Mes Études De Langues (1)
Mes études de langues (1)
Sa langue léchait mes rondeurs à men rendre folle. Mes pointes étaient tendues et chaque aspiration de sa bouche accélérait mon pouls. Je saisis sa tête pour le guider sur ma poitrine. Mon bas-ventre me démangeait et a son humidité commençait à couler et gouter sur le matelas.
Lorsque mon réveil sonna, je me réveillai, nue, la main entre les jambes, toute transpirante.
Cest chaque mois comme ça, quelques jours avant mes règles mes rêves deviennent intenses. Jétais encore toute chaude lorsque je pris ma douche. Joptai pour une douche froide qui ne réussit quà me faire prendre conscience quune longue journée de cours sannonçait et que javais dautres envies que daller à luniversité. Leau froide qui sécoulait sur mon corps me durcit les boutons encore engourdis par lexcitation de mon rêve.
Cette journée de printemps minspira une courte jupe assortie à un blouson. Je ne me justifierai pas sur mon choix de ne pas mettre de soutien-gorge, mais mon instinct de femme parla pour moi.
Le campus nest pas loin de lécole et je nai pas beaucoup à marcher, mais ce matin, je décidai tout de même pour le bus. Il ny avait pas grand monde le mercredi et je massis dans le fond du bus, éloigné des 2 autres passagers, deux charmants jeunes hommes. Évidemment, ils nont pas manqué de regarder mes longues jambes passer devant eux.
À peine étais-je assise au fond du bus que mes hormones me refrappaient lentrejambe. À labri des regards, jen ai profité pour me masser discrètement. Les bouchons ralentissaient le bus qui ne faisait que de faire des à-coups en sarrêtant. Moi qui pensais rapidement arriver et devoir arrêter mon petit plaisir contre mon grès me voilà prise au piège de mon excitation. Jécartais de plus en plus les jambes et menfonçai confortablement dans le siège. Nous nétions plus loin darriver, mais ma culotte me gênais et me sentais tellement bien que je nai pu mempêcher de lenlever discrètement.
Jétais à lheure, mais il ne fallait pas que je traine. Je traversai toute la cour encore toute chamboulée par ce trajet en bus. Cest fou ce que les hormones peuvent faire subir à une femme. La brise de printemps caressait mon minou à lair libre! Je navais pas eu le temps de remettre ma culotte. Je rougis un peu en pensant que je me promenais nue sous ma jupe devant toutes ces personnes. Si elles le savaient
et qui sait, peut-être quelles aussi elles sont nues sur leurs habits.
Lorsque jarrivai en classe, il ne restait plus que des places à larrière. Peut-être une journée de chance, mais un beau jeune homme était déjà là. À peine étais-je assise que le cours commença: espagnol. Le premier dune longue série. Jessaie de suivre le cours, mais la présence de ce bel homme et ma nudité ne maidaient pas pour me concentrer. Je jetai de temps en temps un regard sur lui pour voir si lui aussi avait du mal à se concentrer.
Je devais le perturber un peu, car nos regards se croisèrent plusieurs fois. Le prof commença les explications sur les devoirs. Je me mis à bâiller. Je navais pas fait les devoirs.
Une caresse effleura ma jambe. Mon regard parti directement vers mon voisin qui me sourit. Je fis mine continuer à suivre le cours. Je nétais pourtant pas crédible. Mes deux pointes se voyaient clairement sous mon blouson.
Sa main se dirigeait de plus en plus vers mon entrejambe. Ici, en salle de classe, avec cet inconnu. Cétait étrange et pourtant, je nallais clairement pas refuser ses avances.
Je me laissais faire. Mes jambes sécartaient toutes seules je perdais le contrôle de mon cops. Il du être surpris du fait que je navais pas de culotte, car il hésita un peu avant de continuer. Ses doigts étaient froids et mon sexe brulant. Je nen pouvais plus, lexcitation était à son comble. Le prof restait concentré sur ses corrections, moi jétais ailleurs. Après les caresses, les doigts commencèrent à me pénétrer. Là cétait plus fort que moi et je lâchai un petit cri qui fit retourner un couple devant moi. Je leur souris comme je pu, telle la sensation me prenait. Les frissons grimpaient mon corps. Je fermis les yeux. Les doigts saccéléraient. Ma chatte coulait. Deux doigts me pénétraient maintenant. Je pouvais entendre les clapotis des pénétrations. Mes seins étaient brulants. Je commençais à jouer avec mes tétons qui perçaient mon blouson.
Lorsque son troisième doigts me pénétra, je dû me reculer et me cramponner à lui. Ma chatte était ouverte. Le cours me passait largement au-dessus de la tête. Je devais me contenir de hurler. Mais mon intérieur était secoué par les doigts de cet inconnu.
Mon orgasme, silencieux, ne fut pourtant pas si discret, mon corps convulsa et je tombai sur lépaule de cet acharné de sexe. Mes jambes se resserrèrent dun coup et je lui mordis loreille en lui soufflant un râle de désir. Jen voulais encore! Cétait tellement bon.
Les trois doigts se retirèrent de ma chatte, dégoulinante et bien écartée. Il sessuya la main sur ma cuisse. Je ne bougeais plus. Jétais vidée, mais à la fois excitée. Il dû le ressentir. Il me prit la main et me linsérera dans son pantalon. Il ne ma pas fallu me le dire deux fois! Je la saisis.
Pourtant, mon compagnon nétait pas de cet avis et me lenleva brusquement de son pantalon avant de se lever. Cétait la fin du cours, déjà. Au milieu du bruit des chaises qui grincent sur le sol, jentendis mon nom. Cétait le prof qui mappela, il désirait me voir.
Que pouvait-il bien me vouloir?
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