Ma Femme Dominatrice M'Offre À Ses Copines - Partie 6 - Cocu Mais Heureux

Ce soir nous nous rendons chez Béa, une amie de ma femme, une dominante elle aussi. Ma première rencontre avec elle date de plusieurs mois, lorsque nous avons commencé à « jouer ». Pour ma femme et moi, « jouer » veut dire qu’elle devient ma dominante et moi son soumis, sexuel bien sûr. Elle peut me fouetter, m’attacher, je suis son sex toy pour la durée du jeu. Elle m’avait organisé une soirée chez nous au cours de laquelle elle m’avait donné à trois femmes, dont Béa. Ça a été le déclic pour nous deux, elle adore en effet faire la voyeuse et mater le spectacle d’autres femmes qui me soumettent à diverses « s ». Le scénario est toujours défini à l’avance, dans le respect de tout le monde. Notre amour et notre couple grandit à travers ces expériences.
Donc ce soir nous allons chez Béa pour une nouvelle expérience. J’y avais déjà été pour être livré en anonymat (cagoule de soumis, attaché sur un banc) à la lubricité de plusieurs femmes, des connaissances de Béa. Ma femme avait bien sûr assisté à la séance, masquée et discrète dans un coin de la pièce.
Ce soir c’est autre chose. Mon épouse a manifesté l’envie de satisfaire un nouveau fantasme qui a pris forme en elle, dit-elle, depuis nos nouvelles pratiques. Elle souhaite se faire baiser par un autre mâle, en ma présence de soumis.
- je voudrais pimenter encore nos jeux, je veux faire de toi un cocu consentant, soumis. Me faire baiser devant toi, je dis bien baiser, pas faire l’amour ; la nuance est importante à ses yeux me dit-elle.
Nous en avons discuté pendant une bonne semaine, la jalousie me rongeant déjà. Je conviens que ce n’est pas juste. Je goûte à plein d’autres femmes, même dans un contexte particulier, alors qu’elle…
Lorsque j’ai enfin été ok, un peu réticent mais surtout très angoissé, elle a tout organisé avec Béa. Je suis certain qu’elles avaient tout concocté par anticipation. Elle m’a proposé un code entre nous, une petite phrase à sortir si ça me rebute vraiment et elle arrêtera tout.

« on ne fera rien sans le consentement de l’autre », m’assure-t-elle.
Nous sommes presque arrivés. Durant le trajet elle ma tenu la main, m’a rassuré sans cesse. « C’est juste une autre façon de nous faire plaisir mutuellement, de profiter de la vie. Ça ne changera jamais l’amour, l’estime et le respect que j’ai pour toi ; c’est toi l’homme de ma vie, personne d’autre ».
Ça me touche beaucoup mais je demande quand même qui est le mâle qui va me cocufier ce soir.
Elle me dit qu’elle l’a déjà rencontré avec Béa, qu’il est au courant de nos jeux et qu’il saura comment se comporter. Elle ajoute que c’est un jeune (25 ans) et qu’il est très vigoureux d’après Béa ??? J’ai 50 ans, ma femme 48, mais le gamin adore les femmes mûres paraît-il. Nous sommes arrivés, ma femme me met la main sur le pantalon et constate mon érection. Je suis aussi un soumis cérébral plaisante-t-elle.
- on joue ?
- oui maîtresse.
La partie est lancée. Nous sortons de la voiture. Elle sort de son sac à main le collier de soumis et la laisse qui va avec et me dit de mettre tout ça. Béa nous ouvre et nous pénétrons chez elle. Elle sourit en voyant le collier et la laisse que tient ma maîtresse, elle sait que le jeu est amorcé.
- Steve ne devrait pas tarder, dit elle
Elles m’emmènent dans la même pièce que la dernière fois, équipée pour des parties fines un peu spéciales. Un grand lit a été rajouté depuis l’autre fois, spécialement pour cette soirée dit-elle. Mes deux maîtresses s’embrassent goulûment. Une angoisse sourde me ronge.
- allez le soumis, à poil, tu seras attaché, me dit Béa.
J’ai oublié de préciser que pour la circonstance elle est en tenue de domina, avec une combinaison cuir noire, des fermetures éclair aux endroits stratégiques (poitrine et entrejambe). Ma femme a mis sa jolie robe bleu roi, des bas résilles noirs et des escarpins noirs. Elle est mignonne, aguichante, comme il se doit. Je suis nu, avec une érection formidable.

- il bande comme ça depuis tout le trajet ; ça t’excite dis donc l’idée de me voir sautée par un autre ?, dit ma femme.
- Elle va bien se faire baiser tu verras, moi je m’occuperai de toi, mets ta cagoule de soumis, fait Béa.
Je n’ai rien à répondre, je suis un peu ko. Je mets la même cagoule en cuir que l’autre fois, ne restent apparents que mes yeux, le nez et la bouche. Béa m’attache à la potence en croix par les poignets et les chevilles, à un mètre du lit.
On sonne, Béa part ouvrir. Ma femme s’approche de moi, m’embrasse et me dit :
- profite bien du spectacle, je te confie à Béa ; ce soir j’ai envie de me faire baiser comme une vraie salope, je vais te faire cocu, laisse toi aller, regarde moi, je t’aime.
Béa revient, suivie de Steve. Il est grand, mince, cheveux noirs mi longs, des yeux gris bleus. Un mec vraiment mignon, d’allure franche et virile. Il est en chemise, jeans. Il me lance un regard appuyé et me sourit. Je bande toujours.
Il fait la bise à ma femme qui se colle à lui. Elle me lance un regard profond, suivi du petit clin d’œil qui n’appartient qu’à nous. Du coup je me détends, mon espèce de jalousie mal placée fait place à une envie énorme de voir ma chérie prendre du plaisir. Je me libère complètement, je sais aussi que je ne serai pas perdant grâce à l’ingéniosité et à l’imagination de ces deux libertines.
Béa prend place dans un fauteuil à côté de moi, les futurs amants restent debout juste devant nous.
Ma femme pose ses mains sur la poitrine de Steve et commence à le bécoter dans le cou, elle se retourne et se colle à lui. Il lui enserre la taille, elle presse ses fesses contre son pantalon, on peut voir qu’il bande aussi. Elle commence à onduler sans me quitter des yeux, Steve remonte ses mains et commence à lui pétrir les nichons. Elle dégrafe sa jolie robe bleue, il ouvre la fermeture éclair, la robe glisse au sol, dévoilant un soutien gorge, une culotte et un porte jarretelle bleus du plus bel effet.
Elle repousse la robe du pied, Steve lui reprend les seins et les malaxe à travers le soutif.
« attends » souffle-t-elle. Elle s’écarte un peu, ôte le soutien gorge et sa culotte. Elle prend Steve aux épaules, le fait s’agenouiller devant elle et colle son bas ventre contre son visage. Puis elle relève une jambe, pose un pied sur le lit. Le mec a compris, il sort sa langue et commence à lui brouter le minou. Elle ondule sous le léchage adroit du jeune mâle, lui prend la tête et la presse contre son sexe. L’autre introduit un, puis deux doigts dans la fente et commence à la doigter tout en la léchant copieusement maintenant. Lui aussi se lâche. Tout ceci à un mètre de moi.
Béa tend son bras et entreprend de me caresser la queue du bout des doigts, elle me regarde et me sourit. Je suis totalement perdu entre de la rage, du bonheur, une reconnaissance infinie. A présent Béa m’a décalotté et me serre la verge d’une main ; avec les doigts de son autre main, elle me frotte le gland, lentement mais sans aucune pitié. Je suis au bord de l’orgasme mais je n’y arriverai pas de cette façon. Béa le sait, elle sourit et me dit, assez fort pour que les deux autres puissent l’entendre :
- toi tu as interdiction de jouir, le plaisir ce soir c’est pour ta maîtresse.
Ma maîtresse s’est allongée sur le lit, cuisses largement écartées dans notre direction. Son jeune étalon se met au dessus d’elle, tête bêche, lui met son sexe dans la bouche et commence à faire des va et vient de son bassin. D’une main il entreprend de lui caresser la chatte qui commence à bien couler. Le rythme s’accélère, maîtresse pousse des petits cris de plaisir, le jeune mâle lui baise la bouche. Maîtresse soulève le bassin, Steve colle sa bouche contre son sexe et la suce. Ils se goûtent ainsi pendant de longues minutes. Ça n’en finit pas, les cris de plaisirs deviennent de plus en plus forts, saccadés ; l’orgasme approche.
Béa me masse toujours le gland en regardant les ébats.
- regarde, ta femme va bientôt jouir.

Steve augmente la cadence, sa tête oscille de gauche à droite, d’avant en arrière. Il doigte ma femme à toute vitesse, on entend le clapotis de sa chatte trempée. Elle lâche la queue et je l’entends crier son plaisir : « oh mon dieu, oui, oui, oui, ». Béa arrête son manège, me serre la verge de toutes ses forces puis elle me lâche d’un coup. Elle agrippe mes testicules, les tire et me rappelle la consigne : « interdit de jouir ». Ma frustration est énorme.
Steve retourne ma femme, se met une capote et se couche sur elle, en missionnaire. Maîtresse remonte ses cuisses, j’ai une vue de première sur sa chatte et son anus. Je vois la verge gonflée de Steve entrer lentement en elle et commencer un va et vient langoureux.
- là t’es vraiment cocu, me fait Béa.
Et elle reprend son manège sur mon gland. J’essaie de lancer mon bassin en avant, mais Béa accompagne mes tentatives où me lâche à chaque essai.
« oui oui , baise moi, vas y » grogne ma maîtresse. Steve ne se fait pas prier, il commence à la pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite. Elle ponctue ses coups de boutoirs de petits cris, on entend le claquement de ses fesses contre le pubis du garçon. Je vois les couilles de Steve frapper le cul de ma bien aimée.
- il la baise bien, je trouve, me fait Béa avec un sourire innocent.
Je deviens fou entre ce que je vois, ce que j’entends et cette masturbation qui n’en est pas vraiment une. Je m’agite contre ma poutre mais je suis bien attaché. Steve procure une suite d’orgasmes à ma douce chérie. Il la pilonne de plus en plus vite jusqu’à ce qu’ elle hurle son bonheur puis il recommence doucement, attentif à la montée du plaisir. Quand il sent que ça vient il accélère et la défonce jusqu’à l’orgasme suivant. Béa continue son traitement sur ma verge et mon gland, imperturbable ; les deux amants se séparent enfin, Steve se met sur le dos. Ma femme reprend ses esprits. Elle jette un œil vers moi et sourit, elle voit comment Béa s’occupe de ma queue et se marre. Elle fait signe à Steve de se déplacer un peu et s’installe sur lui en 69. J’ai une vue sur la bouche de Steve qui lui lèche le sexe, mais aussi sur sa bouche à elle qui lui pompe avidement la queue. Elle est en appui sur les deux mains et suce la verge pendant qu’elle frotte sa chatte sur le visage de l’étalon. Steve remonte son bassin en prenant appui sur ses pieds, elle peut mieux sucer ainsi. Là aussi ils font durer la chose de longues minutes ponctuées de râles de plaisir. Ils parviennent enfin à un orgasme simultané. Ma femme laisse couler un peu de sperme de ses lèvres pour que je voie bien, le reste est avalé. Elle baise le visage du jeunot et lui coule abondamment dans la bouche dans un dernier orgasme. Ils se séparent et s’écroulent sur le lit. Steve se relève et sort, ma maîtresse vient se coller contre moi.
Sans un mot elle cale mon sexe entre ses cuisses et se frotte les lèvres de sa chatte dessus. Elle est chaude, gonflée et trempée. Puis elle m’embrasse à pleine bouche, partageant avec moi les restes de foutre qu’elle vient d’avaler. J’explose et j’éjacule entre ses cuisses. Elle arrête tout de suite et m’engueule.
- ça va pas non, tu éjacules à tort et à travers.
Elle ponctue ses paroles de bonnes claques sur ma verge, le reste de mon sperme reste bien sagement au fond de mes couilles. Béa éclate de rire, ainsi que Steve qui était revenu entre temps.
Je gémis de honte et de rage mais je sais aussi que c’est le jeu de ma dominante. Mon orgasme a été frustré mais j’ai bon espoir. Mes maîtresses finissent toujours par me combler, je suis fier des orgasmes de ma femme !
Elle et son amant s’assoient sur le lit, devant moi. Béa vient se frotter contre moi, elle appuie sa cuisse gainée de cuir contre mon sexe, me caresse ou griffe ma poitrine.
- alors le cocu, on gicle sans ma permission ? fait elle avec un regard vers les deux autres.
- Je pense qu’il faut le punir, il ne sait vraiment pas se tenir, renchérit ma maîtresse. Moi je vais encore m’amuser avec Steve, fais en ce que tu veux.
Elle prend sa queue et le masturbe doucement. Steve se met en arrière, en appui sur les coudes et se laisse faire.
Béa revient avec une cordelette et un petit fouet. Elle s’accroupit et entreprend de me ficeler les testicules et la base de la verge. Pour y avoir déjà eu droit je sais que cela va augmenter considérablement la sensibilité de mon sexe et ralentir, voire empêcher toute éjaculation. Je bande terriblement et je sens déjà les battements dans ma tige, mes couilles gonflent. Puis elle prend le fouet, me caresse le sexe avec la lanière et dis aux autres :
- il faut reculer un peu pour que je puisse bien le fouetter.
Maîtresse et Steve s’installent confortablement en tête de lit, calés entre les coussins. Ma femme, cuisses ouvertes, offre sa chatte à la main caressante du garçon et continue de lui masser doucement la bite.
Béa commence par quelques petits coups sur ma poitrine, histoire de prendre la mesure, puis elle accentue la force et la cadence. Ça brûle, je grogne. Elle vise les tétons, elle est plutôt adroite. Steve est aux anges, ma femme aussi, elle branle son amant un peu plus vite ; il est vraiment endurant le bougre, je dois le reconnaître. Béa descend doucement et me cingle le ventre, puis elle remonte de nouveau. Ensuite elle me frappe les cuisses. Chaque coup me pique terriblement, mais c’est supportable, ça ne laisse aucune trace. Ça reste un jeu.
- alors cocu soumis, tu aimes être fouetté ? me demande maîtresse
- oui maîtresse
- tu as aimé comme Steve m’a baisée ?
- oui maîtresse
- tu en veux plus ?
- oui maîtresse
- allez Béa, vas y carrément. Tu as entendu le cocu, il en veut plus le salaud, dit elle en rigolant.
Ma femme et moi nous savons que durant nos jeux j’aime être humilié, elle ne se fait pas prier.
Béa entreprend alors de me fouetter le sexe. Elle vise la hampe, puis le gland. Elle alterne avec des coups de bas vers le haut sur les testicules. Maîtresse suce à présent Steve, je connais ses talents, le gars est au septième ciel. Moi aussi d’ailleurs. Les coups de fouet de ma tortionnaire sont précis, je sens mon sexe gonfler encore, ça chauffe terriblement. Maîtresse est de nouveau en train de se faire baiser par Steve, en missionnaire. Elle tourne la tête de notre côté, Béa frappe fort à présent. Steve se met sur le dos et ma chérie le chevauche, à l’envers, toujours tournée vers nous. Elle gémit sans arrêt son plaisir en regardant Béa me fouetter; Steve est chevauché à une cadence infernale, puis maîtresse agite son bassin d’avant en arrière, collée sur son amant. Elle fait coulisser la verge dans son vagin, ses yeux sont chavirés de bonheur. Je suis pratiquement en transe, je tremble de plaisir et d’excitation, la vue de ma femme qui baise ainsi me transporte dans une autre dimension. Ces deux femmes sont, à mon avis, exceptionnelles. Les orgasmes de maîtresse se succèdent, Steve crie son plaisir et les deux amants retombent de part et d’autre. Steve caresse ma femme sur tout le corps et la couvre de bisous reconnaissants. Béa arrête le fouet, se colle à moi et me met des câlins partout.
- c’était super, me glisse-t-elle.
Je ne sais pas si c’est une question ou un compliment, je suis vidé.
Elle me détache et m’ordonne de m’allonger sur le lit.
- tu vas me lécher, cocu.
Elle se positionne au dessus de mon visage, ouvre la fermeture éclair de sa combi cuir. Son sexe luisant de plaisir vient se coller sur ma bouche. Je lèche ce cadeau avec reconnaissance. Je sens un autre corps se coucher sur mon ventre et me caresser. Béa se presse fort sur moi, sa chatte est adorable, j’y avais déjà goûté à une autre soirée. Elle ondule doucement du bassin et un filet de mouille me coule dans la bouche. Je bande comme jamais. Le corps au-dessus de moi commence à s’agiter en cadence.
- c’est ta maîtresse qui se fait masturber, me dit Béa
Elle se frotte sur mon visage jusqu’à ce qu’un orgasme puissant la fasse exploser. Des jets de mouille m’inondent, je bois ce que je peux.
Béa se dégage et ma femme se met à sa place. Elle s’agenouille sur mon visage, trempée, ouverte comme je ne l’ai jamais vue. Steve se met debout devant elle et elle le suce en me baisant la bouche.
Ensuite Steve se colle derrière elle, je vois sa queue entrer dans son vagin, ses testicules sont sur mes yeux et mon nez.
- tu es aux premières loges me glisse Béa.
Elle s’allonge contre moi m’enlève la cordelette et me suce doucement.
- tu l’as bien mérité, fait-elle.
Steve baise ma femme au dessus de mon visage, elle s’écrase sur moi, je comprends que je dois lécher. Ma langue trouve le clito, je fais ce que je peux.
Béa calque sa fellation sur les ébats des amants au dessus de moi. Steve procure plusieurs orgasmes à maîtresse, les gouttes de son plaisir tombent sur mon visage ; sur la fin elle jouit sans arrêt en hurlant son bonheur, je crois même percevoir des sanglots de plaisir. Sur une dernière série de coups de reins, violents, rapides et profonds, Steve explose en criant. Béa qui m’avait maintenu au bord de l’orgasme me suce sans retenue et branle ma verge à toute vitesse. Je jouis interminablement dans sa bouche, elle n’en perd pas une goutte ; Steve s’est retiré, ma femme écrase sa vulve sur ma bouche et s’allonge sur moi. Je nettoie avec ma langue.
Steve et Béa sortent se rafraîchir, ma femme se love contre moi et plonge son regard dans le mien, sa main vient me caresser la joue dans une infinie tendresse. Des larmes, de bonheur j’espère, lui embuent ses jolis yeux.
- Merci, merci mille fois mon chéri.
Je ne réponds rien, anéanti, je suis sur un nuage.
Nous nous collons l’un à l’autre, plus rien n’existe autour de nous.
Le retour de Béa nous redescend sur terre, Steve s’est éclipsé. C’était convenu ainsi.

J’ai quitté mon statut de cocu soumis, les femmes celui de dominas. Mais nous échangeons comme d’hab nos impressions.
Comme il est tard et que nous avons deux heures de route pour rentrer, Béa nous propose de passer la nuit chez elle. Ce serait plus sûr, vu l’air épuisé que nous avons.
Nous acceptons volontiers, elle nous indique la chambre d’amis et tout le monde va se coucher.

Après une bonne nuit de sommeil j’ai envie de me promener un peu. Ma femme dort encore, la maison est silencieuse. Je sors prendre l’air, sans faire de bruit.
Après une bonne heure de promenade je reviens, bien décidé à préparer le petit déjeuner pour tous les trois.
Je monte vite faire un bisou à ma chérie et sur le palier je perçois des gémissements sortant de la chambre. Je m’approche doucement et par la porte entrebaîllée j’aperçois ma femme et Béa, étroitement enlacées dans le lit, nues bien sûr. Là pour le coup je suis scotché ! elles se sourient, s’embrassent et se caressent mutuellement sur tout le corps. C’est doux et très joli à voir. Ma femme perçoit ma présence à la porte et elle me fait le plus naturellement du monde « bonjour mon chéri, tu peux venir te recoucher avec nous si tu veux ». Béa me sourit et me tend la main, une telle invitation ne se refuse pas, je me déshabille et je vais me pelotonner entre ces deux bijoux. Elles gloussent gentiment et entreprennent de me caresser, je leur rends la pareille, personne ne dit un mot. On se regarde, on se sourit ; ma femme m’embrasse tendrement en plongeant ses yeux magnifiques au fond des miens.
- bien , je vais vous laisser, les amoureux, fait Béa.
- Non, reste avec nous, c’est trop bon tous les trois ensemble, je réponds.
- Il n’y a aucune raison de partir, renchérit ma femme.
Nous reprenons les câlins, ma femme m’embrasse à nouveau. Je lui rends ses baisers, mais d’instinct je distribue également des baisers à Béa. Elle se rétracte un peu, ne sachant quelle position adopter.
Ma femme rigole gentiment. Elle m’explique que Béa et elle se sont découvert une attirance mutuelle depuis le début, qu’elles n’ont concrétisé que ce matin, et encore ajoute-t-elle en riant, tu es rentré un peu tôt. Béa fixe ma femme puis moi et m’embrasse passionnément. Sa langue fouille ma bouche, elle me caresse les cheveux, ma femme nous sourit, caresse les joues et la tête de son amie amante, puis la mienne avec une infinie tendresse. Le moment est magique, unique. Sans une parole, les mots seraient superflus, nous nous embrassons les uns les autres, nos mains caressent nos corps, dans une communion parfaite.
Allongés côtes à côtes, je demande à Béa si son mec est au courant de ses pratiques sexuelles. Elle m’explique en rigolant que c’est lui qui l’a aidée à aménager la « pièce à supplices ». Il ne partage pas du tout ses goûts, par contre il a ses aventures de son côté, étant fréquemment en déplacement. Il n’accepterait pas du tout ces jeux de dominants et de soumis. Ils ont bien essayé mais ça ne prend pas chez lui. Ils s’aiment, dit-elle, à leur façon ; ils sont ensemble depuis vingt ans.
Puis elle me félicite pour ma façon d’accepter, de jouer aussi bien mon rôle de soumis, cocu en plus depuis cette nuit, ajoute-elle, en riant. Ma femme me prend la tête dans les mains « Merci, merci de tout cœur pour ce que tu m’offres ». Je leur réponds que ce qu’elles me font vivre, elle, Béa et toutes les femmes qui ont « joué » avec moi depuis, est absolument génial pour moi. Je sais maintenant qu’une partie de moi est faite pour cela et que pour rien au monde je ne voudrais y renoncer. J’aime mon côté soumis, le plaisir infini que cela me procure et je l’assume pleinement.
- il y a quand même un truc qui me chiffonne, dit Béa, pourquoi tu ne veux pas de sodomie, ou au moins qu’on te pénètre un peu le cul, comme tout bon soumis.
- En fait je ne sais pas, je trouve ça bizarre, j’ai peur que ça fasse mal.
- Et tu acceptes le fouet, les coups sur ta verge et tes couilles, ça te fait même bander. Je t’assure que si c’est bien fait c’est super bon. D’ailleurs j’adore ton petit cul ferme et j’en rêve.
- Moi aussi, fait ma chérie, mais je n’ai plus insisté, tu me laisses faire tellement d’autres trucs super avec toi.
- Tu ne veux pas essayer, vraiment, avec moi, là, et ta petite femme.
Le regard implorant des deux déesses a raison de mes réticences, je veux bien essayer. J’ai droit à des caresses des deux nanas, elles me câlinent.
- détends toi, laisse toi faire, me chuchote ma chérie au creux de l’oreille.
Béa me caresse doucement le sexe, les couilles, l’entrejambe. Ma femme s’est collée tout contre moi et m’embrasse. « ça va aller, ça va être un bon moment, tout doux, tu verras, laisse toi faire par ma copine ».
C’est vrai que j’ai confiance en elles. Béa me caresse la verge, elle a glissé vers le bas. Ma femme n’arrête pas de m’embrasser. Je durcis terriblement sous les doigts habiles. Son autre main me palpe les fesses sans arrêt, je remonte mes cuisse et je les écarte bien, je suis tout surpris. Béa me prend en bouche et me suce, tendrement, elle fait couler de la salive vers la raie de mes fesses. Pendant la fellation son doigt rôde autour de mon anus et lutine mon petit trou. Ma femme, entre deux baisers, regarde faire son amie. J’ai une confiance totale en ces deux femmes magnifiques. Béa enfonce tout doucement son index dans mon cul, je me cabre.
- tout doux mon chéri, ça va aller, détends toi, fais confiance à Béa.
Le doigt ressort, elle le tourne autour du trou, puis une nouvelle tentative, un peu plus loin à présent.
Elle me suce la queue avec une attention hors du commun, son doigt entre un peu plus loin encore et ressort. Elle ne me brusque pas, attentive à ma moindre réaction, c’est génial.
- tu peux y aller, lui dis je timidement.
Ma femme me serre contre elle et Béa m’enfonce son doigt, lentement, mais jusqu’au bout cette fois ci. Puis elle ne bouge plus. Je me sens pour ainsi dire, rempli. Je n’ai ressenti aucune douleur, aucune gêne, plutôt un sentiment de bien être qui m’irradie le bas ventre. Béa ne bouge plus son doigt et continue de me sucer divinement. Mon dieu que c’est doux. Le doigt ressort, lentement, puis elle me pénètre à nouveau, reste bien au fond un petit moment et ressort doucement. Ma femme a collé sa bouche contre la mienne, nos langues se cherchent. La fellation de Béa se fait plus insistante, mais toujours dans la douceur. Le mouvement de son doigt s’accélère dans mon cul, mes fesses se contractent et se relâchent au rythme de la pénétration. Mon bas ventre irradie une douce chaleur qui rayonne partout dans mon corps. Entre deux baisers je murmure : « putain, c’est bon, putain que c’est bon ! ». Rassurée par ces paroles Béa me doigte de plus en plus vite, en faisant tourner son doigt dans mon cul, je commence à tressaillir de plaisir.
- oh mon chéri, tu aimes te faire enculer, c’est bon , tu vas voir.
C’est le moment que choisit Béa pour mettre un deuxième doigt. Mon cul s’ouvre tout seul à présent. Elle me suce avidement et me pilonne le cul de ses deux doigts, je n’ai pas mal du tout, au contraire. Un plaisir inconnu commence à brûler dans mon ventre, ma verge sucée habilement grossit encore et développe une sensibilité inconnue. Le plaisir nouveau monte en moi, j’explose dans la bouche de ma suceuse, elle continue à sucer, un peu plus doucement, elle me garde en bouche et agite rapidement ses doigts dans mon cul. Fulgurant, un deuxième orgasme, différent, me transperce, mais venant du plus profond de mes entrailles. Je crie mon bonheur en me tortillant de plaisir. Béa se retire doucement. Je retombe, anéanti, sur le lit. Elle vient m’embrasser, les deux femmes me couvrent de bisous en me souriant.
- tu vois, je t’avais dit, me fait Béa.
Je n’ai rien à répondre, mon visage radieux en dit assez.
Aussitôt les filles décident d’inclure ça au prochain jeu. Béa m’assure que le cocu soumis va se faire enculer bientôt. On éclate de rire.
Pendant le petit déj, ma femme revient sur le sujet. Elle a passé une soirée formidable, Steve est super, attentionné, excellent baiseur. Elle a particulièrement adoré voir Béa me fouetter pendant qu’elle se faisait baiser. Moi je leur explique que j’ai aimé voir ma chérie se faire prendre, attaché et malmené par Béa. Ma jalousie a fait place à un sentiment d’excitation exceptionnelle, je dis à ma femme quelle est magnifique lorsqu’elle jouit. J’aime beaucoup quand elles m’obligent à sucer leurs chattes, assises sur moi. Toujours ce côté soumis ! les paroles crues me plaisent beaucoup aussi. J’aime être humilié par elles. Ça me fait drôle d’avouer cela mais je n’y peux rien, c’est ainsi, c’est au plus profond de moi. Béa est rassurée, elle avait peur d’avoir été un peu trop dure. Je la rassure, j’aime.
Ma chérie aimerait recommencer, pas tout de suite, dans quelques semaines. Elle me prend la main et nous explique, le souffle court, qu’elle voudrait être prise durement par Steve et un deuxième gars, si possible, sous mes yeux de soumis. C’est Béa qui devrait être le maître de cérémonie, si elle veut bien.
Elle va nous organiser cela, dit-elle. Elles en frémissent déjà de plaisir anticipé ! et moi aussi.


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