Chevalier Sans Peur Mais Pas Sans Reproches : La Comtesse De Chaudefesses
Théobald est un preux chevalier vaillant au combat et toujours prêt à défendre la veuve et l'orphelin. En cela sa réputation n'est plus à faire et nombreux sont les comtes, vicomtes, ducs, archiducs, princes et même rois qui lui sont redevables. Combien de dragons a t'il occis, combien de sorciers a t'il trucidé, combien de traîtres a t'il confondus ? Nul ne le sait vraiment, lui même l'ignore car il se contrefiche de tenir une quelconque comptabilité. Auréolé de ses victoires, Théobald est admiré par tous. Admiré par tous et désiré par toutes !... Et c'est là que le bas blesse car voyez-vous si sa noble épée est louée, il n'en va pas toujours de même en ce qui concerne son noble vit.
Entre-elles les dames papotent et il se dit que le Chevalier théobald est aussi doué sous les draps qu'il ne l'est sur un champs de bataille. Ces commérages sont bien entendu arrivés aux oreilles des époux et jalousie aidant, Théobald fut surveillé et épié par tout ce que les royaumes comportent d'espions, sbires et chuchoteurs.
Les amis de Théobald le mirent à garde et le poussèrent à prendre épouse : cela permettraient selon eux, de calmer les ardeurs sexuelles du chevalier et d'amoindrir les soupçons des puissants. Mais pensez-vous que notre héros suivit de tels conseils ? Que nenni ! Non pas ! Et point du tout !!!
--- La Comtesse de Chaudefesses ---
En ce mois daoût, la chaleur étouffante était venue apporter son ardente participation aux célébrations qui avaient lieu au Castel de Croupaimable.
Depuis quelques mois sévissait dans la région un groupe de trolls : ceux-ci brigandaient voyageurs et colporteurs, ils pillaient les villages, détroussaient les paysans et troussaient leurs épouses, filles, surs ou même grands-mères ! Un mois d'hivers, alors que le gibier se faisait rare, ils avaient même dévoré le bedonnant bourgmestre du hameau de Mollebesogne ! Le bonhomme était certes appétissant avec son généreux embonpoint mais il y a des choses qui ne se font pas et la population du comté fut fort marri de cette affaire.
Les convives furent gâtées et choyées : baladins, danseuses, jongleurs, mages ou encore dresseur d'ours assuraient le spectacle ; Poulardes, gibier, charcutaille, légumes, fruits, vins ou encore alcools à foison remplissaient les ventres et flattaient les palais.
Théobald était bien entendu le centre dintérêt des convives et les damoiselles ou dames tout court n'avaient d'yeux que pour sa personne. La comtesse, au demeurant la plus belle femme à la ronde, couvait le Chevalier du regard et celui-ci n'étant pas né de la dernière pluie sentait qu'elle finirait certainement la soirée embrochée sur son vit qu'il sentait déjà tendu par l'idée.
Fort heureusement pour notre héros, Monsieur le Comte n'était pas homme à badiner sur la bouteille ! Non bien au contraire, il s'appliquait à remplir les verres et en particulier le sien ! Restait à trouver le moyen de détourner l'attention des hommes de main chargés de surveiller les éventuels désirs de libertinage de la Comtesse.
Le verbe haut, la chansonnette facile, les jambes aux velléités dansantes... L'ambiance était désormais emplie des effluves d'alcool. Profitant de cet état de fait, la Comtesse de Chaudefesses s'approcha nonchalamment de Théobald.
- Alors, mon cher Chevalier, heureux des réjouissances qui vous sont offertes ?
- Oh oui Comtesse, la table est splendide et le repas savoureux !
- J'ai entendu dire que vous étiez gourmand et que votre faim n'avait d'égale que votre vaillance au combat.
- Cela est d'autant plus vrai que m'est offert une si jolie nourriture ! Je n'ai pas encore tout goûté mais ma langue frétille quand japerçois moule si fraîche, abricot si juteux ou figue si fringuante.
- Certes, j'adore fréquenter les cuisines du Castel et concocter de bon petits plats : j'aime toucher, tâter, soupeser les ingrédients : prenez ses champignons par exemple, ils sont de ma préparation : je les ai équeutés, farcis puis fait sauter ! Avez-vous vous même des talents de cuisinier ?
- Pas vraiment, à part fourrer la dinde, je ne suis bon qu'à dévorer !
- Et qu'aimez-vous en particulier ?
- Des plaisirs simples comme croquer la pomme surtout quant elle a la chair tendre, j'avoue que je suis également friand de desserts : tremper le biscuit ou beurrer le mille-feuille sont des ravissements que j'apprécie. Et vous chère Comtesse quel est votre péché mignon ?
- Les sucreries comme les pralines par exemple, mais aussi sucer le berlingot, j'aime aussi des spécialités de la région comme le concombre galant, l'asperge d'édredon ou l'andouille à col roulé. Bien-entendu je ne rechigne pas à goûter toute sorte de sauce !
- Si vous aimez les spécialités régionales j'ai toujours dans mes bagages du saucisson de mon pays.
- Oh Théobald, vous me mettez l'eau à la bouche. Si j'osais je vous demanderais de vous accompagner jusqu'à vos appartements pour grignoter avec vous !
- Je suis tout aussi tenté que vous mais que pensera votre époux d'une telle escapade ?
- Oh ne vous en souciez pas, il préfère le vin à la chair et son maître espion à déjà goûté à une autre de mes spécialités culinaires aux qualités soporifiques remarquables : regardez-le dailleurs, là, affalé contre la cheminée, ronflant bruyamment !
- Alors c'est entendu Madame, rendez-vous dans ma chambre, pour le dessert j'ai prévu de la chantilly.
- Fort bien Chevalier j'apporterai du miel de ma création !
...
On dira ce qu'on voudra, rien de tel qu'une comtesse (qui du reste baise comme une reine) pour vous faire dresser l'étendard ! La noble dame semblait déjà gironde habillée avec sa belle poitrine et son port altier mais une fois à poil, c'est un magnifique paysage vallonné qui s'offre aux yeux de Théobald : les courbes y sont parfaites et le terrain est aussi doux qu'accueillant.
Le chevalier décide d'abord d'attaquer le poitrail en malaxant les seins puis tendrement il mitraille le cou de la belle par de nombreux baisers et léchouilles. Madame ferme les yeux et profite de l'instant, d'agréables frissons parcourent son corps tandis que Théobald lui mordille le lobe de l'oreille.
Notre héros a une vie de guerrier, de ce fait il possède un corps puissant et bien proportionné, la dame apprécie, cela lui change de la silhouette bedonnante du Comte ! Elle tâte avec délectation le contours des muscles saillants, elle caresse le torse, cajole les biceps, triceps et quadriceps !
Théobald se redresse alors et expose fièrement ses attributs : l'aristocrate est comblée, ses yeux pétillent de désir devant le service trois pièces de son amant.
Si les testicules de son mari lui faisaient penser à deux petites noisettes tombées au fond d'un misérable petit sac, les couilles du chevalier lui rappelaient celles d'un taureau : de dimension plus que respectables, elles semblaient à l'étroit dans leurs bourses tant la peau était tendue... Ceci augurait à n'en pas douter d'une sève de qualité et abondante. De ses mains avides elle soupesa les roustons puis remonta petit à petit vers l'objet principal de son désir.
La verge est chaude, extrêmement dure et particulièrement imposante. Jamais de sa vie la Comtesse n'avait vue pareille chose ! Elle se fit la réflexion que Théobald possédait peut être de géant !
Tandis que les mains de la Comtesse allaient et venaient le long du pieu, la noble minette désormais trempée était visitée par les doigts du chevalier. Le clitoris était tout dur et il n'était pas difficile de farfouiller dans la toison peu fournie afin de le débusquer.
Les deux amants, tendus à l'extrême par le désir bestial laissèrent les préliminaires pour s'adonner à la copulation : le chevalier voulait saillir sa jument, la Comtesse voulait se faire couvrir par l'étalon...
Comme un marteau-pilon le pénis allait et venait sans faiblir, le croupion de la dame frappait le pubis masculin faisant entrer en elle l'entièreté du gourdin.
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