La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 633)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (3/5)-
Il est très tard dans la nuit, je suis toujours dans mon cachot et je commence à mengourdir étant toujours attachée à cette longue chaîne aux gros anneaux métalliques et relié à un épais collier aussi fait de métal. Je médite sur ma condition et commence par regretter cette situation laquelle je me suis mise quasi toute seule. Je me dis « mais quest-ce quil ma pris daccepter cette invitation pour me retrouver ainsi » Quelle folie ma poussé à venir dans ce château et surtout à me retrouver ainsi enchaînée sans avoir vu Sir Evans. Oui je commence vraiment à regretter de plus en plus davoir naïvement cru à tout cela
Heureusement, ce qui va suivre me fera totalement retirer de mon esprit le moindre regret !
Je suis donc sur ce matelas avec mes 3 couvertures, et je serai nue si je navais pas ce simple string imposé par le majordome mayant obligée à navoir que cela comme tenue, il ma fait déshabiller ici dans ce cachot, juste avant de mattacher et je me laisser à mes méditations, repartant sans un mot et me laissant seule.
Jai réussi à me réchauffer sous ces couvertures épaisses et je médite encore et encore. Combien de temps que je suis ainsi attachée ? 1 heure ? 2 heures ? Je ne sais pas, je ne sais plus
jai limpression davoir perdu toute notion de temps, je me sens prisonnière, davoir été mise au cachot sans jugement sans défense sans procès
Quand tout dun coup le bruit des 2 gros verrous de lépaisse porte de chêne et celui des grincements de celle-ci me ramène de mes pensées les plus déprimantes. Je vois alors de nouveau arriver Walter avec un objet à la main que je ne distingue pas encore à cause de la semi obscurité régnante qui me dit sèchement :
- Lève-toi, chienne
Je m'exécute prestement le voyant alors plus distinctement avec cet objet, mais oui cest bien un fouet quil tient à la main, à ma grande stupeur ! Voire une grande crainte qui monte en moi.
Nous montons alors les escaliers de pierres en colimaçon et arrivons après avoir franchi une autre porte au bois rustique dans ce qui ressemble cette fois à un véritable couloir, tout capitonné de velours rouge. Nos pas feutrés par dimmenses tapis orientaux embellissent encore plus le lieu. Puis nous débouchons dans une salle que lon pourrait appelée « salle des s » tellement il y a des objets des plus divers exposés ci et là sur des établis plutôt volumineux. Une table est flanquée au milieu pour compléter ce lieu aux murs nus blanchis à la chaux faisant ressortir les vieilles pierres. Walter sarrête net et je lève la tête comme je peux, profitant de larrêt du domestique, ce qui me fait comprendre que je me trouve dans le donjon, les murs étant circulaires et la hauteur impressionnante du plafond donne à lévidence la précision du lieu auquel je me trouve.
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- Couche toi sur cette table, me ditil dun ton flegmatique mais assez autoritaire, en me laissant du moue à la laisse afin que je puisse obtempérer.
Je mexécute craintivement mais je lavoue toujours avec ce sentiment dexcitation ancré en moi et m'allonge donc sur cette table longue. Sur cette table à chaque pied, il y a une chaîne avec des poignées de cuir. Walter me met ces poignées aux chevilles et aux bras et cest à ces poignées que je suis de suite attachée. Je me retrouve ainsi écartelée et offerte avec ce sentiment dhumiliation, sentiment encore une fois qui me procure une excitation peu commune voire nouvelle en moi. Aucune partie de mon intimité ne pouvant être ainsi cachée, sil ny avait pas ce mince string.
Walter quitte alors la pièce et me laissant de nouveau seule. Je nai pas froid, il faut même chaud dans cette salle où japerçois et entends maintenant les craquements de grosses bûches de bois flambant dans limposante cheminée située à droite de la porte où je suis entrée, et cest pour cela que je ne lavais pas aperçu de suite.
Une petite dizaine de minutes sécoule puis arrive toute une suite dinvités assez bruyants qui me paraissent pour certain éméchés. Les femmes sont déjà à moitié nues, une coupe de champagne à la main. Les hommes tiennent les femmes par le cou tout en titubant légèrement. Jai vite compris que les invités de Sir Evans avaient bien arrosé le repas et quils avaient envie de samuser un peu avec la « chose » que je suis devenue ici ainsi attachée au bon vouloir de ses invités assez excités par les vapeurs dalcool !
Walter sapproche de nouveau et sans un mot, retire mon string par les cotés et le ôte dun simple et net coup de ciseaux. Lambiance me parait bon tout de même quand je les entends tous faire des « houaaa » ou des sifflements dadmiration devant ma chatte ainsi offerte.
Puis jentends : "On va bander les yeux à cette salope" et puis leur sexe se sont présentés à ma bouche. Je prends mon pied à ne pas savoir quel sexe est dans ma bouche, sentir mes tétons être titillés, vrillés, pincés, étirés, mon sexe dilaté par plusieurs doigts, on me masturbe mon clito abondamment avec douceur et parfois avec frénésie selon les mains qui se déplacent, qui changent. Oui, on change de mains pour soccuper de mes orifices, de mon clito, de mes seins, de mon anus. Je nai jamais de ma vie été fouillée, touchée, caressée ainsi. Jen suis si excitée que je me tortille sur cette table, tortillement de plaisir, dexcitation intense. Ce qui se passe dans ma tête à ce moment là est si puissant que jaurais fait nimporte quoi pour soulager cette excitation enivrante, si jouissive.
Je sens quon force afin délargir mon orifice anale, avec un doigt qui me parait assez long et fin, je suppose quil sagit dun doigt de femme, puis jentends :
"Elle ne dilate pas très vite cette chienne passe moi le tube de vaseline " Oui cest bien une voix féminine qui sexclame ainsi !
Quelques secondes plus tard on fouille de nouveau mon orifice intime mais cette fois avec cette sensation agréable de glissement et de froid que procure la vaseline.
"Voila que cest mieux » dit-elle en continuant ses vas et viens du doigt lubrifié
Pendant ce temps là, on ne reste pas inactif autour de moi, une main est entièrement entrée dans ma chatte après mavoir bien dilaté les parois trempées de mon vagin, pour un fist complet. On met aussi des pinces sur mes seins qui se plaçant sur mes tétons me procure instantanément une petite douleur augmentant mon plaisir...
(A suivre ...)
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