Première Soirée Avec Stef Partie 1
Ma première expérience a eu lieu dans mon club de basket. Elle fut suffisamment marquante pour m'inciter à consigner le compte-rendu de mes expériences, afin de pouvoir les revivre en les lisant. Une fois par semaine, mon équipe s'entraînait en même temps que l'équipe de la catégorie supérieure dont les joueurs étaient plus âgés de 2 ou 3 ans. J'attendais ce jour avec beaucoup d'excitation car l'un des joueurs de cette équipe, nommé Stef, avait une queue énorme, magnifique et dépilée. Nous prenions nos douches ensemble dans deux vestiaires, celui dans lequel Stef pénétrait était souvent plus rempli que l'autre. Je ne devais pas être le seul à lui jeter des regards furtifs au moment de la douche.. difficile d'ignorer une si grosse. Il était beau et mince avec un corps finement musclé. Il avait un physique délicat qui aurait poussé certains à le désigner comme étant efféminé, si ce n'était la taille de son sexe. Il était discret et avait par ailleurs beaucoup de charisme et d'intelligence. Il était donc étrangement attirant. Bien que pour cette découverte sexuelle, la taille et la beauté de sa queue ait joué un rôle prédominant. Nous avions plus ou moins la même taille.
Un jour, après que Stef soit sorti de la douche et qu'il s'essuyait le visage, nous n'étions plus que quatre dans le vestiaire, j'ai tellement laissé traîner mon regard sur les balancements de sa grosse bite humide et brillante que j'ai eu un début d'érection. Malgré mes efforts pour la dissimuler, il l'a remarquée et a eu l'air légèrement embarrassé, mais il s'est mis à bander à son tour. Doucement, son prépuce glissait sur son gland sans l'exposer totalement. Sa queue en demi érection avait déjà des proportions impressionnantes. En faisant attention à ce que les deux autres joueurs présents ne remarquent rien, il a continué à s'essuyer sans rien dire et s'est rhabillé en veillant à manipuler sa queue à pleine main pour illustrer son poids en remettant son caleçon.
Quelques semaines après, sans que l'intention soit explicite, on s'est débrouillés pour se retrouver seuls chez lui. On y était revenus après un tournoi. J'allais dormir chez lui avec l'excuse de jouer à la console et d'aller jouer sur un terrain proche le lendemain matin. On s'est retrouvés dans sa chambre en début de soirée, après le repas. Ses parents venaient de sortir pour la soirée. Après avoir fumé un pétard et bu quelques shots de vodka d'une bouteille qu'il gardait cachée, on jouait en plaisantant lorsqu'il a proposé de mettre une cassette porno, et je n'ai présenté aucune objection. On s'est assis sur le bord de son lit et la vidéo a commencé sur une scène de fellation. J'ai bandé en un instant dans mon pantalon. Il s'est levé pour déboutonner son pantalon et l'abaisser jusqu'à ses chevilles en exposant son énorme queue dont la légère toison pubienne était taillée à ras et ses grosses couilles dépilées et imberbes. J'étais juste à côté de lui et voir sa bite d'aussi près était hypnotisant. Il s'est rassis et s'est laissé aller en arrière pour s'appuyer ses les coudes. Sa queue reposait sur son ventre et commençait à gonfler sous le flux de son érection, le prépuce laissant peu à peu apparaître son gros gland rond. Après quelques secondes, elle était arrivée en pleine érection et reposait toujours sur son ventre, la pointe arrivant au-delà de son nombril. Elle était énorme. Mes yeux ne la quittaient plus. Il l'a saisie à la base pour la redresser et me laisser le loisir de la contempler. Après quelques secondes, il a commencé à se branler lentement et j'ai ouvert mon pantalon pour me branler moi aussi, sauf que je ne regardais pas le film mais les mouvements amples de sa main sur sa grosse queue. Après ce qui devait être deux ou trois minutes, l'herbe et l'alcool aidant, j'ai demandé quel effet ça faisait de branler une aussi grosse bite.
Après un court moment, la télévision s'est éteinte. J'étais tellement absorbé par ce que je faisais que je ne l'avais pas vu prendre la télécommande. J'ai dû lâcher prise lorsqu'il s'est reculé dans le lit pour s'installer confortablement les jambes légèrement écartées, adossé contre ses oreillers et la tête de lit. Sa queue suivait le mouvement en tâchant de maintenir sa rigidité. J'ai enlevé mon pantalon et mon caleçon et je me suis approché pour m'installer à sa droite. En chemin, je n'ai pas pu résister à placer la main sur ses bourses rondes et fermes afin de les presser et de les masser. On aurait dit deux boules de pâte. Lorsque je suis arrivé à côté de lui, la main sur ses couilles, il avait éteint le plafonnier et allumé sa lampe de chevet. Tout se passait en silence et naturellement, je suivais irrésistiblement le mouvement, les mots étaient inutiles. Appuyé contre lui, la tête à hauteur de son épaule, j'ai lâché ses couilles pour recommencer à le branler. Sa queue était lourde et je prenais énormément de plaisir à la caresser. Je sentais des secousses provenir de la base lorsqu'il contractait son périnée. Je suis légèrement descendu dans le lit pour passer ma jambe droite au-dessus de la sienne, la tête appuyée sur son torse et il en a profité pour passer le bras derrière mon dos et poser la main sur mes fesses qu'il a commencé à peloter. J'étais irrésistiblement attiré vers sa queue, j'avais la bouche entrouverte et je salivais.
Au lieu de revenir en face de moi, il a récupéré le flacon de gel sur la table de nuit sans dire un mot et s'est placé derrière moi. Je me suis mis automatiquement à quatre pattes, impatient. J'étais euphorique grâce à l'herbe et à l'alcool et je souriais malgré moi à l'idée qu'il m'encule. Je m'étais souvent masturbé en m'enfonçant un gros manche de brosse et je pouvais anticiper la pénétration. J'ai senti un contact froid lorsqu'il a versé une pointe de gel entre mes fesses. Ses doigts sont à nouveau entrés en moi sans difficulté pour appliquer le lubrifiant. J'ai alors senti le poids de son membre reposer entre mes fesses. Je me suis appuyé sur les coudes sans savoir quelle position adopter en vue de ce qui allait suivre. Sa main gauche pressait ma fesse gauche tandis qu'il guidait son gland imposant contre mon anus. Il a alors fait pression pour l'y insérer. Il a fallu une minute pour que je me détende et que je le laisse entrer en douceur. Mon anus s'ouvrait petit à petit, malgré le gel, je ressentais une légère irritation que mon excitation permettait d'ignorer. Mes mains étaient crispées sur le drap. J'ai laissé échapper un soupir de soulagement et de plaisir lorsque je l'ai senti glisser en moi. Il avançait lentement et je sentais une pression importante dans mon ventre. Je pensais pouvoir l'accueillir entièrement mais j'ai dû l'interrompre en plaçant la main sur sa cuisse. J'avais besoin de laisser mon corps s'accoutumer. Il est resté immobile en moi un instant avant de commencer à effec lentement quelques mouvements d'aller-retour. Il a ensuite appliqué une touche de lubrifiant sur les bords de mon anus pour faciliter la pénétration. J'ai reposé mon torse sur le lit, la main gauche crispée sur le drap. Et de la main droite, je suis allé tâter son sexe et mon anus pour étaler le gel. Je parcourais le pourtour de mon anus étiré autour de sa queue rigide lorsqu'il a placé les deux mains sur mes fesses pour les écarter et s'enfoncer davantage en moi. Je l'ai senti coulisser entre mes doigts et dans mon cul en expirant de plaisir. J'allais poser la main sur sa cuisse pour qu'il fasse une deuxième pause lorsque j'ai senti son bas-ventre s'appuyer contre mes fesses et mes doigts. Il était entièrement en moi. Ses couilles sont entrées en contact avec ma main et je les ai saisies pour les masser, elles occupaient toute ma main. Il est resté un instant dans cette position tout en faisant pression pour enfoncer sa queue le plus profondément possible. J'avais des frissons sur tout le corps et j'essayais de contrôler mon anus qui se relâchait petit à petit. La présence de sa queue était imposante et la douleur qui accompagnait la pénétration s'atténuait. Ses mains écartaient toujours mes fesses lorsque j'ai senti son énorme bite coulisser lentement vers l'arrière, il l'a ensuite enfoncée à nouveau pour amorcer un léger va-et-vient sur quelques centimètres qu'il a poursuivi pendant un bon moment. Il était patient et il y allait en douceur, et à mesure que mon corps s'habituait à sa présence, la douleur disparaissait et ses mouvements devenaient plus fermes. J'ai lâché ses bourses et je me suis redressé pour m'appuyer sur les mains et me tenir à quatre pattes tout en offrant ma croupe afin de faciliter la pénétration. Chacun de ses mouvements me coupait le souffle, je devais respirer au rythme de ses coups de bite et je commençais à prendre un pied phénoménal à sentir sa grosse queue glisser si facilement en moi.
Les minutes passaient et ses mouvements devenaient de plus en plus amples et forts. Lorsqu'il est arrivé à sa vitesse de croisière, il avait les mains sur ma taille et il m'enculait fermement, mes fesses rebondissaient légèrement sous ses coups de hanches. Sa queue se déplaçait en moi sur une bonne partie de sa longueur. Je restais à quatre pattes, les yeux à demi fermés, et je laissais échapper mes expirations presque silencieuses de plaisir à chaque fois que son gland parvenait au plus profond de moi. À plusieurs reprises, sa queue manquait son entrée et sortait de mon anus pour glisser lourdement dans ma raie. Je profitais de ces deux secondes pour sentir à quel point mon anus restait ouvert. Il la remettait alors dans l'axe sans la prendre en main et revenait en moi sans difficulté pour continuer à m'enculer. Ça a duré un long moment et le cycle devenait presque sportif car je commençais à devenir moite de transpiration et mes membres commençaient à trembler tandis que sa queue allait et venait comme un piston. En douceur, je me suis à nouveau appuyé sur le torse en prenant garde à ne pas adopter une position qui pourrait être douloureuse sous ses coups de reins. Il a suivi le mouvement en s'enfonçant entièrement en moi et en me guidant pour que je me couche sur le ventre. Lui était appuyé sur les mains, ses jambes étalées le long des miennes, le contact de ses jambes contre les miennes m'a étrangement plu. Son bas-ventre faisait pression contre mes fesses, sa queue enfoncée en moi. Il a alors repris ses mouvements et m'a arraché un cri de plaisir avec son premier coup de rein. Il a suivi la cadence, lent, ferme et profond. Je me laissais aller en me concentrant sur mon cul, mon corps détendu rebondissait mollement sur le matelas au rythme de ses coups de bite. Je ne ressentais plus aucune douleur et je souriais malgré moi.
J'ai accueilli les va-et-vient de sa grosse queue pendant un long moment, jusqu'à ce que ses mouvements deviennent moins fermes. Il commençait à fatiguer. Paradoxalement, sa queue était toujours aussi raide. J'ai profité d'un instant où il restait quelques secondes entièrement en moi pour jouer des hanches autour de son membre. Je montais et je descendais, je formais des cercles et sa queue suivait le mouvement tandis qu'il restait immobile. Après avoir passé quelques minutes à se laisser stimuler, il a saisi ma taille d'une main et a largement écarté mes jambes avec les siennes avant de s'enfoncer profondément en moi, ses grosses couilles écrasant les miennes. Je me suis appuyé sur les coudes pour redresser mon buste, mon ventre étant écrasé sur le matelas. Je ne sais pas s'il essayait de contrôler son orgasme ou s'il le laissait venir en douceur, mais je l'ai senti expirer profondément et silencieusement avant de sentir les secousses de ses éjaculations au niveau de mon périnée tandis qu'il restait immobile. J'avais la chair de poule tellement mon plaisir était intense. Les yeux fermés, je lâchais un gémissement silencieux à chacune de ses doses qui se suivaient lentement et irrésistiblement en déversant son sperme dans mon cul. Une fois son orgasme terminé, il est resté un instant en position avant de se reculer doucement, je sentais sa grosse queue coulisser hors de moi. Il l'enlevait lentement comme pour me rappeler à quel point elle était longue. J'ai eu un réflexe d'expulsion lorsque son gland est ressorti et j'ai eu la sensation que mon anus restait ouvert. Il s'est laissé aller sur le côté pour se coucher et je me suis allongé sur le flanc. Du sperme s'est mis à couler sur ma fesse et j'ai ressenti le besoin d'aller aux toilettes, mon corps désirant expulser son sperme. J'ai enfilé mon t-shirt et mon jogging restés par terre pour me rendre dans les toilettes qui étaient sur le palier. Je me suis assis sur la cuvette et j'ai expulsé une grosse dose de liquide, lorsque j'ai jeté un il dans la cuvette, un liquide blanchâtre surnageait dans l'eau. Je me suis essuyé et la sensation m'a parue étrange car toute ma raie était lubrifiée et mon anus était largement dilaté. Je pouvais facilement enfoncer deux doigts sans devoir relâcher consciemment mon anus.
Lorsque je suis revenu dans la chambre, il était assis sur la chaise de son bureau et terminait de rouler un joint. Il l'allumait lorsqu'il m'a vu entrer et m'a souri. La bouteille de vodka attendait sur le bureau. Il avait remis un t-shirt mais il était resté nu de la taille jusqu'aux pieds. Dans la lumière tamisée de sa chambre, son paquet humide et lubrifié brillait et monopolisait mon regard. Ses grosses couilles lisses étaient tassées sur le bord de la chaise et sa queue encore gonflée pendait mollement par-dessus, légèrement sur le côté. Son gland était resté à nu et ses veines étaient apparentes. Je me suis approché pour masseoir sur le lit, je ne pouvais pas m'empêcher de jeter des regards d'envie sur son énorme bite magnifique. En recrachant une dose de fumée, il m'a demandé si ça m'avait plu. Je lui ai répondu que oui et qu'on pouvait remettre ça autant de fois qu'il voulait.
[À suivre]
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