Surpris
Le soir, quand tous les salariés sont partis, je reste seul à mon bureau à traiter quelques dossiers de mon entreprise.
Parfois, je vais sur HDS ou un autre site pour lire les histoires ou mater une petite vidéo.
Dans ce cas, il nest pas rare que je baisse mon froc, me pose le cul nu sur mon fauteuil et que je mastique le jonc gentiment.
Je fais attention car la personne qui vient faire le ménage arrive à des heures aléatoires.
Cest une femme africaine, qui ne compte pas ses heures pour pouvoir gagner sa vie et avec qui une relation de sympathie sest tissée au fil des ans. Elle est efficace, discrète, et sa blouse de travail bleue quelle porte ne ma jamais laissé dériver vers des pensées coquines. Quoique javoue que parfois javais un peu fantasmé quand même.
Je surveille toujours les bruits qui surgissent pendant mes masturbations et il mest arrivé de devoir me rhabiller à la hâte en entendant la personne arriver (elle sappelle Awa).
Un jeudi soir, jétais en train de me caresser et ne nai pas entendu la clé tourner dans la porte dentrée et les pas savancer dans le couloir qui passe devant mon bureau.
Quand Awa est arrivé devant ma porte, javais les écouteurs sur les oreilles, la queue dressée devant lécran et même si mon membre était à moitié sous le bureau, le mouvement de ma main ne laissait place à aucune ambiguïté !
Comme dhabitude, elle sest arrêtée pour me dire « bonsoir » et sest figée en me voyant.
Gênée, elle est vite repartie dans le couloir chercher son matériel.
Jétais moi-même un peu ennuyé de la situation et ne savait trop quoi faire.
Je lentendais faire son boulot dans les autres bureaux et attendais, rhabillé, quelle vienne dans le mien chercher la poubelle en essayant dimaginer ce que je pouvais, devais, allais dire.
Elle est apparue au bout dune demi-heure, et elle est entrée dans mon bureau lair de rien.
Elle a pris ma poubelle en se penchant, et là jai vu que plusieurs boutons étaient défaits et que je pouvais apercevoir une belle poitrine.
Elle sest redressée, ayant vu que je lavais regardée, ma souri, puis a défait un à un les derniers boutons sur le devant de sa blouse.
Elle était nue dessous !
- Jai vu que vous aviez envie de vous faire plaisir, et moi je vous trouve mignon et gentil depuis que je travaille ici. Alors laissez-moi faire.
Jétais ébahi
et je lai laissé faire
Elle sest approchée en ouvrant sa blouse et ma donné un sein. Jétais toujours assis et nai eu quà le prendre en bouche pour en apprécier la rondeur, happer son téton qui se dressait déjà.
Mes mains sont parties en exploration sur lautre sein, puis je lui ai pris le visage et lai embrassée fougueusement.
Après ce baiser profond, le désir était partagé, et ma queue qui sétait redressée a bien vite été sortie de mon pantalon par sa main experte. Elle sest agenouillée et ma pris en bouche, doucement, me léchant le gland de sa langue pointue, puis me suçant toute la tige.
Elle me regardait avec ses yeux rieurs, heureuse de me donner du plaisir.
Pour ma part, je caressais ses seins après lui avoir ôté sa blouse.
Je lui caressais les épaules, ses cheveux un peu crépus, et essayais de me pencher pour lui embrasser le cou pendant quelle continuait ses succions.
Je lai relevée, et nous nous sommes embrassés à nouveau tout en me mettant à poil.
Ensuite, je lai mise sur mon bureau, sur le dos, lui ai levé les jambes et me suis approché de son abricot qui suintait de désir.
Jaime les femmes noires, jaime leur odeur, jadore la douceur de leur peau, son grain particulier.
Et là, je pouvais enfouir ma langue dans cette chatte offerte et ne me suis pas privé de la lécher copieusement, tout en lui titillant le clitoris tantôt de la langue, tantôt des doigts.
Je la sentais haleter de plus en plus, elle se caressait les seins, se pinçant les tétons en gémissant par moment.
Ah, la belle fourche ouverte, ces jambes écartées, vision qui enchante les hommes et nous fait raidir tant et si bien.
Sentant quelle approchait de la jouissance, je me suis relevé, ai approché mon chibre et lai pénétrée lentement. Je sentais son fourreau sécarter, laissant la place à mon pieu qui senfonçait peu à peu.
Une fois au fond, je lai regardée et lui ai demandé :
- Awa, tu es belle ainsi, veux-tu lentement ou fortement ?
- Commence doucement, puis accélère, jaime bien sentir ton membre en moi.
Ainsi fut fait, et jai fait durer mes lents mouvements assez longtemps finalement, me délectant de voir ma queue entrer et sortir de ce con charmant. Elle ma regardé, presque avec reproche, alors jai accéléré, la pilonnant de plus en plus rapidement, puis de plus en plus profondément.
Elle avait la tête en arrière, mais je la voyais se mordre les lèvres sous le plaisir ressenti.
Jai continué à la baiser ainsi, comme un cerf en rut, et elle sest mise à gémir puis crier :
- Ouiiiiiiiii, vas-y, enfonce toi bien, oooooooo que cest bon.
Je ne sais pas vous, mais moi, voir une fille qui aime quand je la pénètre fortement, ça mexcite encore plus. Et je me suis déchaîné, agrippant ses cuisses pour aller au plus profond de son antre qui maintenant ruisselait littéralement, exsudant ses odeurs de femme au bord de la jouissance.
Brusquement, je me suis arrêté, je ne voulais pas jouir de suite.
Alors je me suis agenouillé et lai à nouveau léchée. Si elle a été un peu déçue peut-être que jarrête de la pénétrer, elle a très vite recommencé à jouir sous ma langue.
- Mmmm, coquin, je voulais que tu me baises à fond, mais là jadore ça comme intermède !
- Ta chatte menvoute, ce sont tes odeurs de femme noire qui me plaisent, jai envie de tabsorber en moi.
- Continue, cest doux, cest bon.
Et je lai avalée, sa cyprine abondante, jai humé son nectar, et jai commencé à descendre vers son petit trou qui palpitait sous mon nez.
- Oooo, tu es vraiment un cochon, tu veux déjà aller vers mon cul, dès la première fois ?
- Mmmm, je te veux entière, tout partout, ma belle africaine
- Vas-y alors, jaime que tu me veuilles là aussi, mais va doucement pour commencer.
Ma feuille de rose était sûrement à la hauteur de ses attentes, car à force de lui pénétrer lanus de ma langue tout en lui caressant son bouton avec deux doigts, elle ma soudain pris la tête, me forçant à la regarder :
- Je veux que tu mencules, jai trop envie.
Elle sest relevée, sest retournée, me présentant son cul magnifique.
- Prends-moi tout de suite, vite
Jai mis mon gland sur son anneau qui était déjà un peu détendu par mon approche, et me suis enfoncé dun coup, au fond, et me suis arrêté.
Elle a laissé échapper un gémissement de douleur et plaisirs mêlés.
- Je sens ta queue au fond de moi, cochon, alors maintenant, baise-moi à fond, fort, et je veux avoir ton jus au fond de mon cul.
Ah la bonne fille, elle en voulait, de ma bite, alors je lui ai donné toute ma puissance, et ma queue était raide et longue comme rarement tant la situation mexcitait.
Accroché à son cul qui se lançait vers moi, je lui ai explosé la raie, écartant ses fesses pour voir mon chibre aller et venir dans cet illet rose entre ses collines noires qui transpiraient le plaisir.
Et bien sûr, jai vidé mon jus au fond, lançant le cri du mâle qui décharge sa semence après avoir fait son possible pour donner à sa belle ce quelle attend.
Mon sperme sécoulait de son orifice écarté, et je me suis penché pour le recueillir, lui léchant le petit trou pour apaiser le traumatisme causé par mes assauts.
Elle chantonnait de plaisir maintenant. Alors, masseyant sous elle, et tendant le cou, jai attrapé son clitoris tendu et ne lai plus lâché jusquà ce que je lentende jouir. Elle ma inondé la bouche dun jet puissant que jai tenté tant bien que mal davaler.
Nous étions fourbus.
Nous nous sommes relevés, embrassés de nouveau, nous caressant tendrement le corps. Le temps a passé ainsi, dans une belle douceur post-coït. Puis nous nous sommes rhabillés. Elle avait dautres bureaux à aller nettoyer.
A mardi prochain, Awa
A mardi, Steve, pas un mot à mon patron ou à mon mari !
Et toi, pas un mot à ma femme !
Nous avons souri, la tête déjà pleine du désir de nous retrouver quelques jours plus tard
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