Antoinette La Brune Aux Gros Seins - Dévergondages 13
ANTOINETTE LA BRUNE AUX GROS SEINS - Dévergondages 13
Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines dune société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile sest laissée embrasser par son hôte. Victime dun chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
De quelle adresse une femme na-t-elle pas besoin pour faire quon lui dérobe
ce quelle brûle daccorder ! (Jean-Jacques Rousseau)
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes dun restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour quelle puisse y ranger ses tenues affriolantes. Cest dans ce lieu surprenant quil la prend en photo dans des poses plus quosée et quil la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans quelle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsquelle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud dune taille supérieure dans lanus. Puis, Edmond oblige Odile à sexhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons dun parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font lamour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne
La journée se passe à faire lamour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.
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Lorsque Odile rentre chez elle le soir, elle est surprise de ne pas voir la voiture de sa fille qui devait revenir de bonne heure. En fait, elle trouve un mot de Muriel dans la cuisine, prévenant ses parents quelle sen va avec des amis à une soirée qui nétait pas prévue et quelle restera chez une de ses copines pour passer la nuit. La belle mature est soulagée de navoir pas à sexpliquer avec sa fille sur la rencontre imprévue du déjeuner et surtout de ne pas avoir à supporter son regard. Cependant, elle soupçonne que sa fille na pas voulu non plus se trouver face à sa mère, certainement gênée de lavoir vu en mini-jupe, tenue inhabituelle de sa mère, mais surtout de la voir en compagnie de ce vieux Monsieur, alors quelle portait un corsage transparent, et que ses seins étaient par trop visibles, car non recouverts dun soutien-gorge.
Odile se prépare à passer une mauvaise soirée, son mari étant aussi absent, car il est dastreinte pour la nuit pour son entreprise de transport. Elle laisse donc son esprit vagabonder, évaluant ce quelle est en train de devenir sous la domination érotique dEdmond Gardel, le notaire qui la piégée, ça, elle en est maintenant persuadée ! Pourtant, elle narrive pas à lui en vouloir, il a tellement changé sa vie et surtout, il lui a fait découvrir des sensations dont elle ne peut plus se passer. Elle a découvert jouissance et orgasme, choses quelle navait jamais éprouvées. Elle prend même du plaisir à faire lamour avec son mari, ce qui ne lui était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage. Il y a quelques jours, il la même sodomisée pour la première fois de sa vie et après les premières douleurs insupportables, elle a été heureuse de lui offrir son cul ! Incroyable quelle puisse prononcer ce mot, même dans son subconscient.
À cette évocation, elle se sent fondre, son bas-ventre tressaute de lui-même et nen pouvant plus du désir qui la prend toute entière, elle arrache son pantalon de tailleur et son shorty, puis, plonge une main sur son pubis, crispant ses doigts sur la toison, écartant les poils des grandes lèvres, tout en caressant les chairs suintantes de mouille. Elle se masturbe avec frénésie, rêvant de la chatte certainement broussailleuse de la très brune Antoinette, brûlant de lenvie de goûter de sa langue les chairs intimes de sa collègue. Elle sait quelle vend son âme au Diable, mais les envies charnelles quelle ne peut plus ignorer et surtout éviter, la rendent folle. Elle sécroule sur le tapis de son salon, à genoux, les jambes écartées et les mains enfouies au plus profond de sa moule, dans les spasmes dun orgasme dévastateur qui la laisse anéantie.
Lorsquelle reprend conscience, des minutes plus tard, elle a honte de son comportement et des songes diaboliques qui la taraudent à présent trop souvent. Comme elle est seule ce soir et que cette nuit son mari ne rentre pas, elle ose prendre son téléphone et appelle Antoinette sur son portable. Elle sait que celle-ci vient de divorcer, quelle na pas d et quelle nest pas trop attirée par la gent masculine dans linstant présent.
- Allo Antoinette ? Je ne te dérange pas ?
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- Non, j ai repensé à notre conversation, je suis seule ce soir, veux-tu que nous dinions ensemble ?
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- Oui ! Je te remercie, jai un peu de vague à lâme et cela me fera du bien de discuter avec toi.
Odile se sent fébrile, elle va dans la salle de bains, prend rapidement une douche, elle se recoiffe et passe un corset rouge un peu coquin qui laisse la moitié de ses seins à lair ; comme il fait aussi porte jarretelles, elle enfile une paire de bas fins fumés quelle attache aux bretelles noires du corset. Elle ne met pas de culotte, voulant se faire la plus salope possible. Une jupe blanche, assez ample qui lui arrive aux genoux et un top noir très décolleté pour que lon voit la naissance de sa poitrine. Elle a donné rendez-vous à la belle brune dans un petit caboulot près des quais, pas très loin de la garçonnière quEdmond a mise à sa disposition. On ne sait jamais, même si elle nose penser pouvoir entraîner sa jeune collègue à des amours interdites !.........
Il est à peine vingt et une heures quand elle pénètre dans le bistrot à latmosphère feutrée. Antoinette est déjà là, dans un petit recoin discret, où il y a une minuscule banquette dangle. La brune est en minijupe de cuir noir, et arbore un chemisier presque transparent où ses lourdes mamelles attirent le regard. Odile a très chaud dun seul coup, elle se glisse sur la banquette et prenant dans ses bras sa collègue, elle lembrasse sur les joues comme à son habitude, même si lenvie est présente de lui prendre sa bouche. Odile, attirée par les gros nichons de sa compagne, effleure inopinément le chemisier flottant, se troublant davoir senti le renflement prononcé dun sein.
Elles se serrent lune contre lautre et se ont des confidences à voix basse. On pourrait croire ainsi quelles sont plus proches charnellement quil est convenable. Dun seul coup, elles sont interrompues par le « Hum » que le garçon de salle qui vient prendre la commande a lâché, ne se sentant absolument pas gêné. Il est vrai que notre époque voit de plus en plus de couples homosexuels des deux sexes et cela ne choque plus guère. Les deux femmes consultent rapidement la carte et commandent deux salades avec une bouteille de Sauvignon fraiche, en espérant, du moins pour Odile que le vin va faire tomber ses inhibitions.
La brune qui na que trente-quatre ans, avoue que le mec avec lequel elle sest mariée, amoureuse à vingt-deux ans, la déçue sur la longueur de leur relation. Rapidement après les premiers mois de leur union, il est retourné voir ses copains dune équipe sportive de vélo, puis les soirées de foot entre potes et petit à petit, il ne sest plus intéressé à sa femme, ne lui faisant lamour que deux ou trois fois par mois. Antoinette a bien pensé prendre un amant au bout de douze ans de mariage. En fait, elle a préféré divorcer il y a trois mois et mettre en stand-by une rencontre avec un autre homme, de peur de se retrouver dans la même situation. Elle na aucune tendance lesbienne, mais elle a eu des copines avec lesquelles elle a couché au Lycée et elle avoue quOdile lattirait depuis longtemps au boulot. Alors pourquoi pas se connaître un peu mieux, pour voir ! Tout en finissant leur dîner, elles se sont emmêlées leurs mains, se les embrassant tout en devisant et en se regardant dans les yeux. Antoinette soudain, questionne Odile, la plus âgée des deux ?
- Alors chérie, puisque ton mari ne rentre pas cette nuit, tu veux venir chez moi ou tu as une autre idée
- À trois cents mètres, jai lappartement que mon coquin dEdmond a mis à ma disposition, tu veux que nous y allions ?
Allons-y vite, jai envie de te voir nue, nous pourrions faire pleins de cochonneries ma belle, tu ne crois pas ?
Odile rougit comme une collégienne, ne sachant si elle sera capable de se dénuder comme le souhaite sa collègue. Elle a limpression dêtre dépassée par les évènements. Les deux donzelles payent bien vite leur écot et filent vers le baisodrome qui les attend. En montant lescalier, ayant mis Antoinette devant elle, Odile ne peut quadmirer les jambe parfaites et les cuisses musclées de sa compagne, mais surtout elle est scotchée par les fesses rebondies quelle admire tout en montant les marches, découvrant ainsi une moule cuivrée et garnie dune forêt brune. La coquine non plus na pas mis de culotte. Elle ne peut sempêcher dêtre tentée de la prendre entre ses lèvres. Se reprenant, Odile se relève et entraine sa jeune collègue vers la porte du loft coquin quelle ouvre rapidement. La porte refermée, Antoinette, plus hardie, ne laisse pas Odile respirer. Elle lenlace et lui prend les lèvres dans un baiser passionné. Odile fond sous le patin que lui octroie sa jeune collègue. Bien que se disant que cest mal de se laisser entrainer dans des amours défendues, elle laisse la langue de la jolie brune aller chercher la sienne, et elle gémit, lorsque sa compagne caresse un sein quelle a sorti du corset en glissant sa main sous le top.
Maladroitement, elle ose caresser la poitrine qui déborde du corsage, osant même sortir une mamelle énorme quelle malaxe avec douceur. Elle se risque à prendre le mamelon entre ses lèvres, bécotant le renflement avant de lécher le téton saillant et de le sucer en laspirant. Antoinette, est parvenue à lui ôter son top, et abaissant le haut du corsage dOdile, elle saisit les tétons entre ses doigts et, progressivement, elle les pince jusquà ce que sa compagne pousse un feulement de douleur, mordant même jusquau sang le téton quelle tenait entre ses lèvres. Se redressant, les deux femmes sembrassent à nouveau. Leurs mains ne tardent pas à se glisser sous les jupes. Elles ont chacune lentrejambe nue et les doigts se glissent dans les chattes déjà détrempées. Elles ont envie aussi bien lune que lautre et cest à moitié dépoitraillées et retroussées quelle se couchent sur le grand lit rond. Antoinette avoue à sa compagne quelle a envie de la manger toute crue.
Les deux femmes se déshabillent en un tour de main. Antoinette est immédiatement nue comme au premier jour, exposant ses seins imposants et un cul de déesse, ainsi quune toison luxuriante dun noir de jais sur laquelle une fente rouge vif se détache et attire le regard. Odile reste en bas avec son corset rouge qui met en valeur sa vulve couronnée dune toison blonde clairsemée. Antoinette lenlace à nouveau et sort entièrement les mignons nénés de la coque du corset, les suçant aussitôt, mordillant les tétons, les allongeant en les tirant avec les dents, faisant défaillir la belle mature. Celle-ci, qui caressait les mamelles de la jeune brune, sempare aussi des gros tétons avec ses doigts et les pincent longuement à son tour, si fortement, que sa compagne pousse un hurlement sous la douleur et le plaisir quelle ressent. Les deux femmes sembrassent comme des goulues, entremêlant leurs jambes et se frottant leur entrecuisse, enlacées étroitement dans leur folie amoureuse.
Odile a une furieuse envie de toucher et dembrasser lintimité de sa collègue, aussi elle se laisse glisser jusquau ventre légèrement rebondi tout en lui appliquant de petits bécots, puis elle atteint le pubis et sa toison épaisse et très fournie de poils bruns. La jeune femme écarte son entrecuisse pour que la tête de la mature blonde puisse sy aventurer. Odile lèche et hume les chairs intimes qui dégoulinent de la liqueur vaginale. Elle est étonnée de trouver des chairs si foncées et fortement odorantes, alors quelle, avec sa peau si blanche presque diaphane, possède une vulve à peine colorée, devenant tout de même orangée sous lexcitation. Senhardissant, la belle bourgeoise aventure sa langue dans le sillon profond, léchant les chairs intimes de la belle brune qui soffre avec volupté à la caresse linguale qui la fait frémir de tout son être. Surtout lorsque la blonde prend entre ses lèvres lénorme clitoris sorti de son capuchon, le suce, le mordille, entrainant Antoinette dans un délire et un orgasme incroyable.
À son tour, Odile se prête aux lèvres et aux mains de sa compagne qui lui rend le même traitement quelle vient de recevoir, Antoinette la doigte, comme la fait Edmond mais avec plus dhabileté, déclenchant encore une fois, les jets de sa jouissance de femme-fontaine. Épuisée, Odile se repose, alors quAntoinette lessuie, avec un drap de bains quelle est allée chercher dans la salle de bains. Intriguée par le bouchon dacier qui obstrue la rosette anale dOdile, elle ne peut sempêcher de la questionner.
- Tu as quelque chose entre tes fesses ma chérie qui mintrigue ?
Odile est à présent à laise avec cet olisbos, le plus gros quelle porte en permanence, sauf chez elle, et encore
. Car elle sait quEdmond va un jour la prendre dans son anus et quil aura du mal à fourrer son gros sexe dans son cul si délicat.
- Tu sais, cest Edmond qui me dilate progressivement lanus avec ce rosebud pour quil puisse menculer lorsque je serai suffisamment élargie. Celui que je porte est très gros, mais veux-tu essayer avec le plus petit. Jai lhabitude à présent et je serai ravie de tinitier et de découvrir ton adorable lune, afin de pouvoir explorer ton anneau de Vénus.
Antoinette embrasse langoureusement sa compagne et lui souffle à loreille quelle veut bien faire toutes les cochonneries quelle voudra. Si elle na jamais voulu goûter à la sodomisation avec son homme, elle meure denvie dessayer avec sa complice en amours lesbiennes. Odile va chercher dans la salle de bains la boite aux rosebud et le gel émollient, afin de faciliter la pénétration. Elle fait allonger Antoinette sur le lit, et lui met un gros coussin sous le ventre afin que les fesses soient rehaussées. Elle lui demande de disjoindre les cuisses le plus possible, puis, elle écarte les fesses dodues de ses deux mains et contemple avec ravissement lentrecuisse de sa compagne. La vulve, après tous les attouchements de la soirée est largement ouverte alors que les chairs violacées palpitent dexcitation. Tout est humide et Odile ne peut sempêcher de lécher le suc délicieux qui sécoule du vagin, dans lequel elle pointe sa langue le plus loin possible. Mais son attention est aussi attirée par lil de bronze, plissé et entouré dune couronne de poils noirs, objet de son désir. Elle se met un peu de gel sur lindex et lapplique sur la rosette qui fronce en se contractant sous le doigt qui en fait le tour en appuyant légèrement. La chair palpite lorsque le doigt senfonce doucement dans le sphincter qui se resserre étroitement, lorsque Odile le fait pénétrer dans le goulet étroit jusquau plus profond de lintimité rectale de sa proie, ce qui lui fait pousser un gémissement de surprise.
Pourtant, elle pousse sa croupe au-devant du doigt qui la perfore, attendant plus sans aucun doute. Odile sest bien rendu compte que la jeune femme prend du plaisir, aussi, elle enduit le plus petit des rosebud avec le gel, puis, elle le présente devant lillet à peine dilaté par son doigt. La pointe dacier perfore doucement les chairs du cul inviolé. Odile sens son jus couler entre ses cuisses, tellement cette situation est excitante pour elle, se rappelant que lorsquEdmond la introduit pour la première fois, il devait prendre autant de joie à voir son cul se dilater quelle en prend elle à voir lengin en acier se glisser dans lorifice anal qui souvre sous la pression continu du rosebud. Jusquà ce que dans un « flop » il se retrouve à lintérieur, arrêté par le large aplat qui lui permet de ne pas sortir inopinément, ni non plus, de se perdre dans le cratère anal. Odile, tout en faisant aller et venir lolisbos dans le cul dAntoinette, lui bouffe sa chatte qui dégouline sans discontinuer
..
La jeune brune plantureuse et la fine mature blonde saiment ainsi une bonne partie de la nuit. Antoinette, après un copieux petit-déjeuner, part de bonne heure pour aller se changer chez elle avant daller travailler. Odile, nayant pas à revenir chez elle, puisque sa fille a découché et que son mari est toujours dastreinte, elle profite de la garde-robe éclectique quelle a rassemblé et revêt comme à son habitude pour aller au bureau, un ensemble tailleur-pantalon très strict. Comment pourrait-on reconnaître la cavale de cette nuit damour féminin !...............
À suivre
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