La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 632)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (2/5)-
Je fais connaissance avec les quatre hommes, qui, je l'apprends à ce moment là, vont s'amuser avec moi tout le week-end, le Maître étant absent pour le moment m'a en effet prêté à eux pour me dresser pendant 48 heures. Dabord, je découvre Walter, le domestique, cest celui que j'ai sucé en premier et qui m'a posé le gode. Il est grand mince très « anglais » par son flegme apparent mais assuré au regard froid et impassible, brun, bien monté avec un regard bleu perçant. Le deuxième, Alexandre, le conducteur grand, châtain aux yeux noisette est celui qui m'impressionne le plus par son immense corps dathlète . Ils semblent amis. Les deux autres, prénommés Jérome et Serge sont plutôt des hommes de main mais bien aussi membrés il faut lavouer. Jérome est un beau noir, ce que je n'avais pas remarqué dans la pénombre du couloir. Après cette séance mémorable, ils me laissent récupérer une petite heure dans un cachot, juste sur un matelas, sans me laisser libre pour autant : ils prennent garde de m'attacher à un anneau scellé au mur avec une chaîne assez longue, reliée à mon nouveau collier de chienne qui lui-même se verrouille avec un petit cadenas : même les mains libres, je ne risque pas de l'enlever ! Je garde aussi le gode en permanence en moi ceinturé par une lanière de cuir, qui me gêne un peu pour me déplacer dans cette cellule ou je traîne ma chaîne qui mesure environ de 2 mètres
Je suis tellement épuisée d'émotions que je m'endors ensuite presque instantanément.
Il est 22 heures, je suis partie depuis seulement que 2 heures de chez moi ! Je suis réveillée à 23 h 30 par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Walter qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage.
Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin. Walter m'enlève enfin mon gode qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de mon collier et me fait rentrer dans la grande caisse au centre ou je tiens debout sans pouvoir me plier d'aucune façon. Ca me fait penser à un cercueil vertical. Dans la caisse, il me fixe les poignets au collier grâce aux deux bracelets en cuir quil me remet. J'ai donc maintenant les deux mains coincées sous le menton, sans pouvoir bouger du tout, prisonnière dans cet espace réduit ou je ne tiens que debout. Walter referme la caisse me laissant ainsi enfermée une dizaine de minutes. Puis j'entends des gens qui commencent à arriver. Manifestement il y a du monde, des voix d'hommes et de femmes, ça rit, ça discute.
Puis je sens une main qui s'insinue dans ma cage par l'un des trous : je comprends alors ce qui va m'arriver ! En quelques minutes, mon corps est pris d'assaut : des mains inconnues me palpent, s'insinuent dans mes moindres recoins sans que je puisse y opposer la plus petite résistance : on me pince les seins, on les tire, on vrille mes tétons, des doigts pénètrent dans ma bouche, puis dans ma chatte, plusieurs doigts venant de plusieurs mains
Je comprend ensuite pourquoi Walter a laissé le gode me dilater aussi longtemps : je sens une main qui tente de s'insérer entière dans mon vagin, par le trou positionné pile en face de mon sexe me forçant à écarter les jambes autant que je le peux pour tenter de faciliter la pénétration, car j'ai bien compris qu'il ne sert à rien de résister, mes mouvements désespérés pour échapper aux pénétrations ne font qu'exciter mes agresseurs.
Des gémissements s'échappent de plusieurs endroits de la grande pièce, je devine que je ne suis pas la seule ce soir dont on s'occupe des orifices
Pendant que je tends l'oreille, un pouce et un majeur s'insèrent en moi, un dans le vagin et un dans mon petit cul, bien serré pourtant. Les deux doigts se serrent ensuite rythmiquement, et je les sens se rejoindre à travers ma fine paroi de peau qui sépare mon vagin de mon anus. Mon excitation qui retombait remonte, surtout qu'une autre main, féminine il me semble vu son toucher, me caresse le clitoris sensuellement, comme pour me faire oublier la morsure de la dilatation causée par le fist.
La porte de la caisse s'ouvre. Je cligne des yeux et je vois l'heure : 3 heures du matin, j'ai passé 3 heures trente dans ma prison à trous à mettre mes orifices à disposition des visiteurs. Soudain apparaît celui qui m'a ouvert la caisse, Walter Je suis soulagée de le voir, enfin un visage familier dans cette ambiance étrange qui me fait perdre mes repères depuis quelques heures. " Tu es une bonne pute " Me dit-il dune voix froide. Je ne peux qu'osciller de la tête, j'aurai trop de choses à lui demander, des questions à lui poser
Il me regarde sans broncher, puis me caresse la joue et me dit sur le même ton " j'espère que les amis du Maître te plaisent, tu verras, tu vas découvrir plein de choses avec eux ". Puis il me détache enfin les poignets. Pour le première fois de la soirée, je suis entièrement libre de mes mouvements, ni entravée ni attachée mais pas pour longtemps.
Ne sachant pas quoi penser je reste immobile puis on me ramène dans ma cellule. Dix minutes après Walter m'apporte de l'eau, et je suis autorisée à manger, à même mon matelas dans mon cachot de nouveau attachée à la chaîne scellée au mur, le repas quon ma donc apporté et je suis laissé seule. Pendant ce temps les hommes boivent un dernier verre et discutent de la soirée dans le grand salon. Manifestement je suis la seule soumise du château.
(A suivre...)
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