Les Deux P'Tits Loups Et La Prof 2
Jessaie, tant bien que mal, de retrouver mon second souffle. Jai conscience que c'est déjà peine perdue. Je suis toujours à genoux et les deux étudiants me dominent, nus, le sexe bien dur et en évidence. Je viens de les sucer. Ils n'y sont pas allés de main morte avec moi. C'est tout sauf surprenant, les connaissant, ces deux-là
Depuis trois mois, c'est devenu notre modus operendi, à tous les trois. Moi qui suis mariée et maman
Chaque mardi, à neuf heures du soir tapantes, je frappe à la porte de l'appartement que partagent en colocation les «deux p'tits loups». Ah les «deux p'tits loups»
C'est comme ça que je les surnomme depuis la première fois où on a baisé, tous les trois. Depuis cette soirée de janvier, jen apprends toujours encore un peu plus sur moi
Steven et Clément sont deux de mes étudiants. Je suis professeur d'italien. Eux, ils sont en deuxième année de Licence de psychologie. Au début de l'année, étant donné le nombre considérable d'étudiants que jai, dans les différents cursus, dans les différentes années, dans les différentes degrés d'études
Je navais pas fait attention à ces deux-là, en particulier. Il faut dire que quand je fais cours et que je dispense son enseignement
Il n'y a plus rien au monde qui a de l'importance. Je suis assise sur sa chaise, je regarde à peine mes notes et je parle. Je dicte, je me lève parfois pour noter des choses importantes, clés, sur le tableau et je reviens à ma place. Les étudiants ont alors tout intérêt à être attentifs et à garder leur concentration. Je suis comme ça comme prof. Au tout début de l'année, tout avait été normal. Ça avait été comme lors de chaque début d'année. Les séances s'enchaînaient et les étudiants s'habituaient petit à petit à mes méthodes d'enseignement. Oui
Tout avait eu l'air de se passer normalement. Et plus lannée a avancé, et plus jai relevé lattitude du grand type à la boucle doreille et de son copain toujours habillé de manière élégante.
À la fin d'un cours, il y a trois mois, je les avais convoqués, les deux. Et contre toute attente, ça ne s'était pas passé comme je laurais voulu. Le professeur parle et réprime. Et les étudiants écoutent et prennent conscience. N'est-ce pas? Manque de bol pour moi ce jour-là
Et voilà où ça me conduit au jour d'aujourd'hui
Depuis la première fois où jai couché avec Steven et Clément, il y a donc trois mois, l'existence toute tranquille de la quadragénaire que je suis est bouleversée. Non seulement je trompe mon mari
Non seulement je baise avec deux de mes étudiants
Mais aussi et surtout, je découvre, au fur et à mesure, petite touche par petite touche, que ça m'excite et que ça me plaît par conséquent. Si on me lavait prédit, des mois auparavant
Moi dont la vie tournait comme une horloge
Une vie réglée tel un métronome
Une vie où jai rencontré son futur mari au lycée
Une vie où jai réussi ses études avec brio, allant de diplôme en diplôme
Une vie où la vie de couple peut souffrir des affres de la monotonie
Une vie où je suis tombée enceinte, fraîche trentenaire
Mon compagnon m'avait alors demandée en mariage
Et puis voilà. Les années se sont succédé. Lorsque les «deux p'tits loups» m'ont abordée à la fin de ce cours sur la Renaissance en Italie, javais été déstabilisée de prime abord par côté direct de leurs paroles. Le soir même, quand on avait baisé, ça avait été pareil. Ils mavaient léchée et sucée les seins. Mes petits seins
Mon 90A
Jen suis fière. D'autant plus que Steven et Clément en sont particulièrement friands. Et à leur contact, je me désinhibe et me métamorphose.
Le cours d'aujourd'hui s'est bien passé, sans anecdote particulière.
Je ne sais jamais à quoi mattendre quand arrive l'heure de CE cours, en particulier. Quoique
Depuis quelques temps, ils relâchent la pression. C'est quand je viens chez eux qu'ils s'occupent on-ne-peut-plus de moi. De temps en temps, à la fin du cours, ils attendent que les autres étudiants sortent de la salle, et alors, ils viennent me voir. Et là, ils me touchent deux mots sur le plan du soir. Ils me provoquent, ils me disent dans quelle tenue je dois être pour eux. Ça peut arriver qu'ils me pelotent discrètement, furtivement. Et puis, ils s'en vont. Alors, je reste dans la pièce et je suis déjà pantelante. Rien que ces moments-là, ça m'excite. Et moi aussi, alors, je quitte la salle de cours. Et jenchaîne les cours jusqu'à ce que je rentre chez moi. Je reprends mon rôle ordinaire d'épouse et de mère
jusqu'à vingt-et-une heures
Entre la fin des cours et vingt-et-une heures, jai une vie normale. Je rentre chez moi tranquillement. Ma fille est là. Elle est rentrée du collège. Ma journée denseignante nest pas terminée: voilà que je suis préposée à laide aux devoirs de ma fille Camélia. Maths
Français
Pythagore
Fabliaux
Le Moyen-Âge
Ma culture générale est
Pfiou
Et quand je suis dans la peau de la prof particulière pour ma fille, je ne ménage pas mon temps, mon énergie, mon enthousiasme, ma culture. «Quand lélève est fin prêt, le professeur apparaît», ne dit-on pas? Le mardi soir, cest
différent. Jai lesprit
ailleurs. Et pour cause
Les «deux ptits loups»
Quest-ce quils ont encore mijoté, cette fois? Jai beau être aide aux devoirs de ma fille
Je nen avais pas moins lesprit ailleurs, à lenvers. Et quand ça parle de théorèmes , de traités, de guerres
Mon esprit est sans dessus dessous. Il se disperse. Mais je dois rester lépouse, la mère que je suis. Mais dès lors que je me change et que je me mets dans la peau de «lamie du mardi soir»
Là, la donne change.
Je me suis faite belle pour eux deux. Et, alors que je me préparais, je pensais justement à Steven et à Clément. Je pensais à ce quil allait se passer, à ce quils me réserveraient ce soir. Tout en shabillant, je me suis rendue compte que jétais excitée, à lidée. Comme dhabitude, je nai pas pris la peine de mettre un soutien-gorge et une culotte. Cest un rituel auquel je me soumets, depuis notre première fois et
je dois avouer que
ça me plaît, au fur et à mesure. Ça mexcite. Jai pris une «petite» douche bien chaude. Jai enduit son corps de gel douche à la rose. Quand je suis sortie, jai pris son temps pour messuyer. Tout en fixant mon reflet dans la glace au-dessus du lavabo de la salle de bains, jai fait glisser la grande serviette sur mon corps. La caresse du tissu a été agréable
Mmmh
Une fois séchée, nue, je me suis rendue dans la chambre. Là, je me suis vêtue de collants. Tout en les mettant, jai pensé aux «ptits loups»
Ça a été avec des gestes lents, délicats que je me suis préparée. Et même si mon mari, une fois nétait pas coutume, était aux premières loges, ce nétait pas pour lui que jallais être ainsi. Dommage
Il aurait aimé
Je le savais
Je le ferai, un de ces quatre
Ça marrive pourtant, de temps à autre, de me faire un peu plus sexy, rien que pour lui. Mais disons que
Je le suis plus souvent pour mes deux «chers» étudiants. Parce que cest comme ça quils veulent que je sois. Parce que cest comme ça quils me désirent. Parce que cest comme ça quils veulent et quils aiment me baiser. Du coup, ceci explique cela
Et pendant que je continuais de shabiller, je narrêtais pas de penser à mes deux jeunes amants. Ils me plaisent autant lun que lautre.
(
)
Un baiser sur les lèvres de mon mari
Il ma dit quil me trouvait belle et que si ça navait tenu quà lui, il aurait aimé être une petite souris et ainsi simmiscer dans cette soirée «collègues». Sil savait
Il ma souhaitée une bonne soirée, il ma demandée de faire attention sur la route. Un dernier baiser et je suis partie. Une fois la porte dentrée de notre maison fermée derrière moi, plus rien navait dimportance pour moi. Plus rien sauf
Oui
Mes chers «ptits loups» préférés
Cest fou comme ils mettent Mon esprit sans dessus dessous. Pendant que je conduisais, jessayais dimaginer ce que Steven et Clément me réservaient, cette fois-ci. Si je savais
En réalité, jétais loin dêtre au bout de mes surprises
En arrivant au seuil de lappartement des deux jeunes, je me suis rappelée ce que ces derniers mont dit le matin même à la fin de leur cours, quand je les a retenus quelques minutes pour un prétexte complètement bidon. En plus de mentionner comme dhabitude la tenue que je devrais porter, ils mont également glissée que la porte dentrée serait ouverte, exprès, et que je devrais les attendre dans la pièce à vivre de lappartement, les yeux bandés. En effet, un bandeau noir mattendrait sur la table basse Ikea
Quand ils ont quitté la salle de cours, je ne savais pas trop quoi penser
Et là, jen avais été là. Ni une, ni deux, je suis entrée dans le logement.
Pas de bruit. Tiens
Étrange
Bon. Je navais pas à tergiverser. Je me suis rendue dans la pièce principale de lappartement. Je me suis déshabillée sans perdre de temps. Tout en me mettant à poil, je pensais à eux deux. Que faisaient-ils? Javais le cur battant. Javais hâte
Sur ce, entièrement nue, jai tendu la main vers le table basse et je me suis saisie du bandeau noir. Il était tout doux au toucher. De la soie, je supposais. Je me suis bandée les yeux. Là. Je navais plus quà les attendre, désormais
(
)
Je ne sais pas combien de temps jai attendu. Combien de temps je LES a attendus, mes «deux p'tits loups» favoris. Peu mimportait. Javais surtout hâte qu'ils me rejoigne
et qu'ils me baisent à leur guise, sans ménagement, comme jaime. À cette pensée, jétais toute excitée et je me suis mise à mouiller de plus belle. De plus, malgré le fait que jai respecté à la lettre le «dress code» qu'ils mont imposée pour ce soir, moi aussi, jai voulu apporter mon petit grain de sel
coquin. Et là, je sentais à merveille le plug dans mon cul. Je lavais inséré chez moi, à un moment où mon mari avait le dos tourné. Quand ils le verraient, ils perdraient la tête. Ils se déchaîneraient. Il ne pourrait pas en être autrement.
Tiens, tiens, tiens
Madame la prof à genoux et les yeux bandés
Comme c'est surprenant
Sa
lope! C'est comme ça que t'es bandante
Quand t'es à genoux, que tu portes un bandeau et que tu attends nos bites
Ça donne envie de s'occuper de toi de suite
Hein, t'en penses quoi, Clém'? Elle te fait bander, la prof?
Rien que quand tu dis ça, Steve'
J'ai envie qu'elle me suce direct'
Elle sait ce qu'il lui reste à faire alors, poto. Demander, c'est exaucer. Toi
T'as entendu Clément? Suce-nous la bite.
C'est ainsi que je me suis retrouvée prise en sandwich entre les deux jeunes hommes et que je me suis mise à les sucer avidement. Javais beau ne rien voir
Je savais ce que je faisais
Une queue dans la bouche, une autre dans mon poing, je ne ménageais pas mes efforts. Je savais qu'ils adoraient ça, se faire tailler une pipe. Et je les entendais grogner, gémir. Me parler de manière vulgaire. Oh
oui. Ça leur plaisait. Alors, jallais continuer.
(
)
Relève-toi. Écarte les jambes comme il faut. Montre-nous bien ton gros cul de salope.
Je ne dis rien. Je m'exécute. Jai du mal à reprendre mon souffle. Quand je rentrerai chez moi, je dormirai d'un sommeil
Té-ma, mon pote! Elle s'est mise un plug dans le cul, la sa
lope! On va le lui prendre, son cul, alors, hein!)
Nos affaires ne traînent pas. Comme dhabitude. Steven, toujours aussi sûr de lui et vaniteux, se saisit fermement de moi et me positionne sur lui. Nous sommes sur le canapé clic-clac bon marché de leur pièce principale. Ce ne sont jamais des moments romantiques. Ce nest que du cul entre nous. Je ne sais pas sils voient dautres filles. Ce que je sais, cest que MOI, JE suis leur plan cul du mardi soir. Et je TIENS à ce que ça continue. Pour ça, japplique les ordres quils me donnent, que ce soit pour les tenues, pour les jouets ou tout simplement pour les pratiques sexuelles. Et là, Steven me prend et me baise déjà sans ménagement. Clément, lui, nest pas en reste et réclame lui aussi son dû. Il a son sexe bien en main et il se branle un peu. Il se rapproche de nous. Je sais ce quil veut. Et jen ai envie, moi aussi. Pendant que Steven va et vient comme un dément dans ma chatte et que je suis en Andromaque sur lui, je prends Clément en bouche et je le pompe
(...)
Les deux mecs ont échangé leurs rôles. Là, cest la longue bite effilée de Clément qui me défonce le con. Je suis toute en sueur. Steven a une main enfoncée dans mes cheveux et me lime de nouveau li-tté-ra-le-ment la bouche. Je suis déchaînée. Jaime cette femme
ou plutôt
cette salope que je deviens petite touche par petite touche. Encore
!
(
)
Clément et Steven ne mont pas épargnée. Et là, il me prend comme jaime désormais être prise. Les deux bites sont différentes lune de lautre. Mais elles ont pourtant un dénominateur commun: elles men font de voir toutes les couleurs. En parlant de couleurs
Jai la peau qui rougit et je transpire
(...)
Steven me touche et me claque le derrière. Je glapis, je gémis. Il tient des propos salaces, il minsulte. Clément est toujours enfoncé en moi. Ses mains mentourent li-tté-ra-le-ment la taille. Je nai aucun moyen de méchapper. Je nen sortirai pas indemne. Je ne le veux pas de toute façon. Steven me tâte larrière-train.
Mais cest quelle est liquide, la prof
! Ton cul doit lêtre, lui aussi
Te connaissant
Ce serait pas étonnant
Et puis ton cul
Ton trou
Si tas un plug, cest pas pour rien
Hein? Sa
lope! Taurais pas dû
ou plutôt si
En tout cas, ton trou du cul va prendre cher
Oh
oui. Quest-ce quil va prendre
(...)
Steven parle à Clément. Il lui demande de ne pas bouger ET de me maintenir fermement dans ses bras. Je suis prisonnière. Je me tiens prête. Je suis à califourchon sur Clément. Il menlace toujours aussi fort. Steven est derrière moi et sa queue va et vient dans mon cul. Je suis prise de toutes les côtés. Empalée. Embrochée. Cest ma première double pénétration. Steven et Clément ont beau se compter comme ils en ont lhabitude
Là, ils ne forcent pas. Ils vont et viennent, lentement. Ils me prennent en compte. OH? Oh! Clément blottit son visage dans le creux de mon 90A. Steven plonge sa tête dans mon cou et sallonge presque sur mon dos. Ils sont comme deux béliers en moi. Et pourtant...
(
)
Je suis prise en sandwich entre les deux hommes. Lun me retient dans ses bras tandis que lautre est allongé sur moi. Jai le sexe de Clément dans mon vagin alors que celui de Steven est enfoncé dans mon cul. Ils ont tous les deux joui en moi ? Bon daccord
Dans leur capote. Mais voilà. Nous avons beaucoup donné ce soir, chacun, tous les trois. Jose à peine imaginer la tête que jai
(
)
Nous nous rhabillons. Comme dhabitude, avant que je ne le fasse, les deux mecs ont posé leur bouche sur mes petits seins et les ont tétés. Un sein, un téton chacun et comme ça, pas de jaloux. Je sais quils aiment ça tout particulièrement. Du coup, je les ai laissés sen occuper volontiers. Jen ai soupiré de plaisir. Mais contrairement aux précédents plans, là, ils sont doux. Et là, alors que je remets mes vêtements, ils me regardent. Ils me parlent avec douceur. Ils me disent que je suis belle et que je suis une prof
bonne. Je saisis le double sens de ladjectif employé. Je prends chaud. Je mapproche deux et je les embrasse tous les deux sur la bouche, les «ptits loups». Je ne peux pas men empêcher. Vivement mardi prochain, déjà
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!