Les Tribulations D'Un Cadre De L'Agro Alimentaire - 3Ème Partie.
Comme cest dusage dans certains sports, il y a souvent une troisième mi-temps. Cest aussi lusage lors des soirées de clôture des salons professionnels qui sont parfois loccasion de fêtes débridées.
Cette année, jétais chargé avec un collègue de la société agro-alimentaire pour laquelle je travaille dassurer la dernière après-midi sur le stand jusquà la fermeture des portes. Les collègues du matin se chargeaient du démontage du stand le lendemain avec des manutentionnaires.
Les dernières heures avaient été plutôt calmes et, avec Bruno, nous avions bavardé une bonne partie de laprès midi avec deux hôtesses qui tenaient le stand voisin du nôtre avec un commercial dune grande entreprise bien connue. En fait, elles nétaient pas du tout dans la profession ! Pardonnez-moi lexpression, elles avaient été embauchées spécialement pour la durée du salon pour distribuer des échantillons et dépliants publicitaires
C'est-à-dire jouer les « potiches » !
Agées denviron vingt-cinq ans, assez grandes lune et lautre, leur silhouette élancée était mise en valeur par leur tailleur strict mais élégant, des chaussures à talons et des bas à couture, ce qui est rare à notre époque Cétait certainement leur tenue de travail habituelle car une broche dorée et discrète au revers du col indiquait le nom de leur agence. Les cheveux longs étaient artistement arrangés en chignon assez lâche. Lune était brune, très typée méditerranéenne voire même maghrébine, lautre avait des cheveux auburn avec un visage constellé déphélides
Une vraie rousse !
En plaisantant, nous avions lancé quelques allusions orientées « SEXE » auxquelles elles avaient répondu facilement sur le même ton badin. Peut-être avions nous une chance à tenter ? Lorsque nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur le parking, la soirée était déjà bien entamée. Avant de reprendre nos voitures respectives sur le parkings réservé aux exposants, nous les avons invitées à prendre u pot « en toute amitié » dans un des bars-brasseries de laéroport de Roissy tout proche.
Nous avions trouvé une table dans un coin discret de la brasserie où nous avons poursuivi notre flirt avec ces deux coquines qui se laissaient draguer aussi facilement. Javais jeté mon dévolu sur Chaïma la brune et Bruno était avec la rousse. Assis sur la banquette, ma cuisse gauche pesait sur celle de ma voisine qui se collait à moi. Je sentais la douce pression dun sein bien ferme contre mon bras, ce qui ma incité à passer mon bras derrière cou de ma voisine en laissant négligemment ma main descendre dans lencolure de la veste pour empaumer un sein. Elle ne refusa pas
la pression de sa cuisse contre la mienne se renforça même. En face de nous, Bruno et Inès étaient un peu plus avances. Ils sembrassaient déjà à bouche que veux-tu et il avait ouvert la veste pour aller caresser un sein par-dessus le corsage.
Le lieu nétait guère propice aussi, avec la complicité du réceptionniste de lhôtel Campanile, nous avons pu louer une grande chambre avec deux lits dans laquelle nous avons emmené nos conquêtes. Tous les quatre, nous étions bien chauds, non que nous ayons bu un peu trop, mais les préliminaires entamées dans la brasserie avec ces deux belles filles nous avaient bien conditionnés pour la suite
Lorsque nous sommes arrivés dans la chambre, ces deux coquines nous ont dit avec un bel ensemble :
Laissez-nous
Nous allons vous faire le spectacle
Après, vous pourrez nous baiser !
Inès a sorti son MP.3 et après avoir choisi une musique langoureuse, elles se sont enlacées pour sembrasser à bouche que veux-tu tout en se caressant par-dessus leurs vêtements
Puis, elles se sont déshabillées mutuellement, ne conservant au final que leur soutien gorge et un string pour Inès et un tanga de dentelle pour Chaïma.
Inès a fait basculer Chaïma sur un des lits et, à genoux sur le tapis, elle a commencé un cunnilingus très appuyé avec une main à moitié enfouie dans le sexe de la brune. Nous avions la vue sur ces beaux cops dans une pose oh combien érotique. Le contraste des deux, malgré la lumière atténuée, était flagrant. La peau dune blancheur laiteuse constellée déphélides dInès contrastait effectivement avec le teint mat de la belle beurette. Nous avions la vue sur le cul fendu, les hanches un peu larges sous la taille fine et au bas du dos, deux jolies fossettes. Ses cheveux dénoués masquaient un peu le ventre de Chaïma mais on distinguait un beau tatouage représentant un bouton de rose dont les pétales entouraient le nombril.
Sur le torse pointaient deux seins ronds et fermes avec un téton très légèrement sorti. Au dessus du sein gauche il y avait un grain de beauté
Dun geste de la main, elle avait ramené sur son visage limposante masse de cheveux noirs de son chignon défait, comme si elle ne voulait pas voir ce qui se passait pour mieux apprécier la caresse sur son sexe. Inès savait y faire car le plaisir de Chaïma est arrivé très vite
Quelque minutes plus tard, elles se sont relevées et dirigées vers nous qui ne portions
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