Mes Vacances Naturiste En Ardeche
Avoir dix sept ans et suivre ses parent pour des vacances en Ardèche cest la poisse moi qui croyais rester seule a la maison et en profiter pour inviter mon petit copain et qui sait
sauter le pas ? Hé oui je suis encore vierge et il me tarde dexpérimenter le sexe masculin, sans doute mon père qui après mavoir vue embrasser a pleine bouche ce garçon a senti le vent venir et moblige à aller avec eux chez les cousins, dommage
La seule consolation est de retrouver Aude ma cousine de dix huit ans, la dernier fois que nous nous sommes vues cétait il y a trois ans, je me souviens dune fille genre garçon manqué volontaire qui navait pas froid aux yeux, et après réflexion
ni ailleurs, nous dormions ensembles en chemise et voir sa poitrine bien formée et sa toison brune nétait pas compliqué lorsquelle faisait une pirouette sur le lit ! pour faire la grande jen faisait autant avec mon pubis blond où poussaient trois poils, a lépoque je me demandais pourquoi les draps bougeaient constamment avant quelle ne pousse un long soupir et de plonger dans les bras de Morphée
Je me souviens cette autre fois où nous nous baladions dans la campagne par des sentiers entre les bois, nous avions croisé par hasard cet homme dune trentaine dannée, était-ce vraiment le hasard, ce sourire de connivence quils ont échangés furtivement, peu après Aude ma demandé daller cueillir seule des reines marguerites dans un grand champ, prétextant daller faire un besoin urgent et quelle me rejoindrait après
Comme une gourde jai obéis et cueillit un gros bouquet, comme elle tardait à venir je suis retournée sur le sentier, lhomme repartait en rajustant ses vêtements et Aude encore alanguie dans lherbe, rouge et décoiffée, les vêtements en désordre semblait être ailleurs
- Alors Aude, quest-ce que tu fous ? je tattendais moi !
- Excuse moi clémence je crois que je me suis assoupie
- Et ce mec ?
- Quel mec ?
- Tu me prends pour une conne ?
- Cest un ami de mon père qui me demandait des nouvelles
- Il ta obligée à relever ta jupe ? ont voit ta culotte, dailleurs tu as dût faire pipi dedans non ? elle est toute humide
- Ça ne tarrive jamais de jouer et doublier ton envie de pisser ?
- Ah, cest ça ?
- Oui et évite de reparler de ça a la maison, ont rentre a présent
Le soir jai réussi à regarder sa culotte de plus prés, une odeur a la fois douce et acre que je ne connaissais pas ma prise le nez
A lévocation de ces souvenirs je ne suis plus aussi réfractaire à ce séjour, cest une vrai femme que jai redécouvert, elle a changé ? je vais memmerder
ma tante extasiée devant ma morphologie de jeune femme lui suggère de me faire redécouvrir les alentours
- Surtout nallez pas trainer du coté du grillage
- Tu me prends pour une nase ?
- Tu as oublié les débuts ?
- Comme tu dis cétait le début
bon, tu viens Clémence
Une fois a lextérieur je lui pose la question qui me taraude
- Cest quoi ce grillage ?
- Figure toi que le chemin où nous allions est déconseillé, un camping naturiste sest implanté et un grillage borde ce chemin mais des individus se plaisent à venir faire de lexhibe a poil
- Donc, tu y es déjà allée ?
- Bien sûr cest trop marrant !
- Où allons-nous ?
- A ton avis ?
- Là-bas ?
- Viens vite !
- Chouette !
- Mais attention, il y a des règles à tenir, je texpliquerais une fois sur place, où en est-tu dans ta vie sexuelle ?
- Un vrai désert, faut que j'en finisse !
- Alors fait moi confiance
Rien que de penser que je vais peut-être voir des gars nus je fais une goutte dans ma culotte, Aude marche dun pas décidé tant que nous somment visibles de la route puis dans le sentier elle change du tout au tout
- Tu porte quoi comme petite culotte ?
- Ben une normale pourquoi ?
- Montre ?
- Ma.
- Oui montre là moi, regarde la mienne
- Mais tu nen as pas ! ta chatte est rasée ?
- Cest plus cool je trouve, ôte moi ce chiffon ridicule que tu as entre les jambes, voilà le grillage, cest plus loin marchons encore
- Cest grave excitant de se balader sans slip lair caresse mon minou
- Et si cétait quelquun qui te le caressait ?
- Un mec ? Houuuuaaaaaa !
- Ont arrive, souvent des hommes viennent se faire bronzer derrière ces fourrés, une fois jai ai maté un super mignon et bien gaulé, lorsquil ma vue il sest mit à se branler, par signes il me demandait de relever ma jupe
- Tu las fait ?
- Oui, je me suis même touchée pardessus ma culotte devant lui, il sest approché du grillage, moi aussi
- Houlàlà ! tu me fais mouiller !
- Laisse couler ! nos mains sont passées par les larges trous du grillage sur nos sexes, je le masturbais il me doigtait
- Cest tout ?
- Non, il ma dit : - Là-bas derrière ce buisson il y a un trou, tu peut entrer seulement si tu tient a ce que nous allons plus loin je lai lâché et jai cherché le passage, un nud au ventre, la mouille qui dégoulinait entre mes cuisses, le feu aux joues et au cul !
- Arrête ! après ?
- Il ma rejointe et ma entrainée dans un fourré qui apparemment ne servait qua ça, il a étendu sa serviette et ma demandé de me coucher, mes genoux repliés ont fait retomber ma jupe sur mon ventre il a tiré sur mon slip et ma complimentée sur mon joli minou,
- Il ta baisée tout de suite ?
- Non, en bon amant il ma léchée et sest mit de façon a ce que je puisse téter sa bite
- Cétait ta première fois ?
- NON ! tu te souviens ce type sur ce même chemin il y a trois ans ?
- Ha oui ! le coup des marguerites ?
- Cest ça ! jai baisé plusieurs fois avec lui, il ma apprise à sucer un homme et ma fait découvrir la joie du cuni
- Le cuni ?
- Bouffer la chatte si tu préfère
- Cest bon ?
- Sublime ma vieille, faudra que tessaie !
- Merde, ça me coule jusquaux genoux
- Chuuuuuutt regarde là-bas
comment les trouves-tu ?
- Ces deux vieux allongés ?
- Vieux ? tu rigole ils sont dans la force de lâge, la quarantaine, avec ces mecs tu nes jamais déçue ? regarde le matos quils ont entre les cuisses
- Si je comprends bien tu y viens souvent
- Pourquoi crois-tu que je nai pas de copains attitrés ? maintenant tu vas jusquau bout ou tu fais demi-tour, alors ?
- Je reste
que fait-ont ?
- Passons lentement comme si lont se promenaient
Effectivement nous continuons notre chemin quand un coup de sifflet nous fait tourner la tête
- Coucou les filles, ont se ballade ?
- Oh, vous nous avez fait peur ! je crois que nous nous somment perdues
- Cela dépend la route que vous voulez emprunter, approchez du grillage nous allons vous conseiller
Je fonds lorsque je vois les pénis et les lourdes couilles balancer au gré des pas, dun pas incertain nous allons au grillage
- Salut, moi cest Mathieu et lui cest John
- Aude et Clémence
- Je vous ai déjà vue par ici Aude ?
- Oh non ! vous devez faire erreur
- Ça vous dit que lont vous fasse visiter les lieux ?
- Mais nous somment habillées ?
- Nous resterons dans larrière camp, alors ?
- OK, mais restez sérieux !
- Vous êtes tombées sur les deux seuls gentlemans du camp ! a cinquante mètres vous allez trouver un passage dans le grillage
Ma chatte na jamais autant baillé ! nous voilà a quatre pattes pour franchir le trou où lherbe ne pousse plus, les gars sont déjà là et nous tendent la main pour nous relever, cest celui que je préfère qui magrippe ,pourtant ce nest pas le plus beau mais il est poilu comme un ours et jadore la toison quil a sur le torse
et surtout ses attribut rasés qui mettent en valeur son phallus très large
- Quel âge as-tu Clémence ?
- Dix neuf, mais ont me dit souvent je fais plus jeune
- Ont se ballade ensemble ou ont se séparent ?
- Nous restons ensembles !
- Pas de soucis, allons par là
donne moi ta main Clémence
- Ça va Aude ?
- Oui, soit rassurée, je veille sur toi
- Il y a un petit ruisseau et de lherbe haute pas loin, vous vous avez déjà testé le naturisme ?
- Jamais
- Ça vous tente ?
- Faut voir
- Vous ne le regretterez pas, retirez vos corsages pour commencer
- Pourquoi pas
- Les soutiens gorges aussi ?
- Aussi !
- En voilà de beaux nichons !
- Quatre vint cinq C
- Moi aussi !
- Idéal pour une bonne main dhomme quoi !
- Asseyez vous, nous somment arrivés
- Cest chouette ici
- Approche-toi de moi Aude
- Et toi aussi Clémence
- Cest que vos.
- Pas de quoi fouetter un chat
- Ou une chatte ! Hahahahahaha !
- Oui mais ils gonflent
- Cest en votre honneur, donne moi ta main clémence, tu vas voir quil ne mord pas
- Que cest dur !
- Je peux caresser tes jambes ? elles ont lair douces
- Pas plus haut hein ?
- Pas plus haut que tu voudras
décalotte mon membre
Haaaaaaaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiii, tire fort sur la peau
A cinq mètres Aude fait exactement la même chose, ce qui me conforte et mexhorte à laisser sa main remonter au-delà de mon genou qui souvre comme par magie
Au cri de stupeur que vient de pousser John le copain de clémence je devine quil vient de découvrir quelle est sans culotte, matheux limite une seconde plus tard, pour cacher ma gêne je me laisse tomber en arrière, totalement offerte a lhomme qui fraie un chemin a ses cheveux entre mes cuisses
je vais avoir mon premier cuni ! a coté Aude accoudée, regarde Mathieu enfoncer sa langue dans son minou, mais soudain
- Elle est vierge la tienne ?
- Non pourquoi ?
- La mienne si, je ne peux pas enfoncer ma langue !
- Elle est là de son plein gré, alors
.
- Tas raison, elle va y passer ! tas envie de baiser Clémence ?
- Oooooohhhhhhhhhhhooooooouuuuuuuiiiiiii !
- Je vais te faire ça merveilleusement, écarte bien les cuisses
mmmmmmmuuuuuuuuuummmmmmmmm ! quel délice cette rosette !
- Aaah ça fais drôle
continuez !
Cest le paradis, lextase, mon clitoris est à la fête, et ce doigt dans lanus quelle expérience nouvelle ! une minute plus tard je perd conscience
- Ça va petite ? tu veux quont arrête là ?
- Je veux vous sucer ! comme le fait Aude a votre ami
- Elle a du vécu celle-ci ! assied toi et ouvre grand la bouche je vais entrer lentement, tu me diras darrêter
- Pas facile avec la bouche pleine !
La peau soyeuse de ce bout écarlate est dune douceur insoupçonnée et la sève qui suinte est agréable sous la langue, de suçoter timidement je commence à secouer ce manche de plus en plus vigoureusement pour le plus grand plaisir de son propriétaire qui pousse jusquà a ma luette pour vomir son sperme de grosses giclées difficiles a avaler, la plupart de ce liquide épais glisse de ma bouche pour sétaler sur mes seins, a coté Aude est déjà les jambes en lair et son partenaire sapprête a lembrocher
- Couche-toi confortablement Clémence, relève les cuisses, je vais te dépuceler
- Ça va faire mal ?
- Tout au plus une légère brulure qui feras place au nirvana
- Votre pine est très grosse
- Si elle est entrée dans ta bouche elle va glisser facilement dans ton étui tout neuf
- Je suis prête !
- Va-y Clémence, nai pas peur, regarde comme son copain me ramone bien la chatte !
- Respire profondément et lâche prise
.
- Aaaaaaahhhhhhhooooooooouuuuuuiiiiii !!! cest trop booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn
- Putain quelle me serre la bite, elle était bien pucelle, jai sur la queue, cest bon petite ? pas trop mal ?
- A peine si jai sentit la déchirure, mais tu es gros, jai le ventre écartelé
- Tu vas-t-y faire, je vais accélérer
- Moi aussi je veux changer de position comme Aude !
- En levrette ?
- Non, je vais maccrocher a ton cou tu vas me soulever
- Ainsi je vais carrément télargir le conin
- Jmen fou, jveux de la queue ! ça fait tellement de bien quand ça coulisse dans ma chatounette
- A ton aise
prête pour le décollage ?
En une seconde je me retrouve assise sur ses couilles, mon vagin est étiré de toutes parts mais quel sensation, ses mains puissantes soulève aisément mes fesses pour mieux me faire retomber sur son gros zob
- Tu viens maider John ?
- Que veux-tu ?
- Encule là, elle est à point
- Désolé Aude je te laisse un moment
- Ça ne fait rien, de toute façon nous reviendrons certainement !
Je sens des mains et des doigts qui visitent les lieux avant de perforer mon anus désormais détendu de par la position et lexcitation, un bout rond presse sur ma rondelle, impossible déchapper à ce visiteur imprévu mes chairs se distendent encore marrachant un cri de douleur, Mathieu me bloque sur sa trique qui tressaute en moi en maintenant fermement par les hanches, les membres collés lun sur lautre mettent un court instant avant de trouver la bonne cadence, heureusement quils me soutiennent sinon je serais déjà allongée au sol ! Japerçois vaguement ma cousine qui se doigte en nous matant
Je connaissais la jouissance manuelle mais celle produite par deux verges na aucun rapport, je flotte dans un univers étoilé, je me vide par les deux trous, soudain mes amants stoppent tous mouvements
.du liquide brulant frappe mes muqueuses mises a rudes épreuve par les frottements répétés, cette fois cest le trou noir
.
- Ça y est, Clémence revient à elle
- Où suis-je ? jai mal partout, jai eu un accident ?
- Tu es seulement passée sous deux bonnes queues ma vielle !
- Tu nous as fait peur
- Ça colle vachement entre mes cuisses ?
- Je tai pourtant essuyée mais ça narrête pas de couler !
- Quelle heure est-il ?
- Oh merde, faut rentrer dare-dare !
- Vous revenez demain les filles ?
- Dés que je naurais plus mal aux fesses !
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