Sarah 2
Bonjour à tous, je précise que ce récit est la suite directe de « Francesca 2 ».
Mon réveil sonna, et je me réveillai, fébrile. Je mis un temps à comprendre pourquoi j'étais aussi excité. Je compris en voyant le jour et la date écrits sur mon réveil : on était vendredi. Or ce vendredi là, j'avais un rendez vous des plus alléchants.
Plus tôt dans la semaine, je m'étais envoyé en l'air toute la nuit avec Francesca, une belle étudiante italienne, dans son logement sur le campus. Sa voisine, Sarah, avait passé la nuit condamnée à nous écouter sans pouvoir dormir. Elle n'avait depuis qu'une idée en tête : rendre la pareille à sa voisine italienne. Cela faisait un moment que ce petit jeu durait entre elles, chacune s'amusant à déranger l'autre à coups de nuit de baises bruyantes. Pour mon plus grand bonheur, j'étais au centre de cette petite guerre : c'était lorsque moi et Francesca avions couché ensemble la première fois que tout avait commencé, et depuis, Sarah s'était vengée, avant que Francesca ne riposte plus tôt dans la semaine. A chaque fois, chacune m'avaient donc utilisé comme objet de revanche contre l'autre, ce dont je ne me plaignais pas du tout.
Et aujourd'hui, Sarah voulait me revoir, pour me « punir », suite à ma dernière partie de jambes en l'air avec Francesca. Je connaissais son tempérament sauvage et dominateur, aussi depuis qu'elle m'avait donné rendez vous plus tôt dans la semaine, je m'étais préparé mentalement à « prendre cher » avec la belle Sarah. Mais curieusement, ce matin, je me réveillai dans d'autres dispositions. Je ne me sentais pas du tout d'humeur à être dominé, bien au contraire, je me sentais d'humeur dominatrice. Je désirais baiser Sarah sauvagement, et la sentir à ma merci, et non l'inverse.
C'est dans ces dispositions, que je me rendis à la fac. J'avais rendez vous avec Sarah en fin d'après midi, aussi les cours du matin me parurent durer une éternité.
Quelques minutes plus tard, j'entrai dans sa chambre étudiante, mais il n'y avait personne. Surpris, je fermai la porte. Je me dis qu'elle était peut être dans sa salle de bains, et l'ouvrit, mais la pièce était vide elle aussi. Je commençais à être franchement surpris, quand soudain, le placard de la chambre s'ouvrit, et en sortit? Sarah, en petite tenue, un sourire coquin aux lèvres.
« Tu m'as faite attendre. Susurra-t-elle. »
Elle m'attrapa par le jean, et m'attira contre elle, avant de m'embrasser langoureusement. Je lui rendis son baiser avec passion, la tenant doucement par les joues. Je voulus ensuite lui embrasser le cou et descendre jusqu'à son buste, mais Sarah m'interrompit, et me poussa sur le lit. Je m'étalai dessus, et pris le temps d'admirer Sarah.
Ses longs cheveux châtains étaient attachés en queue-de-cheval, ce qui dégageait son beau visage. Elle était en soutif noir qui mettait en valeur sa magnifique poitrine ronde et ferme à souhaits (95C), tandis que son shorty donnait envie d'être arraché pour laisser enfin admirer ses belles fesses. Souriante, Sarah vint à califourchon sur moi, et me plaqua contre le matelas, me tenant fermement les poignets. Je frémis d'excitation.
« Francesca est chez elle en ce moment, dit Sarah. Elle va encore nous entendre baiser, ça lui apprendra à me faire enrager. Quant à toi, je t'assure que tu vas passer un sale quart d'heure ! »
Elle me tenait toujours, mais j'avais très envie de me libérer de son étreinte et de prendre le dessus. J'aurais pu essayer de dégager mes mains de sa prise, mais j'avais envie de lui faire une démonstration de force. Je levai les bras.
Nous nous embrassâmes avec passion, puis, je descendis le long de son merveilleux corps, lui embrassant le buste avec délectation, puis m'attardant sur ses seins rebondis, encore retenus par son soutif, avant d'arriver sur son ventre plat que je léchai avidement. Puis, je revins sur sa bouche, et nous partageâmes un nouveau délicieux baiser. Sarah me retira ensuite le T-shirt et par en dessous, me donna un grand coup de langue sur le torse.
« J'adore ton corps ! Souffla Sarah. »
« Et moi j'adore le tient. D'ailleurs, sans plus tarder, je vais lui rendre hommage ! »
Je retirai mon pantalon et mon caleçon, et sans même lui retirer son soutif, je glissai mon sexe dans la poitrine de Sarah. Je fis des vas-et-viens entre ses seins, frissonnant de plaisir à chaque passage de ma queue. Je me branlai un bon moment entre ses seins, jusqu'à ce que j'en veuille plus. Je lui retirai son shorty, et lui dis :
« Prête à te faire démonter ? »
Sarah m'enserra soudainement entre ses jambes, et me fit tomber du lit. Je m'écrasai sur le sol, Sarah sur moi. Elle s'empala sur mon sexe avec un petit gémissement de plaisir.
« C'est toi qui vas te faire démonter. Dit elle provocatrice. »
Elle entama aussitôt de délicieux va-et-viens, se déhanchant de gauche à droite sensuellement.
« Crie mon chéri, que Francesca t'entende ! »
Je voulus alors me taire, histoire de ne pas entrer dans le jeu de Sarah, mais celle si mit à faire des mouvements d'avant en arrière encore plus rapidement et délicieusement que ces mouvement de gauche à droite. Elle allait et venait à un grand rythme, ses seins lourds se balançant à un rythme hypnotique. Elle se déchaînait littéralement, me faisant un bien fou, et gémissant elle aussi de toute la force de sa voix : impossible que Francesca n'entende pas tout. J'étais désolé pour la belle italienne seule dans sa chambre condamnée à nous écouter baiser, mais je ne pouvais diminuer le bruit que je faisais : Sarah me baisait comme une folle, allant et venant très rapidement, comme si son but était de me mettre KO à force de plaisir. Je n'en pouvais plus, et étais bien incapable de contenir mes cris de plaisir.
J'avais complètement oublié mon envie de la dominer, pourtant curieusement, lorsqu'elle me griffa le torse telle une panthère, elle réveilla le « mâle » en moi. Je me redressai à moitié et agrippai par le dos, et l'attirai sur moi. Puis je la fis rouler, et la plaquai au sol. J'aimais l'idée de continuer à baiser par terre ainsi, comme des bêtes en chaleur. Je saisis ses mains, et les tint plaquées contre la moquette, je vis dans ses yeux passer une lueur, mélange de peur devant ma réaction à ses assauts, et d'excitation à l'idée de ce qui allait suivre.
« Je vais te baiser jusqu'à ce que tu en perdes la tête ma belle ! »
« Crois moi, tu finiras soumis mon beau ! Répliqua Sarah en guise de défi.
Je sentis un peu d'inquiétude cependant : elle sentait bien que le vent avait tourné. Je la pénétrai d'un coup sec, elle poussa un gémissement de plaisir. Je me mis à faire des va-et-viens, rapides, la limant avec délectation, tout en lui tenant fermement les mains contre la moquette. Décidé à la rendre folle, je m'amusai à alterner le rythme, allant tantôt très rapidement pour la faire crier de plaisir et lui faire perdre la tête, tantôt plus lentement, la frustrant horriblement. Lorsque j'allais lentement, Sarah se débattait pour se dégager de mon emprise, mais je la maintenais fermement en mon pouvoir. Lorsque je la baisais rapidement, Sarah gémissait à pleine voix, se tortillait de plaisir, tandis que je la pilonnais tout en la maintenant clouée au sol. Je l'embrassai à pleine bouche, elle me rendit mon baiser avec fureur. Je lui lâchai une main, et lui attrapai la nuque, puis me mis à la limer sur un rythme soutenu, tout en maintenant sa tête à quelques centimètres de la mienne. Je pouvais ainsi voir son beau visage se décomposer sous le plaisir que je lui infligeais. Je finis par lui lâcher la nuque, la laissant s'étaler sur la moquette, et entrepris de lui masser les seins vigoureusement à deux mains. Sarah gémit sous ce massage, et ce gémissement devint un cri lorsque je repris mes vas-et-viens sauvages.
Mais Sarah n'avait pas dit son dernier mot. Elle se redressa soudainement, et me fit rouler sur le sol. Elle voulut s'installer sur moi, mais je la fis à son tour rouler. Nous luttâmes ainsi un moment, jusqu'à ce que je finisse par réussir à l'immobiliser. Je me dis que le missionnaire était trop dangereux, alors je la soulevai, et l'emmenai jusqu'au lit, où je la jetai sans trop de ménagement.
Je la saisis par les hanches, et la retournai, la faisant se mettre à 4 pattes. Je la pénétrai à nouveau, et me mis à la baiser en levrette. Je lui donnais immédiatement de gros coups de reins, la sautant avec sauvagerie et passion. Plus question de varier le rythme, je voulais lui faire regretter son petit geste de rébellion, et la mâter définitivement. Tout en la baisant, je lui tirais sa queue de cheval, et l'obligeais à me regarder, je pus ainsi voir tout le bien que je lui faisais.
« J'adore comme tu me traites, c'est tellement bon ! »
J'accélérai encore le rythme de mes assauts jusqu'à baiser Sarah avec une vraie sauvagerie. La belle était littéralement ballottée par mes coups de reins, et devait s'accrocher aux draps pour ne pas valser. Je prenais totalement possession de son corps, je sentais chacun des frissons de plaisir que je provoquais. Je sentais l'extase monter en elle, et l'orgasme approcher, j'accélérai encore, la menant aux portes du 7ème ciel.
« Aaaah je vais jouir ! Cria Sarah. »
Je ralentis soudainement : j'avais envie de la tourmenter encore.
« C'est moi qui décide quand tu jouis, je suis maître de ton plaisir, soufflai je à l'oreille de Sarah. »
Je ralentis encore le rythme, avant de ré-accélérer soudainement, provoquant un brusque plaisir en Sarah. J'accélérai encore et encore, bien décidé à lui donner son orgasme. Je la tenais par les épaules, la pénétrais plus profondément que jamais. Je vis le magnifique corps de Sarah se secouer de frissons de plaisir, jusqu'à ce qu'elle en soit carrément secouée. Elle poussa un grand cri et s'effondra sur le matelas : elle venait d'avoir son orgasme.
Elle avait joui, mais pas moi. Mais j'avais une excellente idée pour remédier à ça. Je la fis se mettre sur le dos, et calai mon sexe dans son merveilleux 95c. Je me mis à faire des vas-et-vient dans sa poitrine, tenant fermement ses seins pour qu'ils enserrent au mieux ma queue. Je me branlai ainsi avec ses seins, tout en la regardant droit dans les yeux en signe de défi : j'utilisai son corps comme un sex-toy, et elle n'y pouvait rien. Je poursuivis ma branlette espagnole durant quelques délicieuses minutes. Mon sexe était délicieusement comprimé entre ses deux collines, et le plaisir augmentait à chaque aller et retour, et je grimaçai de plaisir. Ce fut vite insupportable, et dans un grand frisson je jouis avec délectation, inondant la poitrine de Sarah, et en profitant aussi pour jouir sur son visage.
Ivre de plaisir, je m'effondrai à ses côtés. Nous restâmes allongés un moment.
« Je peux te piquer ton portable deux secondes ? »
« Ouais vas y dis je. J'étais d'humeur généreuse et partageuse après un orgasme de cette intensité. »
Sarah me prit mon téléphone, farfouilla un temps dedans, et commença à pianoter sur l'écran tactile. Je compris qu'elle envoyait un SMS, mais ne me souciait pas de savoir à qui. Un peu plus tard, la sonnerie signalant un SMS reçu retentit : on avait répondu à Sarah. Celle ci gloussa.
« Qu'est ce qui t'arrive ? Lui demandai je. »
« J'ai envoyé un SMS à Francesca, je lui ai demandé si elle passait une bonne après midi, et lui ai dit que moi je m'éclatais en lui précisant que c'était moi qui écrivais. »
« Elle a dû apprécier? dis je. »
« Elle m'a répondu : allez crever tous les deux? Je crois qu'elle est légèrement vexée que je me tape son plan cul français. Dit Sarah avec un sourire plus que satisfait. »
Je m'inquiétais un peu : j'espérais ne pas avoir fâché Francesca. Mais après tout, j'étais au coeur de leur petite guerre, et ce n'était pas moi le responsable.
« T'es contente de toi ? Demandai-je à Sarah. Tu as eu ta revanche ? »
« Pas exactement? J'ai fait payer Francesca, mais pas toi? J'avais prévu de te punir tu te souviens ? »
« Je pensais que vu la correction que tu viens de prendre t'avais renoncé? Lui dis je provocateur. »
« Au contraire... »
Elle se leva, et alla chercher quelque chose dans son placard. Elle en sortit des menottes et me les montra ostensiblement.
« Je vais te neutraliser avec ça? Dit elle d'un ton mi suave, mi autoritaire. »
Elle devait me penser trop sonné par l'orgasme récent pour réagir. Elle se trompait. Je me levai d'un bond, et fondis sur elle. Je la saisis, la soulevai, et la plaquai contre le mur. Puis je lui arrachai les menottes et les jetai au loin.
« Et maintenant tu vas faire quoi hum ? Lui dis je avec un sourire narquois. »
Je la regardai droit dans les yeux, et y vis une lueur d'excitation : elle aimait ces démonstrations de force que je lui faisais. Quant à moi, j'étais à nouveau dur et pleine possession de mes moyens? Je pénétrai donc Sarah d'un coup, et me mis à la baiser contre le mur. Elle avait enroulé ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de mon cou. J'étais collé à elle, et la limais avec passion tout en l'embrassant fougueusement. Chacun de mes coups de reins l'écrasai contre le mur, comme si je cherchais à l'enfoncer dedans. De temps à autre, je quittais sa bouche pour lui dévorer les seins avec avidité, ne me lassant jamais de leur rondeur et leur fermeté. Coincée entre moi et le mur, Sarah ne pouvait rien faire d'autre que hurler son plaisir d'être ainsi baisée.
Elle finit néanmoins par se dégager : s'aidant du mur, elle nous poussa vers l'avant, jusqu'à être loin du mur. Elle me poussa jusqu'à sa chaise à bascule qu'elle gardait dans sa chambre, et me fit tomber dessus. Elle s'empala à nouveau sur mon sexe, et un petit sourire provocateur aux lèvres, entreprit des va-et-viens. Je compris alors pourquoi elle avait gardé une chaise à bascule dans sa chambre étudiante : rien de tel pour baiser !
Chacun des coups de reins de Sarah étaient amplifiés par le mouvement de la chaise à bascule, le plaisir en était décuplé. Sarah me tenait par les épaules, me clouant contre contre le dossier de la chaise. Elle me baisait ainsi à sa guise, son sourire provocateur revenu sur son visage. Elle allait à un rythme élevé, me faisant frémir comme jamais, gémissant sans aucune retenue. Régulièrement, elle se penchait pour me lécher le torse, ou m'embrasser avec passion. J'avais les mains libres, aussi, j'en profitai pour caresser l'ensemble de son corps de déesse. Je lui massai les seins avec délectation, les pétrissant et les malaxant, mais soudain, Sarah me prit les mains, et mes les plaqua contre le dossier.
« Ne me touche pas, dit elle, tu es puni pour l'instant. »
J'aurais bien aimé lui refaire une démonstration de force, mais elle accéléra encore le rythme de ses coups de reins, et je fus incapable de bouger, paralyser par le plaisir. Sarah me baisa un long moment sur la chaise,me souriant d'un air provocateur, ravi de m'avoir à sa merci. Je bouillonnai de plaisir, et criait à chacun de ses coups de reins. La chaise à bascule, bougeait tant qu'on aurait pu craindre d'en tomber.
Cependant, Sarah finit par décider de changer d'endroit. Elle se leva, et me tenant par le sexe m'entraîna vers le lit. Elle voulut m'y pousser, mais je n'avais pas envie de me laisser faire : je la saisis par les poignets, et ce fut moi qui la poussai sur le lit. Je vins au dessus d'elle, lui saisis les jambes, et les mis sur mes épaules. Puis, je m'enfonçai en elle avec un grognement de plaisir, et entrepris de la baiser en position de l'enclume.
Ses jambes sur mes épaules, ses mains fermement plaquées contre le matelas par les miennes, mes yeux dans les siens en signe de défi, je la baisais avec sauvagerie. A chaque coup de rein, j'allais très loin en elle, lui arrachant des cris de grands cris. Elle fermait les yeux, gémissait en continu, et grimaçait sous l'intense plaisir que je lui infligeais. Son merveilleux corps était ballotté par mes coups de butoir, ses seins rebondissaient sous mes assauts, et elle se tortillait magnifiquement. Quant à moi, le plaisir devenait insoutenable, et pourtant je continuais à la baiser, toujours plus sauvagement, me délectant de la voir prendre son pied ainsi. Ses seins gigotant sans cesse sous mes yeux me captivèrent bien vite, et je m'empressai de les malaxer, et de les dévorer.
« Hmmm ! Gémit Sarah, j'aime comme tu t'occupes d'eux ! »
« Heureusement je me fiche d'être puni pas vrai ? Lui dis je d'un ton moqueur. »
Je n'aurais pas du la provoquer. Sarah avait beau sembler définitivement soumise, elle avait des ressources. De plus, ses jambes sur mes épaules lui donnaient une excellente prise? Elle s'en servit pour me renverser, puis, avant que je ne puisse réagir, elle s'installa sur moi, et me tint par les épaules.
« T'as raison, susurra-t-elle, tu étais puni? Tu vas regretter de t'être rebellé, crois moi ! »
Elle s'empala sur moi, avec une mimique ravie. Puis, elle entama des va-et-viens d'avant en arrière, démarrant immédiatement sur un rythme élevé, me faisant fondre de plaisir. Tout en me baisant, elle se détacha les cheveux, les laissant tomber en cascade autour d'elle. A chacun de ses coups de reins, ils s'agitaient en tout sens, lui donnant un air de sauvageonne, et m'offrant une vision hautement excitante. Sarah accéléra encore le rythme, se déchaînant sur moi. Je me sentais partir lentement, ma vue se brouillait, j'étais essoufflé à force de gémir, et le plaisir me paralysait complètement. Sentant que si elle continuait sur ce rythme, je ne tiendrais plus très longtemps, Sarah ralentit. Elle se mit à me baiser avec plus de lenteur, profitant au maximum de mon sexe tendu. Elle fermait les yeux, et se passait les mains dans les cheveux tout en me baisant, signe qu'elle aussi prenait un pied colossal. En début de baise, ce ralentissement m'aurait permis de reprendre le dessus, mais après ce qu'elle venait de me faire, je n'étais plus en état de faire quoique ce soit. Sarah alternait, me baisant parfois d'avant en arrière, parfois de gauche à droite, se déhanchant magnifiquement. Parfois, elle accélérait ses attaques pendant une courte période, et à chaque fois, je frémissais de plaisir, et poussais un gémissement. J'étais totalement à sa merci. Elle eut alors envie d'en finir. Elle se mit à accélérer le rythme redevenant sauvage. Me tenant fermement par les épaules, elle me baisait si fort, que le lit en était secoué, et cognait contre le mur. Elle se déchaînait, alternant tous les coups de reins possibles et imaginables, me faisant perdre la tête. Elle s'activait sur moi magnifiquement, et tout son corps était en mouvement, ses sein se balançaient, ses cheveux voltigeaient, ses mains se baladaient sur l'ensemble de mon corps, tandis que ses hanches, implacablement s'agitaient dans toutes les directions pour me faire fondre. Elle me baisait d'avant en arrière, de gauche à droite, de haut en bas, me faisait la totale ! Je mis à pousser de grands cris de plaisir, ce qui fit sourire Sarah d'un air satisfait :
« Vas y gémis ! Crie comme une petite chienne que cette pute de Francesca t'entende ! »
Je protestai, péniblement à cause de l'intense plaisir que j'éprouvais :
« Francesca n'est pas une pute ! »
Sarah me mit une gifle :
« Si c'en est une, et tu vas le crier haut et fort ! »
En disant cela, elle avait ramassé mon portable resté sur le lit. Je refusai d'insulter Francesca, ce qui me valut une nouvelle gifle. N'importe, je ne céderai pas. Je reçus plusieurs gifles (je dois dire que j'adorai ça), me fis griffer le torse, et mordre le menton, mais rien n'y fit. Cependant, lorsqu'elle ralentit le rythme d'un coup, et se mit à frustrer par des mouvement trèèès lent, je fus mis à rude épreuve.
« Si tu veux que je te baise pour de bon, crie que Francesca est une pute... »
Elle se remit à accélérer, créant une terrible vague de plaisir en moi, mais aussitôt, elle revint sur son rythme lent. C'était trop frustrant pour moi, et je capitulai :
« Ok ! Oui, Francesca est une pute ! Hurlai je en espérant que l'italienne n'entendrait rien. »
C'était un espoir dérisoire : Sarah sourit et dit au téléphone :
« Tu vois, c'est ça qu'il pense de toi, ton beau français? »
Et elle raccrocha. J'étais stupéfait : Sarah avait appelé Francesca pendant qu'elle me baisait, et non seulement l'avait obligée à écouter nos ébats, mais en plus l'avait obligée à m'écouter l'insulter ! Cette fois, elle était allée trop loin. Si elle ne m'avait pas joué ce petit tour, elle serait restée maîtresse de la situation jusqu?au bout. Mais cette tromperie, me donna la force et l'envie de reprendre le dessus.
Je la saisis par les hanches, et la renversai d'un coup, effaçant son sourire narquois. Je la retournai, et la fis se mettre à quatre pattes. Elle se débattit un peu, mais je lui pris les mains, et les lui croisai de force dans son dos. Elle était à ma merci.
« Vas-y ! Souffla-t-elle en signe de défi, prends moi en levrette, je me soumettrai pas, et reprendrai le dessus ! »
« Je vais pas te prendre en levrette. Lui répondis je simplement. Après ce que je vais te faire, tu seras plus en état de faire quoique ce soit. »
Et sur ce, je mis mon sexe devant l'entrée de son cul. Elle comprit aussitôt, et je la sentis se raidir. Par excitation ? Par appréhension ? Difficile à dire, en tout cas, elle ne protesta pas. Je fis entrer mon sexe tendu au maximum dans son anus. Elle poussa un petit cri, je ne sus si c'était de douleur ou de plaisir. J'entamai alors des va-et-viens en poussant un long soupir de plaisir. J'étais délicieusement à l'étroit, et chacun de mes allers retours me faisait frissonner, et me rapprochait un peu plus de l'orgasme. Sarah frémissait elle aussi, et semblait adorer ce que je lui faisais. Sentant que tout était bon, je me mis à accélérer le rythme, la pilonnant plu sauvagement que jamais. Nous nous mîmes à crier tous deux sans cesse plus fort à mesure que le plaisir augmentait. J'étais décidé à me venger de Sarah, aussi je m'appliquai à la rendre folle comme elle l'avait fait avec moi : tantôt j'allais très vite, lui pilonnant le cul à un rythme continu, tantôt j'allais beaucoup plus lentement. Sarah en devenait folle !
« Baise moi plus fort ! Me cria-t-elle. »
« Je veux bien dis je, mais avant supplie moi. »
« Sûrement pas ! »
Je ne répondis pas, mais alla encore plus lentement, lui donnant des coups de reins tout juste bons à lui faire désirer plus? Frustrée, Sarah tenta alors de se dégager pour reprendre le dessus. Mais je m'y attendais, et la maintins fermement en mon pouvoir. Elle finit par capituler :
« Ok? Je t'en supplie? S'il te plaît, baise moi sauvagement comme tu sais le faire? Je t'en prie... »
Un puissant sentiment de victoire m'envahit, et me donna une nouvelle force. Je me mis à baiser le cul de Sarah plus fortement que jamais, allant et venant dedans à un rythme effréné. Je sentis aussitôt une vague de plaisir irrépressible monter en moi, et compris que c'était le dernier sprint. J'allais alors aussi vite que possible, si vite, que le souffle me manqua très vite. Sarah elle hurlait comme une démente, se tortillait de plaisir, et frappait le matelas dans des gestes incontrôlés. Je lui tirai les cheveux et la fis se mettre à genoux, pour pouvoir lui malaxer les seins tout en la baisant.
« Alors c'est qui le patron ? Demandai-je décidé à enfoncer le clou. »
Sarah eut du mal à répondre.
« Ooooh ! Oooh ! C'est toooi ! Mais continue continue ! »
Ravi de l'entendre crier ainsi, je la repoussai et la fis se remettre à quatre pattes pour l'assaut final. Je lui donnai de gros coups de reins qui s'enfoncèrent loin en elle. Nous ne pouvions tenir longtemps à ce rythme, et explosâmes tous deux dans un délicieux orgasme, qui nous laissa effondrés sur le lit.
Sarah, semblait incapable de parler, elle avait le teint rouge, et sa respiration était sifflante. Moi même j'étais épuisé mais ravi : la baise avait été délicieuse, et cerise sur le gâteau j'avais complètement dominé Sarah. Il fallut une dizaine de minutes à Sarah pour pouvoir parler. Elle avait la voix enrouée à force d'avoir crié.
« C'était tellement bon? Y a pas beaucoup de mecs qui m'ont faite autant de bien... »
Je ne pus résister à l'envie de la narguer :
« Dis donc j'étais pas censé finir soumis ? »
Elle me regarda d'un air mauvais :
« Rigole vas y? Mais j'aurai ma revanche crois moi. »
Je souris : je savais que Sarah essaierait de prendre sa revanche, mais ça ne m'inquiétait pas plus que ça. Car même si elle y parvenait, j'étais sur de prendre mon pied ! En revanche la réaction de Francesca à ce qui venait de se passer (et notamment le « Francesca » est une pute que j'avais hurlé) m'inquiétait plus, j'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas !
Une semaine plus tard, j'appris que si elle m'en voulait, mais ce fut une découverte extrêmement agréable. Je vous raconterai ça prochainement.
Voilà ce récit est terminé, j'espère qu'il vous a plu. Si c'est le cas n'hésitez pas à laisser vos commentaires, vos remarques voire vos suggestions qui sont toujours les bienvenues. Je rappelle que c'est en recueillant vos impressions sur le scénario, l'histoire et les personnages que je m'améliore. Si par ailleurs ce récit vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager, n'hésitez pas !
Pas de vote cette fois ci, le prochain récit sera un récit spécial pour fêter mes 2 ans sur HDS. J'essaierai de faire en sorte qu'il soit publié le 29 Mars puisque c'est à cette date qu'est sorti mon premier récit. Je ne promets rien cependant.
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