Ma Vie De Libertin - Les Fillles Du Minitel Rose Et Du Net - We À Deauville
Week-end à Deauville.
Moi : Nous nous sommes déjà rencontrés à deux reprises. A ta demande, jai réservé une chambre pour le week-end à lhôtel Ibis de Deauville. Daprès le plan il semble bien situé. Je fais confiance à ton choix.
Vendredi en début daprès midi alors que je viens de faire les 350 km de route qui me séparent de toi, je te prends au bas de ton immeuble dans le quartier Montmartre. Après les effusions de nos retrouvailles, nous quittons assez facilement Paris car il est encore tôt dans laprès midi et, devisant gaiement nous faisons la route vers la côte normande.
Nous ne sommes pas particulièrement pressés sur la route et nous arrivons vers 19 heures. Après avoir pris la clé magnétique de notre chambre nous montons nous installer. Nos bagages sont assez légers ce qui facilite notre installation mais un peu ralentie car la moindre occasion, je tarrête pour tenlacer et tembrasser en laissant courir mes mains sur ton corps.
Au travers de ton chemisier et de ton soutien gorge je sens que Tic et Tac, tes deux beaux seins, ne sont pas insensibles à mes caresses. Les tétons sont dardés. Je suis sur quils font au moins un bon centimètre. Tu te frottes à moi comme une chatte en chaleur mais lun comme lautre, nous résistons à lappel des sens. Tu remets un peu dordre dans ta coiffure (artistement coiffée ou décoiffée) et nous gagnons le restaurant où nous dînons légèrement.
Malgré notre impatience à nous retrouver dans lintimité de notre chambre, nous marchons un peu au hasard dans la ville que tu me fais découvrir. Cest vrai que lavant saison en ce début de printemps est propice à la flânerie. Vers 23 heures nous nous retrouvons comme par miracle devant notre hôtel. Coquine ! Sans que je men doute, tu as guidé nos pas pour revenir au point de départ. Nous gagnons rapidement notre chambre, heureusement située au dernier étage et dont la grande baie vitrée donne sur un bassin du port.
Sitôt la porte refermée, je te prends dans mes bras et je te porte sur le lit. Je commence à te déshabiller et dès que ta poitrine est nue, je vais honorer Tic et Tac de mes baisers. Nous achevons de nous dévêtir mutuellement en échangeant de nombreuses caresses. Mon sceptre est dressé, prêt à partir à lassaut.
DIANE : Mes tétons sont déjà durs, ta queue, elle, déjà dressée comme prête à une inquisition, nos langues se mêlent en un ballet sensuel. Mais jai mon idée. En effet, et je te lavouerai plus tard, je me suis permis de rappeler lhôtel après ta réservation, pour massurer dun détail concernant la chambre réservée. Je veux un GRAND bain.
Alors, sans dire mot, je me lève et tentraîne doucement vers la salle de bain. En chemin je ny résiste pas, je me retourne et, magenouillant face à toi, je lèche tendrement ce gland rouge de désir mais je ne my attarde pas. Je repars aussitôt vers le bain. Jentre dedans, tu restes un instant devant à me regarder alors que, me saisissant du tuyau de douche, je fais couler leau sur ma gorge, un filet se concentre entre mes seins puis sévase sur mes hanches, et se réunit enfin pour inonder ma chatte déjà très gonflée.
Je me retourne alors, et laisse leau désormais ruisseler dans mon dos, sécraser dans le creux de mes reins et se concentrer en un filet serré entre mes fesses. Je cambre pour satisfaire à ta vue et te permettre de deviner, sous leau, mon sexe qui gonfle encore. Je suis excitée à mort ! Cest alors que tu tapproches et entre dans la baignoire, me prends doucement la pomme de douche des mains et entreprends de la dévisser. Le jet est maintenant plus concentré mais moins violent.
Je me cambre encore un peu, alors que flattant ma fesse de ta main gauche, tu diriges le jet sur ma chatte que je toffre volontiers. Comme cest bon, je ne peux plus désormais quitter ton bâton damour des yeux ! Je le sens prêt à laction. Doucement et fermement, tu tapproches de moi et présentes ton sexe motivé à lentrée de ma chatte.
Et immédiatement je sens ton gland envahir ma chatte gourmande ! Une salve de plaisir parcourt mon corps, la mouille mêlée à leau rend la pénétration immédiatement profonde. Jentends un doux râle sortir de ta gorge. Comme cest bon ! Mais tu te ravises et ressors, laissant ma chatte gonflée se tendre encore plus vers ton sexe, comme pour le tenter !
Reviens mon amour, jai besoin de toi ! Je reste là haletante, cambrée au maximum, jattends ta décision :
Viens mon amour, je ten supplie, reviens !
LUI :
Ne tinquiète pas ! Je reviens tout de suite !
Je prends rapidement dans mon bagage le petit cadeau acheté à ton intention et je te rejoins dans la salle de bain où leau continue de ruisseler sur ton corps. Tu te présentes de dos et leau suit les creux de tes reins avant de se perdre entre Boule et Bill, tes globes fessiers et jaillir comme une source entre tes cuisses. Quel spectacle ! Je te le dis :
Ne bouge pas ! Tu vas voir çà va être divin !
Je pose ma main gauche au creux de tes épaules et je tincite à te courber vers lavant pour ouvrir la fente de tes fesses. Sachant combien tu es ouverte, je glisse sans peine dans ton petit trou un uf vibrant dont je garde la télécommande en main. Jarrête leau et je te rejoins dans limmense baignoire et je tenlace à nouveau, pressant ma bite contre ta chatte. Dun mouvement de hanches en te dressant un peu sur les pieds tu viens tempaler sur mon sceptre de chair et je commence à te besogner en douceur. Je sais que tu apprécies aussi bien la douceur que les assauts plus virils.
Là, il faut faire attention car le fond de la baignoire est glissant mais je te tiens fermement, un bras passé autour de ta taille, ma main folâtrant sur tes fesses tout en tenant la télécommande que je viens de mettre en route. Tu apprécies : Oh ! Que cest bon cette sensation, cette vibration dans mon cul !
Je la ressens aussi au travers des parois de ton sexe.
Nous sortons de la baignoire et, revêtus des peignoirs mis à notre disposition par lhôtel, nous allons continuer nos ébats sur le grand lit. Tu as toujours luf vibrant dans ton petit trou mais il est arrêté.
Nous nous embrassons et nous nous caressons longuement. Mon goût pour tes beaux globes fait que ce sont eux qui bénéficient le plus de mes caresses. Les tiennes vont aussi bien vers ma bite que vers mes tétons dont tu as deviné quils étaient sensibles eux aussi. Heureusement que la chambre est correctement chauffée car nous sommes déjà nus depuis longtemps. Soudain, tu te retournes et tu viens gober mon gland.
Tes cuisses sont de part et dautre de ma tête et jai la vision de ta chatte toute dépourvue de poils (jaime), de tes grandes lèvres entrouvertes qui laissent apercevoir les petites et ton clitoris qui est sorti de son capuchon. Comme un gros chat que je suis, je lape ton sexe, tantôt ma langue à plat, tantôt enroulée pour la faire pénétrer dans ton conin.
Jai remis la télécommande en route. Je lavais programmée avec des cycles de vibrations fortes et dautres plus douces que tu as déjà éprouvées dans la salle de bain. Là, tu ne tardes pas à manifester à nouveau ton plaisir et tu le laisses éclater, inondant ma bouche de ta cyprine (à peine fontaine ? tu serais-tu retenue ? oui je pense car le lit aurait été souillé !) Je nai pas encore joui mais tu sens que ce nest pas loin ! Tu te retournes et comme lors de notre rencontre à lhôtel à Paris, tu viens me chevaucher en amazone.
Ma bite dressée va se perdre dans ta grotte damour et tu commences à me travailler par un lent mouvement de va-et-vient doublé de laction de tes muscles intimes.
En peu de temps, je tai fait lamour deux fois ! Et je nen suis pas encore rassasié. Mais nous nous glissons dans les draps et tu viens te blottir contre moi en disant combien tu es bien avec moi
Quel aveu ! Je te réponds que moi aussi, je suis bien avec toi. Jaime notre complicité sans complication. Nous savons ce que nous recherchons : uniquement la satisfaction dun irrésistible besoin sexuel et te sachant libertine, je sais que tu ne caches rien à Hervé. Cest dailleurs mieux ainsi !
Tant que nous en aurons envie, nous profiterons de notre temps libre et des opportunités diverses pour de belles escapades amoureuses. La fatigue de la route, nos joutes amoureuses, lheure tardive ont raison de nous. Cest dans le bras lun de lautre que nous nous endormons.
Le matin, le soleil est déjà haut quand nous sortons de la torpeur de la nuit. Nous ne nous sommes pas désunis dans notre sommeil. Tu es encore dans mes bras dans une position quasi inchangée, Tic et Tac pressés contre mon torse, tes longs cheveux blonds masquant une partie de ton visage, nos jambes mêlées. Tous les deux nous avons faim ! Mais de quoi avons-nous faim ? Dun petit déjeuner bien reconstituant ou de nouvelles caresses, prélude à une nouvelle joute amoureuse ?
Tout dabord reconsti nos forces : Je commande un solide petit déjeuner car à quelle heure allons-nous déjeuner ? Nous sommes encore dans le lit quand la serveuse nous apporte la table roulante sur laquelle trônent diverses bonnes choses. Nous prenons notre temps et tout en bavardant, en nous confiant les petits secrets de notre vie, nous arrivons aux alentours de 11 heures du matin. Lun comme lautre nous avons besoin dune bonne douche. Elle va nous rendre du tonus et éliminer les traces de nos ébats de la veille.
Mais jai une idée folle en tête ! Hier soir la douche était là pour nous mettre en condition. Là, cest moi qui prends les choses en main (si je puis dire). Tu as relevé tes cheveux pour éviter de trop les mouiller. Alors que tu te glisses sous la douche, je ty rejoins et je commence à te laver, faisant ruisseler sur ton corps magnifique des flots de mousse parfumée.
Et tu en fais autant avec moi ! Cette douche mutuelle est de nouveau loccasion déchanger de multiples caresses. Jai encore envie de toi ! Mon sceptre de chair en témoigne : il est dressé vers toi comme un I. Nous nous séchons rapidement et une fois encore le lit nous accueille
DIANE : Humm ! Ma peau est douce et délicatement parfumée de cette mousse soyeuse dont tu as couvert mon corps avec cette tendresse que désormais je te connais bien. Jai envie de mabandonner totalement au service de ton plaisir. Je sais déjà que tu me le rendras bien !
Je commence à adorer que tu prennes les choses en mains lors de nos ébats et tu fais ça avec grand art. Je métends sur le lit et ondule en offrant à ta vue tantôt mes fesses, tantôt mes seins. Je roule sur le dos comme une chatte, métire, me cambre. Je vois dans ton regard une envie qui se retransmet presque aussitôt sur ton bâton damour.
Je me sens mouiller rien quà te voir approcher de moi. Tu tassoies au bord du lit, saisis mes chevilles et les écartes dun mouvement précis et puissant ! De toute manière je nai aucune envie de te résister. Une goutte de mouille sourd déjà de ma chatte, ce que tu as très bien vu. De ta voix calme, douce et sereine, tu mordonnes alors de ne pas bouger.
Jobtempère et reste là, allongée sur le dos, les jambes écartées. De ton index expert, tu viens écraser cette goutte de mouille sur mon clitoris. Jécarte au maximum les cuisses pour que ton accès y soit plus facile : leffet immédiat est que ton doigt entier est gluant de mon désir !
Avec une infinie tendresse, tu décides denfoncer ce doigt doucement dans mon vagin. Jen ronronne et je perds je contrôle de mes hanches.et cest toi désormais, qui, du bout de ton doigt, en diriges tous les effets. Je me soumets !
Saisissant les ceintures de nos peignoirs tu enlaces alors mes poignets et les attaches aux boules qui ornent la tête de lit. Je me retrouve attachée sur le dos et toujours les jambes écartées en grand.
Oh mon dieu ! Je sens ma chatte dégouliner à présent. Rien ne téchappe, je le sais, tu me regardes et vois rien qua mes yeux ce que je ressens, puis tu te lèves, et reviens aussitôt avec cet uf vibrant qui ma fait tant de bien déjà. Tu le frottes sur mon sexe gonflé et voilà que tu le mets en marche. Il vibre sur mon bourgeon damour
wouaaahhhh
. Sublime, puis tu le promènes sur mon corps jusquaux tétons. Humm ! Ils sont désormais archi durs et tu ne résistes pas à les taquiner de ta langue, à les mordiller. Je ny tiens plus, je mentends te dire alors dans un souffle :
Mon amour. Jai envie de toi !
Me remontant alors énergiquement les jambes en lair, tu plonges luf vibrant encore dans mon cul qui appelle, déjà tout dilaté et mouillé
wouaaahhhh
cest délicieux
et le laissant là, tu enfonces dun coup tout ton sexe hyper bandé dans ma chatte détrempée
Raaaaahh !!!
Leffet est immédiat
un premier jet de cyprine arrive instantanément, et, se heurtant à ton sexe dur, le contourne et dégouline sur mes cuisses et entre mes fesses. Mon amour... Tu te retires alors, me détachant, tu me retournes de manière à ce que je me retrouve le cul bien en lair et la tête sur le lit
Je moffre à toi chéri
Que feras tu de moi ? Je suis à toi !
MOI : Oui ! Tu es à moi ! La position dans laquelle je tai mise est une invitation ! Tu sais ce qui tattends ! Prestement je retire luf vibrant de ta gaine étroite et dune seule poussée (tu es tellement ouverte et mouillée) jinvestis ce pertuis chaud qui mattire.
Oh ! Que cest bon ! Cest chaud et doux ! Pour la seconde fois depuis que nous nous sommes rencontrés, je te sodomise. Longuement je vais et viens dans ton fourreau qui est de plus en plus ouvert et humide. Mon plaisir monte, monte, monte ! Le tien aussi ! Entre mes bras, je te sens vibrer, tu ronronnes, manifestant ainsi ton contentement de cette saillie bestiale, je te tiens par les hanches et tes seins aux tétons érigés frottent sur le drap, augmentant ainsi leur réceptivité. Humm ! Que cest bon ! Soudain, je me tétanise ! Cela part du creux de mes reins jusquà la pointe de mon gland et je me vide au fond du préservatif : Ooooh ! Que cest bon !
Je me retire jusquà lorée de ton sphincter, jôte la capote et jy déverse mon sperme que je repousse dans ton cul pendant que tu jouis une nouvelle fois. Cela bave tout autour ! Tu taffales sur le ventre, ma bite fichée entre tes fesses. Je pèse de tout mon poids sur toi. Tu ondules des hanches pour bien sentir la pénétration. Oui ! Je suis encore raide en toi mais nous finissons par basculer sur le côté. Nous sommes dans la position de la cuillère, tes globes fessiers moulés contre mon ventre, mon sexe logé entre tes fesses (hélas il est sorti quand nous avons basculé). De ma main gauche je viens me saisir dun de tes seins que jenglobe, le téton pincé entre deux doigts. Nous restons ainsi de longues minutes, retrouvant progressivement notre calme. Avons-nous sommeillé ?
Nous réalisons quil est bientôt 14 heures et que si nous voulons manger au restaurant de lhôtel, il nous faut nous presser un peu. Nous passons vite fait dans la salle de bain et nous nous habillons. Tu es magnifique, tu portes un ensemble aux teintes mordorées rappelant les couleurs de lautomne mais qui va très bien avec tes yeux verts. La jupe arrive un peu au dessus du genou ce qui laisse apparaître une belle longueur de tes jambes. Aux pieds, tu portes des bottines en daim avec des talons hauts qui font ressortir le galbe de tes mollets et la cambrure de ton dos.
Quelle nest pas ma fierté lorsque nous entrons dans la salle de restaurant, ton bras droit amoureusement passé sous mon bras gauche. Tu es si attirante que nombre de regards se tournent vers toi, certains admiratifs, dautres avec une lueur denvie ou de jalousie. Je ne sais !
DIANE : Bien sur, tu me connais ! Oui, moi qui ai dansé toute ma vie, jaime attirer les regards. Mais il est une dimension supplémentaire aujourdhui. Jaime être accrochée à ton bras sure de moi et quelque peu fière de me pavaner près dun homme élégant, plus âgé que moi
, jaime laisser deviner à qui le veut bien la reconnaissance que jai pour toi de ce plaisir que tu viens de me donner. Jaime savoir que tout le monde peut lire sur mon visage la tendresse et la force avec laquelle tu viens de me faire lamour.
Et jaime ça, parce que tout simplement jen suis fière ! Jaime aussi ton élégance alors que tu tires ma chaise pour me permettre de my asseoir. Jaime ton sourire serein alors que tu tinstalles en face de moi. Jaime lempressement du garçon de salle à venir nous saluer. Jaime ta réponse distinguée. Je me contenterai moi de sourire en baissant le menton ! Oui cest certain, je suis à toi.
MOI : Que tarrive-t-il ? Toi que je commence à bien connaître, tu baisses les yeux. Toi, lamante ardente, tu deviens timide ? Cest vrai quen y regardant dun peu plus près, on distingue dans le regard des hommes qui nous entourent une lueur denvie. De te posséder ou de jalousie à mon encontre ? Moi avec mes 50 ans bien sonnés et toi jeune femme dans la plénitude de la trentaine, nous faisons des envieux !
Je ne vois que toi et sans cesse, je pense au bonheur que tu me donnes. Le repas, rien que de mets succulents et reconstituants, est assez vite expédié. Tu me proposes de me faire découvrir la région.
Nous prenons la route côtière et sans nous presser nous admirons le paysage. Cest vrai que la région est belle sous le soleil printanier. Sur tes indications, nous laissons la voiture en bord de route et nous descendons vers la plage par un beau sentier bien large. Bras dessus, bras dessous, nous marchons lentement en savourant ces merveilleux instants que la vie nous offre. Contre mon bras, je sens la douce chaleur pesante de ton sein droit. Que je suis bien ! Quel sort mas-tu jeté ? Quel filtre aphrodisiaque mas-tu fait boire ?
Nous arrivons au bord de leau. La mer est étale et les vagues légères viennent se briser sur les galets. Une fois encore, nous profitons de la solitude pour nous enlacer.
Tu te presses contre moi, je sens tes seins contre mon torse. Mes bras autour de toi, les mains à hauteur de tes reins, je colle ton corps contre le mien. Tu ondules des hanches et je sens ton pubis contre le mien qui entreprend un savant massage. Tu te loves contre moi. Tu ronronnes déjà. Tes mains glissent sur mon torse par ma chemise entrouverte. Tu es excitée et ta langue à son tour parcourt ma poitrine, sattarde sur mes tétons. Tu les lèches dabord puis les saisis délicatement entre tes dents. Je tressaille sous cette caresse. Je bande. Alors, sans lâcher les tétons sur lesquels tu fais une obsession, tu défais ma ceinture et tu glisses ta main droite sur mon sexe déjà gonflé. Tu le caresses furtivement dabord
Tu promènes tes doigts agiles de mon gland qui durcit à mes couilles rebondies. Je laisse descendre mes mains jusque sur tes fesses et je te plaque contre moi encore plus fort.
Mon désir de toi se manifeste à nouveau. Insidieusement, je remonte ta jupe et bientôt tu te retrouves le cul à lair, seul le cordon de ton string le couvre. Coquine, comme dhabitude tu ne portes pas grand-chose pour couvrir cet endroit. Est-ce une invitation. Jai faim de toi. Je ne suis pas encore rassasié. Je te guide vers un endroit où nous serons un peu plus à labri des regards indiscrets (cependant je ne pense pas que nous serions gênés dêtre surpris ou observés).
Rapidement tu défais le zipper de mon pantalon et tu libères mon sexe de mon boxer. Tu gobes le gland pour achever ma bandaison. Lorsque je suis à ton goût, tu tappuies sur un rocher en me tournant le dos. Ta jupe remontée sur tes reins, je ne prends pas le temps de baisser ton string. Jécarte le cordon et, dune longue poussée lente, je te prends la chatte. Mon ventre collé contre tes fesses, je reste ainsi quelques instants, savourant la douce chaleur de ton fourreau humide. Nous sommes bien ainsi.
Je commence le mouvement alternatif qui progressivement va nous amener au point de non retour. Je sens ma bite de plus en plus dure et longue. Le spasme ne va pas tarder mais je veux encore savourer ces moments. De ton côté, tu exprimes ta satisfaction par des soupirs de plus en plus forts. Pour mieux me sentir, tu roules de la croupe et tu masses mon gland de tes muscles intimes. Ça y est ! Je pars ! Tu le sens et à ton tour, tu exhales ta jouissance. Je déverse un jet de sperme dans ton fourreau en te disant combien cétait bon de te baiser ainsi.
Remettant un peu dordre dans nos vêtements, nous nous allongeons au soleil pour bien profiter de ce temps béni qui succède à une belle étreinte amoureuse. Bercés par le bruit des vagues et les chants (pas très mélodieux) des goélands et autres oiseaux de mer, nous savourons ces instants de bonheur. Je me plais à rêver. Et si cela nétait quun prélude à quelque chose de plus intense encore et non un intermède de deux personnes avides de sexe ? Non, ce nest quune illusion et nous le savons ! Cest à la nuit tombante que nous regagnons notre hôtel.
MOI : Comme nos vêtements sont quelque peu fripés et pleins de sable, nous passons rapidement sous la douche, quune fois encore, nous prenons ensemble. Quelle bonne idée tu as eue dinsister pour que je demande une chambre avec une telle salle de bains.
Coquine, tu devais savoir que cela existait dans cet hôtel. Y serais-tu déjà venue ? Si oui, je nen suis pas jaloux, je profite sans vergogne de ta connaissance de lieux et je ten remercie. Nous navons pas envie de redescendre au restaurant. Alors, je commande un en-cas huîtres, saumon fumé et vin dAlsace (Gewurztraminer vendanges tardives), cela te conviens ? en attendant, nous plaisantons tout en chahutant un peu ! Je te lutine, allant cueillir un téton dans le décolleté de ta robe légère, flattant ta croupe dune main insistante descendant jusquentre tes fesses. Cela présage une nouvelle soirée bien chaude.
Nous continuons notre repas ainsi, te donnant à manger des morceaux de saumon sur des petits blinis avec de la crème, bref, des jeux damants complices, amoureux ardents, qui profitent de la vie. Le vin, frais à point, nous a échauffé les esprits et les sens. Bientôt nous voilà de nouveau nus sur le grand lit.
Tu es en pleine forme. Lair de la mer (et peut-être le vin) a rosi tes pommettes donnant encore plus de luminosité à tes yeux verts. Quils sont beaux ainsi, ourlés de noir, ton visage encadré par tes longs cheveux blonds. Tu te fais chatte, venant te blottir contre moi, frottant lascivement ton corps contre le mien. Tu cherches à faire naître ma vigueur
difficile ce soir. Jai déjà trop donné ?
Non, je ne pense pas, mais un petit coup de fatigue mempêche darriver à une bandaison satisfaisante. Quà cela ne tienne. Il y a dautres moyens de te satisfaire. Je te demande si tu as tes jouets avec toi : - Oui, je ne voyage jamais sans.
Tu sorts de ton sac de voyage deux beaux godes souples de belle taille, un mauve foncé et un translucide. Waaouuhhhh ! Génial, tout ce quil me faut ! Tu te mets sur le dos, écartant les jambes, offrant à ma vue ta vulve déjà suintante de mouille.
Avec le gode translucide, je commence à agacer ton bouton damour, je le fais glisser entre tes lèvres roses, le fais pénétrer de quelques centimètres pour le ressortir aussitôt avant de lenfoncer jusquà la garde. Quel spectacle plein de lubricité.
Je te quitte quelques secondes, je cours à la salle de bains et je reviens avec une grande serviette que je plie et glisse sous tes fesses. Jai une idée qui a germé pendant que je te caressais : je vais faire jaillir la fontaine que tu as retenue à chaque fois.
Une fois installée, tu relèves tes jambes, ouvrant grand le V de tes cuisses en les rabattant le long de ton torse, ouvrant ainsi lentrée de ton anus déjà déplissé. Jy introduis avec précautions le gros gode mauve mais tu es tellement ouverte et mouillée quil entre avec une facilité quelque peu déconcertante.
Tantôt à une main, tantôt à deux pour varier le rythme et la pénétration, je fais aller et venir les bites factices dans tes orifices damour. Tu ronronnes de plus en plus fort, tu te tords sous les assauts de ces godes qui occupent très profondément ta chatte et ton cul. Pendant ce temps ma bite a achevé de se relever. Cest de nouveau une flamberge triomphante. Mais je poursuis mon uvre. Soudain, cest le jaillissement de ta fontaine. Quel beau spectacle ! Tu portes tes mains sur ta chatte pour freiner le jet et te caresser en même temps.
Je nen peux plus, je tire vivement la serviette qui est trempée, je la jette sur le sol et dune poussée violente, je glisse mon sexe dans le tien. Il ne faut pas plus de quelques allers-retours pour que ma jouissance éclate en même temps quun second orgasme te tétanise. Tu memprisonnes en nouant tes jambes sur mon dos et je reste ainsi de longues minutes en toi en te disant des mots doux et fous à loreille. Et nous sombrons dans le sommeil, étroitement imbriqués lun dans lautre, éperdus de bonheur et de sensations oh combien merveilleuses.
Hélas! Tout a une fin ! Le lendemain en milieu de matinée nous quittons lhôtel pour reprendre la route de Paris par le chemin des écoliers. Mais je le sais il y aura dautres rencontres.
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