René

C'est pendant que je vivais avec ma chère et tendre amante, Martine que j'ai rencontré pour la première fois René. Je m'en souviens bien, c'était un Dimanche, chez des amis communs. Martine ne pouvait venir: elle m'a chargé de l'excuser. Quand j'ai aperçu René, j'ai tout oublié, les excuses, les autres participants. Je n'avais d'yeux que pour lui. Je me demandais je que je faisait avec une autre fille. C'était évident: c'est lui que je voulais, pas un autre. Simplement lui
Pour la première fois de ma vie j'avais le béguin pour un homme. J'avais 16 ans quand Martine a commencé à me faire l'amour. Elle me faisait jouir pas mal. Je le lui rendais bien. Quand j'ai eu 18 ans, j'ai annoncé à mes parents mon amour pour elle. Ils n'ont pas compris que j'aimais mon amante que je ne la quitterai jamais. Et pourtant je voyais un homme qui me plaisait.
J'ai pu bavarder avec lui longuement. Je ne voyais plus personne que lui. Nous avons déjeuné dans ma bulle. La fin du repas s'éternisait, pas notre conversation, qui réflexion faire devait être d'un mortel ennui. Je ne savais pas si pour lui c'était comme pour moi, en tout cas j'étais tombée sous son charme. Vers la mi après midi, il devait partir. J'étais prête à me jeter à son coup. Il me proposait de me raccompagner chez moi. Évidemment j'acceptais. Dans la voiture il me demandait où je voulais aller:
- Au bout du monde !
- De quel monde ?
- N'importe le quel de moment que……….
- Du moment que quoi ?
Je répondais comme une écervelée:
- Du moment qu'on y aille tous les deux.
- Tous les deux, chiche.
Il devait penser que j'étais une fille facile, tant pis. Nous sommes partis pour le bout du monde sans nous presser. Ce n'est pas loin ce bout du monde sentier dans la forêt
- Nous voilà au bout d'un monde !
- C'est joli tous ces arbres.
- Oui mais on peut s'y perdre.
- Allons nous y perdre ensemble ce serait amusant.


Nous sommes descendu de la voiture fait une dizaine de pas quand il s'arrêtait pour me prendre dans me prendre dans ses bras. Il posait ses lèves sur les miennes, sa langue cherchait la mienne. C'était mon premier baiser avec un homme, alors que j'avais 25 ans. Ce baiser était très agréable, autant que ceux que nous échangions avec Martine. Il m'a pris par le bras pour me soutenir pendant notre promenade. Je m'appuyais sur lui, presque heureuse de son soutien. Un peu plus loin nous nous sommes assis sur une souche. Il m'a repris dans ses bras. Nous nous sommes embrassés longuement. Je commençais à avoir envie de lui, moi qui n'avais jamais connu de sexe masculin. Elle me caressait un sein: je le laissais faire. Il posait une main sur ma taille. J'avais envie qu'il aille beaucoup plus bas. Il a du deviner mon désir, puisqu il mettait une main sur un genou. Il passait sa main sous ma robe, me caressait l'intérieur des cuisses, montait, montait de plus en plus haut. Il arrivait à mon string. Je mouillais comme si c'était Martine qui me chauffait. Je mouillais même plus.
René m'excitait comme jamais, surtout quand il passait deux doigts sous l'élastique pour arriver sur mon bouton. Il me la caressait sans y appuyer. Il m'a faite jouir en peu de temps. Je serrais mes jambes autour de sa main. Je ne voulais pas qu'elles partent de là où elles étaient. Comprenant mon désir de recommencer, il m'a satisfaite encore deux fois.
Il fallait bien qu'à mon tour je lui prenne la bite pour le faire jouir. Ignorante totale des sexes masculins, j'arrivais à défaire sa braguette. Je forçais beaucoup pour lui sortir son morceau de chair. J'était étonnée de vois un sexe si gros.
Soudain j'arrêtais tout en me mettant à pleurer. Il se demandait ce qu'il se passait. J'avouais en disant que j'étais vierge, que je vivais avec une autre fille, que je n'avais jamais eu d'autre relation qu'avec elle. René me consolait:
- Pourquoi ne m'avoir prévenu, je n'aurais jamais été au bout du monde
- Si je devais aller avec toi jusqu'au bout de mon monde.

- C'est-à-dire ?
- Faire l'amour avec toi, avec un beau garçon qui me plait.
- Merci e me dire ça. Veux tu que je te fasse l'amour.
- Bien sur nigaud, j'en ai une envie folle.
- Et que dira ton amie.
Je n'en sais rien et je m'en fout totalement: elle m'a menti en disant que les hommes étaient tous des brutes qui ne pense qu'à leur plaisir. C'est toi qui m'as faite jouit avant toi
Il m'embrassait encore. Nos langues mêlées nous avons prolongé ce baiser une éternité. J'avais mis sa queue dehors, je voulais rattr mon geste de refus. Il a remis ma main sur sa bite, me demandait de la pendre à pleine main, me guidait pour que je lui donne du plaisir. Je me comportais comme une gamine qui ne connaît rien à la marche du sexe.
Soudain René me faisait arrêter. Je ne comprenais pas pourquoi je devait cesser ce que je lui faisais qui paressait bien lui plaire. Il m'a entraîné plus loin sur un tapis de mousse où nous sommes couchés. Nous étions derrière un rideau d'arbre: personne ne pouvait nous voir. Il m'a enlevé la robe, mon soutien gorge et enfin mon string. Je me trouvais totalement nue devant un homme. Mis à par mon père quand j'était bébé, il était le premier. Sans chichis, il était nu plus vite que moi. Je regardais son corps, pourtant aussitôt après je regardais sa queue. Je commençai à avoir peur de ce morceau de chair qui allait me dépuceler. Pourtant il était très doux. Il m'a embrassé partout avec une infinie tendresse. Il a mis sa tête entre les jambes, m'a léchée en venant sur mon bouton. Quand il a pris entre ses lèvres mon clitoris il a faillit me faire jouir de suite. Je me suis mordue un doigt fortement pour tenir le coup encore un peu: soudain je n'en pouvait plus: je jouissais. Il m'avait sucé mieux que Martine. Lentement, il est venu sur moi. J'écartais toujours les jambes. Sa bite était juste à l'entrée de mon sexe: il m'embrassait encore. Enfin il rentrait en moi. Au début il ne me faisait pas mal. Quand il était juste à mon hymen, il arrêtait pur que je lui dise une dernière fois que j'avais envie d'être une vraie femme.
Bien sur que je voulais. D'un coup sec, il a défoncé mon hymen et s'est trouvé en moi, au plus profond. C'était une sensation bizarre que de sentir dans mon ventre son sexe bien dur. C'était bien meilleur quand il a fait des vas et viens. C'était tellement bon que j'ai crié sans m'en apercevoir.
J'étais devenu une vraie femme. Je voulais qu'il recommence.
- Non, tout à l'heure. Tu es encore vierge de l'autre coté. Je vais de dépuceler le cul.
- Ça va faire mal.
- Non si tu me fais confiance comme tout à l'heure.
- Je veux bien. Il m'a faite tourner, m'a fait mettre à genoux. Il a pris toute ma mouille, l'a étalé sur mon anus. Il me rentre plusieurs doigts à la fois. Au début j'avais mal pour ensuite accepter ses doigts. Un peu plus tard, il me disait que j'étai assez élargie, il mettait sa queue sur mon cul et lentement il la rentrait. Au début j'avais mal. Je serrais les dents pour ne pas hurler. Je sentais qu'il me la mettait à fond en sentant ses couilles contre mes fesses. Quand il a commencé à aller et venir, je sentais monter enfin un plaisir encore inconnu. J'arrivais à jouir de cette queue dans mon cul. Je ne pensais pas arriver à cet orgasme. Je me souviens encore du cri de satisfaction que je poussais. René passait une main sous mon ventre pour me branler encore le bouton.
Nous avons arrêter de baiser tard: la nuit tombait. Je voulais le revoir. Il acceptait pour le lendemain soir.
En rentrant chez moi j'avouais à Martine que je lui avais été infidèle. Que je m'étais régalée de la bite d'un homme. Que finalement je préférais baiser avec lui plutôt qu'avec elle. Elle prenait la chose très mal: elle me giflait plusieurs fois. J'encaissais sans rien dire. Pour se faire pardonner Martine voulait me faire l'amour. Elle me mettait toute nue. Elle m'embrassait avec sa langue dans ma bouche. Je restais inerte. Elle arrivait à me faire jouir en me suçant, moins bien que René. Je ne lui rendais pas la caresse: je la branlais simplement en lui disant que nous deux c'était fini.

Plus tard je vivais avec René. Nous baissons de mieux en mieux: j"ai même appris à faire des fellations, à apprécier son sperme. Le fin du fin pour moi, c'est encore quand nous sommes en 69.
Il est fortement question de nous marier

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