Piégé 3

Un long moment aux toilettes pour me vider et en sortant, je croisais Manon. Je marchais lentement, le cul encore ravagé par la queue du black, elle s’arrêta rigola et me lança :
Vous les mecs vous êtes bien tous les mêmes ! Vous rêvez de sodomie en nous disant que ce n’est rien, juste un petit moment à passer, qu’on va s’habi et même aimer ça… mais quand on inverse les rôles, là ce n’est plus pareil, ça devient horrible, la fin du monde…..
Je me sentais ridicule devant elle, à moitié nu, juste vêtu de mon petit string rose cachant à peine mon sexe enfermé dans sa cage de chasteté.
Tu ne veux pas m’enlever le truc ? lui demandais-je en montrant mon entrejambe.
Elle me fixait, silencieuse, mystérieuse, envoutante. Je lui lançais avec force :
J’ai été humilié, j’ai sucé des queues, j’ai été enculé, je t’ai léché…. ça suffit, moi aussi j’ai le droit de jouir…. de vider ma queue.
Stoïque, Manon ne dit rien, elle se contentait d’un petit sourire. Son attitude me désarçonnait, je perdais de ma superbe, encore une fois je baissais le pavillon de la révolte.
S’il te plait, je ferai ce que tu veux mais laisse-moi jouir…..tout ce que tu veux….tout.
Le dernier mot fut quasiment inaudible, je le prononçais mécaniquement tout en baissant la tête, je m’inclinais devant la supériorité de ma maitresse, elle commandait ma queue, elle me commandait donc.
Manon s’avança vers moi, me saisit entre les jambes, me fixant dans les yeux elle me dit tout doucement.
J’aime les queues bien pleines de sperme qui sont prêtes à exploser. Tu vas encore attendre un peu et la semaine prochaine tu pourras te planter en moi….
Ces mots provoquèrent un électrochoc en moi, mon sexe essaya en vain de se redresser, empêché par sa cage de métal.
Et peut-être que j’inviterai une copine, on aura besoin de ta queue bien dure dans nos deux chattes en chaleur….ça te plairait ?
Comprimé dans son écrin, mon sexe me faisait mal, je hochais oui de la tête en guise de réponse.

Manon m’embrassa longuement et voluptueusement. A la sortie de notre baiser, elle fit glisser sa langue sur mes lèvres.
Hum, je kiffe….tout ce que tu acceptes de moi…..Et…… quand on aime le sexe…..on aime tout…..je suis sûre que tu aimes tout……
Manon me laissa en plan, elle se posa sur le canapé, allumant la télé. Vête du seul string rose, la queue douloureuse comprimée dans sa cage, je rêvais à la semaine prochaine.

Toute la semaine qui suivit, Manon sortit beaucoup, partant tôt le matin, rentrant tard le soir, à chaque fois que je lui demandais ce qu’elle avait fait, elle restait évasive.
Les deux premiers jours, à son retour, je lui avais demandé de libérer ma queue mais à chaque fois elle avait refusé, me menaçant de tout balancer à sa sœur si je continuais à me plaindre.
Le troisième soir, la soirée était déjà bien avancée, Manon rentra assez tard, elle semblait avoir bu un coup. Alors que je regardais sagement la télé, elle baissa son pantalon, retira dans la foulée sa culotte et s’allongea face à moi son sexe face à moi.
Viens me lécher la chatte, j’ai envie de jouir.
Je me glissais entre ses jambes pour m’exécuter, elle releva ses cuisses pour bien découvrir sa fente et une grosse coulée blanche en sorti. Elle venait de se faire baiser, cela ne faisait aucun doute.
Sous son regard pervers, ma langue rattrapa la coulée de sperme pour la ramener dans ma bouche, satisfaite par mon soumission, elle laissa sa tête tomber en arrière et se délecta de mes coups de langue.
La faire jouir pour espérer jouir. Je ne m’étais pas posé de question, j’avais trop peur de ne pas être libéré prochainement si je n’obéissais pas alors j’avais léché et avalé ce sperme puis je m’étais appliqué à lui procurer le plaisir qu’elle demandait. Elle jouit, se comprimant ses seins, me traitant de salope, de lopette, de bouffeur de sperme.
Sa jouissance passée, Manon partit se coucher dans sa chambre en me souhaitant une bonne nuit le plus naturellement du monde.

Ma queue….je n’en pouvais plus…..quand ? … Quand allait-elle me permettre de me soulager….

Le lendemain, rebelote, Manon rentra assez tard mais cette fois ci, elle était accompagnée par un gars. Sans un mot pour moi, elle l’entraina dans sa chambre, le gars me salua en coup de vent, l’air un peu gêné par ma présence. La porte de la chambre de Manon resta ouverte, elle voulait que j’en profite. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour commencer à l’entendre gémir puis crier son plaisir.
Même les voisins devaient en profiter, tellement elle était expressive.

Après le paroxysme de leur jouissance, le calme revint. Quelques instants plus tard, le gars repassa dans le salon, continuant à se rhabiller, il me lança :
Elle t’attend, salut, bonne soirée.
Le gars claqua la porte. Je me levais, me déshabillait entièrement et je la rejoignis dans sa chambre. Elle gisait nue sur le dos, les cuisses écartées. Je savais ce qu’elle attendait de moi, positionné entre ses cuisses, je léchais sa fente, ma langue nettoyait toute trace de semence masculine. Son sexe nettoyé, son doigt pointa son ventre où une giclée avait également atterri, je la léchais aussi.
Fait moi jouir aussi, maintenant que je suis propre.
Sans un mot, je me remis à l’ouvrage, ma langue dansait sur son sexe, jouant avec ses lèvres pour lui donner du plaisir.
C’est bien…tu vois que tu n’as plus de mal avec la semence des mecs…..Peut être même que tu commences à aimer ça…..
Qui ne dit mot, consent. Je ne répondis pas, me concentrant sur mon ouvrage, sur sa fente offerte.
Manon se tortillait de plus en plus, je pensais que ma langue en était la raison mais sans prévenir, elle lâcha un petit jet d’urine qui atterrit dans ma bouche.
Ouh ! désolée….j’ai trop envie de faire pipi…
Je déglutis sous l’œil intrigué de Manon. Ma bouche reprit son ouvrage sur son sexe et elle lâcha un nouveau jet. J’avalais à nouveau.
C’est dur de se retenir mais je ne veux pas tâcher les draps….
. je fais doucement pour toi….fais gaffe aux draps.
Un troisième jet plus important me remplit la bouche. Elle jouait, elle s’amusait à m’humilier, à me pousser toujours plus loin. Quelle perversité pour une si jeune femme à qui on donnerait le bon dieu sans confession.
Ce n’en peut plus, viens.
Manon se leva, me prit par le bras et m’emmena dans la salle de bain. Elle me coucha sur le carrelage froid, positionna son sexe au-dessus de ma bouche et ce fut les grandes eaux qu’elle guida dans ma bouche bien ouverte.
Ahhhh, ça fait du bien……et j’adore te faire plaisir……bois ma pisse si tu aimes ça, fais toi plaisir….
Soulagée, Manon me laissa et repartit dans sa chambre, la porte fermée. Le visage trempé d’urine, baignant dans une petite mare jaune, il ne me restait plus qu’à nettoyer et prendre une douche.
Une chose est sûre, quand elle allait m’enlever ma ceinture, ma queue, je comptais bien lui mettre profondément, elle allait payer ses turpitudes… 

Encore une fois, le lendemain, Manon rentra tard. Elle se servit un verre de vin blanc et se posta devant moi. Affalé dans le canapé, je la regardais. Elle but une gorgée sans un mot tout en me fixant du regard.
Je dégrafais sa jupe qui tomba à ses pieds, puis je fis glisser sa culotte qui rejoignit la jupe par terre. Manon souleva une jambe et posa son pied sur le canapé, me facilitant l’accès à son nid d’amour. Je collais ma bouche à son sexe et je la léchais. Elle but à nouveau une gorgée.
A chacun sa liqueur préférée.
Elle s’était encore faite prendre, du sperme coulait de son sexe, je le recueillais avec ma langue.
Demain comme promis on se fait une soirée avec une copine….on va s’éclater avec ta queue, mon cochon….
Je posais mes mains sur ses fesses et appuyais pour pousser sa fente contre ma bouche. Je la mangeais littéralement, excité par son annonce. Demain elle allait déborder de ma semence cette petite salope, plus que 24 heures à tenir….

J’eus beaucoup de mal à m’endormir, imaginant Manon et sa copine….Il fallait que je me calme, ma queue me faisait mal, elle ne pouvait pas se déployer, emprisonnée dans sa cage de chasteté.

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