Ma Femme Dominatrice M'Offre À Ses Copines - Partie 5- La Soirée Avec Cathy

C’est l’été, il fait chaud. Ma femme est sur la terrasse avec une amie d’enfance qu’elle n’avait pas revue depuis quelques années. Moi je me baigne dans la piscine, les dames papotent allègrement.
L’amie de ma femme, Cathy, porte bien sa cinquantaine. Elle est pulpeuse, les cheveux courts, de jolies jambes sous sa jupe beige, des gros seins qui se dressent sous le t shirt. Je ne peux pas m’empêcher de la lorgner, je ne la connaissais pas jusqu’à aujourd’hui.
Mon petit manège n’échappe pas à ma femme, qui s’en amuse.
Il faut dire que depuis quelques temps nous avons « réaménagé » et enrichi nos jeux sexuels. Nous nous sommes avoués nos fantasmes profonds et de temps en temps nous les réalisons, le tout à l’initiative de mon épouse. Elle s’est découvert une passion pour la domination, et moi je deviens son soumis. Elle m’attache, me fouette, joue avec moi. Une autre de ses passions est de m’offrir à d’autres femmes dominatrices qui peuvent s’amuser avec moi. Ma femme assiste alors aux séances en spectatrice voyeuse ou alors elle participe aux jeux.
Je sens bien qu’elle a une idée en tête, d’ailleurs elle me fait signe de les rejoindre sur la terrasse, ce que je fais bien volontiers. Avant cela je décide d’ôter mon maillot mouillé pour mettre un short sec.
Je m’enroule dans ma serviette pour l’opération mais, acte manqué ou non, la serviette m’échappe des mains et je me retrouve un court instant le cul à l’air, à cinq mètres de ces dames.
- alors mon chéri, on montre son cul à ma copine ?
- désolé mesdames.
Je remets vite ma serviette autour de ma taille.
- dis Cathy, tu n’as pas bien vu son cul ; ça t’intéresse de le revoir ? fait ma femme à sa copine, tout en me lançant un clin d’œil coquin.
- Euh, euh, je ne sais pas trop, ça me gêne un peu.
Je sens la tension monter d’un cran, ma femme reprend du tac au tac.
- tu sais si tu veux il va te le montrer son joli petit cul, cela ne me dérange pas je t’assure.

J’ai un mari soumis qui fait tout ce que je lui demande. N’est ce pas mon petit mari, tu veux jouer ?
ça c’est le code que nous avons mis au point avec ma femme. Lorsqu’elle a envie de me dominer elle me demande si je veux « jouer ». Si la situation me plaît et que je suis partant je dois répondre par « oui maîtresse »
- oui maîtresse
- alors viens ici !
Je m’approche de la table, Cathy ouvre les yeux, me regarde puis regarde ma femme, un peu indécise. On le serait à moins j’en conviens.
- alors son cul tu veux le voir, je t’assure que ça ne me gêne pas du tout, au contraire.
- Ben oui si ça ne dérange personne je veux bien
- Tu as entendu, esclave, tourne toi et montre ton cul à ma copine.
C’est parti ! Cathy rougit un peu et se trémousse sur sa chaise.
- c’est vraiment ton esclave, tu y vas un peu fort, non ?
- c’est notre esclave, si tu veux, pour la soirée, qu’en penses-tu. Il te plaît mon bonhomme ?
- oui il est mignon, si tu le prends comme ça je veux bien.
- Allez ce cul tu nous le montre.
Je me tourne et je lâche la serviette, exhibant mes fesses devant les deux femmes assises. Ma femme commence à me palper les fesses, à les caresser sous le regard de Cathy dont le souffle s’accélère.
- tu peux toucher aussi, ne te gêne pas, fait ma femme à son amie.
Quatre mains me palpent le cul, c’est agréable, je commence à bander. Fidèle à mon rôle de soumis je mets les mains sur la tête. C’est le moment que choisit ma femme pour me mettre des claques sur mon cul. Cathy regarde mais ma femme l’encourage : « à toi, vas y mets lui une fessée ».
Des claques timides tombent sur mes fesses.
- Non, non, plus fort, tape fort fais lui rougir son cul, vas y franchement !
Du coup Cathy se lâche et me donne de bonnes claques, elles se relaient, rigolent, font des commentaires à mon sujet.
- tu peux tout faire avec lui, questionne Cathy
- oui il est très docile, tu veux en profiter ?
- Dans ces conditions je veux bien
- tu veux voir sa bite, je suppose.
Esclave tourne toi.
Docile je me mets face aux deux femmes et leur présente mon sexe bien dur, les mains derrière le dos, en bon soumis. Cathy me regarde dans les yeux, je ne bronche pas, puis elle fixe mon sexe, de taille honnête. Ma femme me regarde et me sourit, le jeu est lancé.
- que veux tu qu’il fasse, tu veux qu’il se branle pour nous ?
- oh putain oui ! répond Cathy.
Elle est dans le jeu, elle a accepté la situation, bien décidée à en profiter. Elle croise bien haut ses jambes pour m’exciter encore un peu plus je crois.
- Vas-y esclave branle toi pour ma copine, Cathy tu vas lui dire comment il doit se masturber, donne lui des ordres comme au bon petit chien qu’il est.
Cathy ne se fait pas prier, elle a compris le jeu.
- prends tes couilles dans une main et branle toi tout doucement, allez.
Je m’exécute et je fais ce qu’elle m’a dit. Les femmes m’observent en silence, leur verre à la main.
Ma femme ouvre grand ses cuisses et me montre sa culotte, voyant cela Cathy fait de même, elle remonte sa jupe très haut et se passe la langue sur les lèvres.
- lâche tes couilles et accélère, me fait-elle.
- Allez mon esclave chéri donne toi, interdit de jouir, sinon tu sera fouetté.
Elle sait bien que je ne tiendrai pas éternellement.
Je me branle rapidement, mes couilles battent entre mes jambes, Cathy sourit, bien excitée.
- arrête toi, me lance t-elle, je peux le branler moi même, demande t-elle à ma femme.
- Ne te gêne pas, tu peux aussi le sucer. S’il éjacule sans notre permission il sera puni.
Cathy tend sa main, prend mon sexe et m’attire vers elle. Elle m’administre une masturbation langoureuse, tantôt d’une main, puis de l’autre. Ma femme passe sa main entre mes jambes, par derrière et m’agrippe les couilles. Elle les tire vers le bas et serre.
- comme ça tu jouiras moins vite, car tu finiras par jouir et tu seras puni, tu le sais, esclave.
- Oui maîtresse.

Du coup Cathy ne se retient plus et me branle à toute vitesse puis elle me prend en bouche et me suce comme une dingue, bien décidée à me faire venir. Ma femme tire fort sur mes couilles, la douleur me retient d’éjaculer et elle le sait. Elle se lève de sa chaise et se colle derrière moi. De son autre main elle appuie sur la tête de son amie et imprime le rythme de la fellation. Comme d’habitude elle mène le jeu. Ma verge tape au fond de la gorge de Cathy qui grogne de plaisir. Ma femme me lâche les couilles et imprime le rythme à mon bassin, nous baisons la bouche de Cathy qui a mis ses mains dans sa culotte et se frotte la chatte. Elle râle de plaisir. Je ne tiens plus et je jouis dans sa bouche. Voyant cela ma femme repousse la tête de son amie et laisse ma queue se vider sur le sol, Cathy avale ce qu’elle a reçu et sourit de bonheur. Mon plaisir à moi est mitigé, mais ça c’est voulu par mon épouse. Elle aime me frustrer pour mieux me donner ensuite.
- il a joui sans notre permission, qu’en penses tu Cathy.
- Il faut le punir, je te laisse faire mais tu peux compter sur mon aide.
- Pour la suite nous allons monter dans la chambre tu verras j’ai plein de jouets…prends le par la queue et suis moi.
Cathy se marre et se saisit de ma queue à peine débandée. Elle me serre fort, tire un coup sec et je les suis ainsi à l’étage, tiré par mon sexe par l’amie de mon épouse. Je suis ravi.
A côté de notre chambre se trouve une pièce que nous utilisons de temps en temps pour nos séances un peu spéciales. Il y a des poutres, un banc capitonné et divers petits aménagements bien pratiques.
- pour la suite nous allons attacher notre esclave, on pourra bien s’amuser avec lui, tu verras, fait ma femme à Cathy qui me tire toujours par mon sexe. Elle en profite bien la garce, elle est toute excitée et partante pour la suite.
- Viens ici mets toi en position.
Je connais, je lève mes bras qui sont fixés par des bracelets aux poutres de la chambre.
Ensuite elles me mettent une barre aux chevilles pour bien m’écarter les jambes et la séance commence.
Ma femme me tourne autour, me pince et me met des claques sur les fesses. Sur son invitation Cathy la rejoint dans cet exercice et elles me nt toutes les deux en rigolant bien. J’adore cette situation, ma femme aime me dominer, m’offrir à sa copine, elle sait que j’aime ça et qu’elle me procure un immense plaisir avec ce jeu. Sans qu’on le dise nous sommes très complices dans ces moments. Cathy est derrière moi et me pétrit les fesses à pleines mains, ma femme me branle furieusement pour me faire bander un max puis elle me met des claques sur ma verge gonflée.
- tiens Cathy essaye, viens t’amuser avec sa vilaine queue toute grosse.
Cathy se met devant moi, me saisit la verge et la tire vers elle, de plus en plus loin. Je suis sur la pointe des pieds, la salope tire encore, puis elle lâche, me prend aux couilles et me frappe le sexe.
Puis elle recommence. Comme je recule constamment mon ventre elle propose à ma femme de m’attacher par la queue pour que je reste bien cambré vers l’avant. Les filles m’enserrent la base de la verge et les testicules dans une lanière en cuir, puis elles y fixent une cordelette. Cette cordelette est tendue au maximum et fixée au radiateur, de sorte que je ne peux plus reculer mon bassin. Je suis cambré vers l’avant, ma queue bien présentée à ces dames.
- voilà comme ceci tu ne peux plus nous échapper, on va pouvoir bien s’amuser, dit Cathy
- viens je vais te montrer les jouets, lui glisse mon épouse.
Elles s’emparent chacune d’un martinet et commencent par me tourner autour, je bande bien, elles me caressent la bite avec les lanières en cuir puis ma femme donne le départ de la correction. Elle me rougit les fesses, les cuisses et passe le relais à Cathy. Cette salope y va de tout son cœur et me fouette comme une pro, le dos, le cul, l’arrière des cuisses.
- on va lui faire devant maintenant, évite le visage, tout le reste est autorisé.
- La bite et les couilles ? demande Cathy
- Tout je te dis, amuse toi il aime ça, dis nous que tu aimes esclave !
- J’aime ça mes maîtresses (je sais quoi répondre).
- Tu aimes quoi, dis le (Cathy)
- J’aime le fouet
- Où ça , dis le esclave ! (Cathy)
Ma femme me regarde, agréablement surprise par la fougue de sa partenaire de jeu. Elle renchérit :
- oui esclave dis nous ce que tu aimes
- j’aime le martinet sur mon cul et mon dos
- et où on va t’en mettre maintenant, dis le, dis le ! (Cathy)
- sur ma queue, mes couilles, merci maîtresses.
Et c’est parti, Cathy se déchaîne sur ma verge et mes testicules avec le martinet, ma femme est derrière et me fouette le cul. Fixé au radiateur par mon sexe, les bras attachés en l’air et les jambes bien écartées je suis fouetté longuement par mes deux jolies tortionnaires. Malgré ou à cause des coups ma queue est raide comme jamais. De temps en temps Cathy s’arrête, saisit ma verge et tire dessus, la presse entre ses doigts. Elle crache dans sa main et me frotte le gland à toute vitesse.
Ma femme la complimente : « tu es une vraie salope, continue, si tu as envie tout à l’heure on va le baiser. »
Tout ceci est dit pour m’exciter davantage, elle le sait.
Elles font une petite pause, reviennent avec une lanière de cuir et me ligaturent complètement la verge avec. Puis chacune prend une cravache et elles me frappent la tige, à tour de rôle.
- tu crois qu’il pourra encore servir tout à l’heure, demande Cathy
- ne t’en fais pas, il est habitué, n’est ce pas esclave. Qu’est ce qu’on dit à ses maîtresses ?
- Merci mes maîtresses
La cadence redouble, je grogne, les chocs dans ma queue, la lanière qui l’enserrent sont douloureux certes mais je suis au bord de l’orgasme. Elles me triturent en même temps les bouts de mes seins, me pincent partout et se marrent. Je suis en feu lorsqu’elles s’arrêtent enfin.
- on va te laisser mariner un peu et décider de la suite des réjouissances, viens Cathy, on va boire un coup
- je me réjouis déjà, j’ai plein d’envies, c’est génial, répond elle.
Et elles me laissent là, ligoté, avec ma queue enserrée dans la lanière de cuir, ça serre fort, je ne débande pas. J’ai même envie qu’elles reviennent vite. Quelle salope cette Cathy, une nouvelle maîtresse pour le jouet sexuel que je suis.
Mes tortionnaires sont de retour.
- petit esclave chéri, tu as de la chance, Cathy a envie de te faire jouir, qu’en dis tu ?
- merci maîtresse
- oui, mais avant tu vas déguster un peu.
- Je sais, merci maîtresses.
Elles me libèrent le sexe, ma femme se met derrière moi et avec sa main elle m’enserre la base de la verge et presse les testicules dans son autre main. Cathy a mis des gants en latex, elle les lubrifie avec du gel et s’installe sur un tabouret devant moi. Elle me décalotte le gland, serre mon sexe et avec l’autre main elle commence à m’astiquer le bout de la verge. La sensation du gant en caoutchouc, lubrifié, est terriblement bon. Douloureux mais bon. Je sens le corps de ma femme collé dans mon dos, ses mains m’enserrent le sexe.
- tu demandes la permission pour jouir, esclave.
- Oui maîtresse.
- Vas y Cathy, branle le bien, accélère. Je le connais bien, je te dirai quand arrêter.
Cathy ne se fait pas prier, elle imprime une masturbation rapide et vigoureuse à mon gland, le reste de mon sexe est emprisonné et maintenu par ma femme. Mon gland rougit et grossit, j’ai l’impression qu’il va éclater. C’est tout simplement délicieux.
Dès que mon plaisir monte ma femme resserre son étreinte, Cathy arrête la branlette et me gifle le sexe. Puis elles reprennent.
- t’aimes ça mon salaud, hein, dis le que tu aimes ta nouvelle maîtresse, dis lui merci ! me chuchote ma femme à l’oreille.
- Merci maîtresse Cathy.
Mes genoux plient, je n’en peux plus, je demande si je peux jouir.
Les femmes me mettent encore deux ou trois fois à l’épreuve puis ma femme dit à Cathy :
- fais le venir, branle le à fond. Esclave lâche toi tu as ma permission.
Cathy me masturbe furieusement, les femmes sont à l’affût. Mon plaisir monte de mes couilles vers mon ventre, je crie que je vais venir. Cathy approche sa bouche et sort sa langue. La première giclée atterrit au fond de sa gorge, elle me prend dans sa bouche et me suce comme une dingue. D’autres jets se suivent rapidement, Cathy accélère encore sa succion, ma femme relâche son étreinte sur mes couilles et branle la base de ma queue. Une deuxième salve repart dans la bouche de Cathy.
Elles n’en ont pas fini avec moi.
- on continue à le branler encore un peu, fait ma femme.
Cathy termine sa fellation en me suçant lentement mais sans s’arrêter. Ma femme l’accompagne et me branle doucement, au rythme de la bouche de Cathy. J’ai beau me trémousser dans tous les sens, implorer leur pitié, rien n’y fait. Cathy me lâche enfin mais ma femme m’administre de rapides va et vient sur ma verge, Cathy me lèche le bout du gland. Elles me soumettent à ce régime un certain moment. Douloureux et désagréable ça en devient supportable, puis agréable et je recommence à grossir.
- on va le mettre sur le banc et en profiter, dit ma femme.
On me détache des poutres, je garde la barre d’écartement. Cathy me conduit par la queue sur le banc capitonné où je m’allonge sur le dos ; mes pieds reposent au sol, mes poignets sont fixés au banc.
Ma femme prend Cathy par la main et l’invite à se mettre sur mon visage. Elle sait que j’adore cela. Cathy ne se fait pas prier, elle se met au dessus de moi et descend lentement sa croupe. Sa culotte est trempée, je l’accueille sur ma bouche avec un plaisir immense. Elle pèse sur moi, j’ai du mal à respirer, sa chatte sent bon à travers sa culotte toute mouillée. J’ouvre la bouche et j’aspire son sexe à travers le tissu. Elle se met à osciller du bassin.
- hmmm, le salaud il est en train de me sucer, fait elle.
- On devrait se mettre à l’aise, dit ma femme.
Cathy se relève et les deux femmes commencent à se dévêtir l’une l’autre, en surveillant ma queue qui se dresse.
Ma femme dégrafe le soutien gorge de son amie et deux seins magnifiques jaillissent, les tétons sont bien dressés. Puis Cathy enlève sa culotte, elle est entièrement épilée, son sexe est gonflé de désir contenu. Ma femme est à poil aussi.
- je vais me remettre sur lui, propose Cathy.
Elle se met à califourchon au dessus de mon visage et descend sur ma bouche, ses lèvres sont écartées et luisantes de mouille. Elle s’écrase sur ma bouche, ses jolies fesses encadrent mon nez qui rentre dans son cul.
- sors ta langue, lèche moi bien
Je m’exécute, elle sent bon, je fais tournoyer ma langue sur les lèvres de sa chatte, je l’enfonce dans son vagin. Elle laisse faire puis elle commence à se frotter sur moi, de plus en plus vite, de plus en plus fort. L’orgasme la secoue elle s’écrase sur moi, à m’. Elle reprend son souffle puis me dit :
- Encore, suce moi, lèche moi bien esclave.
Et ça recommence, je suis comblé, son sexe coule abondamment, je recueille son plaisir dans ma bouche.
Ma femme me motive en me cravachant doucement mon membre qui retrouve sa vigueur, puis elle me suce divinement, juste pour entretenir mon plaisir. Mes maîtresses sont vraiment formidables.
Cathy se met des orgasmes à répétition sur ma bouche. Ma femme l’invite à me baiser. Elle ne se fait pas prier et s’enfonce mon dard dans la chatte. Ma femme s’installe sur ma figure et je lui suce aussi le minou. Au dessus de moi les femmes s’embrassent et se caressent les seins. Cathy me chevauche furieusement. Les orgasmes s’enchaînent jusqu’à ce que jouisse à mon tour.
- tu as été un bon soumis, n’est ce pas Cathy ?
- ah oui tu as un bon esclave, c’est génial une partie de baise pareille.
Sur cette considération hautement philosophique ma femme arrête le jeu, elle redevient mon épouse adorée.
Nous partons dîner avec Cathy et nous lui expliquons notre façon de fonctionner sexuellement, nos parenthèses dominante-soumis. Elle est hyper intéressée, prête à rejouer avec nous si nous en avons envie.

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