Le Fils De Jean
Les s de Jean mont accepté avec enthousiasme et pour moi cela ma permis de lier des liens solides avec eux ; Isa, 20 ans et Paul 18 ans font partie intégrante de ma vie. Un séjour en vacances allait changer les choses.
Nous sommes depuis 15 jours dans un endroit merveilleux : la mer, les grillons le soir et le soleil toute la journée ; et je profite souvent daller me promener, tôt le matin, le long de la côte et de me baigner en toute liberté dans une petite crique, à lécart des lieux fréquentés. Comme dhabitude, ce jour je prends le chemin côtier et arrivée dans mon lieu de baignade matinale, je quitte mes vêtements et nue je cours plonger dans leau ; elle est bonne et jen profite pleinement ; jaime sentir les vagues sur mon corps nu. et cela me procure souvent de douces sensations dans mon ventre et il marrive de me caresser dans leau ;
En remontant vers mes vêtements, jai limpression de voir une silhouette en bordure des rochers, mais rapidement plus personne et je minstalle pour sécher sur le sable ; je ne sais si cest la silhouette aperçue qui mexcite mais mon ventre est parcouru de petites vagues de chaleur et rapidement les yeux fermés je soulage mon envie, deux doigts dans chatte ; il ne faut pas longtemps pour me faire jouir, la main serrée entre mes cuisses. Soudain un bruit derrière moi me fait sursauter et en me retournant je découvre Paul, en short, une bosse visible entre les jambes. Rapidement jatt ma robe et gênée je me recouvre ; très à laise, il sassoie près de moi et me dépose un baiser, sur la joue, à la limite de ma bouche
« Je tai vu partir, comme tous les matins et jai eu envie de taccompagner dans ta promenade et javoue que le spectacle qui a suivi ma ravi ». Je ne sais plus quoi faire, car passée la gène du début, je dois avouer que la situation est plutôt bizarre ; manifestement il est très excité (la bosse est de plus en plus importante, laissant présager un sexe de bonne taille), plutôt content de la situation ; de mon côté, javoue que son désir visible me donne des envies.
« Tu viens te baigner ? » et sans attendre, il plonge dans leau. Je reste sur le sable, partagée entre mes envies et le déni dune relation avec lui. Pourtant ressortant à moitié de leau, il me tend la main et minvite à le rejoindre » viens leau est bonne et je sais que tu en as envie et tu ne risques rien ». Après tout, pourquoi pas ! je pars en courant vers leau et je rejoins Paul, toujours en érection ; jessaie de ne pas regarder cette queue , si tentante, mais aussi si dangereuse ; me prenant par la main, il court dans leau et plonge ; nage , plongeon , rien danormal jusquau moment où il jaillit auprès de moi, me ceinturant de ses mains puissantes ; à son contact, un grand frisson me parcourt et quand ses mains se plaquent sur mes seins, je ne résiste pas et je me laisse porter vers une relation dangereuse, mais mes sens nattendent plus quune possession ; se plaquant contre moi, il frotte sa queue contre mes fesses, me pinçant fortement les tétons ; recherchant son contact, je me cambre, me frotte contre ce sexe que je désire et qui le long de mon sillon ne demande que cela ; son gland frotte mon clito et enfin , me penchant en avant, il sinfiltre dune seule poussée entre mes parois déjà pleine de cyprine ; sa queue de bonne taille, plus de 20 cm, mais surtout épaisse et puissante me laboure à grand coup et il ne me faut pas longtemps pour jouir bruyamment « vas-y continue,
.. Défonce ma chatte
.. , jaime ta queue
. Fais-moi jouir » puis soudain je le sens se raidir et de longs me remplissent, menvoyant à nouveau au 7eme ciel.
Me prenant par la main, il mentraine vers la bande de sable, la queue toujours bandée et mallongeant sur le dos , il me remonte les jambes et sengouffre violemment dans la chatte béante ; sous le choc je ne peux retenir un cri de surprise mais aussi de bonheur ; il me remplit entièrement et mes chaires sont dilatées par le membre viril ; ses lèvres se posent sur les miennes et un profond baiser nous unit, sa langue fouillant ma bouche, sa queue continuant son travail de sape et à nouveau le plaisir menvahit, violement, pleinement ; il me comble de jouissance et quand il se retire, sa semence sécoule de ma chatte.
« Je tai vu faire lamour avec jean et depuis, je nai quune envie te posséder, découvrir ton corps et prendre mon pied avec toi ; je sais que tu joues souvent avec dautres couples et je veux être un de tes amants » malgré mes refus , il est vrai peu convaincants, il insiste et me retournant il mécarte les fesses et me titille lanneau « je tai vu te faire enculer et tu vas y passer avec moi » ses doigts prennent de la jute qui sécoule entre mes lèvres et en enduisent lanneau, le dilatant, lagrandissant par de raides mouvements ; « vas-y encule moi
enfonce ta queue » son gland remplace ses doigts et doucement force le passage ; il est gros et lanneau résiste « «enfonce toi, défonce moi
. » Je ne peux finir, dune poussée il me pénètre et je sens ses couilles contre mes fesses ; le reste je ne le maitrise plus, je subis, je cris non pas par la douleur, mais de plaisir, il me transporte à grand coup, il me laboure le cul comme jaime et il semble infatigable. Quand enfin il se répand dans mes entrailles, je ne compte plus la jouissance et je suis épuisée, comblée de jouissance.
« Demain, au même endroit
. » je nai pas le temps de répondre ; il est déjà loin
Pendant les 10 derniers jours, jai répondu à ses désirs, le sucer, me faire pénètre, me faire enculer, le retrouvant sur la plage tous les matins, lui cédant à la sauvette, prenant tous les risques Parfois dans la pièce jointant la famille, il me défonçait, me bâillonnant pour éviter mes cris. Pendant ces dix jours, jai été sa maitresse, allant même, sur sa demande, me refuser à jean, et ne sentir que la puissance de sa queue. Malgré ses menaces, jai eu le courage darrêter à la fin des vacances et den parler à mon jean, le seul homme que jaime ; sa réponse ma laissé sans voix :
« je le sais, je vous ai vu plusieurs fois, y compris sur la plage, je me suis branlé en vous voyant ; mais je savais que tu me reviendrais et après tout, quelle différence entre lui et un autre ; cest toujours notre amour qui triomphe » en larmes, je me blottie dans ses bras cest toi que jaime
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