Piégé

Le caleçon baillait au niveau de l’entrejambe, de petits coups d’œil furtifs me permettaient d’apprécier la beauté de sa fente toute lisse. A chaque regard de voyeur, ma queue se raidissait de plus en plus.
Avant d’aller plus loin petit retour en arrière. Je m’appelle Thomas, j’ai la quarantaine, je suis marié à Sophie 35 ans. Sophie est une femme d’affaire, elle a un très bon poste et part souvent pour son boulot aux quatre coins du monde.
Moi de mon côté, c’est un peu moins bien, je me suis lancé comme consultant en entreprise mais il faut dire que ce n’est pas une franche réussite, je passe plus de temps à la maison à prospecter qu’à vraiment bosser. Je profite largement du très bon salaire de ma femme pour vivre et ne pas trop m’en faire, ses nombreuses absences me permettent aussi d’avoir des aventures à droite et à gauche, en faisant attention à rester discret, si ma femme l’apprenait, elle me quitterait et ça serait compliqué financièrement pour moi.
Sophie est l’ainée de 3 filles, sa plus jeune sœur Manon a tout juste 20 ans, elle est étudiante dans une autre région et surtout très jolie. Pendant les dernières vacances scolaires, Sophie a proposé à sa sœur de l’héberger pour qu’elle puisse profiter des trésors de notre ville et Manon débarqua chez nous le samedi après-midi.
Les deux sœurs partirent toute l’après-midi faire du shopping, ne rentrant que tard dans la soirée.
Le lendemain Sophie devait partir pour 2 semaines en Inde, elle se coucha tôt ce soir-là me laissant seul devant la télé avec Manon. Rien de très passionnant au programme, Manon partit rapidement se coucher elle aussi. Au passage, je suivis du regard le doux balancement de ses fesses quand elle me quitta. J’avais beau zapper, rien n’accrochait mon intérêt, je montai me coucher. Sophie était déjà endormie, je me collais à elle, passant mes mains sous sa nuisette pour explorer son corps mais elle grogna, me disant qu’elle était fatiguée et voulait dormir.

Je me tournais donc sur mon côté et je me couchais sur mon érection bien dure….

Le lendemain, Sophie me réveilla tôt et me demanda de l’amener à l’aéroport. Elle était déjà prête, j’enfilais des habits en vitesse et je la déposais à l’aéroport.
Tu seras bien sage pendant mon absence ! me dit-elle. Tu jettes un œil à Manon, tu t’occupes un peu d’elle, fais pas ton ours, soit sociable.
Oui bien sûr, lui répondis-je.
Le haut-parleur du hall annonça l’embarquement de son vol, elle m’embrassa et partit le prendre.

De retour à la maison, il ne semblait pas y avoir d’activité. En allant vers ma chambre, je passais devant la chambre d’ami où dormait Manon. La porte était légèrement entre ouverte, en passant rapidement j’eu la vision furtive d’un corps nu posé sur le lit. Sans bruit je me replaçais dans l’entrebâillement de la porte pour essayer de mieux voir. Le drap était tiré, Manon était couchée nue sur le ventre. Un corps aux proportions parfaites éclairé par un mince filet de lumière. Je me mis à bander dur devant cette nymphette endormie. Manon bougea, sans bruit je m’éclipsais et partis dans la cuisine me faire un café.
5 minutes plus tard, Manon descendit à son tour, vêtue d’une simple nuisette qui lui arrivait à mi cuisses. Le tissu assez fin laissait poindre ses tétons qui captivaient mon attention. Quelle belle jeune femme !
On discuta un peu de tout et de rien, des choses à voir (ses seins pensais je en mon fort intérieur) des choses à visiter (son petit cul appétissant). Ses images de cette nymphette étendue nue sur son lit me faisait bander, je pris congés de Manon pour aller prendre ma douche et essayer ne pas lui montrer le trouble qu’elle créait en moi.
Une douche assez fraîche remet les idées en place et calme bien des ardeurs. Propre et rafraichi, je me séchais quand la porte de la salle de bain s’ouvrit, Manon entra, je cachais mes attributs avec la serviette de bain, pendant que Manon fit voler sa nuisette par-dessus son corps.

Nue, elle me dit simplement, « je prends ma douche comme c’est libre. ».
Je restais interdit, pendant qu’elle entrait tout naturellement dans la cabine de douche et fit couler l’eau. La serviette autour des hanches, je partis dans ma chambre pour finir de m’habiller.
Assis sur mon lit, je rêvassais, repensant à ce passage furtif et sans gêne de la miss. Il n’y a pas à dire, si elle n’était pas la sœur de ma femme, je l’aurais rejointe sous la douche et je lui aurais fait sa fête.
Assis nu sur mon lit, une chaussette à la main, le souvenir de ce jeune corps féminin passant nu à côté de moi me mettait en émoi, en réponse mon sexe pointait dur.
Est-ce que tu peux m’amener en ville tout à l’heure
La voix de Manon me tirait de mes pensées, elle se tenait nue dans l’entrée de la pièce, se séchant les cheveux avec sa serviette tout en me parlant. Surpris, je cachais par réflexe mon érection et je lui bafouillais une réponse positive tant bien que mal.
Manon partit dans sa chambre. Encore une fois, la vision de cette nymphette nue aux seins fermes et le sexe épilé ne calma pas la dureté de mon érection.
Finalement prêt, je déposai Manon au centre-ville pour la journée, elle allait passer sa journée à visiter et se promener.
Rentré à la maison, le souvenir de cette nymphette nue m’obsédait, je n’arrivais pas à savoir si elle cherchait à m’aguicher ou si son comportement n’était qu’innocence. Fouillant dans ses affaires, je ne trouvais que de la lingerie de jeune femme sage, rien d’affriolant, pas de tenue ou d’objet qui aurait pu me faire penser au sexe.
Le soir venu, avachi sur le canapé en tee shirt et caleçon, je regardais un film d’horreur pour passer la soirée. Manon rentra, me voyant elle me demanda ce que je regardais.
A ma réponse, elle répondit qu’elle adorait, qu’elle allait vite se mettre à l’aise et qu’elle allait regarder avec moi. Je la vis revenir rapidement en nuisette sous laquelle pointaient ses seins et en caleçon très ample.
Couché sur le côté du canapé, elle se mit dans la même position à l’opposé de moi. Une jambe repliée m’offrait un panorama somptueux sur son entrejambe, pendant qu’elle était absorbée par le film. La vision de cette fente toute lisse réveilla mon sexe, pour rester discret, je prétextai d’avoir un peu froid pour mettre une petite couverture sur moi. La queue très dure je regardais plus souvent son petit nid d’amour que le film d’horreur.
A chaque scène un peu gore, je voyais Manon sursauter et frissonner. La pièce était dans le noir, seule la luminosité de la télé éclairait l’environnement.
J’ai un peu froid moi aussi et j’ai peur, tu me fais une place.
Sans attendre ma réponse, Manon se glissa contre moi et remit la couverture sur nous. Collée à moi, je ne bougeais pas, de peur qu’elle ne se rende compte de l’état de ma queue. Je sentais son corps contre le mien, ses seins s’offraient à moi par l’entrebâillement de sa nuisette, une de ses mains était posée sur le haut de ma cuisse, à l’orée de mon caleçon. Je ne disais plus rien, je regardais le film en essayant de calmer mon érection.
Manon bougea une fois, puis une seconde pour mieux se caler avec moi, je ne disais rien, essayant de ne pas penser à cette nymphette innocente quasiment nue à côté de moi. En bougeant, sa main avait glissé à l’intérieur de mon caleçon, je n’osais pas faire un geste de peur que ma queue touche sa main.
Je toussais, elle bougea et toucha sa main. Ne plus bouger…. Je sentis un doigt venir explorer le intruse qui avait touché sa main. Un coup d’œil furtif vers elle mais elle regardait le film. Ce doigt lentement monta du bas de ma verge jusqu’à mon gland. Je retenais ma respiration, je n’osais plus la regarder, le film, seul le film.
Le doigt avait du sentir que mon sexe perlait, il s’arrêta un moment sur mon gland. Pendant une éternité, ce doigt tel un dresseur de fauve domptait ma queue. Elle ne pouvait pas ne pas se rendre compte de ce qu’elle touchait….
.Ne pas bouger, ne rien dire….
Le doigt commença des petits mouvements de caresses sur mon gland, facilité par les sécrétions de ma queue, le doigt tournait doucement sur mon gland. Ma queue se cabrait, réagissait à ces caresses. Le film continuait à se dérouler sur le petit écran pendant que ma queue se faisait dompter par ce doigt.
Un second doigt arriva, suivi d’un troisième….ma queue tendue se retrouva enveloppée par une main douce qui jouait avec. La main me caressait, insistant à chaque fois sur mon gland. Que faire, que dire, la renverser sur le canapé et la baiser violement ? Non , attendre, voire où elle va m’amener.
Une caresse plus prononcée m’arracha un soupir de plaisir. Manon me regarda.
Tu aimes ce que je te fais ?
Sans un mot, d’un hochement de tête je lui répondis.
T’aurais envie de me baiser ?
Pas de mot, un sourire et hochement de tête lui apportèrent la réponse.
Moi aussi j’ai envi mais d’une façon un peu spéciale….
Interloqué, je la regardais en silence.
J’ai un gros fantasme….me faire prendre de force, me faire violer….
Je la regardais interdit, me demandant si j’avais bien compris ce qu’elle m’avait dit.
Je vais aller dans ma chambre, tu me laisses 10 minutes….ensuite tu viens vider ta queue qui n’en peut plus… je ne vais pas vouloir mais c’est toi l’homme, tu prends ce que tu as envi….
Elle avait lâché mon sexe, posé un doigt sur ma bouche, elle sourit puis s’en alla dans sa chambre.
Les minutes passaient lentement….10 minutes, le caleçon déformé par mon érection, je me dirigeais vers sa chambre.
Manon lisait tranquillement allongée sur son lit
Salut, tu ne regardes plus ton film ? dit-elle sur un ton très neutre.
Non, je n’ai plus envie de voir d’horreur, mais plutôt des merveilles….
Manon me regarda. Je fis passer mon tee shirt au-dessus de ma tête et je le jetai au sol.
Qu’est-ce que tu fais ?
D’un geste, mon caleçon tomba également, je me tenais nu en érection devant elle.
Mais… non, non, sors de ma chambre…..
Sans un mot, je me jetais sur le lit, agrippant la culotte de Manon pour essayer de l’enlever. Manon tentait de la retenir, un déchirement se fit entendre, en même temps qu’un « non «  de Manon.
Allongée sur le ventre, les fesses découvertes, je m’allongeais sur elle, elle essayait mollement de résister. Ma main alla à la rencontre de sa fente, plus ma main avançait vers l’objectif, plus elle miaulait des « non » plaintifs. Sa fente était trempée, elle aimait cela la garce. D’un petit mouvement, j’ouvrais le passage vers sa fente, j’empoignais mon sexe et le plaçait à l’entrée du sien.
Non pas ça, s’il te plait !
Elle disait non mais son corps ne luttait plus, j’enfilais d’un coup mon sexe dur en elle.
Oui, j’en avais trop envie de t’enfiler petite salope. Je vais te remplir, tu vas être mon vide couille ce soir.
Manon, la tête enfouie dans l’oreiller ne disait rien, la prenant par les hanches, je lui donnai des gros coups de queue bestiaux. Enfilé à fond en elle, je tirai sur sa nuisette, la déchirai et lui ôtai pour profiter de son corps nu.
Manon se laissait faire, telle une poupée désarticulée, je la tournai pour la mettre sur le dos, écartant ses cuisses, je revins en elle d’un coup sec. Elle avait un corps sublime, ses seins ballotaient en rythme avec ma queue qui labourait sa fente. La situation était jouissive et ma queue trop pleine, trois coups de plus et au quatrième je me collais à elle pour la remplir de ma semence.
Après un court instant, je me retirai, ramassait mes affaires et retournai dans le salon. Manon me rejoint quelques minutes plus tard, elle s’allongea nue contre moi.
J’ai adoré, merci c’était trop bon.
Moi aussi j’ai adoré, tu ne diras rien à ta sœur, sinon elle va me .
T’inquiète… hum, laisse-moi encore un peu sucer ta queue
Elle se pencha et prit mon sexe plein de nos sécrétions d’amour en bouche.
Tu veux me lécher ?
Euh….non, moi le sperme ce n’est pas mon truc.
Dommage, j’aime bien qu’on me lèche quand je suis pleine… me dit-elle avec un regard pervers.
Le lendemain, je déposai à nouveau Manon en ville, de mon côté, j’avais décroché des rendez-vous qui avaient occupé une partie de ma matinée. Rentrant en début d’après-midi, je constatai que la porte d’entrée n’était pas fermée, Manon était revenue, ses affaires traînaient dans l’entrée, mélangées avec d’autres affaires plutôt masculines.
Passé la porte, des voix se faisaient entendre dans le salon, en m’approchant, je compris vite qu’il y avait un couple et qu’ils ne jouaient pas aux cartes. Plus je m’approchais, mieux j’entendais Manon gémir de plaisir. A la porte du salon, je découvris Manon couchée sur le canapé, les jambes tenues en l’air par un gars nu qui la baisait.
C’est quoi ce bordel ! m’écriais-je
Continue, t’arrête pas commanda Manon au gars
L’homme était de type magrébin, il était bien bâti et avait largement une tête de plus que moi. L’homme me jeta un regard menaçant puis continua à baiser Manon. Pas téméraire, je me tus, attendant la fin du coït pour ré intervenir. L’homme se vida assez vite, laissant Manon sur le canapé, il partit tranquillement la queue pendante vers la cuisine, disant qu’il allait se chercher une bière.
Seul avec Manon, je pris un air sérieux et grave.
Non mais, tu te crois où la ? Ca ne va pas !
Elle sourit, me défiant du regard
Tu viens me lécher, je suis pleine de sperme
Je te cause, arrête tes conneries, c’est sérieux !
Manon actionna la télécommande de la télé, une vidéo apparue….c’était elle, c’était moi….c’était son fantasme de viol filmé…..cela paraissait tellement vrai…..
Tu veux que je montre à ma sœur comment tu te comportes quand elle n’est pas là.
Mais tu étais d’accord…. Mon assurance et ma morgue avait subitement disparu.
Quand on se fait violer, on n’est pas d’accord…..une jeune femme frêle et innocente comme moi…..Manon avait enchaîné ces phrases d’une petite voix fluette.
J’étais piégé, comment faire croire que ce n’était pas un viol mais un fantasme….la vidéo était….implacable…..J’étais piégé. Cette gamine m’avait eu avec un culot monstre et moi comme un con j’étais tombé dans le panneau.
Le magrébin était revenu et sirotait sa bière en nous regardant.
Bon ok, j’oublie tout et on est quitte. Je tentais d’échapper à l’emprise de Manon.
Non, ce n’est plus toi qui décide quoi que ce soit. Tu commences par te déshabiller.
Le magrébin souriait, je le regardais, je regardais Manon, ils étaient toujours nus, elle du sperme coulant de sa fente rougie par son accouplement.
J’attends….
Je baissais mon regard vers le sol, ma chemise, puis mon pantalon me quittèrent.
Tout, tu enlèves tout.
Sans un mot, j’obéis, je me trouvais nu devant eux, les mains cachant mon sexe.
Viens me lécher la chatte.
Du coin de l’œil, je voyais le magrébin qui m’observait, le dur regard de Manon ne me laissait pas d’espoir. Je m’approchais d’elle, m’agenouillant devant son sexe d’où se dégageait une forte odeur de sperme. Manon écarta largement les cuisses.
Viens, lèche tout
Sans un mot, ma bouche et ma langue vinrent au contact de la fente maculée de Manon, elle prit ma tête avec ses mains, je me laissai guider par elle en m’appliquant à lécher consciencieusement son corps. Le goût était âpre, mais tel un zombie, je léchais tout, avalant la semence qui coulait de son sexe.
Humm c’est trop bon, tu vois que ce n’était pas si dur…..tu es un bon nettoyeur de sperme.
J’avais tout léché, j’avais enlevé toutes les traces de spermes sur Manon, elle me toisait en souriant, je me sentais rabaissé terriblement.
Tu as bien travaillé sur ma chatte, maintenant il en reste sur sa bite, va lui nettoyer aussi.
Le magrébin rigolait, son sexe semi rigide maculé pendait devant lui. Il s’avança devant moi, me présentant son sexe devant mon visage. Je commençai par des petits coups de langue puis docilement je le pris en bouche quand il le dirigea contre mes lèvres. Il était gros, je faisais de mon mieux pour le prendre en bouche et le nettoyer. Le magrébin s’amusait à faire glisser son sexe dans ma bouche, à chaque passage, je le sentais durcir et prendre de la vigueur. Rapidement, je me trouvais à sucer sa queue en érection, je lui taillais une pipe, moi le gars entièrement hétéro.
Pensant l’avoir bien nettoyé, je m’arrêtais mais Manon m’ordonna de continuer jusqu’à ce qu’elle me dise stop. Je repris la queue en bouche pour le resucer. L’homme émettait des petits gémissements, sa queue avait des contractions que je connaissais trop bien mais je continuais mon labeur. Les mains de l’homme maintinrent ma tête, il s’enfonçait plus profondément dans ma bouche et se vida en trois jets puissants de sperme au fond de ma gorge. J’avais eu du mal à tut avaler, une petite coulée maculait le coin de mes lèvres. Manon s’était levée, son doigt pris la coulée de sperme et la présenta à ma bouche qui l’accueillit soumise.
L’homme prit ses affaires et partit, me laissant seul avec Manon.
Regarde ton sexe….
Je bandais, j’avais léché du sperme, sucé une bite et je bandais.
Tu vois tu aimes cela…..si tu ne veux pas que Sophie soit au courant, tu as intérêt à m’obéir. Si tu veux garder la vidéo sur la télé en souvenir, tu peux, j’en ai fait des copies sur des serveurs en ligne. Bon tu vas commencer par raser complètement ton sexe, je ne veux plus un poil dessus.
Mais Sophie, je vais lui dire quoi quand elle ….
Manon me coupa la parole
J’ai horreur de répéter, Sophie si tu veux, je peux lui dire des trucs moi….
Non, c’est bon.
Je partis dans la salle de bain comme me l’avait demandé Manon.
Dans les griffes d’une petite salope j’étais.

A suivre

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