Fiction. La Saga De L'Ascenseur. Partie 1. Le Cadre Et L'Intérimaire.
Le cadre et lintérimaire.
Alice raconte.
Au mois de septembre, après plusieurs mois de chômage, jai enfin décroché un contrat à durée déterminée. Un remplacement de quatre mois dans une grande entreprise qui occupe plusieurs étages dune des tours de bureaux de La Défense dans la banlieue ouest de Paris. Cest un poste dhôtesse daccueil qui me convient parfaitement.
Je suis contente de cet emploi, la société est vivante, son personnel nombreux est dynamique et sympathique. Ainsi, je retrouve avec plaisir ce travail qui ma toujours plu au contact des autres.
A 35 ans, jai toujours ma silhouette longiligne de jeune fille. Grande brune avec de cheveux lisses taillés en carré tombant à quelques centimètres des épaules et les yeux bleu foncé, jai une poitrine menue et des hanches étroites. Je partage ma vie depuis plusieurs années avec Tony, un espagnol dorigine qui, hélas, trois fois hélas, est très souvent absent de la maison pour des raisons professionnelles.
Lorsque nous nous retrouvons, parfois après deux ou trois semaines de séparation, nous nous offrons des parties de jambes en lair qui me laissent épuisée, tellement cest un amant fougueux et endurant. Avec lui, je suis parfaitement heureuse et comblée.
Le lundi matin de la seconde semaine, mon téléphone a sonné. Cétait un cadre de lentreprise que je navais pas encore vu. Il revenait dun déplacement à létranger dune dizaine de jours et il ma demandé de monter dans son bureau pour prendre un dossier et quelques notes pour rédiger un courrier. Jai pris rapidement mon bloc notes et je suis montée à létage supérieur.
Lorsque jai frappé à la porte, une voix forte et chaude ma invitée à entrer. Tournant le dos à la porte et regardant par la fenêtre, il y avait une silhouette à la carrure impressionnante. Je me présente :
Je suis Alice, lhôtesse daccueil que vous avez demandé.
Lhomme sest retourné face à moi. Il ne devait pas être loin des deux mètres, des épaules larges et pour autant que je puisse en juger une taille mince pour sa carrure. Jai tout de suite pensé quil sagissait dun métis, antillais peut-être : le teint mat et ses cheveux courts ondulés me lindiquaient assez clairement. Avec ses yeux noirs perçants, sa voix au timbre chaud et puissant, il était impressionnant dautorité et de supériorité au point que mes jambes ont commencé à trembler.
Venez, installez vous, je vais vous dicter quelque notes que vous mettrez au propre et me rapporterez pour 14 heures précises.
En fait de quelques notes, jai pratiquement rempli un bon tiers de mon carnet de sténo. Je suis redescendue à mon poste de travail et quand jai montré à Véronique ma collègue à laccueil, ce que javais noté, elle ma dit de me mettre aussitôt au travail et ajoute :
Fais attention, cest certainement un des cadres le plus exigeant de la boîte. Sil est satisfait aujourdhui, après il sera un peu plus cool !
Jai sauté la pause déjeuner et quelques minutes avant 14 heures, je frappais à nouveau à la porte de son bureau.
Entrez !
Je suis entrée. Il était assis devant son ordinateur. Je lui tendis en tremblant un peu le tirage papier et le CD et il me dit :
Voyons cela !
Ce devait être un habitué de la lecture rapide car en moins de deux minutes il a relu la dizaine de feuillets que javais dactylographiés. Par discrétion, je métais reculée de deux pas afin de ne pas voir les autres documents qui étaient sur le plan de travail.
Quand il a terminé sa lecture, il a relevé la tête et pendant un temps que jai trouvé interminable, il ma regardé fixement. Javais limpression que son regard passait au travers de mon corps. Je ne suis pourtant pas facile à intimider, mais là, je tremblais intérieurement comme une feuille battue par le vent.
Très bien ! Bon travail ! Laissez moi le tout, mon assistante se chargera de faire les graphiques avec les diverses données.
Désormais, son regard me déshabillait littéralement. Je voyais quil posait ses yeux sur mes seins, sur mes hanches, descendait le long de mes jambes et remontait avec un petit sourire dappréciation. Jaime bien être regardée et admirée, mais là, je navais surtout pas envie de jouer les exhibitionnistes comme cela marrive lorsque jexécute des danses lascives pour échauffer mon homme. Pourtant, je ne pouvais pas mempêcher de penser que jaimerais bien être prise dans les bras puissants de Lucas.
Jétais complètement tombée sous son charme viril malgré sa froideur, un peu comme lorsque javais rencontré Tony. Lorsque jai quitté son bureau, je nai pas pu mempêcher de rouler des hanches en faisant voler doucement ma jupe autour de mes cuisses pour laguicher.
Dans les jours qui ont suivi, je lai rencontré à plusieurs reprises. A chaque fois, nous échangions un regard ou un sourire discret.
Je ne sais pas si quelquun sest rendu compte de ce qui se passait. Lucas ne se cachait pas pour me regarder et il me demandait des choses en permanence, ce quétais bizarre puisque il avait une assistante. Véronique na jamais fait dallusion alors quelle devait bien se douter. Plus les jours passaient, plus Lucas me hantait au point den rêver la nuit et de me réveiller en sueur, la chatte humide de sécrétions comme sil mavait fait lamour
Chaque lundi, javais hâte de retourner au travail pour le rencontrer à nouveau Lucas et fantasmer sur ce que nous ferions ensemble, cétait plus fort que moi. Je mimaginais couchée sur le dos sur son bureau, les jambes pendantes et maintenues ouvertes par ses bras puissants. Il me ferait lamour comme un fou et moi je ne voulais que ça : être prise comme une forteresse qui se rend.
Depuis le début de la semaine Lucas est absent. Il est en voyage daffaires. Nous sommes jeudi après-midi, soudain mon poste téléphonique sonne et je vois safficher son numéro :
Alice, montez avec votre bloc !
Pas de bonjour alors quil sest toujours montré courtois.
Je frappe à la porte du bureau. La porte souvre, cest son assistante, une jeune femme blonde et menue que jai croisée à plusieurs reprises. Elle me dit :
Venez, M.
est en vidéo conférence, il nen a plus pour longtemps. Installez-vous.
Je minstalle, les fesses au bord du fauteuil, les jambes serrées et inclinées vers le côté, la jupe tirée au maximum sur mes genoux. Effectivement, moins de deux minutes après, Lucas qui parlait en anglais, prend congé de son interlocuteur, referme son portable et pose ses yeux sur moi.
Avant quelle ne quitte le bureau, il donne rapidement quelques directives à son assistante puis il se tourne vers moi :
Comment allez-vous Alice ?
Je suis surprise car cest la première fois quil me pose ainsi la question. Il ajoute aussitôt :
Jespère que vous nêtes pas pressée ce soir, nous devons finir lébauche de ce dossier, il est certain que nous dépasserons votre heure de fin de travail !
Il était différent ce jour là, quelque chose en lui avait changé, il me regardait comme sil cherchait à lire dans me yeux, et moi
jai eu peur quil arrive à le faire ! Alors jai baissé pudiquement mes yeux
pour quil ne puisse pas voir ce que je voulais de lui
Pendant près de deux heures, jai pris des notes et Lucas me disait comment présenter les choses. Il était presque 20 heures quand nous avons terminé. La tension entre nous était tangible. Il me fixait de son regard sombre et moi je navais quune envie
quil puisse me prendre dans ses bras.
Comme les fois précédentes, il lut rapidement le projet :
Cest bon ! On fera les quelques corrections demain matin avant la réunion de 14 heures.
Nous nous sommes quittés le soir tard et je suis passée récupérer mon manteau avant de prendre lascenseur, soulagée de pouvoir rentrer chez moi me changer les idées tant jétais excitée et agitée après ce travail avec Lucas.
Mais, grande a été ma surprise quand les portes se sont ouvertes ! Je me suis retrouvée en face de Lucas qui lair sérieux et avec un geste de sa tête sans me parler, ma invitée à monter dans lascenseur. En minstallant à ses cotés, jai vu avec crainte et excitation les portes de lascenseur se renfermer sur nous
Lucas raconte.
Lorsque ce lundi matin de la mi-septembre, jai vu entrer Alice dans mon bureau, jai eu un choc. Je ne mattendais pas à voir arriver une aussi belle fille. Les intérimaires ne sont pas toujours au top en ce qui concerne leur présentation. Là, javais devant moi une jeune femme à la silhouette longiligne, brune légèrement hâlée, avec de cheveux lisses taillés en carré tombant à quelques centimètres des épaules.
Des yeux bleu foncé, un petit nez mutin et une bouche aux lèvres bien dessinées à peine rougies artificiellement lui faisait un visage plus quagréable à contempler. Elle était vêtue dun tailleur beige en tissu léger à la jupe droite arrivant au dessus du genou et dun chemisier en soie rouge vif assorti à ses escarpins.
Cest rare que je dévisage ainsi une personne, quelle fasse partie du personnel de la boîte ou pas. Là, jétais littéralement subjugué par le charme tranquille de cette jeune femme.
Quand jai relevé la tête après avoir relu rapidement le travail quAlice venait de faire, jai vu quelle avait pali et quelle se tordait discrètement les doigts. Elle semblait avoir perdu sa belle assurance. Je continuais à la regarder fixement.
Elle passait alternativement de la pâleur à la rougeur et semblait trembler. Je devinais que pour me rendre le travail dans les temps, elle avait du sauter son repas et javais peur quelle ne fasse un malaise. Je me suis levé, jai contourné mon bureau pour venir près dAlice et lui demander :
Vous vous sentez bien ? Que se passe-til ?
Dans un souffle elle ma répondu quelle allait bien. Je lui pris la main : elle était glacée. Jai pris la seconde et je les ai emprisonnées dans mes grandes mains :
Laissez vous faire, je vais réchauffer vos mains.
Au bout de quelques minutes, son tremblement a cessé et ses mains étaient désormais un peu plus chaudes. Elle me dit dans un souffle :
Merci ! Avez-vous encore besoin de moi ?
Sur ma réponse négative, Alice a quitté le bureau. Jallai jeter un coup dil par la fenêtre pour calmer mon trouble et laisser retomber un début dérection.
Pour soulager un peu mon assistante, jai confié plusieurs fois à Alice des travaux de dactylographie. Prétexte me direz-vous ? Peut-être
mais jappréciais son travail, net, sans aucune faute, présenté avec rigueur. Cela me plaisait vraiment, même si je dois avouer que pouvoir regarder ses courbes et fantasmer à loisirs nétait pas pour me déplaire.
Après la scène du premier jour, jai limpression quune certaine complicité sest établie entre nous. Nous avons fait connaissance. Elle ma expliqué que pour suivre mon copain Tony qui avait été embauché dans une société basée au sud de Paris, elle avait du démissionner de son emploi de secrétaire de direction à Bayonne. Je ne métonnais plus de sa classe.
Désormais, lorsque je lui dictais quelque chose, je ne restais plus figé derrière mon bureau. Je marchais en long et en large soit devant la fenêtre soit derrière elle. Là, je pouvais lépier tout à mon aise. Je regardais son cou gracile, sa nuque toujours cachée par ses cheveux, ses fesses aux délicieuses rondeurs.
Un jour, elle était habillée dun tailleur pantalon. Alors que jétais derrière elle légèrement sur sa droite, mon regard a plongé dans lentrebâillement de la veste. Elle ne portait pas de chemisier mais japercevais une bande de dentelle noire et la rondeur dun sein libre de toute entrave. Quelle vue ! Je ne vous dis pas quelle réaction sest passée entre mes jambes !
Je me suis mis à rêver ! A rêver que je prenais Alice dans mes bras, que je me penchais pour prendre sa bouche charnue, petite mais aux formes délicieusement excitantes, que je la collais contre mon torse, pressant mon ventre contre le sien pour lui faire sentir mon désir
Je limaginais se pâmant dans mes bras et répondant à mes baisers en ondulant contre moi pour mieux ressentir le membre raide qui se dressait, impérieux dans mon pantalon. Je nous imaginais dégrafant mutuellement nos pantalons, et moi, la guidant pour quelle allonge son buste sur le bureau avant que je la prenne avec un mélange de rudesse et de douceur.
Le parfum de son corps, naturel à lentrejambe se répandait dans lair et allumait en moi une envie presque animale de la prendre, oui de la prendre sans me soucier des collègues qui pourraient arriver dun moment à lautre, poussant la porte dentrée qui donne sur le couloir.
Jimaginais la chatte dAlice comme un petit abricot, à la peau douce, rasée, toute trempée de fluides salés invitant à la dégustation. Son sexe mouillé et chaud emprisonnait ma bite qui allait et venait dedans.
Quand elle venait dans mon bureau, je voyais bien les regards quelle jetait sur mon entrejambe. Cétaient des regards indiscrets mais sans lêtre vraiment. Sa curiosité naïve lemportait sur son éducation et ses manières discrètes que javais tant appréciées depuis le premier jour.
Et moi je me laissais explorer, faisant mine de rien, portant mon regard ailleurs pour quelle puisse deviner entre mes cuisses les érections naissantes quelle provoquait avec son corps et son attitude voyeuse.
Alice avait surement compris quelle me faisait de leffet. Oui, elle me regardait droit dans les yeux en laissant apercevoir ses dents étincelantes entre ses lèvres entrouvertes dans un sourire ensorceleur.
Elle était toujours habillée avec beaucoup délégance discrète mais cette coquine, lorsquelle entrait dans mon bureau, dégrafait un bouton de sa veste et de son chemisier. Elle avait remarqué que dès que je le pouvais, je plongeais mon regard dans son décolleté pour chercher à voir ses seins que je devinais mignons à croquer.
Javais la tête complètement prise par cette fille. Chaque fois quelle sortait de mon bureau, mon sexe était dressé dans mon slip et pendant au moins dix minutes, je restais à ne rien faire que de penser à Alice.
Je me souviendrai certainement longtemps de laprès midi où, layant appelée, elle est entrée dans le bureau. Jai eu un choc ! Ce jour là, elle portait une minijupe noire qui lui arrivait à mi cuisse, découvrant ainsi ses longues jambes gainées de fin nylon fumé. Elle portait des escarpins noirs eux aussi, mais avec des talons dune hauteur vertigineuse. Sa veste du même tissu que la jupe était entrouverte sur un sweet-shirt blanc très moulant, lui faisant comme une seconde peau.
Ayant achevé de lui dicter un petit mémo, je lui ai tendu une liasse de documents à transférer dans un autre service. Je ne sais pas ce qui sest passé car la liasse sest retrouvée étalée sur la moquette.
Oh, excusez-moi, quel chaos.
Alice sest baissée pour ramasser les papiers, accroupie, les jambes un peu écartées, je pouvais plonger mon regard dans la fourche de ses cuisses et je voyais la bordure de dentelle de ses bas. Immédiatement mon sexe sest déployé, raide comme une barre dacier. Alice a remarqué la bosse palpitante, saillante sur le devant de mon pantalon, que je naurais jamais pu dissimuler.
Elle a rougi en me regardant droit dans les yeux, encore un regard indiscret mais complètement indépendant de sa volonté, qui a achevé de me mettre dans un état pas possible.
Sans madresser la parole, mais visiblement bouleversée par ce quelle venait de voir, elle a quitté précipitamment mon bureau, croyant certainement que lidée de lui sauter dessus ou de lui faire une avance claire et nette, métait venue à lesprit. Heureusement cet épisode était arrivé en fin de journée. Jai rapidement rassemblé mes affaires et je suis sorti pour aller prendre lascenseur et quitter le bureau. Je voulais me porter loin de ce bureau et surtout loin delle
Lair frais de la nuit, - il était presque 20 heures- me ferait du bien et aiderait à calmer un peu mes envies delle. Jétais vraiment au bout du désespoir, je n´en pouvais plus
je croyais que je perdais la tête
Les portes de lascenseur se sont ouvertes et, soulagé, je suis monté dedans. En quelques minutes je serais ailleurs
mais quelle ne fut pas ma surprise quand jai vu impuissant la machine sarrêter à létage dAlice. Elle était là, elle aussi
elle ma regardé avec un air très surpris
est-ce quon avait eu la même idée ? De nous échapper lun de lautre ?
Sans dire un mot et avec un signe de tête je linvitai à monter dans lascenseur, à coté de moi. Après une petite hésitation elle est montée. Et jai senti la folie se réveiller dans mon sang.
Les portes de lascenseur se referment sur nous. Jintroduis ma clé spéciale dans le boitier de commande et, au lieu de descendre, la cabine monte ! Le regard dAlice minterroge et mavançant à ses questions je fais semblant dêtre complètement maître de la situation :
Tranquille, là-haut cest mieux
Elle hésite un instant puis, ses lèvres souvrent pour articuler une réponse, mais je nattends pas sa réaction. Comme pris dun accès de folie, je la prends dans mes bras, pose mes lèvres sur les siennes et ma langue pénètre sa bouche, lenvahit littéralement. Elle se colle à moi de tout son corps. Je la sens prête à succomber à mes assauts. Depuis le temps que jai deviné quelle fantasmait sur moi
Lorsque nous sortons de la cabine, elle découvre un lieu quelle ne connaissait pas, un hall immense pourvu de nombreux divans, fauteuils, tables basses. Un bar avec des vitrines fermées occupe un des angles. Cest un salon de réception qui se trouve au dernier étage de limmeuble doù nous avons une vue panoramique presque complète sur le quartier.
Je continue de la guider. Je sors une nouvelle clé de ma poche et ouvre une porte que je referme aussitôt derrière nous. Nous sommes dans une des deux suites réservées aux hôtes étrangers de la société. Nous nous enlaçons à nouveau. Nos baisers sont de plus en plus chauds. Dun geste preste, je dégrafe les deux boutons de sa veste et je la fait glisser par terre.
Écoutez
Lucas
je
.
Alice veut rétorquer mais nos lèvres collées de façon impossible à séparer lont empêchée de continuer sa phrase. Les mots étaient de trop.
Delle-même, elle fait glisser sa jupe qui va rejoindre sa veste sur la moquette. Elle na plus sur elle que son soutien gorge, son string assorti, un petit haut court en dentelle, des bas tenus par le serre-taille et ses escarpins.
Je sens lodeur de sa chatte monter discrètement. En fait son parfum aux senteurs complexes envahit le petit salon dans lequel nous nous trouvons. Quelle sensation de bonheur, je menivre de tout cela. Elle me dit à loreille :
Jaime ça ! Jaime faire lamour
cest ce qui mattend nest-ce pas ?
Elle ose finalement sexprimer et cette confession avouée à mi-voix ne fait quattiser ma fougue. Je la veux, toute entière, je suis comme fou delle, sans savoir par où commencer à la toucher, à la caresser, comment marranger pour accéder au plaisir immense que promettent ses courbes magnifiques.
Toujours prisonnière consentante de mes bras puissants Alice ne reste pas vraiment passive. Bien au contraire, elle se love contre mon torse et ondule du bassin pour mieux sentir mon érection dont elle avait déjà deviné la présence dans lascenseur. Elle soupire :
Mmmmmmmmmmmmm
Les respirations entrecoupées de ma partenaire accélèrent mon cur et mon membre, déjà raide, durcit encore plus. Jessaye de plaquer mon corps encore plus contre le sien comme une clé et sa serrure, il ne manque quune petite poussée pour que ça rentre
mais elle évite la pénétration au début.
On est fous. Dun mouvement souple je lenlève et la porte en travers du grand lit. Je défais rapidement mes vêtements (je devrais plutôt dire que je les arrache tellement mes mouvements sont rapides).
Pendant ce temps Alice a remonté un bras jusquà son visage et elle masque son regard. Cependant du coin de lil elle me guette comme une jeune fille timide à qui on a dit que la première fois il faut laisser le mâle se débrouiller
cest fou comme elle alterne dans ses gestes naïveté et expertise sexuelle, cette alternance de rôles est très motivante.
Ma bite, dressée comme un pal au milieu dune touffe de poils drus et frisés, est assez impressionnante par sa taille. Je sens quapparait déjà une goutte de liquide à son extrémité. Je suis tellement excité... Je magenouille entre ses jambes (elle a les pieds sur la moquette). Je mapproche du «Saint des Saints». Lorsquelle sent le contact de mes lèvres sur le devant de son string, elle pousse un long soupir de contentement. Pendant de longues secondes, jinsuffle mon haleine chaude sur sa chatte au travers de la dentelle puis je fais glisser le string jusquà ses pieds.
Au passage, je caresse de mes mains ses cuisses satinées, larrière de ses genoux (sensibles), de ses mollets et de ses chevilles. Je joue un peu avec la chaîne en or qui orne sa cheville droite. Tout de suite, revenant vers elle, je commence un cunnilingus savant et langoureux.
Ohhhhh
Cest...Booonnn!
Doucement mais fermement, je la place au centre du lit et en mettant mes bras de part et dautre de son buste, je la domine de ma haute stature. Japproche ma bite de sa vulve. Je musarde un peu à lentrée toute suintante puis, dun long mouvement ample, je la pénètre. Delle-même elle remonte ses jambes en « V » pour bien sentir ma queue qui commence les va-et-vient. A chaque fois je sors de sa chatte pour mieux y replonger ensuite. Malgré lenvie que jaie delle, je prends mon temps comme si ce devait être la seule et unique étreinte, je la savoure. Chaque fois que jarrive au fond de son vagin, Alice pousse un léger cri ! Ma bite est vraiment longue ! Mais ce nest pas un cri de douleur ! Cest le cri dune femelle bien baisée !
Jai complètement oublié qui je suis et qui elle est ! Je ne suis plus son supérieur. Elle nest plus une employée de la société. Je suis son amant merveilleux ! Elle se livre totalement à moi, sans contrainte. Je retarde ma jouissance le plus possible mais bientôt, elle nen peut plus.
Son orgasme déferle, violent, immense et il la laisse complètement tétanisée alors que je me vide en elle. Je sens mes jets de sperme venir frapper le fond de sa chatte. Elle rabaisse ses jambes et les croise sur mes reins comme pour mieux me retenir. Je suis toujours en elle et je ne débande pas !
Nous roulons lun sur lautre et elle se retrouve à califourchon sur mon bassin. Ma bite toujours aussi raide est restée en elle. Elle se redresse et Alice ôte son haut et son soutif.
Immédiatement je tends mes mains vers ses seins dont les tétons sont dardés au centre des aréoles. Je les fais rouler au creux de mes paumes puis je les pince doucement, plus pour la faire frémir que lui faire du mal.
A
.a
.arrête
mmmmm
. »
Ma compagne se tord de plaisir et je vois que ça lui plait au plus haut point. Dans le même temps, Alice entreprend une danse lubrique sur le pal qui est en elle. Elle ondule du bassin pour faire bouger mon sexe dans sa chatte. Elle monte et descend de plus en plus vite tellement elle est excitée
Je descends mes mains à sa taille pour laider à maintenir son équilibre. Je la regarde droit dans les yeux. Je vois son plaisir illuminer son visage. Sa cyprine ruisselle et elle mouille mon pubis. Quand elle marque une pause, je lallonge sur mon torse et là, cest moi qui ondule du bassin pour la pénétrer. Je vais de plus en plus vite. Mon sexe va et vient de plus en plus fort dans sa chatte et je sens que son plaisir monte, monte, monte encore plus fort jusquà ce que sa jouissance déferle une fois encore. Quelques instants plus tard, une nouvelle salve de jets de sperme jaillit au fond de son vagin.
Toujours enlacés, nous basculons sur le côté. Le lit, que dans la précipitation nous navons pas ouvert, est complètement dévasté. Je la serre encore plus dans mes bras et elle ronronne comme une chatte satisfaite. Nous restons ainsi de longues minutes à savourer le bonheur et le comble de la satisfaction sexuelle. Mais il faut nous quitter. Nous nous rhabillons sans hâte en échangeant encore des caresses et de doux baisers, mais sans comprendre vraiment comment ni pourquoi tout cela sest concrétisé.
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