acquiesça lhomme en me regardant. « Jouvre la marche
ne vous perdez pas en route, ce serait très dommage
»
Déjà les filles étaient dans la voiture et Seb démarrait.
Il ne faut que quelques minutes pour rejoindre lhôtel et nous trouvons facilement une place dans la rue qui mène au parking clients où sengouffrent nos nouveaux amis. La personne chargée de laccueil, occupée avec une de ses collègues à discuter, ne semble pas surprise de voir monter six personnes. Lascenseur est rapide et nous avons à peine le temps déchanger quelques banalités sur les prestations de létablissement. Nicolas passe devant nous pour ouvrir la porte de la chambre et en refermant derrière lui nous propose de nous mettre à laise. Un petit canapé deux places, un fauteuil et une sorte de bureau forment un « espace salon » et le lit immense juste à côté nattend plus que nous. La place de la victoire est calme ce soir. La soirée risque dêtre plus mouvementée que prévu.
Nos nouveaux amis nous expliquent que rien ne leur a échappé de nos petits jeux lors du repas car un peu en retrait, ils bénéficiaient dune vue imprenable sans être vus grâce au miroir de style rococo qui se situait à notre gauche.
- « Votre complicité fait plaisir à voir. Jusquà ce que Lisa ne vous présente tous, nous étions persuadés quelle était la femme de Pascal ! »
Tout en nous servant une coupe, Valérie nous demande :
- « Vous vous connaissez depuis longtemps ? »
Et Lisa lui répond :
- « Oui, mais nous ne baisons ensemble que depuis hier. »
- « Jai une certaine idée de la vigueur de vos sexes messieurs, mais jaimerai voir de plus près cette fois ces bites le long desquelles sagitaient les mains de vos femmes.
- « De mon côté je ne demande quà faire plus ample connaissance avec ce que jai entrçu sous les robes de ces dames.» rajoute Nicolas
Il se lève et entreprend de déshabiller ma femme en ouvrant les boutons de sa robe, il en écarte les bretelles et découvre les superbes seins de ma femme quil se met à caresser. Christelle à son tour lui déboutonne la chemise et défait la ceinture de son pantalon de lin. Épilé et bronzé intégralement, son corps est très beau, ses abdominaux bien dessinés et en dessous commence à se dresser sous les doigts de ma femme une colonne impressionnante.
Pour accélérer son érection, Lisa se joint à elle et lentreprend également avec gourmandise. À elles deux, elles sucent alternativement Nicolas qui fait aller et venir les bouches de nos femmes sur son sexe en imprimant à leur tête un long mouvement davant en arrière.
- « Doucement mesdames ! » dit-il, « il y en aura pour tout le monde
»
Valérie et Sébastien debout tout à côté, sembrassent goulûment. Elle est plus grande de vingt bons centimètres et doit se pencher un peu pour mélanger leurs langues, par contre sa main experte est à la bonne hauteur pour saisir sa bite et faire jouer ses doigts fins dessus. Seb trouve la fermeture à glissière de la jupe qui tombe dans un bruissement soyeux sur la moquette. Un porte-jarretelles blanc apparaît autour dune taille fine, sur des jambes fuselées magnifiquement bronzées. Ses bas ajoutent encore une touche très sexy à notre nouvelle partenaire. Cest au tour du chemisier de disparaître et de dévoiler une poitrine qui, comme je lavais deviné, défiait la pesanteur. Bien droits, deux obus de bronze, pointent vers la bouche de Sébastien qui na que peu deffort à faire pour les atteindre.
Captivé par ce qui se déroule autour de moi, je mefface et, assis sur le petit fauteuil, commence à me branler doucement. Jetant un regard sur le lit, je retrouve notre étalon dont la queue, sous les langues de ses maîtresses du moment, me semble encore plus grosse. Lisa le pousse gentiment sur le dos et vient le chevaucher en sasseyant sur sa poitrine. Elle lui présente ainsi son sexe ouvert quil commence à caresser dune langue agile alors quelle se caresse les seins. Christelle prend avantage de la situation et, après lui avoir enfilé une capote sortie de son sac à mains, vient à son tour se placer sur lui et sempale sur cette colonne énorme. Son regard fiévreux la trahit et elle lengloutit sans difficulté tant son excitation est grande. Les soupirs quelles poussent toutes les deux me stimulent et je quitte ma position de voyeur pour me joindre à eux sur le lit. Cest à ma femme que je présente ma bite tendue pour quelle la suce. Prise dans sa bouche et dans sa chatte, elle ferme les yeux de plaisir. Nicolas savère être un amant hors pair puisque Lisa, jouit dans des râles impressionnants, la langue de son partenaire effectuant entre ses deux orifices un ballet diablement efficace. Attirés par les cris de Lisa, Valérie et Sébastien nous rejoignent. Et cest ainsi que Nicolas caresse de sa langue Lisa en pénétrant Christelle qui elle-même me suce. Pendant ce temps Valérie, tout en caressant les seins de Lisa se fait prendre par Sébastien. Le lit extra large est bien vite totalement occupé.
Décidément très résistant, après avoir fait jouir Lisa de sa langue, cest au tour de Christelle de succomber aux assauts de Nicolas. Quand elle roule sur le côté le sexe encore palpitant du plaisir quil vient de lui procurer, elle se fait immédiatement remplacer par Lisa qui veut à son tour goûter à ce gode vivant qui parait dautant plus gros pour son corps menu. Elle moffre donc à son tour sa bouche et me caresse divinement tout en prenant son pied, transpercée par une véritable colonne de chair. Rapidement je me vide longuement et elle avale tout mon sperme avec ce sourire que je lui connais maintenant quand elle est comblée.
Cest Valérie qui soccupe de ma femme et qui lencourage à faire de même avec elle. Tête bêche, elles se lèchent le minou toutes les deux explorant avec délice et curiosité les moindres replis de leurs sexes humides. Ma femme semble prendre autant de plaisir à se faire caresser quà apporter du plaisir à cette délicieuse blonde que Sébastien a abandonné après avoir joui de manière spectaculaire en se branlant jusquà éjaculer sur ses seins.
Je méloigne avec lui et nous nous servons à nouveau une coupe de Champagne, sans rien perdre de lorgie qui se déroule devant nous. Nicolas sest maintenant redressé et, placé derrière Lisa, la prend en levrette. À chacun de ses assauts elle pousse un gémissement qui en dit long sur le plaisir quil lui donne. La tête enfouie dans un des oreillers, les mains crispées au bord du lit, elle subit les mouvements de cette bite qui la pilonne presque mécaniquement de plus en plus vite et de plus en plus fort. Lui aussi commence à sentir le plaisir monter et dans un grand mouvement se retire, arrache son préservatif et gicle sur les fesses de sa partenaire qui va en grognant de plaisir sallonger épuisée, le regard perdu, dans le petit canapé. Nous lavons perdue pour quelques temps.
Imperturbables, les deux rescapées de notre partouze, continuent à se caresser, emboîtées lune contre lautre, frottant frénétiquement leur vulve contre celle de leur partenaire, excitant ainsi leurs clitoris dans une série de gémissements sensuels. Ma femme fait lamour à une autre femme, sous mes propres yeux.
Tous les trois nous admirons cette scène torride et machinalement nos mains empoignent nos sexes et nous recommençons à nous masturber, reprenant petit à petit de la vigueur. Nous voyant nous astiquer, ces deux amazones, lune aussi blonde que lautre est brune, cessent leurs caresses et nous proposent de les rejoindre. Ma femme me proposant de la partager avec mes deux congénères. Ainsi je me retrouve à enculer mon épouse, pendant que Nicolas la prend et quelle fait une fellation à Sébastien. Prise de partout elle sacquitte de son rôle avec enthousiasme nous encourageant entre deux coups de langue par des cris de plus en plus forts. Deux fois elle jouira sous les assauts conjugués de ces hommes qui se sont relayés au plus profond de son intimité.
De mon côté je laisse ma place à Seb qui sen donne à cur joie et jentreprends à mon tour lascension de Valérie que je nai pas encore honorée.
Son sexe chaud, maccueille bien vite et pendant que je la transperce, elle se caresse le sexe en décrivant sur ses lèvres et son clitoris des mouvements frénétiques. Jai les yeux fixés sur le balancement de ses seins qui bougent au rythme de mes allées et venues. Elle jouit en mattrapant par la taille et en y plantant ses ongles carmin. Je garderai ce souvenir sur ma peau plusieurs jours.
- « Branle-moi avec tes seins » lui dis-je.
Elle sexécuta avec gourmandise me prodiguant une cravate de notaire impeccable. Maintenant assise au bord du lit, jambes écartées, moi debout plaqué contre elle je vois mon gland disparaître entre les deux globes superbes de cette experte. Je me vide, trop vite à mon goût, sur sa poitrine dans un spasme violent qui projette mon sperme jusque dans ses cheveux.
Les jambes coupées je regarde autour de moi et vois mes amis, cet homme que je ne connaissais pas deux heures plus tôt et ma femme de nouveau entraînés dans une sarabande de langues enchevêtrées, de doigts inquisiteurs, de caresses voluptueuses et de sexes gourmands qui ne cessera que tard dans la nuit, faute de combattants et de Champagne.
Nous avons pris congé de nos hôtes au petit matin. Nicolas me laissant une carte de visite professionnelle en me demandant de le rappeler dès nous avons loccasion de passer par Bordeaux où ils résident. Nous reprenons la voiture de Sébastien et Lisa en direction de leur maison. Dans la même tenue quhier soir, nous apprécions lair frais de ce matin de mai. Notre orgie à six, nous permet de navoir plus aucun secret les uns pour les autres, tout au moins pour ce qui est de nos goûts en matière de sexe. Mon adorable épouse est dhumeur joyeuse, pleine de gaîté, après ces heures de « voltige à plusieurs ». Lisa, elle aussi guillerette, manifeste sa joie de vivre en souriant à son mari et en lembrassant tous les deux mètres. Jai moi aussi le sourire aux lèvres à lévocation de cette partie fine incroyable, avec nos amis et ce couple très beau que forment Valérie et Nicolas. Experts en amour, ils nous ont fait partager des moments intenses que nous noublierons pas de sitôt. Après un arrêt à la boulangerie pour nous ravitailler en croissants, brioches et pains frais, nous retrouvons nos quartiers du week-end.
Notre petit déjeuner est loccasion de nous exprimer sur notre ressenti. Christelle nous avoue avoir joui comme jamais quand tous les trois nous lavons pénétrée en même temps. Elle revit encore en nous décrivant la scène son orgasme :
- « Vous sentir tous les trois en moi !...Nicolas est vraiment un amant extraordinaire et quand il ma prise par derrière en même temps que toi Seb, mes sensations étaient encore plus fortes que ce que javais imaginé lors de mes rêves érotiques les plus dingues. »
- « Jai adoré baiser avec lui moi aussi ! » rajoute Lisa. « Seb, je te dirai comment il ma fait jouir, sa langue passant de mon sexe à mon anus, ses doigts jouant avec mon clito, cétait très bon. »
Je me remémore à mon tour, les moments pendant lesquels Valérie et moi avons vécu dincroyables moments dextase. Son corps superbe, qui ferait bander un eunuque, ses longues jambes, ses seins parfaits, ajoutés à son savoir-faire me font de nouveau bander rien que dy penser.
Sébastien de son côté avait eu loccasion de sodomiser chacune des trois femmes présentes, sa propre épouse sétant laissée convaincre de se laisser prendre, préparée par les caresses savantes de Nicolas.
Encore émoustillés par ces moments coquins, nous devons cependant penser à dautres plaisirs, plus terre à terre. Le marché dominical est très réputé et nous ne manquons pas à chacune de nos visites de trouver quelques produits de grande qualité. Nous arrêtons notre choix de repas et décidons de nous faire un tartare de buf ce midi. De jolies pommes de terre en accompagnement et quelques fruits en dessert compléteront notre dernier repas ensemble. « Que boire avec ? », nous tient en haleine quelques minutes dans la cave jusquà ce que nous décidions de boire un cru bourgeois de Médoc.
Je mabstiens de prendre lapéritif, la route mattendant. Jaurai les idées claires aussi pour ce que jai toujours en tête : Lisa ne sest toujours pas totalement offerte à moi et jai bien lintention dobtenir delle ce que son mari et Nicolas ont eu le privilège de goûter cette nuit.
Pendant tout le repas je veille à resservir consciencieusement le verre de mes amis et de ma femme. Passablement éméchés, après le café, Christelle propose à tout le monde une sieste crapuleuse en guise de feu dartifice.
Inépuisable, Seb se lève, commence à baisser son pantalon et sort son sexe déjà bien bandé pour que Christelle le caresse. Lisa se lève à son tour et se plantant devant moi, prend à pleine bouche le sexe que je lui présente comme une offrande. Elle me suce avec voracité et gourmandise. Je bande très vite sous le jeu de sa langue mêlé à celui de ses lèvres qui mentourent. Je sens ses dents qui me titillent le gland alors que ses doigts courent frénétiquement le long de ma bite. Nous nous retrouvons bien vite nus et nos vêtements sont éparpillés partout dans le salon. Christelle et Sébastien sont maintenant en train de baiser sur le canapé comme si nous nétions pas là. Je propose à Lisa de nous éclipser dans la chambre damis pour y continuer à faire lamour. Elle me précède, lâchant comme à regret mon sexe quelle sait si bien faire grossir. Je ne perds rien de ce que je vois de sa croupe quand elle marche jusquau lit. À cet instant je suis plus que jamais déterminé à jouir entre ses fesses.
Arrivés au bord du lit elle se retourne, me sourit comme je lai déjà vue faire depuis vendredi soir. Je sais ce que cela signifie : « Je vais te donner du plaisir et tu vas men donner aussi ».
Assise au bord du lit, elle me reprend dans sa jolie bouche. Ses lèvres reprennent leur jeu autour de mon sexe, sa langue virevolte autour de mon gland, sarrête sur le frein, maspire en creusant les joues et me déguste jusquà me libérer dans un bruit de succion humide. Ses doigts, courent pendant ce temps le long de ma bite : le pouce et lindex joints comme un anneau vont et viennent en me serrant juste assez fort. Je prends cette sensation exquise comme un avant-goût de son illet que je forcerai tout à lheure. Parfois elle mentoure de toute sa main et tout en allant et venant effectue un mouvement du poignet qui décuple mon plaisir.
Le regard noir quelle me jette de temps en temps lui permet de mesurer mon excitation, pour savoir quand ralentir le rythme ou au contraire laugmenter. Ses doigts fins aux ongles délicatement manucurés, courent ainsi durant de longues minutes absolument exquises et mamènent juste au bord du plaisir, sans jamais me faire franchir cette frontière invisible entre le plaisir et lorgasme. En dépit de sa jeunesse, Lisa savère être une suceuse de première. Afin de ne pas me laisser surprendre par la jouissance quelle mamène à tutoyer, je ralentis son rythme effréné en lui prenant les cheveux de ma main droite, tout en imprimant à sa tête le mouvement de va et vient qui me permet dapprécier lagilité de sa bouche et de sa langue sans gicler trop tôt au fond de sa gorge. Elle mengloutit ainsi à mon rythme, jusquà la garde sans rechigner et même en y prenant plaisir, comme me le montre son regard plein dexcitation.
Du salon, dautres bruits nous parviennent, moins discrets, qui ne laissent aucun doute sur lactivité de nos conjoints. Nous percevons distinctement les sons quil émet lorsquil enfonce son sexe au plus profond de sa partenaire. Le rythme chez eux aussi varie entre des tempos rapides pendant plusieurs minutes et dautres plus lents durant lesquels, leurs râles se font plus langoureux. Parfois les gémissements de ma femme sinterrompent et jimagine quelle lembrasse comme elle sait si bien le faire, avec sa langue à la fois douce et agile. Ils alternent eux aussi les plaisirs puisque cest au tour de Seb démettre des commentaires très crus :
- « Oui, suce moi comme ça
vas-y cest bon ! Suce ma bite, aspire-la, plus loin, plus loin
Oui comme ça cest bon,
Attends
»
Aux sons que nous entendons, nous comprenons quils changent de position et très vite les coups de butoir de Seb reprennent comme elle aime :
- « Oooh ! Oui cest bon comme ça, tu viens profond !
»
Le petit cri de surprise quelle a poussé à linstant nous laisse penser que cest par derrière quil la pénètre maintenant. Le rythme du claquement du bassin sur les fesses de ma femme nous révèle quil prend son temps pour profiter au maximum de létroit fourreau dans lequel il va et vient. Jimagine Christelle, prise en levrette, le dos cambré, la tête dans un des coussins du canapé, les deux mains écartant ses deux fesses musclées pour mieux soffrir. Les sons étouffés quelle émet sont ceux quelle aura poussé à plusieurs reprise lors de ce week-end orgiaque prise par son mari, un ami et un inconnu, vivant là son fantasme le plus absolu.
Lisa tout en continuant à me branler, tend elle aussi loreille et comprend la même chose que moi. Cest elle qui prend alors la parole, en fixant ma bite sans cesser ses mouvements.
- « Tu vas me prendre par derrière toi aussi, jen ai envie ! »
Joignant le geste à la parole, elle mattire sur le lit, mallonge sur le dos et vient me chevaucher. Légère comme une plume, elle me regarde alors quelle saisit mon sexe bandé dans sa main pour le présenter tout doucement devant son anus. Je sens son petit trou me résister. Je la prends par la taille de mes deux mains et la retiens lorsque mon gland commence à lécarter. Maintenue ainsi, elle ne peut plus méchapper. Ainsi tout doucement, je la pénètre. À mon tour de la posséder totalement, elle sabandonne et cest comme un tribut quelle moffre.
- « Tu mas donné tellement de plaisir depuis vendredi que je te dois bien ça. »
Et effectivement je la sens qui se relâche, me permettant de la prendre en douceur sur toute la longueur de mon sexe, dur comme jamais. Elle se colle à moi maintenant et ses seins écrasés contre ma poitrine, elle vient à ma rencontre. Nous nous rejoignons, lun allant vers lautre. Je la prends autant quelle se donne, lun et lautre faisant la moitié du chemin qui me permet de la prendre profondément. Je vais et je viens, lentement, laissant Lisa shabi à la présence de ce sexe quelle désire depuis si longtemps. Elle commence à se détendre de plus en plus et cest avec douceur et détermination que je glisse entre ses fesses écartées. Son anneau étroit menserre comme ses doigts tout à lheure, plus chaud, plus doux. Je sens sa respiration saccélérer, son souffle de plus en plus court dans mon cou, mêlé de gémissements de plus en plus forts. Moi aussi, je sens bien que le plaisir monte et je ralentis pour ne pas jouir trop tôt.
Quittant ses hanches, mes mains encadrent son visage tendu par le plaisir et je la force à me regarder pour vérifier, mes yeux droits dans les siens, quelle aime sentir ma bite en elle. Ce que je vois ne me trompe pas : elle commence à prendre goût à la sodomie. Le passage que jemprunte déjà ouvert par son mari et Nicolas durant notre orgie de la veille, se détend de plus en plus, jusquà ce quelle commence à manifester son contentement par des cris de plus en plus forts. Je suis en train de la faire jouir en lenculant ! Effectivement comme je lai déjà vérifié durant ce week-end, pendant ses orgasmes elle se tend, retenant sa respiration, les yeux dans le vide durant les quelques secondes où elle quitte ce monde pour entrer dans le plaisir. Elle retombe essoufflée sur ma poitrine et je la laisse profiter seule de cet instant. Immobile, plongé en elle, le sexe palpitant, je patiente pour mieux profiter de cet instant. Ma maîtresse se rend compte de mon besoin de pause et me dit :
- « Profites-en, je suis toute à toi et ça me plait de sentir ta bite dans mon petit cul. Tu veux jouir avec moi ? »
Et cest donc à sa demande que je reprends mon va et vient. Mon rythme saccélère, mon amplitude aussi. Je sors presque delle à chaque fois avant de replonger en la soulevant. Mes deux mains écartent ses fesses au maximum tout en les malaxant. Je sens ses muscles se contracter à mesure que je la pilonne. Elle aime, recommence à gémir, à me dire que cest bon jusquà ce que ny tenant plus je me vide à longs traits en elle. Mon sperme jaillit et la remplit dans une étreinte finale durant laquelle elle me rejoint en criant. Sans capote, toute ma semence contenue se répand dans cet étroit fourreau.
Reprenant nos esprits nous réalisons que dans lembrasure de la porte ma femme et mon ami nous regardent sourire aux lèvres.
- « Et voilà, on ne peut pas vous laisser seuls cinq minutes tous les deux Heureusement quon nest pas jaloux hein ? »
Après sêtre tournée vers le mari de Lisa elle nous toise maintenant dans sa féminité offerte, nue, impudique et sublime. Jaime ma femme encore plus à cet instant.
Ils nous rejoignent tous les deux sur le lit et nos couples se reforment avec tendresse. Jentends Sébastien demander doucement à sa femme si cétait bon et je la vois plus que je ne lentends exprimer dans un sourire ce quelle a ressenti en sentant mes saccades de sperme en elle.
- « Une bonne douche ça te tente ? » me demande Christelle sans malice.
Nous nous levons en direction de la salle deau flambant neuve que nous avons dignement inaugurée avant-hier. Nos amis nous rejoignent et sous leau chaude nous récupérons de nos ébats en nous caressant tendrement.
Après un café serré, le moment de rentrer chez nous, arrive et cest à regret que nous nous séparons de nos amis. Jembrasse Lisa sur la bouche, son mari enlace ma femme, la plaque contre lui et avec une petite tape sur les fesses, lui dit :
- « On se revoit bientôt ? »
- « Je ne sais pas ! » répond Christelle dans un regard qui disait exactement le contraire.
En montant dans notre voiture en cette fin daprès-midi, nous échangeons un merci qui revêt plus de sens que dhabitude.
Ils disparaissent avec de grands signes dans le rétroviseur de la voiture. Bien vite sur lautoroute, ma femme sendort et je reste seul avec mes pensées et des idées de week-end à Bordeaux.
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