Münchner Freiheit Partie 2
Trois longs jours étaient passés, la tête dailleurs à moitié dans le cul, lautre dans le guidon. Entre le manque quotidien de sommeil et le travail jusquà des heures impossibles, penser en devenait difficile. Néanmoins, cette blonde au parapluie et surtout cette pipe inopinée me hantait aux moments les plus inattendus. Plusieurs fois, je la reconnaissais dans la rue, jusquà ce que je ratt
une autre blonde ! Inutile de vous dire que Munich en compte quelques-unes. Or ce soir-là, justement, mes pensées se perdaient sur son corps, sa bouche, sa poitrine superbe, tout en pédalant à travers la nuit pour rentrer prendre une bonne douche.
Lorsque jouvre la porte, mes loueurs sont là. Quelques banalités rapidement échangées... avant qu ils me disent que quelquun a appelé il y a une petite heure, une jeune femme qui a laissé un numéro pour que je puisse la joindre. Sur un bout de papier, quelques chiffres alignés et un prénom : Elke.
Miracle, magie ? Je ny réfléchis pas vraiment, je compose le numéro, impatient de lentendre. Elle a la soirée de libre et serait ravie daller boire un verre en ville, car elle ne désire pas me recevoir chez elle. Mon sang ne fait quun tour. Une rapide douche, je salue mes hôtes, descends en courant, hèle un taxi et lui donne ladresse pour aller chercher ma blonde.
À peine le premier rapport de vitesse enclenché, Elke se blottit contre moi pour métreindre de toute sa ravissante plastique. Ses seins fermes sécrasent contre ma chemise, me révélant des tétons gorgés de désirs, sa main gauche enserre fermement mon paquet à travers mon jean et sa langue plonge à la rencontre de la mienne.
Je nai cessé de penser à toi. Jen suis toute excitée ! chuchote-t-elle entre deux baisers.
Et moi donc ! Nos souffles saccélèrent, nous nous embrassons à en perdre haleine. En quelques secondes, mon pantalon est ouvert et ma bite est déjà dans sa main, bandée à rompre.
Munich est une ville lumineuse, jeune, dynamique, moderne.
Notre taxi nous annonce larrivée imminente, manière pudique de nous demander de nous rassembler quelque peu. Je le paie et lui souhaite bonne nuit. Avec un large sourire, il me souhaite une très agréable soirée à son tour !
Devant nous, les marches du NachtCafé, immense bar de nuit de nuit ouvert jusquà 6 h 00 du matin. Le bruit des gens sur sa terrasse surélevée, la musique dun de ces groupes qui joue ce soir, ambiance festive. De lautre côté de la rue, un parc arboré comme il en est tant dans cette ville, avec une belle herbe verte, nous attire bien plus que le meilleur des groupes de Rock, Blues, ou autre Jazz ! Je prends la main de ma chaude comparse, et nous traversons, sans quil nous soit nécessaire de nous concerter : cest une évidence, une urgence
un rut !
Là, dans lombre des buissons, je plaque ma torride nana contre un marronnier, lui soulève son pull pour enfin découvrir ses beaux seins libres. Hauts, volumineux et plutôt en forme de poire, de jolies aréoles pointant de très beaux tétons, tant déléments qui dictent à ma bouche quil me faut les sucer. Elle me bondit dessus comme pour précipiter le contact, mais sa main est de nouveau dans mon slip à malaxer mes couilles tout en me demandant de ne pas arrêter. En un tournemain, son pantalon se retrouve sur ses chevilles, mes doigts ont déjà pris contact, agaçant sa petite chatte partiellement rasée, juteuse à souhait, et mon autre main palpe lincroyable fermeté de son petit cul.
Ach, Elke
du schmeckst so gut ! lui dis-je en dévorant ses seins. (Oh Elke
Tu as si bon goût !)
Lèche-moi ! Dévore ma petite chatte. mimplore-t-elle. Jai trop besoin de sexe.
Ivre de ses atouts, je la retourne face à larbre, lui pousse la tête en avant tout en lui maintenant le bassin afin quelle se penche et offre sa croupe à mes lèvres. Mes deux mains écartent ses fesses alors que je maccroupis, le nez à hauteur de son splendide cul. Ma langue découvre enfin la subtilité de son abondant miel, sa vulve rasée dune onctueuse douceur. Déjà ma langue se perd parmi ses petites lèvres. Ma panthère répond à mes attaques, appréciant particulièrement que je lui lèche son petit trou, lorsque jy plante le bout de mon organe buccal tout en estimant la tonicité de son vagin de mes deux doigts réunis pour la pénétrer.
Je bande comme un fou depuis le voyage en voiture ; ce nest pas avec un régime pareil que cela va cesser. Il me tarde de la prendre, de menfoncer en elle afin den sonder les bienfaits. Le pantalon qui étouffe ma bite descend sur mes chaussures pour quun dur morceau de moi pointe vers sa petite chatte en feu. Au moment où je pointe ma queue gonflée à lhélium vers sa petite grotte offerte, elle me la saisit dans sa main et la présente directement contre son anus en mintimant lordre de lui prendre « le petit » :
Je te veux là ! Viens, baise-moi le cul.
Cru, cest cru, en allemand, non soumis à discussion. Elle veut que je la sodomise presque à sec ? Soit.
Sans hésiter, ma queue plonge à lintérieur de cet étroit fourreau, soucieux de ne pas la faire attendre. En fait, ma bite est happée par son puissant anneau. Jy entre jusquà la garde, au point que mes couilles trempent dans sa mouille, plaquées contre sa vulve brûlante. Elle râle en poussant son bassin contre mes hanches, apparemment satisfaite dêtre enculée, là, à 10 heures du soir en plein cur de Maximiliansplatz. Mais il en faut plus pour nous décourager ! Mes mains emprisonnent ses seins alors que par petits mouvements, je recule un peu pour mieux linvestir de nouveau.
Ta queue est longue
Tu me fais du bien
Jadore. Baise-moi !
Elle veut de la longueur, pour lheure. Il faut que je la parcoure de la base du gland jusquaux poils de mon pubis et que mes burnes pendantes viennent claquer contre ses lèvres charnues au rythme du martèlement des marrons tentant de nous canarder en chutant alentour. Elle mencourage, me supplie de la lui mettre bien au fond, remercie la France au passage je vous assure quelle ne perdait pas le Nord, celle-là , me demande de la secouer davantage. Mon majeur gauche écrase son clitoris concentriquement, le pouce et lindex droit stimulent son téton tout dur, ma queue va vers son ventre à la vitesse du Shuttle dans le tunnel sous la Manche, butant ses fesses à chaque voyage.
Cest une virile enculade, je ne suis pas tendre avec son sphincter. Plus jy vais fort, plus elle frémit, vibre et minvite à augmenter la cadence ! Je naime pas décevoir, donc la besogne donc comme elle lentend, à couilles rabattues. À sentir son anus se serrer puis relâcher avec tant de vigueur, je me demanderais presque
lequel de nous deux est le plus actif.
Dans un cri rauque, Elke mordonne de jouir maintenant, ce qui de toute façon, à un tel rythme allait bientôt arriver ! Mes bourses remontent comme pour ne pas voir ce qui va se passer. Mon ventre se tend dangereusement pendant que les coups se rapprochent, et brusquement, bestialement, mon foutre part à lassaut de ses intestins. Chaque salve déclenche une secousse tellurique soulevant les pieds de ma monture, pour son plus grand plaisir. Figées dans un grand orgasme collégial encore quelques dizaines de secondes, ses mains quittent enfin le tronc de notre hôte darbre. Elle vient délicatement enserrer mes testicules par en dessous, les malaxant tendrement, respectueusement.
Ne sors pas, reste là en moi. Cest si bon de tavoir en moi !
Elke me réclame en son sein, comme pour bien sentir ma présence. Jadore cela, rester au contact, lorsquun homme ma royalement sodomisé. Cette fille est un trésor, une déesse du cul. Avec de légères contractions de son sphincter, elle semble capable de prélever les dernières gouttes de mon sperme encore présentes dans lurètre.
Puis vient le moment de nous retrouver en face pour un long baiser, nos mains toujours occupées à nous découvrir avidement, nos sens enivrés par nos effluves. Nos pantalons sur nos chevilles, nos corps collés dans une étreinte sensuelle, nous sommes en parfaite osmose malgré le ridicule de cette scène.
Que cest bon de faire lamour avec toi, tu es tellement vivante ! lui dis-je à loreille.
Et toi si long, si fort ! Javais oublié que ce pouvait être si bon, une queue dhomme, une vraie, chaude, qui jouit.
En disant ces paroles, sa main estime la longueur et le volume de mon sexe pendant en le caressant avec respect. Mon esprit analyse pendant ce temps-là ses paroles révélatrices dune évidente abstinence.
Nos affaires réajustées, nous nous posons sur un banc public pour parler un peu, peu pressés de finir linstant. Sa tête blottie contre moi, nous allumons une cigarette, et je lui demande alors ce quelle voulait me faire comprendre en me disant ces paroles à linstant.
Dune voix posée, Elke mexplique vivre avec une femme depuis deux ans. Rencontrée sur un tournage, cette femme cultivée et fascinante lui avait fait des avances à plusieurs reprises. Logées à lhôtel le temps du tournage, loin de son chéri, elle avait fini par céder, pensant faire une expérience sexuelle et puis
et puis ce fut torride, une révolution
une révélation.
Cette lesbienne lui avait joué la gamme complète de sa bouche, aidée de sa valise à jouets, lemmenant en une nuit bien plus haut quen deux ans de vie commune avec son copain. Les quelques nuits qui suivirent ne furent quorgasmes et découvertes.
Déstabilisée, le retour fut douloureux après quelques nuits passées avec Irene cest son prénom. Rapidement, elle constata que ses rapports sexuels avec son copain ne la faisaient plus vibrer, elle le quitta
pour venir chez Irene. Ce fut difficile le temps de faire son coming out. Même si le saphisme lui convenait sur le plan sexuel, recevoir leurs amis, ou encore sortir resta longtemps douloureux.
Bref, le temps passant, même si « sa moitié » adore la prendre avec de solides godes ceinture et la fait jouir plus que de raison, lenvie den ressentir une « bien vivante », chaude, qui bande, débande, la baise et décharge devenait de plus en plus fréquente. Mais elle ne voulait pas tromper sa copine, jusquà ce quelle croise le chemin dun petit Français entreprenant et bien monté selon ses propres termes.
Je lembrasse tendrement, la remercie pour sa franchise tout en lui exprimant ma gratitude. Je lui explique que je suis prêt à lui faire tout ce quelle attend dun homme, voire un peu plus. Elle mexplique encore ne pas désirer quitter sa copine, mais quelle aimerait bien faire une petite soirée dans le péché de temps en temps, histoire de satisfaire sa part dhétérosexualité.
Bien évidemment, je lui explique à mon tour ma bisexualité, que je conçois très bien que lidéal soit de disposer des deux sexes. Je lui parle alors de Danièle, cette merveilleuse amante si large desprit, de nos parties de jambes en lair, à deux comme à trois, du bonheur, de la quiétude que javais alors ressentie. Puis évoque Patrick, et Franck...
Japprécie beaucoup ta franchise. Autant que ta présence ! me dit-elle en posant sa main sur mon sexe.
En la remerciant, je lui demande comment elle a fait pour sortir seule ce soir. Irene est en déplacement depuis ce matin, et ne rentrera que demain tard dans la soirée, ce qui lui laisse la nuit et une grosse partie de la journée de libres. Mais elle na pas osé me recevoir « chez eux », puis voulait également men parler avant daller plus loin
sauf quune fois contre moi dans le taxi, le goût de ma queue et de mon foutre lont rattrapée.
Viens. Suis-moi. lui dis-je en lui prenant la main.
De lautre côté de ce parc, Maximiliasplatz, se trouvent plusieurs hôtels plutôt luxueux. Je veux faire lamour avec elle. Et pas sous un parapluie, ni sur un banc public, mais dans un bel endroit, avec tout le confort que cela requiert. Le MaxSuite fera largement laffaire, plus quune volée de marches
Elke ne dit plus un mot jusquà ce que les portes de lascenseur ne se referment sur nous pour nous emporter vers notre chambre.
La porte fermée, sans perdre une seconde, nos mains nous débarrassent de nos vêtements alors que nos langues saffrontent sans merci. Nus, je peux enfin admirer son corps dans son intégralité à la lumière. Mes yeux nen reviennent pas.
Sa poitrine généreuse est en parfaite proportion avec sa taille, véritable balcon au-dessus dun ventre plat qui se termine par un tout petit ticket de métro châtain clair. Je tourne ma déesse pour admirer son dos, sa chute de rein parfaite, campée sur de longues jambes fines. Passant mes bras autour de son ventre, mes mains remontent sur sa poitrine pour les saisir et plaquer son dos contre moi, je lui murmure des mots doux, la félicitant pour sa grâce et sa beauté, lui répétant que je veux laimer toute la nuit.
Elle mattire vers le lit et my pousse. Allongé sur le dos en travers du lit, la queue pointant vers le plafond, Elke vient déposer délicatement sa petite chatte toute ruisselante sur ma bouche, pendant que ses lèvres entourent mon gland et quune douce fellation commence. Mes mains écartent les deux jolies fesses de la miss, ma langue part pour la deuxième fois à la découverte de son sexe pour en explorer chaque recoin. Sa bouche uvre bon train sur ma hampe, sarrêtant juste le temps de me gober les couilles avec gourmandise avant de revenir me dévorer dans les règles de lart.
De mon côté, deux doigts investissent son anus tout dégoulinant de mon sperme, ce qui la fait se trémousser et donner des coups de bassin sur ma bouche, me noyant de cyprine. Le goût de sa mouille est exquis, son odeur est douce, subtile. Jouer avec un aussi joli clitoris dans de telles conditions nest que volupté.
Comprenant ce quelle cherche à faire, je replie la jambe du côté de son bras actif, et sens immédiatement un doigt pénétrer mon illet. Ma langue et ma bouche se démènent sur son petit minou, conscient que passer après deux années de saphisme place la barre assez haut. Mais personne ne se plaint, au contraire, ses ondulations saccélèrent.
Un deuxième doigt minvestit tandis que son autre main serre fortement mes testicules, et que sa bouche parcourt ma hampe avec avidité. Je ne tiens plus, des frissons me parcourent le dos et le ventre, le processus est enclenché.
De ses deux doigts dans mon fondement, Elke appuie sur ma prostate tandis que sa bouche maspire encore davantage. Mon sperme, dans une terrible contracture, se retrouve propulsé avec violence. Recevant la première giclée, elle gémit bruyamment en se trémoussant contre mes lèvres quelle inonde de mouille, jouissant elle-même au même instant.
En plusieurs saccades, je me vide en elle abondamment. Ma belle déguste ma semence avec un plaisir non dissimulé, ralentissant sa succion graduellement en fonction de la sensibilité croissante de mon gland. Incroyablement belle, douce et sensuelle.
Lentement, elle fait demi-tour, toujours au-dessus de moi, sintroduit ma verge encore raide dans son vagin avant de venir membrasser avec fougue, écrasant sa lourde poitrine contre mon torse. Nos saveurs se réunissent dans un long baiser.
Javais soif de toi. Jaime te sucer. Je recommencerai ! dit-elle en souriant.
Confortablement installé dans son intimité, je nai de cesse de lembrasser, de lui caresser le dos et sa splendide croupe. Les muscles de son vagin me massent délicatement la queue, à tel point que je nai pas débandé. Jadore cet état dexcitation, pendant lequel, plein de testostérone, dhormones en tous genres, le corps se surpasse, multipliant ses performances avec une facilité déconcertante.
Jentraîne son corps dans une roulade afin de reprendre le dessus. Réactives, ses jambes viennent immédiatement senrouler dans mon dos, livrant ainsi son sexe à ma langoureuse danse. Par de petites ondulations, je la pénètre jusquaux ovaires, mon gland ne quittant presque pas le contact de son col, les couilles bien appuyées sur ses fesses.
Les yeux dans les yeux, jouant avec nos langues, une main empoignant son sein, lautre dans ses cheveux, notre étreinte sensuelle relève plus de lamour que du sexe. Radieuse, je la regarde bouger la tête, fermer ses yeux de temps en temps, en même temps que ses ongles griffent délicieusement mon dos. «
Javais tellement besoin de faire lamour avec toi. lui dis-je doucement à loreille. Jen rêvais depuis que tu mas laissé sous la pluie la première fois.
Son bassin vient régulièrement à la rencontre du mien, et ses suppliques restent les mêmes :
Oui, fais-moi jouir, prends-moi doucement, fais-moi lamour comme ça toute la nuit, ça me manque tant !
Nos jambes bougent gracieusement, une des siennes venant entre les miennes. Son bassin se décale lentement sur le côté sans arrêter de maccompagner, sans réduire ni même accélérer notre pénétration. Je dévore laréole de son magnifique sein, sa main vient saisir mes testicules pour me guider dans sa quête de jouissance. Je suis bien, bandé à casser des pierres, capable de tenir ainsi des heures sans éjaculer, seulement à lhonorer.
Sentant quelle va bientôt jouir, je me retire lentement malgré ses doigts emprisonnant mes bourses. Je la couche sur le côté, soulève sa jambe, écarte ses fesses et plonge ma bouche sur son sexe pour la lécher à perdre haleine. Sa main me saisit les cheveux et me plaque encore plus sur sa chatte trempée et ruisselante. Elke me traite de fou, de criminel, soufflant fort lorsque ma langue plonge dans son vagin, mon pouce enfoncé dans son anus.
De nouveau allongé derrière elle, je la blottis fort contre moi en passant un bras sous son épaule et lui saisissant un sein à pleine main. Mon autre main prend sa cuisse pour la lui soulever afin que ma queue tonitruante senfonce millimètre par millimètre dans son vagin en feu.
Oh Oui, vas-y, je laime, ta queue. Oui, vite !
Non, certainement pas vite. Régulièrement, je glisse entre ses petites lèvres, jusquà ce que mes couilles touchent ses fesses, augmentant insensiblement la cadence au fur et à mesure que son bassin bouge, me réclame, quelle me supplie. Elle tourne la tête pour me tendre ses lèvres auxquelles je ne résiste aucunement. Ma langue luttant agréablement avec la sienne, je commence alors à appuyer mes coups de reins de plus en plus fort, sentant son vagin se contracter autour de ma hampe.
Ohhhh, oui, viens, viens, plus vite, je vais jouir ! crie-t-elle en passant son bras derrière ma nuque pour me plaquer sa bouche encore plus fort contre la sienne.
Mes doigts pincent son téton, cette fois, ma queue semballe dans sa petite chatte serrée comme une main. Nos bouches soudées ne lempêchent pas démettre un long grognement de jouissance, sa main serrant mon cou dans lintensité de linstant, son bassin collé au mien en de multiples spasmes, éclaboussant mes bourses de son abondante mouille.
Mon gland gonflé me semble être une boule de billard, plantée tout au fond dun écrin chauffé à blanc. Elke, merveilleuse, jouit longuement, cherchant son souffle, mais ne désirant pas dessouder ses lèvres des miennes. Les yeux ouverts, immobile et tendu en elle, je regarde son ventre se creuser lorsquelle serre mon membre en elle, admirant également ses lourds seins bouger au rythme des saccades de sa respiration haletante. La puissante odeur de luxure qui envahit mes narines me stimule davantage, je ne vais pas en rester là avec elle.
Comment un homme peut-il avoir tant de puissance ! murmure-t-elle dune petite voix essoufflée et les yeux clos, alors que sa main quitte ma nuque en glissant vers ma joue.
Elle vient caresser mes testicules trempés, les plaque contre elle pour sen caresser le clitoris. Sentant mon sexe toujours raide en elle, elle me demande si je nai pas joui. Je lui réponds que jai toute la nuit pour r de son corps, de ne pas sen inquiéter.
Mon petit français damour
merci. Jaimerais que lon prenne une douche ensemble, et boire un coup.
Lentement, je me retire de son petit chat et me lève pour aller chercher du champagne dans le minibar. Jen remplis deux flûtes pour revenir vers Elke, assise sur le bord du lit, détendue et souriante.
Tu ne débandes jamais. constate-t-elle, prenant mon membre à pleine main pour lembrasser sur le gland. Jai beaucoup de chance ce soir.
Lequel des deux est le plus chanceux
Sans me lâcher, elle boit une gorgée de champagne et enfonce mon gland entre ses lèvres. Le contraste du chaud-froid est terrible, des milliers de bulles pétillent, irradiant mon cerveau dexquises informations, sa langue tournant autour du gland pour en rajouter. Puis le champagne se réchauffe, ses lèvres coulissent sur ma hampe, puis déglutit pour avaler le liquide. Il y a trois jours, je tenais un parapluie dans cette posture ! Les temps changent, puisquaujourdhui, cest un verre.
Ne me fais pas venir trop vite, petite Gretchen. Je voudrais encore taimer.
Leau nous asperge de toutes parts sous cette douche multijets ; nous nous livrons à une toilette des plus sensuelles, sans gant ni éponge. Nos mains, nos bouches et nos langues sen chargent. Savonner son corps sublime, étreindre le galbe parfait de ses seins ou de sa croupe la fait vibrer de tout son corps autant que cela entretient mon érection.
Elle me découvre avec beaucoup de minutie, jouant de sa plastique sur mon membre, aventurant volontiers ses doigts entre mes fesses avec beaucoup de tact. Ma bisexualité avouée, celle-ci sen donne à cur joie.
À un moment, je me retrouve face aux jets, Elke dans mon dos, accroupie branlant régulièrement ma queue de sa main passée entre mes jambes. Je me penche un peu en avant, comprenant quelle veut soccuper de mes fesses. La douce morsure de ses belles dents blanches sur ma croupe est si excitante, mais lorsque ce sont mes testicules quelle gobe en plaçant son nez contre ma rosette, je me cambre encore davantage pour répondre.
Lentement, sa langue vient remplacer son nez pour sintroduire de plus en plus profond, me faisant frissonner.
Sau geil, wirklich ! (Super excitant, vraiment !) Jen veux encore !
Infernale ! dis-je en haussant les sourcils pour acquiescer.
Allongés nus sur le lit, nous buvons encore un peu, profitant de nos corps pour de tendres câlins. Je suis vraiment heureux quelle mait appelé ce soir. Même si javais imaginé son corps et nos ébats, je naurais jamais pensé que nous puissions si bien nous emboîter, avec autant de complicité, autant dharmonie.
Tu tes trouvé là au bon moment, petit français de rêve. Je te donne mon corps et mon cur jusquà cet après-midi. Ensuite, je vais le rendre à Irene, en gardant pour moi ta jovialité, ta façon de me caresser, de faire lamour, tes larges épaules, ta belle verge et le goût de ton sperme. Prost !
Nos verres tintent en même temps que nos yeux brillent. Je ne sais combien de temps nous restons ainsi à parler et nous caresser. Linstant est si improbable, nous en sommes conscients. Je me tourne sur le lit déposer les verres au sol et lui refais face pour lembrasser, mais jai devant moi sa petite chatte luisante, la belle a fait un tête à queue entre-temps.
Elle matt le sexe pour immédiatement lengloutir, il ne me reste plus quà plonger ma langue entre ses jambes pour un 69 horizontale. À laide de mes doigts, je décapuchonne son clitoris et le mordille amoureusement tout en profitant de ses effluves. Pendant que mon autre main caresse et écarte ses fesses, ses lèvres me sucent la queue avec beaucoup de douceur, ne cherchant quà entretenir mon érection en pelotant mes testicules.
Lintimité de cette bombe sexuelle distille une cyprine dune infinie délicatesse, enivrant mes sens. De mes doigts, jécarte ses lèvres pour laper son petit minou et mabreuver à la source, tandis que son bassin ondule au rythme de ma langue. Sous mes yeux amusés, son périnée se contracte par saccades, son anus pulsant comme un appel à la débauche. Je ny résiste pas, ma langue linvestit.
Oh oui, mon petit cul. Encore. Jadore !
Jy tourne, plonge, lèche, le doigte, reviens le lécher, un long moment, jusquà ce quElke me replie les jambes et décide de retourner lécher mon petit trou. Jimagine que cette caresse fait partie de lenrichissement sexuel que lui a apporté sa vie avec Irene, et, tout en nous dévorant mutuellement nos anus, je les imagine enlacées faisant lamour
Elle me demande de la prendre, se plaçant à quatre pattes devant moi, les jambes largement écartées. Le tableau est irrésistible, et déjà il me tarde de la pénétrer, constatant avec amertume que je nai quune seule bite pour deux si jolis nids damour.
Viens vite, mets-la-moi, ne me fais plus attendre, je vais devenir folle !
Je pointe alors mon gland exprès entre ses lèvres, mais la belle me dit de lenculer en attrapant elle-même ma hampe pour la placer contre son illet, puis sa main att mes couilles et les tire vers elle en criant de lenculer fort. Pour ne pas finir émasculé, mon bassin vient frapper avec violence son cul parfait, où ma queue est immédiatement comprimée, aspiré.
Baise-moi fort, encule-moi, oui !
Mes mains agrippent ses hanches et je réponds à ses ordres avec application, lui enfonçant mes durs centimètres de chair bandée avec la violence dun forcené, mes bourses de nouveau libres venant frapper son vagin et son clitoris à chaque coup porté.
Oh oui, ce que tu me baises bien, petit français. Oui, encule-moi encore, jadore que tu me prennes par là !
Je ne limaginais pas si crue, si à laise avec le verbe. Dun côté ange, au lit, cette femme savère capable de prouesses insoupçonnables ! Plus je mactive entre ses fesses, plus elle men demande. Je sors quelques secondes et la retourne sur le dos, prends ses jambes contre moi et lui remets ma queue gonflée dans la rosette, repartant de plus belle à la besogner sans merci. Sa tête roule de gauche à droite, ses mains pincent ses tétons, pétrissent ses seins, elle hurle mon prénom, que je la baise trop bien, quune bonne grosse bite lui manquait.
Mes bourses vont exploser sous la pression, mon ventre est creusé par la contraction continue de mes abdos. Bien quà fond de bourre, je trouve quand même les ressources nécessaires pour accélérer davantage la cadence pourtant déjà infernale. Mes tempes sont douloureuses, lair me manque presque, je lui hurle que je vais tout lâcher, que je vais me vider dans son joli cul.
Mes couilles se plaquent tout contre mon scrotum, pendant quune décharge électrique partant dentre mes épaules descend ma colonne pour se transformer en véritable coup de batte de base-ball dans mes reins. Elke, en sanglots, crie quelle jouit également, serrant son fourreau autour de ma hampe pulsant son foutre à nen plus finir, répétant que je suis un fou, que cest dément de pouvoir baiser si fort.
Son sphincter écrase la base de ma hampe avec une puissance inouïe. Alors que mes testicules redescendent lentement, nos poitrines se soulèvent elles très fort tant notre système cardio-vasculaire vient dêtre éprouvé. Je meffondre sur ma belle enculée, presque étonné quelle soit encore vivante. Pendant que mes lèvres déposent de petits baisers dans son cou, ses bras menserrent tendrement :
Ne bouge surtout pas, reste en moi. Cétait extraordinaire, tu es
Mon bras gauche contre son corps, ma main grande ouverte se saisit de sa fesse, lui murmurant quelle ma fait faire un très beau voyage. Jaime son corps, et
ne compte pas en rester là !
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