Münchner Freiheit Partie 1
Préambule :
Nayez crainte, je ne vais pas vous raconter ma vie. Néanmoins, selon ladage, comment savoir où lon va, si nous ne savons pas doù lon vient ? Afin que vous puissiez apprécier ce récit au plus près de son sens, je me dois de vous livrer quelques éléments clés. À la lecture de certains textes érotico-pornos, nous sommes parfois amenés à penser que lauteur affabule ou bien encore quil ne se rend pas vraiment compte des limites physiologiques humaines, nhésitant pas un instant à nous entraîner sur les berges glissantes « les berges », pas les verges de leurs délires, parfois paranoïdes.
Alors, jusquoù peut-on aller ? Est-ce par addiction, par pulsions irrépressibles que nous « consommons » autant de sexe ? Sommes-nous des cas isolés, des forces de la nature, des pervers ? Ne serait-ce pas plus simplement par passion, lenvie de vivre à 100 % ?
Le cerveau à deux étages, cest ainsi que je me vois. Cette sensibilité à fleur de peau, qui sans cesse me fait danser sur le fil du rasoir. Là où certains verraient la bisexualité comme un enrichissement, comme la possibilité de jouir indifféremment dans les bras dune femme que dans ceux dun homme, serait plutôt à mes yeux lexpression dune maladie auto-immune nous rongeant lâme par manque de repères stables et déquilibre.
Ma bisexualité sest autoproclamée vers mes 14 ans, sous forme de fantasme bien évidemment, à cet âge. Cette nécessité de connaître dautres sensations que celles offertes par le sexe opposé. Jouir des yeux en regardant ces puissantes verges disparaître à lintérieur de superbes plastiques féminines. En feuilletant mes revues pornographiques, un terrible dilemme simposait comme une évidence : prendre, ou être pris ?
Assez jeune, par une chaude nuit dété, jai rencontré Corinne dans un camp naturiste. Cette très jolie jeune femme, du haut de ses 20 ans, me fit découvrir les joies de lamour physique. Sa bouche sensuelle ne lui servait pas quà salimenter, je le compris lorsquelles glissèrent autour de ma hampe.
Aucun souci pour en trouver dautres, tout allait bien ; mes anciens flirts appréciaient ma récente maturité. Pourtant, jétais persuadé quun plaisir méchappait, mes fantasmes bi hantaient mes plaisirs solitaires et peuplaient mes rêves inavouables. Le rêve sest concrétisé peu après mes 19 ans, sur un lieu de drague homo. La quarantaine, beau mec, du bagout, je me suis retrouvé un verre à la main chez Stéphane. Après une longue discussion sur mes envies, il ma mis très à laise en se déshabillant lentement. Lorsque son pantalon sest ouvert, sa très belle queue, aussi grosse que réelle, sest mise à jouer les métronomes sous mes yeux ébahis.
Il métait enfin permis de goûter à ce fruit tant attendu. Ma première queue, ma première pipe, et surtout ce sperme qui inonde mes papilles émerveillées. Il ma laissé son sexe à disposition tout en soccupant de moi. Bien que très gros, il neut aucune difficulté à lentement simmiscer en moi. Et de sentir cette colonne de chair coulisser aussi librement entre mes reins, toutes ces vagues de chaleur se diffusant à lintérieur de mon ventre, m'ont fait oublier les légumes froids et rugueux qui lavaient précédé ! Quand son nud palpitant dans mon abdomen a propulsé son foutre en longues giclées, mon fantasme sétait réalisé : je venais de faire jouir un homme deux fois, et par mes deux orifices. Nous avons remis ça plusieurs fois, bien évidemment espacés de plusieurs jours afin de bien apprécier. Mais le besoin den découvrir dautres sest fait sentir.
Jai vite compris que tous les hommes nétaient pas égaux, et que seuls les très bien montés mapportaient LE plaisir que je recherchais. Jen ai testé un grand nombre, sans pour autant délaisser la gent féminine, restait prioritaire. Danielle était ma préférée, no limit, et un corps de rêve.
Dune façon inattendue, Patrick sest trouvé là, un soir de bringue. Quand il est arrivé à moi, je navais jamais eu un sexe aussi gros que le sien entre les lèvres. Déjà difficile à prendre en bouche, alors réussir à avaler toute la production qui en sortait relevait du défi ! Il restera celui à qui jai « taillé le plus de pipes ». Ses ressources étaient aussi abondantes quinépuisables.
Notre entente sexuelle a duré plusieurs mois. Mes fesses ne se touchèrent plus souvent lorsquil se décida à y succomber, tant elles étaient écartées pour le recevoir. Et que dire des heures à le sentir sécouler après quil a joui dans mon ventre. Un phénomène qui ma beaucoup ouvert et pas que lesprit, jusquà ce quune promotion lui fasse quitter la région.
Quelques mois plus loin, jai connu un nouvel homme très très intéressant. Nous sommes rapidement devenus des « potes réguliers ». Un sexe long comme un jour sans pain, circoncis, mais terminé par un gland colossal. À limage dun poing fermé au bout dun musculeux avant-bras, Franck pouvait naviguer une éternité entre mes reins. Dune infinie douceur, il samusait à me faire hurler de bonheur en me prenant tout doucement, mais
tout au fond de moi. Quel amant ! Cest le seul homme avec lequel il nous arrivait de véritablement faire lamour, bouches soudées, nos langues enroulées pendant quil me prenait tendrement. Cest le seul que jai embrassé à ce jour.
Et puis la vie ma permis de découvrir dautres régions, dautres orientations professionnelles, dautres gens, dautres façons daimer et dêtre aimé.
1. Münchener Freiheit !
Elle était belle comme le matin, blonde comme les blés, la croupe bien galbée et la poitrine ferme autant que haute. Elke (cest son prénom) moffrit simplement lasile sous son parapluie, presque hilare de me voir courir sous cette pluie incessante en sortant du métro avec mon blouson sur la tête. Son sourire lorsquelle minvita à labri révéla une dentition parfaite, étincelante, et ses yeux bleus tranchaient tant avec le ciel gris noir de cette fin daprès-midi quon eut dit le regard dun ange.
Où cours-tu comme ça ? demande-t-elle alors avec simplicité, comme si on se connaissait depuis longtemps.
Jhabite chez des amis justes au coin de la rue. répondis-je en la remerciant pour son hospitalité.
Oh, un petit Français ! sexclame t-elle, tout en marchant dans la bonne direction.
Munich est une ville ouverte, très jeune et dynamique. Le sud de lAllemagne ne souffre pas de la même psychorigidité que le reste du pays, et le contact est aussi simple que direct. La ville est déjà très cosmopolite.
Je toffre un café pour te remercier de ta gentillesse ? me risquais-je alors que lon passe devant un des très nombreux Kneippe (taverne, auberge) que compte la ville.
Elle accepte bien volontiers, et quelques minutes plus tard, cest devant deux grands MilchKaffee, les yeux dans les yeux, que cette jeune Allemande de 28 ans mexplique quelle travaille dans le cinéma comme Cameraman. Elle me questionne sur ma présence à Munich : lamour dune belle Munichoise ! Et même si nous ne sommes plus ensemble à ce jour, je suis tombé sous le charme
de cette langue, de cette ville, et de sa vie trépidante. Sa voix est douce, son beau minois me transporte, et jai de plus en plus envie de lembrasser. Les minutes passent à dialoguer tranquillement, nous ne sommes absolument pas pris par le temps. Comptant beaucoup sur la notoriété dont jouissent les Français dans cette ville, je la fixe intensément, et sans lui laisser trop le temps de réfléchir, je lui lance alors :
Tu me plais beaucoup, jai envie de toi.
Cette pratique, aussi déplacée quelle puisse paraître à nos yeux, est assez courante dans cette ville. Je ny croyais pas trop les premières fois, mais je me suis rendu compte que lon pouvait parler librement avec une femme, et lui signifier quelle nous plaît, sans drame. Du moins dans la tranche des 20-30 ans !
Toi aussi tu me plais beaucoup, mais ça risque
de ne pas être simple. Je ne suis pas seule. répond-elle.
Tout nest donc pas perdu, mais comprenant quici, il ne se passera rien, je lui demande sil sera possible de nous revoir, si elle accepte mon numéro de téléphone. Je le lui note sur un papier, puis, presque à regret, nous sortons. Si la pluie na pas beaucoup diminué, la nuit, elle, est pratiquement tombée. De nouveau, elle moffre asile à ses côtés sous son parapluie. Les quelques centaines de mètres qui nous séparent de chez moi se font lun contre lautre, son parfum enivrant mes sens, mon sexe sallongeant dangereusement dans mon pantalon.
Cest malheureusement déjà là. lui dis-je, réellement déçu.
Lentrée de cet immeuble de seulement deux étages est côté parc ; de conception moderne, une allée de verdure contourne le bâtiment. Elke maccompagne jusque sous le porche, soucieuse de mener « sa mission » à terme. Deux êtres qui ne se sentent pas attirés ne se retrouvent pas collés lun à lautre sous un parapluie.
Une fois à labri, je lui répète ma satisfaction de lavoir rencontrée, et quelle me manque déjà. Nos yeux pétillent, nos lèvres se rapprochent, je prends son menton de ma main et lembrasse avec fougue. Son bras menlace pour mieux répondre à ce baiser, sa poitrine sécrasant contre moi. Mon bassin part à la rencontre de son pubis, mon érection ne peut alors lui échapper, tandis que ma main descend sur ses fesses. Sa main quitte mon dos pour venir faire une estimation de mes attributs, prenant mes bourses à travers mon jean dans ses doigts, son pouce le long de mon membre.
Hummmmm, tu es long ! susurre-t-elle entre deux jeux de langue.
Je limplore de monter avec moi pour quelle se rende mieux compte de mon état, mais elle insiste en me disant quelle nen a plus le temps, même si lenvie
en serrant ma queue bandée.
La copropriété comprend un petit parc dagrément avec quelques jeux pour les s, un bosquet darbustes et quelques autres plantes. Je limplore de ne pas me laisser dans cet état, là, sous la pluie ! Sa bouche est si tendre à baiser, ses lèvres si pulpeuses
je lui prends la main et je lattire derrière le bosquet, dans la pénombre, et lui propose de tenir le parapluie.
Tu sais ce que tu veux, petit Français. me lance-t-elle en me tendant le parapluie. Je vais ten faire un bon, de Français !
Faire un Français, en Bavière, cest tout simplement faire une pipe, vous laurez compris ! De ses mains libres, tout en membrassant, Elke dégrafe mon pantalon, et plonge enfin une main secourable dans mon caleçon pour y saisir ma verge tendue. De son autre main, elle prend mes couilles gonflées en charge. Alors que je tiens bêtement ce parapluie, je mabandonne à cette merveilleuse jeune femme qui maintenant fait face à ma virilité
jaillissante.
Sa main sur ma hampe, sans lombre dune hésitation, ses lèvres maspirent le gland turgescent dans un prodigieux mouvement de tête, et fait tourner sa langue pour bien me caresser, jouant avec mon frein, puis ma couronne, dans un doux mélange de douceur, de chaleur et donctuosité
un écrin velouté. Son temps si précieux ne lui laisse peut-être que peu de liberté pour sexprimer plus tendrement. Pourtant elle se montre délicate, sautorisant juste quelques pauses autour de mon gland pour lexciter, avant de me repomper de plus belle.
Mes sens sont en émoi, ma seule main disponible est posée sur sa tête, laccompagnant dans ses mouvements. Je ne joue pas la longueur, de toute façon elle se veut efficace de manière à conclure le plus vite possible. Je lui parle en français dun ton suave, lui exprimant toute ma gratitude, ainsi que mon incapacité à lui résister. Ce qui est vrai ! Le sentant, elle me branle en pelotant mes bourses, me pompant maintenant de façon magistrale.
Ny résistant plus, je mabandonne complètement à cette belle bouche. Limage de ses belles dents blanches danse devant mes yeux alors que je retiens un cri qui trahirait immanquablement notre présence, éjaculant copieusement entre ses lèvres. Ce nest de toute évidence pas sa première pipe, et mon sperme na pas lair de lui faire peur. Elke vient de me libérer de toutes mes tensions, recevant mes jets brûlants sans sourciller, essorant mon sexe jusquà ce quil commence à ramollir.
Ma hampe toujours dans sa main, elle se redresse pour me faire face en me masturbant doucement. La tête légèrement en arrière, elle ouvre grand sa bouche ; malgré la faible lumière, je vois quelle a gardé une grande partie de mon foutre, et que de sa langue, le fait tourner, ses yeux dans les miens. Sa main passe dans mon cou et me tire fermement vers sa bouche. Tout en continuant sa caresse sur ma queue, elle membrasse et mélange nos salives à mon sperme, me le rendant par petits coups de langue pleins de sensualité.
Ta queue est très belle, petit Français, et très bonne, mais
je dois y aller. Une autre fois, je la voudrai en moi.
Se saisissant du parapluie, Elke sen va, sévaporant dans la nuit en me laissant sous la pluie, le pantalon dégrafé et la bite à lair. Il me faut bien ça pour retrouver le cours de mes pensées, refermer mon pantalon, et réaliser quune femme splendide vient de me tailler une pipe danthologie.
Revenu à labri sous le patio de limmeuble, le temps dune cigarette, je réfléchis à ce que jallais faire de cette soirée. Jaurais bien aimé la découvrir, la dévorer de la racine de ses cheveux jusquà ses orteils, savourer la texture de ses fesses en les mordillant, le goût de son intimité, palper sa généreuse poitrine
Je suis en train de me faire du mal, et bien que je vienne de jouir, mon membre sallonge de nouveau lentement dans mon caleçon : il men faut plus pour clore cette soirée. Verdammt ! (Putain !) Cest décidé, je ne peux en rester là pour ce soir.
Vite décidé, je grimpe les quelques marches qui me séparent de chez moi. Le temps de prendre une douche, je me jette dans mon jean sans rien dessous et jette ma veste en cuir sur les épaules. Un coup de parfum pour la route et me voilà de nouveau sous la pluie pour sauter
dans un taxi. Pas le cur à rester seul, besoin de boire un coup, de voir du monde. Bref, je trouverai bien un coin pour me changer les idées, Munich nest pas une ville où le se couche très tôt. Je jette mon dévolu sur un très célèbre bar à cocktails, le Schumanns.
Assis dans mon carrosse, je contemple la beauté de cette ville illuminée. Ma main posée sur ma verge libre de toute entrave mindique clairement le degré dexcitation dans lequel je me trouve. Alors que nous avançons, je constate que nous nous rapprochons dOdeonsplatz. La pluie a presque cessé, je parviens à lire les plaques de rues. Nous y sommes. Je règle pas de tarif de nuit à Munich et me fraie un chemin jusquau comptoir.
Les gens rient, parlent fort, trinquent... vivent, en fait. Je commande un de mes cocktails préférés : un Leicht Matrose. (Matelot léger, à base de rhum blanc. Il existe la version lourde, le Schwer Matrose). Je rencontre un collègue avec lequel nous refaisons le monde, mais au deuxième verre, je préfère méclipser avant dêtre saoul.
En traînant mes pieds, je me demande à maintes reprises ce que ma fait Elke pour être aussi présente dans ma tête ! Ce nest pas la première fille avec laquelle je vis une aventure brève, inopinée et insolite ! Mais elle... je ne sais pas. Enfin, si, jai très envie de la revoir. Dune rue à lautre, jarrive vers Prinzregentenstraße. Là, il y a un coin de drague homo autour de simples pissotières. À la lumière jaunâtre des réverbères, généralement, des ombres attendent de voir quelques nouvelles têtes arriver, exultant des volutes de condensation à la lumière des réverbères. Lorsquune personne manifeste son désir, elle se déplace vers les tinettes, et libre à soi de la suivre, ou non.
Je me cale contre le pat du pont surplombant lIsar (le fleuve traversant Munich), ouvre mon blouson de cuir, y plonge ma main pour choper mes clopes, histoire de prendre le temps dobserver les lieux. Pour oublier ma blonde, pourquoi pas un mec, après tout. Ce soir, il ny a quune seule âme. Vêtu dun imper 3/4 bleu marine, blond comme les blés, un homme marche doucement les mains dans les poches, le cou dans son col. Il est grand, et sil na pas dépaulettes factices, il est vraiment tanqué comme un gladiateur. Il sapproche et passe à deux mètres de moi, me fixe du regard, puis, dun pas tranquille, emprunte le pont par-dessus lIsar dun pas nonchalant.
Il ne désire visiblement pas du confort des toilettes, et je le comprends tout à fait. Lorsquil a parcouru un bon tiers du chemin, je me mets à le suivre. De lautre côté du fleuve, une placette arborée disposant de quelques bancs, éclairée par deux lampadaires offre un bien meilleur refuge pour sisoler sans risques. Il me tourne le dos, je mapproche doucement de lui. Lorsque jarrive derrière lui, il me fait face en souriant. Ses mains dans les poches, il écarte sans hésiter les pans de son long manteau. Cest direct, délibéré, japprécie.
Bandé à craquer, son sexe mapparaît alors. Une très belle queue, puissante, droite et pointée vers les cieux, dont les proportions semblent parfaites. Je magenouille devant cette uvre afin de mieux lapprécier et pouvoir la toucher. À peine ma main lenserre que son prépuce dégage un très joli gland. Je vais devoir le sucer, mais avant, je lui dis quelle est magnifique.
Aimes-tu ? me demande-t-il.
Pour réponse, je descends mes lèvres sur cette grosse bite, et mactive à la déguster. Propre, douce, cette belle verge trouve sa place dans ma bouche. Voyant que je suis décidé à le dévorer, il dégrafe sa ceinture, et laisse tomber son pantalon sur ses chevilles, rendant du même coup ses couilles accessibles, et je men occupe un peu au passage. Il sent bon, il est beau, et sa queue est un régal. De ses mains revenu dans ses poches, il referme son manteau sur ma tête comme pour me protéger, et, dans cette bulle de chaleur, je menhardis, faisant taper sa longue verge au fond de ma gorge.
Ma langue joue avec son gland, son frein, tantôt son méat, puis mes lèvres replongent à lassaut de la hampe, lui arrachant quelques spasmes, quelques encouragements. En quelques minutes, son gland se dilate encore, et il finit par me prévenir quil va jouir, ses grosses mains pressent alors ma nuque. Je laspire de plus belle, espérant que sa décharge soit à la hauteur de cette queue, car tout travail mérite salaire, et jadore être payé en liquide ! Jai soif de foutre, jattends laverse, impatient de goûter cet homme.
Comprenant que je désire quil reste en bouche, il me bloque alors la tête plus fermement, recule son mandrin afin de ne laisser que son gland massif en bouche, et me crie quil vient. Une secousse terrible se transmet sur toute la hampe, et son jet de foutre frappe mon palais avec une violence inouïe, remplissant ma bouche de son nectar. Jen avale un peu à titre préventif, mais déjà un autre jet frappe de nouveau, tout aussi puissamment. Mon Apollon semble être un terrible juteur, mais mon humble bouche est pleine ; je nai pas le temps den boire une once quun troisième jet se rajoute à lautre et sécoule par la commissure des lèvres. Le temps davaler ce qui reste, un quatrième spasme propulse une dernière rasade chaude, tout aussi copieuse.
Ses couilles dans ma main, lhomme débande légèrement en se remettant de ses émois. Ses mains ont lâché leur emprise. Je le prends ainsi complètement en bouche, et le sperme qui coule sur mon menton se dépose alors sur ses bourses et ma main. Je le nettoie cérémonieusement, puis me relève pour lui faire face. Jaime le sperme, jaime quun mec soit viril. Ce soir, ce mec ma rassasié, jen avais bien besoin. Son pantalon toujours sur les chevilles, son sexe encore long trouve refuge dans ma main. En me redressant, il me dit que je lai divinement bien fait jouir.
Tu gicles toujours autant ?
Lorsque jai vraiment envie dêtre sucé, je récompense volontiers. ironise-t-il.
Il réajuste ses vêtements, me tend un kleenex en me disant que mon menton et mon cuir sont encore pleins de foutre. Assis le temps dune clope, Je lui exprime ma gratitude. Il est bi comme moi, 27 ans, 1,90 mètre. Lorsque je lui dis quil est vraiment beau, il men remercie et me confie quil est danseur et mannequin.
Finalement, nous nous remettons en route, je laccompagne, rien ni personne ne mattend. Chemin faisant, nous bavardons. Il travaille pour une agence de la ville, pose pour des catalogues principalement et quelques rares fois pour du nu soft. Je le taquine sur ses succès féminins, il en convient, mais me dit apprécier la compagnie des hommes, quil trouve plus directs.
Un café, un verre ? Jhabite ici. mindique le beau gosse en sarrêtant devant une grande porte-cochère.
Tu me fais le coup du dernier verre ?
Oh, un grand garçon comme toi ne doit pas être trop farouche ?
Je le suis jusquau premier étage. Son appartement spacieux et plutôt bien meublé. Udo me propose de masseoir dans le canapé, met un peu de musique. Jaccepte finalement un café, jai assez bu dalcool ce soir., de plus, après « sa délicieuse crème », ce sera parfait !
Tu as encore soif de sexe ? me demande-t-il en revenant avec deux grands mugs.
Ne me prends pas au mot, jadore sucer. Surtout si tu décharges toujours autant.
Son sourire est splendide, cest une belle gueule dange, il nest pas mannequin par hasard. Il commence alors à se déshabiller, et je me retrouve rapidement avec un colosse entièrement nu en plein milieu dun bel appartement. Et moi qui pensais rentrer tranquillement me coucher juste après un peu de sexe libérateur derrière un arbre. On ne tombe pas sur des « bons plans » à tous les coins de rue. Pourtant, quelle belle statue grecque ! Sauf que ma statue à des organes génitaux largement plus avantageux que ceux généralement représentés sur les célèbres sculptures.
Musclé, mais pas trop pour garder une apparence humaine, un corps très équilibré en proportion, un long sexe parcouru par une impressionnante veine, le tout terminé par un beau prépuce, finissent de rendre le personnage attrayant. Il sapproche et vient placer sa belle demi-molle devant mes lèvres, qui nattendent dailleurs que dêtre violées.
Pompe-moi, sil te plaît. intime-t-il.
Son adorable accent Bavarois pur jus (accent que jaffectionne particulièrement, surtout le Munichois), son corps de rêve révélé par un doux éclairage indirect, sa belle et assez longue queue
mattirent comme un aimant. De nouveau, il pénètre ma bouche. À cet instant, jen oublie Elke.
Le prépuce glisse derrière son gland en passant le seuil de mes lèvres et ce bon goût de mâle vient remplacer celui du café. De la langue, je découvre toutes les subtilités de ce gros bout : la couronne lisse et profondément marquée, son méat large et bien ouvert, prêt à cracher de grosses salves de sperme, un frein tendu par lérection croissante. La veine très proéminente est presque le seul défaut de cette puissante hampe, se faisant bien sentir contre ma lèvre supérieure. Je le libère quelques instants afin de gober ses couilles, son membre viril bat alors ma pommette et mon arcade supérieure au gré de ses pulsations cardiaques.
Jai soudain très envie de me laisser soumettre à cette queue. Cest lui qui va travailler maintenant, ma bouche va être à son service, il sera le maître duvre. Cest une situation que japprécie parfois, mais qui nest pas toujours envisageable avec nimporte quel amant ni dans nimporte quelle situation ! Je décide alors de le provoquer un peu :
Si tu veux que je te pompe, il va te falloir me baiser la bouche, que tu me forces un peu !
À mon sourire, Udo comprend ce que je recherche. Il matt par la nuque pour me planter sa bonne queue en bouche. Jai envie quil me prenne la bouche comme sil menculait ; de mes deux mains sur ces fesses, jimprime le rythme, ne cherchant aucunement à mépargner. Son gland va jusque dans ma gorge, ses testicules frappent alors mon menton. Ses coups de reins sont réguliers, puissants, ses 20 centimètres de chair dure me baisent véritablement.
Cest ma queue dans ta bouche que tu voulais ? insiste-t-il en me limant, jouant le rôle de la brute à merveille. Tu veux bouffer du bavarois, je vais ten donner.
Jémets alors en réponse quelques sons pour lui signifier ma participation. Ma salive sépaissit, comme toujours lorsquun « corps étranger » envahit larrière-bouche, et favorise ainsi ce viol sous contrôle. Sa queue est raide, il la manie avec rigueur, appuyant parfois mon front fortement contre son bas ventre et basculant alors son bassin davant en arrière pour bien senfoncer.
Tu la prends bien, tu mexcites. Je vais te donner mon foutre si tu tiens encore comme ça.
Et je le veux, son foutre. Javais du mal à tout avaler, tout à lheure sur le pont. Mais là, il va tout menvoyer directement entre les amygdales, je naurai dautre choix que de tout le boire. Ses coups sintensifient, ma bouche devient presque douloureuse, il va rapidement falloir mettre un terme à cet acte !
Je lui empoigne fermement les fesses et lui imprime alors un rythme plus fort. Jaime sa queue entre mes lèvres, mais je veux quil vienne, quil sépanche en moi maintenant. Il me balance alors une série très rapide de superbes coups de sa queue turgescente en criant sa jouissance, puis simmobilise en me collant son gland tout au fond, ses burnes contre mon menton, à la limite des haut-le-cur.
Une série de secousses traversent sa hampe, il ouvre les vannes, propulsant ses jets de sperme brûlant directement vers mon estomac. Et il nen semble toujours pas avare, de son sperme. À demi étouffé, je le force à reculer. La dernière grosse salve crémeuse se répand alors sur ma langue, mirradiant de ce goût si addictif.
Un peu dair revenu dans mes poumons, je déguste son jus en saisissant de mes doigts sa hampe gluante de ma salive. Je vais maintenant laccompagner dans sa « débâcle », savourant les dernières minutes au contact de la queue de ce bel allemand, véritable catapulte à foutre. Son gland nettoyé, le prépuce se remet naturellement en place, et si sa queue a désenflé, elle demeure encore assez longue pour me permettre de mamuser à laspirer, la mâchonner, finir mon travail de suceur.
Plus tard, sur un papier, il me donne son numéro de téléphone en me disant que de temps en temps, il ne serait pas contre une petite visite amicale. Je le salue et retrouve presque avec plaisir lodeur de la pluie dans les rues de Munich.
Finalement, la soirée se termine presque aussi bien quelle a commencé. Débutée avec une belle blonde, elle finit avec un beau blond. Pourtant, le spectre dElke danse devant mes yeux. Jespère que jaurai la chance de la revoir.
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