Une Grosse Surprise
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Notre couple fonctionne bien et nous sommes caudauliste depuis de nombreuses années. Ma Nicole a 49 ans et moi 56 ; elle a une fille de 29 ans que nous voyons de temps en temps, mais javoue peu connaitre sa vie en dehors de la famille et sa mère en parle peu.
Les grandes vacances ont été loccasion de la recevoir et je dois dire que jai découvert une jeune femme très cultivée, agréable à côtoyer et qui plus est avec un très joli corps ; très souvent jai pu ladmirer lors de nos séances autour de la piscine, dautant plus quaprès quelques jours, elle a quitté son maillot, sans doute parce que nous étions nus nous aussi. Mais jamais aucune conversation sur sa vie privée ; javoue que jignorais si elle avait un compagnon. Afin de satisfaire ma curiosité je me suis décidé à en parler à Nicole et cest ainsi que jai appris quelle avait une amie avec qui elle vivait depuis trois ans le sujet en serais resté là si Béatrice (cest son nom) ne mavait demandé de me parler. Un peu surpris je lui proposais de nous retrouver laprès-midi, moment où je savais être seul.
A son arrivée, jai pu constater quelle était tendue ; le sujet devait être un peu plus sérieux que je ne le prévoyais.
« Jai un grand service à te demander
promets-moi de me laisser aller jusquau bout
. »
« Pas de problème, mais jespère que cela nest pas trop grave »
« Non
.simplement un peu délicat pour moi « un grand silence je la laisse prendre son élan
« Voilà, tu sais que je vis avec une jeune femme que jaime ; maman ten a parlé je le sais par contre, ce que tu ne sais pas cest que nous avons envie davoir un , mais jai du mal à accepter ladoption. Jaimerais que cet soit de moi. Tu vas me dire que cela ne pose pas de problème, il suffit que je me trouve un homme pour le faire, le seul problème, cest que je ne veux pas moffrir à nimporte qui « je suis surpris de la tournure de la conversation et jai peur de découvrir la suite
« Ou veux-tu en venir ? » À nouveau grand silence puis elle se lance
« Jaimerais que ce soit toi qui me féconde « le coup de bâton !
« Je ne pense pas que ce soit une bonne solution et de plus jaime ta mère et je ne voudrais briser notre couple en faisant lamour avec toi » et à nouveau un coup de bâton
« Elle est au courant et elle est daccord ; tu me fécondes et cela simplement »
Je ne sais plus que répondre et afin de retrouver mes esprits je rentre à la maison non sans lui avoir dit que jallais en parler avec sa mère.
« Accepte et je crois que cela fera plaisir à tout le monde »
Je reste sans voix et je décide de prendre du recul et de réfléchir à cette proposition des plus singulières. Personne ne men reparle pendant trois jours. Cest devant lapéro que je fais ma proposition :
« je comprends ton désir de te faire féconder sans risque pour lavenir de ton , mais je pense quil est dangereux que je sois le géniteur ; par contre comme sans doute ta mère te la dit, nous avons des amants lors de nos jeux souvent à trois et je te propose dorganiser une soirée, à la date qui sera la bonne pour ta fécondation avec deux amis et moi ; eux ne saurons pas le but de cette soirée et toi tu seras assurée dêtre engrosser en toute sécurité ; car personne ne pourra dire, même pas moi quil est le futur père. Une seule question : as-tu déjà eu des rapports avec un homme ?»
« Oui avant de découvrir que jaimais les femmes ; maman a dû ten parler je pense « je regarde Nicole et je constate quelle semble un peu gênée et je pense quil va falloir en parler entre nous.
« Alors que penses-tu de ma proposition »
« Laisse-moi y réfléchir ; je te donne ma réponse demain ! »
Le soir venu, allongé nu sur le lit, jattends que Nicole arrive, car si jai bien compris elle ne ma pas tout dit sur les relations de sa fille ; quand elle arrive je constate quelle a décidé de passer plutôt par le sexe que par la discussion ; effet elle a revêtu un très joli déshabillé, noir et transparent, ce qui nest le cas que lorsquelle a de grosses envies. Malgré ses approches, je restais de marbre :
« Je crois que tu me dois quelques explications ! » elle referme sur elle le vêtement et elle sassoie sur le lit, les bras croisés sur ses genoux.
« cétait avant de te connaitre, bien avant ; Béa avait 18 ans et à cette époque elle avait un petit ami ; celui-ci plus vieux avait des vues sur moi et il ne manquait pas de me le faire savoir, par tous les moyens, nhésitant pas à me ploter, y compris en présence de Béa qui ne semblait pas gênée ; afin de le faire stopper ses avances, qui je dois le reconnaitre me procurer un certain plaisir (cétait un bel homme et à voir la bosse qui se formais parfois sous son short, il était bien membré), jai eu un entretien avec ma fille qui ma confirmer les envies de Mr à savoir me baiser, elle que cela ne la gênait pas car elle nétait pas amoureuse de lui ; simplement pour le plaisir ; cest alors quelle ma annoncé quen réalité, elle avait envie de faire lamour avec une femme. La suite, tu peux le deviner, jai cédé, en pensant quaprès il me laisserait tranquille ; là encore je me suis plantée car non seulement, il ma prise en plusieurs occasion, y compris en présence de ma fille ; il prenait un malin plaisir à lui faire voir mon plaisir lors de ses assauts ; de plus et en faisant des comparaisons avec les envies de ma fille. Je dois reconnaitre quil a su me faire jouir, me prenant plusieurs fois par jour, dans tous les endroits et dans toutes les positions ; il avait pris le contrôle de mon corps et je ne pouvais rien lui refuser.
Jusquau jour ou Béa ma appris quelle avait rompu suite à une rencontre avec une jeune institutrice et quelle était devenu non seulement sa maitresse, mais en plus quelles étaient folles amoureuses lune de lautre et que dorénavant, elles vivaient ensembles. Mr a bien essayer de me relancer, mais cest à cette époque que tu es entré dans ma vie et je ne lai plus jamais revu. Voilà tu sais tout. »
Si son récit me surprends, je nen bande pas moins et la renversant sur le lit, jécarte son déshabillé et sans préliminaire, je menfonce dune seule poussée ; sa chatte est pleine de cyprine et je nai aucun mal à lamener vers le plaisir ; je suis surpris de la rapidité de sa jouissance et jen déduis que son récit a dû réveiller de bons souvenirs.
Le lendemain matin, Béa les traits tirés, elle a très mal dormi, arrive au petit déjeuné et me regardant droit dans les yeux elle me donne son accord pour lorganisation de sa soirée.
« Voilà ce que je te propose : une soirée à trois, rien que pour toi ; ils sont sains, je les connais bien, et pour eux tu ne seras quune de mes conquêtes ; ils sont habitués à nos jeux sexuels ; par contre ils ne sauront rien de toi, donc pas de problème pour lavenir ; si cela marche, ton sera aussi notre petit, à ta mère et à moi ; cela fait longtemps que ta mère attend dêtre grand-mère. Cependant par respect envers mes amis, tu dois savoir que ta soirée sera très chargée, et pour être très clair, attends toi à être baisée plusieurs fois ; ce sont de bons pointeurs et je te promets que ce nest pas le sperme qui va te manquer ; toujours daccord ? »
Son visage est rouge, et les yeux baissés elle accepte dun petit oui ; sur ses entrefaites sa mère arrive et la prenant dans ses bras, elle lui fait un gros bisou sur les lèvres (tiens encore une nouveauté) et lui chuchote : » jaimerais bien être à ta place » ; ce nest pas tombé dans loreille dun sourd.
Afin de ne pas faire de relation avec notre foyer, jai proposé à un ami de nous recevoir chez lui, lui décrivant « ma conquête » et son envie de se faire prendre par plusieurs hommes. Bien entendu, il a accepté et cest sans aucune difficulté que jai trouvé le troisième. Les deux sont biens montés et de plus ils savent mener une femme à la jouissance, tout en ayant une grande rapidité pour rebander après avoir jouit. À notre arrivée, nos deux compères ne peuvent sempêcher de siffler leur admiration ; il faut dire que sous un simple imper, elle ne porte que ses sous-vêtements, à savoir un string et un soutien seins, laissant apparaitre ses mamelons ; je ne sais si cest par appréhension ou par excitation, toujours est-il quils sont saillants, pointant au milieu dune corolle rouge.
Par prudence, je fixe les règles : pas de sodomie, pas déjaculation dans la bouche, par contre libre accès à sa chatte, sans réserve et autant de fois quils le veuillent, avec obligation de lui juter dans le con. Un peu surpris les compères, je dois le reconnaitre mais le fait quelle soit à leur disposition leur fait vite oublier les limites. Et ils attaquent sans ambages, lun lui caressant lentre jambe en écartant le bord du léger rempart, lautre la faisant mettre à genoux pour quelle embouche le membre tendu devant elle. Un regard désespéré vers moi, mais je ne bronche pas, bien au contraire je viens lui triturer les pointes déjà saillantes et elle ne peut retenir un gémissement malgré la queue qui lui emplie la bouche. Profitant de la position, Paul présente son sexe bandé à lentrée de la grotte longtemps abandonnée par un sexe masculin et quand dune seule poussée, il la pénètre elle quitte le mandrin quelle suçait pour laisser échapper un cri de douleur ; il faut dire que le pieu est puissant, gros et le gland volumineux lui écarte sans pitié les lèvres, puis se retirant il senfonce à nouveau, jusquà la garde ses couilles venant taper contre le fessier perforé ; lagrippant par les hanches, il se déchaine, la limant puissamment alors que jean lui tiens la tête la forçant à le sucer ; à coté je ne peux mempêcher de bander même si je pense que pour elle la soirée va être difficile car je connais bien les deux lascars. Et la suite devait me le confirmer.
Soudain jean se cabre « putain je vais lui remplir la moule » s enfonçant le plus possible , il libère sa semence, sans savoir que peut-être il vient de la féconder, puisquelle est en période fertile ; à peine sorti , il est remplacé par Paul qui frustré de navoir pu lui remplir la bouche se venge sur sa chatte ; il faut dire que graissé par la semence précédente, il senfonce sans difficulté et il la baise sauvagement, la traitant de petite salope, bonne à se faire remplir ; bizarrement, elle ne se braque pas, je dirais même que son plaisir du sexe dhomme remonte à la sur face car à chaque fois que Paul se retire, elle recule son fessier à la rencontre du membre ; à mon tout je lui donne ma queue à sucer et cest avec n grand sourire quelle me gobe, enfonçant le membre jusquaux couilles ; il mest bien difficile de me retenir et je dois parfois me retirer pour nr pas juter, moi aussi je tiens à lensemencer, même si mes germes sont moins vaillants sans doute que ceux de mes jeunes acolytes ; pendant ce temps Paul la pilonne sans pitié ; son bassin claque sur le fessier offert et elle a beaucoup de mal à tenir en place ; soudain il sarrête et l allongeant sur le sol, il lui remonte les jambes sur ses épaules et il lenfourche brusquement ; elle ne peut retenir un cri de surprise , mais sous les assauts de son amants elle commence à gémir, non pas de douleur mais de plaisir ; ses yeux se révulsent et sa jouissance éclate, puissante, retenue depuis des années son plaisirs du male est de retour et quand à son tour ,il éjacule elle le retient dans son ventre, secouée par les spasmes du plaisir. Enfin il se retire, et la semence sécoule entre ses cuisses.
Me tendant la main, elle mattire, « viens me faire jouir, jai envie de ta queue dans mon ventre que tu as fait revivre » : écartant ses cuisses elle moffre sa chatte béante et ma queue na aucune difficulté à la pénétrer ; contrairement aux deux autres pénétrations, elle moffre ses lèvres pour un baser langoureux ; mais mon excitation est trop grande pour que je puisse me retenir et à mon tour je la féconde à grands jets.
Pour elle la soirée nest pas terminée et cest elle sera encore saillie deux fois par chacun de ses amants dun soir, et cest épuisée quelle remonte en voiture vers notre maison. Alors que nous arrivons devant la grille, elle pose sa main sur le mienne : « merci pour cette soirée jespère être pleine dun de mes amants, peut-être de toi ; de toute façon tu mas permis de retrouver le plaisir du mâle et si je suis toujours amoureuse de mon amie et que jai toujours envie de vivre avec elle, je pense e que jaurais à nouveau envie parfois dun homme ; et pourquoi pas toi car jai envie de te retrouver si Maman est daccord » et cest par un langoureux baiser quelle ne quitte.
Quand je rentre dans le salon les deux femmes sembrassent et jentends ma femme lui dire »jespère que ce soir , tes males ont pu tengrosser et nous serons heureux davoir un petit dans notre famille ; je taime « .
Il y aura sans aucun doute une conversation entre nous et une suite à cette folle soirée.
9 mois plus tard, elle accouchait dun superbe bébé, un sexe entre les jambes et me regardant droit dans les yeux Béa me dit « jespère quil saura sen servi aussi bien que son grand père. La famille sest agrandi donc et son amie est souvent venue à la maison, sans aucune agressivité ; et ma belle-fille est restée une amante intermittente.
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