La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 630)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Soumise jusqu'au Château (2/2) -
Pendant ce temps, le défilé se poursuit aussi dans sa bouche et on lui a mis deux gourdins en main à branler. Son Maître, qui la connaît, se mets à lui frotter le clito pendant que son cul se fait défoncer, et elle se remet à jouir comme une folle...elle ne peut se retenir de serrer les deux mecs qui lui giclent dessus aussitôt.... Pendant près de deux heures, tous son corps leur sert de vide couilles et elle en jouit plusieurs fois avant qu'ils se retrouvent tous épuisés...elle est endolorie de tous ses orifices, couverte de foutre, mais elle a joui comme jamais ! Chacun des mecs la remercie du plaisir qu'elle leur a donné avant que son Maître l'aide à se relever, la rhabille avec douceur et de la ramène à l'hôtel. Après une nuit réparatrice, son maître lui fait doucement l'amour au réveil avant de lui promettre de lui donner de nouvelles occasions de jouissance extrême
- Alors ma belle, jusqu'à présent, tu as plutôt profité de ton statut de soumise, mais la vraie soumission c'est autre chose, c'est aussi l'humiliation et la douleur.... toujours envie d'être chienne ? - Bien sur, et je savais que vous alliez y venir tôt ou tard...
- Alors on va passer à l'humiliation. Rendez vous samedi au château de Maître Sir Evans. A 20 h sans faute, je t'envoie le plan, et n'oublie pas de porter ton collier. Tu devras être fraîchement épilée de partout, OK, ma salope de chienne ?
- Oui Maître, jobéi. Comment dois je m'habiller ? - Ta tenue m'est égale, de toutes façons tu ne la garderas pas longtemps, mais attache tes cheveux. Ce samedi soir, elle engage sa voiture dans l'a grande allée indiquée du château .
Cinq voitures de luxe sont garées devant cette belle demeure du 18ème dont les volets du rez de chaussée sont clos.
- A poil maintenant, chienne ! Ce sera ton unique nom ce soir ! Tu ne mérites pas d'en porter un autre ! Enlèves tes chaussures aussi ! Curieusement, il lui enlève son collier, mais c'est pour le remplacer par un vrai collier de chien attaché à une chaîne. Dorénavant, tu te comportes comme une chienne obéissante ! Tu ne te déplaces qu'à 4 pattes et fais ce que l'on t'ordonne si tu ne veux pas être punie !
Docilement, elle se mets à 4 pattes, et le suis tandis qu'il la tire par la chaîne jusqu'au salon. Là, une femme seule (celle qui a accompagné son Maître sans doute ) et 5 couples en tenue de soirée sont attablés et un homme grand, élégant au regard fixe qui nest dautre que le Maître des lieux Sir Evans. Il n'y a qu'une chaise vide. Son Maître leur présente la chienne, dévouée à leurs envies et leur perversité, à ne surtout pas ménager. Personne ne fait plus cas d'elle comme sil sagissait d'un simple caniche, et avant qu'il ne s'assois, il la fait passer sous la table.
- Quand tu verras une main te faire signe, tu t'approches et tu suces ! De fait, les hommes ont tous leur sexe sorti du pantalon, et les femmes ne portent pas de lingerie sous leur robe. Presque aussitôt, une main d'homme lui fait signe, et elle s'attelle donc à sucer et branler le membre correspondant. - J'espère que la chienne que vous nous offrez ce soir est une bonne suceuse, dit Sir Evans, mon château ne saurait recevoir une simple amatrice ....le contraire serait dommage, elle a l'air si obéissante...
- Ne vous inquiétez pas Marquis De Evans, elle est déjà dressée et passée par une éducation de pute, mais ce soir, pas question de la faire jouir ! Elle veut être une chienne, elle doit savoir ce que c'est ! Et la conversation dévie sur un autre sujet, pendant que sous la table, au gré des demandes, elle suce des queues qui plusieurs fois lui giclent dans la gorge et des clito.
Il l'emmène dans un autre salon, et la fait monter sur une table basse toujours à 4 pattes. Là, il lui attache les poignets et les chevilles aux pieds de la table à l'aide de menottes. - Voilà, elle est à vous ! Aussitôt, on lui tire la tête en arrière par les cheveux, et une femme lui présente sa rondelle. - Lèche ! Et enfonce bien la langue, chienne ! De toutes façons, tu vas lécher tous nos culs !
Quand au tien... Le sien est subitement empalé à sec d'un coup violent ! Elle ne peut s'empêcher de hurler de douleur ! Tais toi chienne ! Si tu te tais, tu garderas ce gode toute la soirée, mais si tu te plaint, ce sera un plus gros qui te déchirera le cul ! Elle a mal, mais contraint à se taire, et continue à lécher et enfoncer sa langue dans les anus qui lui sont présentés, pendant qu'autour d'elle, la soirée stricte a dégénéré en partouze. Après un moment, plus personne ne s'occupe d'elle, et elle reste sur sa table, godée, à attendre, jusqu'à ce que l'un des hommes s'approche... - Lève la tête et ouvre bien la bouche ! Et surtout, bois tout, chienne ! lui dit Sir Evans - Et il lui pisse dans la gorge... Au gré de la soirée, d'autres en feront autant, selon leurs envies.... Parfois, une femme att le gode et lui pilonne le cul avec en lui répétant que c'est la seule chose que les chiennes méritent. Elle est endolorie de rester dans cette position, se demande quand ça va s'arrêter.... Et son Maître finit par venir la détacher.
Il la remmène, toujours à 4 pattes, en lui expliquant que c'est cela la vraie soumission, mais que comme elle a été docile, elle mérite une récompense. Alors il l'allonge sur un canapé, et la pénètre tendrement.
Le lendemain matin après avoir dormi et pris le petit déjeuner au château, son Maître lui dit :
- Et maintenant, ma salope soumise, on va commencer à passer aux choses sérieuses....On va temmener à la salle du donjon, Sir Evans a le matériel pour cela. Sa soumise attitrée, sa favorite de son harem, sera là aussi, elle est déjà habituée au SM, tu te sentiras ainsi moins seule. Son Maître appelle alors Walter qui lemmène seule dans une pièce aux murs blanc accessible après avoir descendu des escaliers étroits de pierre en colimaçon. 5 autres hommes sont là et parmi eux Sir Evans, et au milieu de la pièce une femme d'une trentaine d'années, belle et bien proportionnée. Elle est nue, attachée les bras en l'air à une poutre, les chevilles à 2 crochets dans le sol qui lui maintiennent les jambes très écartées.. Elle semble ravie d'être ainsi offerte aux regards concupiscents des hommes qui s'adressent au Maître de maison Sir Evans.
- Toujours aussi belle, votre salope de laétitia, cher Monsieur le Marquis, et toujours aussi conciliante ha ha ha ! - Messieurs, Je vous en présente une autre, salope, pute et chienne réplique le marquis De Evans en se retournant, - elle aime tout cette putain, son Maître me la assuré ! Et en disant cela, il lui arrache sa robe. Il fait de même avec ses dessous, avant de la pousser au milieu de la pièce...
- Une pute de plus à notre service ! Surtout, ne vous gênez pas, on nous loffre sans modération ! L'un d'entre eux s'approche d'elle, lui pétrit durement les seins et lui enfonce deux doigts dans la chatte.
Vous avez raison Marquis, elle est trempée, cette salope ! -
Passons aux choses sérieuses. Sir Evans fait un signe à Walter....Celui-ci apporte alors un martinet dans la main du Marquis Sir Evans. - Fouettez cette salope, surtout les seins et la chatte ! Et ne vous retenez pas ! dit le Maître de la putain qui arrive à ce moment au pas de la porte.
- Allez y franchement Sir, elle aime ça !
Et toi aussi tu vas apprendre à aimer, car tu vas y avoir droit ! Effectivement, quand les coups deviennent franchement fort, ce ne sont pas des cris de douleur mais des gémissements de plaisir qui y répondent.... Au bout dune trentaine de coups, Sir Evans sarrête pour lui remettre à la place 4 paires de pinces...Ayant de bonnes connaissances sur le sujet, il en place une sur chaque sein de la femme et deux sur chaque lèvre du sexe
- Re fouettez là un peu, elle sera bien mouillée comme ça !
Puis on lui remet deux godes. Elle est impressionnée par leur taille...
- Allez, je lui ai mis du gel dit un homme, enfonce en un dans son cul de pute ! Il a l'habitude d'être dilaté ainsi ! Et l'autre dans sa chatte ! Voilà...maintenant, elle a ce qu'elle aime... puis on l'entraîne vers une table de gynécologie et l'installe dessus, en lui laissant dépasser les fesses surélevée dans le vide. Puis on lui attache les bras écartés au dessus de la table, et les pieds aux étriers. On écarte ceux ci au maximum et ses deux orifices sont maintenant écartés.
Puis on lui bande les yeux pour qu'elle ne sache à quoi s'attendre. Ce serait dommage de pas en profiter avant qu'ils soient trop béants, puisque tu aimes les queues....Et elle se fait prendre la chatte et le cul par les 5 hommes l'un après l'autre...Certains imitent son Maître, qui lui frotte le clito pendant qu'il l'a sodomise, et chaque fois elle jouit.....
- La récréation est terminée ! Des salopes comme toi doivent aimer souffrir aussi ! Et aussitôt, elle sent ses pointes de seins pincées. La douleur est grande, elle se mord la lèvre.. Puis ce sont les coups de martinet, forts, qui pleuvent sur ses seins, son pubis, ses lèvres.....Curieusement, les coups sur sa chatte déclenchent une douleur mêlée de plaisir.....
Elle sent qu'on lui pince les grandes lèvres, et celles ci se retrouvent tirées vers l'extérieur car des petits poids sont accrochés aux pinces et pendent de l'autre coté de ses cuisses... Les coups recommencent et dès qu'ils s'arrêtent elle sent quelque chose de froid sur son anus, on est en train de l'enduire de gel, puis elle se sent littéralement empalée par un véritable gourdin enfoncé dans ses entrailles et un second tout aussi gros est enfoncé dans sa chatte.....La douleur est forte, si forte qu'elle rejoint l'extase...Quand une dernière pince est accrochée à son clito, elle jouit si intensément qu'elle manque en perdre connaissance.....
L'autre fille, laétitia a pendant ce temps là été détachée pour être positionnée à 4 pattes et de nouveau attachée ainsi. On lentend jouir tout autant étant baisée, enculée dans cette position en levrette par Walter, Sir Evans et Son Maître à tour de rôle, et elle entend laétitia se faire défoncer en cadence au bon plaisir des hommes qui la pénètrent sans ménagement....
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