Je Déniaise Le (Beau) Fils De Ma Meilleure Amie. Chapitre 3. Maintenant Elle Veux En Profiter Aussi
J'ai dépucelé le (beau) fils de ma meilleure amie.
Et maintenant elle veut aussi connaître lextase avec ce petit crapaud qui sest transformé en étalon extraordinaire. 3ème partie.
Sa belle-mère veut aussi connaître lextase avec ce petit crapaud qui sest transformé en étalon extraordinaire.
Je me présente, je mappelle Annabelle, je me suis remarié avec Guy qui a un fils de son précédent mariage, Claude, qui vit avec nous.
Julie et son mari sont nos meilleurs amis. Nos deux couples avons fait connaissance dans des lieux plutôt chauds et nous sommes des aficionados de parties fines.
Elle vient de revenir après avoir accompli sa mission, ça lui a bien pris 2 heures et elle me prend à part pour mannoncer.
-Je te remercie Annabelle, je tavoue que je ne mattendais pas à ça, je nai jamais connu un mâle aussi bien monté que Claude et pourtant tu sais que côté bites, jen ai déjà vu des paquets.
Mais un engin comme le sien, je peux te certifier que cest bien la première fois que jen ai un sous la main. Et il na pas fallu longtemps pour que Claude retienne mes leçons et me fasse grimper au rideau comme ça ne mest rarement arrivé, il est très endurant et pas avare coté semence, un vrai acteur porno!
Je nen reviens pas de ce quelle me raconte et lui demande force détails.
Javais déjà remarqué le volume avantageux de lentrecuisse de mon beau-fils, et quil devait être correctement équipé mais sans plus. Mais pas aux proportions quelle mannonce.
La nuit venue, ressassant ce que vient de mapprendre Julie, je narrive pas à trouver le sommeil.
Soudain jentends des gémissements à peine étouffés. Je me lève et me guidant aux bruits, me retrouve devant la porte entrebâillée de la chambre de Claude.
Ce que je découvre est fabuleux, Julie est en train dessayer de sintroduire dans le derrière une verge dune taille peu commune et dune grosseur monstrueuse!
Lexcitation que je ressens à la vue de ce soc est considérable, cest la première fois que je le vois entièrement nu, le sexe dardé.
Je devrais partir mais je suis trop curieuse. Il mest déjà arrivé de faire des pronostics sur son membre et je métais persuadée quil avait une verge comme Monsieur tout le monde mais je réalise mon erreur dappréciation. Julie na pas exagéré !
Il a une matraque énorme, une barre de chair bien raide et bien veinée au gland rose très proéminant. Elle doit faire à vue de nez dans les vingt cinq centimètres de long et est aussi épaisse quun poignet de jeune fille. Le gland est en rapport, aussi volumineux quune grosse prune, gorgé dun sang rouge carmin.
Mon ventre me brûle, je sens ma chatte qui devient chaude et toute humide. Comment aurais-je pu imaginer que je ressente une telle houle agiter mon sexe de voir la queue raide de Claude.
Julie lencourage :
- Prends-moi comme une salope, elle me plaît ta queue et je veux que tu me défonces comme jamais !
Je veux ta grosse pine, je suis ta chienne, ta salope et j'aime ça, fait-moi jouir mon amour avec ton défonce-cul !
Claude lencule de toutes ses forces ne s'arrêtant plus, elle n'en peut plus, ses gémissements sont de plus en plus fort. Il la défonce littéralement mais elle en redemande, le suppliant d'y aller encore plus fort.
Ses cris deviennent de véritables hurlements quand elle est terrassée par un orgasme foudroyant. Claude, profondément planté dans son cul se crispe en pleine éjaculation, sa jouissance fait tellement cabrer Julie que le pieu massif séchappe de ses reins complètement dévastés.
Elle prend aussitôt dans sa bouche son jonc toujours aussi vigoureux pour le nettoyer avant quil ne la force à sétendre pour la reprendre à nouveau.
Je voudrais les rejoindre mais un reste de raison me retient, je rejoins ma chambre sur la pointe des pieds mais je suis tellement excitée que je me jette sur mon mari pour quil me fasse lamour.
Tout le temps de lacte, mon esprit vagabonde, me voyant prise par le bélier monstrueux de mon beau-fils. Je ne pense plus quà ça !
Après avoir réfléchi toute la nuit, jai pris ma décision. Il faut que je me le fasse !
Mais comment faire ? Je ne veux pas après, être soumise ensuite à ses caprices ou un chantage.
Je retrouve Julie le lendemain et lui explique mon dilemme. Elle me regarde dun air narquois avant de mexpliquer ce quelle va faire.
-Claude et mon élève et je vais lui donner une nouvelle leçon. Je vais lui demander dêtre mon esclave et de faire tout ce que je lui demande. Comme acte de soumission, il devra accepter de porter une cagoule très spéciale qui ferme avec un cadenas. Il sera aveugle et presque sourd.
Je suis sûre quil va accepter. Je tappellerai pour te dire de venir le moment venu.
Une semaine après, elle me téléphone pour me dire lheure du rendez-vous chez elle.
Quand jarrive à son appartement, je rentre comme convenu sans faire de bruit et les trouvent dans la chambre de Julie. Ils sont déjà nus et en plein coït, un trait dunion impressionnant fait de chair les relie. Elle ma aperçue et me fait signe de mapprocher, Claude a une cagoule de cuir noir qui lui cache la tête, ne laissant libre que son nez et sa bouche.
Je me rapproche pour admirer son corps bien découplé qui me trouble plus que je veux me lavouer. Julie se retire de cet axe de béton et jai sous les yeux la plus majestueuse des verges qu'il m'ait été donné dobserver.
Mon Dieu ! Sa queue est aussi grosse que celle de Mandigo, un acteur porno black !
J'admire extasiée ce phallus encore plus imposant vu de près. Jai la respiration coupée devant cet engin qui dépasse de plusieurs centimètres son nombril.
Julie vient de se positionner sur son visage et lui ordonne de la faire jouir rien quavec sa bouche.
Consciencieusement, il sactive avec sa langue entre ses cuisses.
Il est si beau avec sa grosse queue splendidement dressée, toute à ma disposition dorénavant et je n'ai plus besoin de fantasmer sur sa taille. J'en ai plein les yeux et ...plein les mains.
Son sexe palpite contre ma paume et je suis enivré par mon acte, ma langue passe sur mes lèvres gourmandes, mon regard figé sur le membre imposant que javais deviné de bonne taille lautre nuit, mais je maperçois maintenant quil est vraiment colossal.
Il ne se doute pas encore que cest une autre personne qui le branle, complètement pris par son cunnilingus. Mes deux mains courent sur son rostre dont le mufle sest décalotté, japproche mes lèvres et happe avec gourmandise cette grosse quetsche qui remplit à elle toute seule ma bouche.
Ma langue sactive comme elle peut dans le peu despace disponible. Jessaie den accueillir le plus possible mais mes lèvres atteignent à peine la moitié de cette hampe magnifique.
Je pourrais passer des heures à la câliner, la caresser, la sucer. Soudain Claude se fixe et essaie de parler mais Julie appuie encore plus sa chatte sur la bouche et lui ordonne de continuer.
-Esclave, je ne tai pas dit de tarrêter et je tavais promis une surprise, ne te laisse pas déconcentrer et applique-toi mieux. Tu nes plus à ce que tu fais !
Récit de Claude.
Que ce passe-t-il ? Je suis en train de brouter le minou de ma Maîtresse et une bouche en feu est en train de me sucer le dard avec une science dexperte, cest encore plus voluptueux quavec Julie.
Une deuxième personne applique sur ma bite une fellation denfer, à ce rythme là, je ne vais pas pouvoir résister bien longtemps.
Julie mavait bien dit quelle me ferait découvrir quelque chose de nouveau mais je ne mattendais pas à ça !
Linconnue vient de stopper son travail, ouf, il était temps car jallais lâcher la purée !
Mais à peine le temps de faire redescendre la pression dans ma queue quune chatte beaucoup plus serrée que celle de Julie prend le relais de la bouche merveilleuse.
Linconnue monte et descend sur ma hampe en serrant incroyablement fort ses muscles intimes.
Jai la queue comme prise dans un étau, broyée par son fourreau brûlant, leffet que je ressens est au-delà de limaginable.
On dirait que ma verge senfonce à chaque fois dans une gaine étroite à la résistance folle qui se contracte par à-coups obturant quasiment le passage. Son vagin se resserre sur ma teub pour mieux la masser, la pétrir, senfonçant toujours plus profondément et la lubrifie copieusement avec son jus magique.
Elle accélère le mouvement de son bassin, s'empalant avec frénésie sur mon pieu qui la pourfend. Elle râle à chaque intromission dans sa chatte gorgée de mouille:
Oui !... Oh oui !... Ooui !... Encore !... Oh oui, j'aime cette grosse queue, Oouuiii !... Je vais te vider les couilles, te faire jouir !... Tu vas décharger ta liqueur... Tu vas me remplir ma chatte... Ooohhh... C'est trop bon !....
Je n'en reviens pas de ce langage trivial. Encore pire que celui de Julie. La voix de la femme qui me chevauche avec fougue sur mon bas-ventre en émettant des obscénités me dit quelque chose mais les cuisses de Julie pressées sur mes oreilles et cette maudite cagoule assourdissent les sons.
Jempoigne à pleine main ses fesses rebondies, jouant avec, les écartant.
Chaque resserrement des deux globes charnus lui arrache un gémissement de plaisir lubrique. De la chatte distendue, séchappe un véritable torrent chaud et visqueux qui se répand sur la base de ma queue et mes couilles.
Elle séjecte soudain violement de ma bite en poussant un formidable hurlement et je reçois une véritable douche dun liquide chaud sur tout le corps, il dégouline aussi du dos de Julie, glisse sur mes pectoraux et finit sur les draps. Je nai pas le temps de réaliser quelle sest de nouveau empaler aussi loin quelle a pu avant de recommencer son rodéo sur ma bite.
Au rythme dune telle chevauchée, je ne peux me retenir très longtemps et sens la jouissance sourdre dans mes couilles.
D'autant plus que Julie vient aussi de lâcher les grandes eaux que je bois à la source, le goût nest pas désagréable, légèrement salé.
Linconnue se déchaîne de plus en plus rapidement le long de ma queue enfouie en elle avec une telle frénésie que malgré mes efforts désespérés pour contenir l'éjaculation prête à jaillir de mon gland malaxé vigoureusement par ces chairs brûlantes, je nen peux vraiment plus.
Jempaume les deux masses jumelles du fessier inconnu, my cramponnant fermement et je me projette le plus loin possible en elle.
Je me laisse aller et balance mes jets de foutre dans ce vagin devenu vraiment très étroit.
Par répercussion, linconnue jette aussi un dernier hurlement de bonheur, en éjectant de nouveau un torrent de mouille qui inonde mes cuisses, je me vide copieusement dans son conduit
Nous restons tous les trois un long moment inerte, complètement vidés, pour récupérer de cette jouissance hors normes.
Récit dAnnabelle.
Merveilleux !... Merveilleux et impensable !
Je viens de vivre les plus fortes jouissances de toute ma vie ! Et avec qui ? Avec mon propre beau-fils ! La sensation que jai ressentie dêtre embrochée comme une volaille sur son obélisque, sur cette merveilleuse colonne de chair est proprement incroyable !
Je narrive pas à me résoudre à lâcher sa verge que je maintiens serrée dans ma main.
Son jeune membre viril est toujours aussi dur et ferme dans ma main.
Mais réalisant ce que je viens de faire, je relâche précipitamment cette verge toujours bandée comme si un tison me brûlait brusquement la main.
Mais Julie ne me laisse pas le temps de me poser des questions existentielles, elle mordonne :
-Prends-ma place, tu verras ce quil arrive à faire avec sa langue, sa mère la bien élevé, il est très doué, moi je vais moccuper de cette pauvre chose qui sennuie toute seule sur son ventre !
Sitôt-dit, sitôt-fait, elle enjambe son corps et se poignarde son fourreau intime de ce sabre qui nattendait que cela.
Nécoutant plus que ma libido, je présente ma fente aux caresses buccales de mon beau-fils.
Il enfile sa langue dans ma moule, un peu vite peut-être, je le calme et dirige par ma voix que jessaie de modifier lintroduction de sa langue vers mon clito en feu :
-Narrête-pas ! Continue, plus à gauche, ouiiii, mordille doucement, oui comme ça, lèche-moi à fond, fais-moi couler !
Sa langue lèche toute ma gaine de velours sans en oublier un recoin. Je colle mon bassin pour venir encore plus à sa rencontre.
- Aspire-moi le petit bouton, lèche-le, suce-le, fais-le bander !
Je presse sa tête entre mes cuisses, jarrive rapidement à lorgasme sous la dextérité de cette langue incroyablement vivante. Il s applique si bien que je sens vite le plaisir monter en moi.
-Vas y cest bon, je pars, salaud que cest bon...!
Mes cris retentissent dans la chambre quand un torrent fougueux de cyprine séchappe de ma fontaine de plaisir.
Je lui noie complètement le visage, lui remplissant la bouche dune quantité effroyable de mon jus.
Mon orgasme est tellement puissant que je tombe presque en syncope et qu'il me faut un moment pour récupérer mes esprits et ma respiration.
Jamais je n'ai connu cela avec son père ou dautres partenaires, cétait divin.
Il est impressionné par la violence de ma jouissance mais héroïquement boit à la source jusquà ce quelle soit tarie.
Je suis si excitée que je ne ressens maintenant plus aucune gêne, je vis ce moment de pur bonheur ne pensant plus à lidentité de mon partenaire.
Julie elle aussi vient davoir sa dose, Claude na pas pu se retenir et vient de lui remplir sa grotte dune bonne dose de sperme.
Nous admirons son corps nu.
Après l'effort, sa verge sest repliée modestement, jaspire délicatement l'extrémité flétrie de la bite entre mes lèvres qui se referment subtilement autour.
Son désir fait le reste, certes il na pas encore la rigidité espérée, mais je vais rapidement y remédier. Privilège de son jeune âge, quelques minutes lui suffisent sous mes caresses pour retrouver toute sa vigueur et bander à nouveau, bien ferme.
Je m'émerveille quand elle se redresse fièrement, dure et longue.
Julie commente ce renouveau :
- Chérie! Regarde cette queue qui est en pleine croissance. Je n'en reviens toujours pas de la taille que peut prendre cette bite! Claude
tu as vraiment une énorme queue, tu sais ! Elle est si grande, si longue, si dure!
Récit de Claude.
Ces deux femmes ne me laissent pas un instant de répit. Linconnue est une vraie furie, jai manqué me noyer sous les flots quelle a lâchés tout à lheure. Des odeurs dépices donnaient un goût merveilleux à ses sécrétions vaginales. Quelle amante merveilleuse !
Je nai pas le temps de récupérer que je sens déjà deux mains se saisirent de ma virilité légèrement en berne. Ca y est
Cest repartit pour un tour
Mais qui irait sen plaindre ? Sûrement pas moi !
Récit dAnnabelle.
Des paroles se bousculent dans ma tête que je voudrais lui crier. Je n'ai jamais connu une telle queue avant.
-Ouah, mon amour! Pardonne-moi mais je ne peux résister à te prendre en moi ! Tu remplis toute ma chatte, tu explores des lieux que personne dautre na défrichés! Ah ! Je sens ton gland qui écrase mon utérus! Ooooooh chéri! Ta bite est extraordinaire, si grosse et si longue
j'adore! Tu ne le sais pas mais cest le plus merveilleux des cadeaux que tu ne mais jamais offert.
Jai des orgasmes si rapprochés que je ne touche plus terre. Je n'ai jamais vécu ça avec un autre !
A mon âge, je découvre pour la première fois ce quest le vrai plaisir, cest irréel!!! Dommage de connaître ça si tard !
Et le fait que ce soit dans les bras de mon beau-fils ? On dirait qu'il est inépuisable, sa vitalité de jeune amant et son rostre imposant font le reste. Je suis délicieusement épuisée tellement jai joui.
Je cède ma place à Julie qui simpatiente et elle a tôt fait de le remettre en condition pour une nouvelle partie de jambes en lair.
Il est costaud le blanc-bec, il nous faut presque une demi-heure pour arriver à lui soutirer sa 3ème éjaculation, toujours aussi copieuse et il en redemande.
La suite au prochain épisode.
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