La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 634)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (4/5)-
Puis, on me détache, on maide à me relever, ayant toujours les yeux bandés, je me lève et à peine descendue de la table, on me cambre et me force à me mettre à 4 pattes sur le doux et épais tapis luxueux et je sens derrière moi une présence, puis un sexe se frottant à mon anus, qui vient me sodomiser dabord doucement, dans une pénétration non violente. La verge est enfermée dune capote lubrifiée aisément, ce qui facilite sans souci cette douce pénétration anale dans mon cul déjà vaseliné. Se présente aussi des queues devant ma bouche et on na même pas besoin de mobliger à ouvrir la bouche tellement je suis excitée que je les suce à tour de rôle. Je sens des chattes qui se présentent aussi, je les lèche aussi dans le bonheur et lalternance.
Maintenant que le passage anal est fait, celui qui mencule sacharne plus violemment et bestialement dans mon petit trou qui commence à rougir sous la puissance de la pénétration. On me donne aussi des claques sur mes fesses. On minsulte abondamment en me baisant, ce qui amplifie mon humiliation. Puis lhomme se met à décharger dans sa capote en de violents coups de reins avec des râles tels un cerf en rut. Il se retire, je le sens aisément, ce retrait, mais de suite cela fait place à un autre qui prend la même position avec la même douceur du début mais lui me fouille la chatte en même temps et tire sur mon clitoris
Sans attendre il me met un énorme gode quil installe dans ma chatte trempée, je suis remplie de partout, le plaisir monte, monte de plus en plus, je me sens chienne comme jamais je ne lai été, comme jamais je ne lavais ressenti si fortement, si intensément et je ne peux plus me retenir, je jouiiiis ! Quel orgasme, tout mon corps est dans de longs spasmes de plaisir, spasmes étourdissants, jamais je navais ressenti un tel orgasme, dune rare puissance
Ce qui fâche celui qui me pénètre et qui me dis :
"tu n as pas à jouir sans autorisation"
Alors, il sort de mon cul, ôte sa capote et me tirant par les cheveux, bousculant les autres devant, il mimpose de le sucer jusquà ce que sa semence coule sur mon visage, puis il mordonne de tout avaler, ce que je fis
(je sus après que cet homme nétait autre que Sir Evans lui-même.
Walter matt par la laisse et honteuse, nue, il memmène me laver sous les rires humiliants des invités
Apres la douche, le domestique me ramène dans la même pièce, toujours à la laisse mais cette fois il ma imposé de le suivre derrière lui à 4 pattes, comme une chienne. Et quelle fut ma surprise en revenant de voir une autre soumise entrain de subir les mêmes orgies que je venais de vivre. Elle était à mon instar, attachée à la table en train de se faire maltraiter par les femmes pendant que les hommes fumaient dans les fauteuils de gros cigares. Certain se faisait sucer, tout en délectant le spectacle dun whisky glacé à la main
Puis jentendis une voix, celle de Sir Evans à lévidence. Je ne lavais jamais vu puisque javais tout à lheure le bandeau et quand on me la retiré, tout cest passé tellement vite pour quitter la pièce que je navais pas eu le loisir de le regarder. Cétait un homme grand, dune grande élégance raffiné, dune stature imposante, les cheveux grisonnant mais ce qui ma le plus impressionnée, cest son regard, un regard quon noublie pas, un regard de dominateur, sévère et à la fois rassurant, un regard montrant une assurance et un calme contrôlé prêt à face à toute situation. Alors, devant ma mine montrant une apparence attristée de voir cette soumise ainsi, il me dit calmement :
Tu n aimes pas les femmes soumises ?
Je réponds : Non Maître dun geste timide.
"Viens ici met toi à quatre pattes " Jobtempère craintivement
Alors il ordonne de détacher la soumise, lui fait écarter les jambes en position debout, elle a les yeux bandés et simmobilise ainsi, le Maître lui fait mettre les mains sur la tête.
Tu dois te lâcher, dépasser tes tabous " il place ma tête sur le sexe de cette femme soumise qui était piercée.
"Lèche !!!!", tu as bien léché des chattes, tout à lheure quand tu étais à sa place, alors lèche !
Jhésite... Alors il met une claque sur mes fesses :
" Jai dis lèche !"
Je sors ma langue et commence à lécher cette chatte qui coule
"Met tes doigts et lèche mieux que ça"
Je mapplique, jai deux doigts en elle, je suce son clito, La femme qui filmait tout à lheure sapproche et fait des gros plans sur nous
"Plus vite" me dit-il
La soumise commence à gémir de plaisir, sa mouille coule sur mon visage, le long de mon cou
Le Maître me dit : Vas plus fort, elle aime avoir mal" cette salope
Alors, je vais plus fermement avec mes doigts mais jai peur dêtre trop brute et ma langue bien active réussit enfin à la faire jouir, elle ne cache dailleurs pas ses cris de jouissance, son orgasme est également puissant, mais ses mains ne quittent pas le dessus de sa tête, afin dobéir au Maître lui ayant interdit de les ôter et cest ainsi dans cette position quelle hurle sa jouissance, mais sur sa belle chevelure.
Puis je sursaute, quand on me prend sous les bras pour me relever et aussi lorsque l'on matt les poignets pour y mettre des menottes. Puis Walter tirant sur la laisse me ramena dans mon cachot. Laissant les invités avec lautre soumise. Moi, javais comblé les invités de Sir Evans et on me laissait et memmenait ainsi tel un clinex usagé, comme si on me jetait, jétais une simple chose, un simple jouet sexuel, mon humiliation fut complète avec ce sentiment davoir été ce soir là, juste présente pour le plaisir des hôtes du château un moment, humiliation, très forte humiliation que je ressentais en descendant les escaliers de pierres, je me sentais humiliée de ne pas rester, de ne pas continuer dans cette orgie, j'avais l'impression qu'on se débarrassait de moi, une fois que javais servi, mais je lavoue encore humiliation très excitante en moi ! Et puis javoue aussi avoir rarement autant joui
Cest une femme qui le lendemain vint me chercher dans mon cachot.
Elle memmena sans dire un seul mot au premier étage à la salle de bain, mordonna de me doucher devant elle sans tirer le rideau de douche. Leau bienfaitrice me réveilla. Puis je fus obligée de me sécher devant elle également. Ensuite elle me tendit un sac où il y avait des vêtements. Je mhabillais donc rapidement, encore devant elle. Jenfilais une culotte et une jupe, un chemisier sur un string et un soutien gorge à simple armature, dévoilant mes seins plantureux...
(A suivre ...)
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