Ma Femme, Son Boss Et Un Pantalon Cuir
Mon épouse, Emeline, avait récemment changé de service. Une belle promotion, depuis le temps qu'elle souhaitait passer dans le service commercial, elle était folle de joie.
Son service était quasi exclusivement féminin. Elle me confiait que ses collègues était plutôt sympa mais assez superficielles. Cependant, je voyais bien un changement dans son attitude et dans ses tenues. Que se passait-il ? Elle me rassura vite en m'expliquant que son nouveau job lui faisant rencontrer du public elle se devait d'être toujours bien mise sur elle.
Les mois avançant, les jupes se raccourcissaient, les décolletés plus plongeants. Nous passions beaucoup de temps à faire les magasins, elle me sollicitait beaucoup sur ses tenues. Et finalement chose étonnante, elle porta de plus en plus souvent du cuir. Elle connaissait mes goûts pour cette matière que je trouvais un peu connoté et si je m'étonnais de ce revirement de situation sachant qu'elle-même trouvait le cuir un peu trop sexy pour le boulot.
Tout d'abord ce fut des petites vestes cintrées qu'elle accumulait, un pantalon en cuir marron très près du corps qu'elle décida de s'acheter puis elle finit par sortir un beau jour au bureau dans une mini-jupe en cuir rosé. Je la regardais partir avec envie. Ses jolies fesses moulées dans cette mini, montée sur des escarpins, ses deux beaux seins difficilement contenus dans un T-shirt décolleté. Emeline, ma jolie métisse était vraiment super sexy. Le soir, je la baisais comme un sauvage et elle généralement si tendre dans ces moments finit par se mettre un doigt dans le cul tellement elle était excitée.
Quelques semaines après ce jour béni, elle me confia que ses collègues l'avaient un peu taquiné sur sa tenue : « Toi, tu cherches à te faire remarquer d'Olivier ». Olivier, c'était leurs boss. Beau mec d'une quarantaine un peu bedonnante qui n'était présent sur leur site que deux jours par mois.
Les semaines s'étaient écoulées ainsi avec des petites moqueries.
« Il a passé la journée à te mater » lui confia-t-elle. « Si tu veux, tu es totalement son style ».
- C'est-à-dire
- T'as l'ai chaude
- N'importe quoi
- Ben comme tu veux, mais comment tu crois que les primes se négocient ici. Penses y
Elle se renseigna et plusieurs témoignages concordaient, la promotion canapé était de mise dans ce service.
Elle me raconta cette histoire pour me demander ce que je pensais. Elle me dit qu'elle serait déçue de ne pas avoir sa prime alors qu'elle s'est démené pour ce job.
Je m'entendis lui répondre « Ecoute, tu t'habilles sexy quand il vient. Si ça lui fait de l'effet, ça suffira »
- Et si ça ne suffit pas
- On réfléchira le moment venu
La semaine suivante, Olivier était donc de passage. Emeline me demanda mon avis sur sa tenue. Je lui conseilla la même jupe mais finalement elle opta pour un pantalon en cuir noir très moulant
Un peu style biker, slim assez brillant avec des zips sur les poches arrières qui attiraient immédiatement le regard sur son cul. Le cuir était très fin et laissait presque deviner son string. C'était vraiment son pantalon cuir le plus sexy. Pour le haut, un T-Shirt décolleté qui moulait un peu trop son ventre, mais elle voulait mettre en valeur sa poitrine.
Elle enfila des talons hauts et partit en embrassant sur la bouche en me rassurant « je t'appelle ». Moi je voulais surtout la baiser dans cette tenue.
Arrivée au bureau, les petites moqueries recommencèrent :
- Y'en a qui veulent de la promo ?
- T'as un entretien privé avec Olivier ?
- Tu t'es déguisé en cochonne
Emeline riait de cela avec ses collègues qui n'étaient pas en reste sur les tenues et les décolletés plongeant. Toute l'équipe s'était mise au diapason.
La journée commençait par une réunion.
En fait, elle était excitée m'avoua-t-elle. La réunion se termina et elle se précipita au toilettes pour se masser un peu le clito qui à travers le cuir. N'y tenant plus, elle baissa son pantalon et se doigta.
En fait d'après-midi, elle fut convoqué pour son point individuel avec son boss. L'assistante, Sabrina était présente également.
La discussion fut franche. « Très intéressante la réunion de ce matin n'est-ce pas ? »
Que devait répondre Emeline ? Elle ne savait pas trop, elle décida de jouer la provocation : « oui j'ai adoré »
La situation devint étrange
- Cela ne te dérange pas si Sabrina s'assoit à côté de moi pendant qu'on discute
- Non, elle est libre
Sabrina s'assit juste à côté du boss qui commença à la peloter et à lui remonter la jupe.
- Cela non plus, ça ne te dérange pas
- Visiblement, tu aimes caresser quelque chose quand tu bosses
- C'est vrai, pourquoi est-ce que je ne te caresserais pas toi aussi pendant qu'on bosse ?
- Je ne sais pas trop dit-elle en se tortillant dans son pantalon trop serré
- Tu savais ce matin non ? Il me semble que tu es une femme qui sait ce qu'elle veut, et moi j'aimerais caresser ton petit cul moulé dans ton cuir pendant qu'on discute boulot.
Elle ne savait pas pourquoi, mais elle se leva comme téléguidée et vint se placer à côté d'Olivier. Il lui pelota les cuisses, puis remonta aux fesses. Son cuir crissait sous ses assauts. Il remonta sur ses seins, elle se laissa faire. Il lui prit tout à coup la bouche, et elle se laissa embrasser violemment.
« Suce-moi » lui intima-t-il. A ce moment mon épouse aurait pu réfléchir, mais non elle fila entre ses jambes et lui pris la bite à pleine bouche pendant un bon moment.
Quand elle fut fatiguée, elle releva la tête mais Sabrina lui empoigna les cheveux et lui fit reprendre sa fellation version gorge profonde.
Emeline était surexcitée. Elle se caressait le clito à travers le cuir en appuyant sur la couture.
Soudain, Olivier se retira. « Tu dois être trempée »
Emeline répondit que oui.
« Vas échanger tes sous-vêtements avec Sabrina ». Ma femme fit mine de protester mais déjà Sabrina l'emmenait dans les toilettes.
Sabrina faisait un 36 avec des petits seins quand mon épouse portait un 40 et une poitrine généreuse d'un bon 95C
Les deux filles entrèrent dans le cabine de toilettes, Sabrina retira sa robe et aida Emeline à descendre son cuir.
Sabrina portait des dessous roses flashy quand Emeline portait des dessous léopard du plus bel effet assorti d'un string. Elles échangèrent les sous-vêtements, les seins d'Emeline débordant, les deux strings étaient aussi trempés l'un que l'autre. Soudain Sabrina empoigna le sein d'Emeline pour lui sucer. N'en pouvant plus, les deux filles se roulèrent une énorme pelle.
Sabrina l'arrêta : « Il va nous attendre ».
Les filles retraversèrent le bureau, mon épouse sentait le string rose de Sabrina la pénétrer, ses fesses roulaient sous le cuir, ses seins débordaient presque du T-shirt. Une vraie salope.
Quand elles rentrèrent dans le bureau, Olivier les attendait. Ils filèrent sur le canapé et les filles se joignirent pour le sucer. Les mains de Sabrina filaient régulièrement sur les fesses cuirées de ma femme qui adorait cela. Le string rose débordait du pantalon en cuir et entrait dans la chaire de ses hanches.
Olivier ordonna à Emeline « Mets moi un doigt dans le cul, salope ». Emeline hésita un court instant, puis mouilla son majeur avec sa langue et l'inséra dans l'anus de son boss.
Tout à coup des soubresauts dans ses reins indiqués qu'il allait jouir. Sabrina l'engloutit et pris le sperme dans sa bouche mais il gicla également sur ma femme.
Oliver se leva puis leur dit « léchez-vous un peu, je viens m'occuper de vous » . Mon épouse n'avait jamais eu d'expérience homo jusque-là mais il était dit que c'était un jour à part.
Alors elles se déshabillèrent et commencèrent un joli 69. Au bout d'un moment, Olivier revint à la charge. Il pénétra d'abord Sabrina, puis vint sur ma femme en écartant doucement le string.
Sabrina se retira, et Emeline put chevaucher son boss.
Olivier se retourna sur Sabrina et lui dit « Prépare lui le cul, je vais la sodomisé ».
Une légère protestation d'Emeline fut vite interrompu par un langue experte posée sur son anus. Sabrina commença ensuite par entrer un doigt puis deux puis elle dite à ma femme « continue toi-même, j'ai envie qu'il me lèche ».
Se sentant vide, ma gentille épouse s'inséra trois doigts dans l'anus et après un court instant réclama à son chef « Je veux ta bite dans mon cul »
Bien sûr il ne se fit pas prier
Elle cria « Continue pousse à fond »
Il poussa à fond et il la pilonna. Elle en redemandait « Vas-y encule moi » en hurlant et en sachant que ses collègues entendez tout.
Sa chatte était trempée et elle eut tout à coup une violente décharge. Ma femme se fit fontaine
A suivre
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