La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 635)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - L'arrivée d'Anne au Château (5/5)-
Ensuite, elle memmena à la cuisine où un bon petit déjeuner mattendait. Je me jetais dessus tellement la faim de tiraillait. Une fois bien sustentée, elle repris la laisse et memmena au salon. Elle m'ordonna de déboutonner mon chemisier... Son regard et sa main qui se tendait vers mes seins eurent pour effet de m'exciter, ma culotte se mouillant instantanément. Elle malaxa mes seins assez durement, avant de me pincer les tétons à tel point qu'elle m'arracha une grimace de douleur. Elle m'ordonna de passer un collier de cuir, relié à une laisse de métal quelle me tendait. Walter mavait enlevé lautre la veille au soir et je navais dailleurs pas encore compris pourquoi, mais je crois comprendre maintenant que cest cette Maîtresse qui voulais avoir le plaisir de mimposer un autre collier ce matin. Je me trouvais donc à genoux à ses pieds lorsque je commis l'erreur de lever les yeux vers elle... Aussitôt la gifle retentit, ma joue chauffant par la même occasion... Elle m'exposa ses règles : toujours baisser les yeux, répondre par "oui, maître" ou "oui, maîtresse", ne jamais discuter ses ordres, bref, être une vraie petite pute bien soumise...
Elle s'assit dans le canapé et releva sa jupe en cuir, qu'elle portait sans dessous, puis elle tira violemment sur la laisse, ce qui eut pour effet de me projeter le nez dans son entre-jambe... "Lèche-moi". Je m'appliquai à lécher de mon mieux la chatte de ma maîtresse. Soudain, elle me tint par les cheveux et m'enfonça la tête plus avant dans sa chatte, je pouvais à peine respirer mais continuai à lécher... J'éprouvais une excitation grandissante à me trouver ainsi livrée aux fantasmes d'autrui.
Elle sortit un god qui me sembla bien trop large et me renversa en arrière.
Elle retira l'objet d'un air satisfait et me l'enfonça de nouveau dans le cul, me demandant d'une voix suave si j'aimais qu'elle me pénètre ainsi. Je ne répondis rien, la douleur étant trop forte. Alors elle me tira par les cheveux et mit son visage à quelques centimètres du mien et droit dans les yeux, dun regard dominateur, elle me dit, en me maintenant par le chignon :
- Réponds chienne, tu aimes quon te baise le cul ?
Effrayée, je répondais par un "oui
maîtresse" appliqué.
Satisfaite, elle délaissa mon cul lorsqu'elle entendit le bruit d'une porte s'entrouvrant.
Un homme, que je reconnu de suite comme Maître Sir Evans, entra. Il me regarda, offerte, l'anus encore humide de la salive de sa collègue dominatrice, les tétons pointant, les cuisses écartées. Il s'approcha et se déshabilla. La femme me guida vers sa queue, m'obligea à l'avaler jusqu'à en avoir des nausées. Lui, gémissait de plaisir, elle semblait trouver un certain plaisir sadique de me voir ainsi jusqu'à ce qu'elle me permette de me retirer.
Elle me présenta son cul qu'elle m'ordonna de lécher, pendant que Sir Evans m'enlevait mon string et me pénétrait d'un fort coup de rein. Je ne pus contenir un gémissement de plaisir. Qui fut suivit par autant de soupirs excités que de coups de queue dans ma chatte. Ma maîtresse me fit savoir que vu que j'avais l'air d'apprécier mon traitement, il était temps de passer à la vitesse supérieure...
Alors qu'elle me présentait sa chatte à lécher, je compris subitement ce qui allait se passer.
Mon maître délaissa mon cul, qui, j'eus l'impression, resta grand ouvert un bon moment... Il plongea dans celui de la maîtresse qui gémit de plaisir. Après quelques minutes, il me présenta, sur son ordre, sa queue à nettoyer, je dus la lécher jusqu'aux couilles et goûter au jus du cul de ma maîtresse. Il recommença alors à l'enculer, par des mouvements de plus en plus rapides... Il m'attrapa par les cheveux pour me coller aux fesses de la belle dominatrice, et lorsqu'il sortit sa queue il éjacula sur son anus entrouvert... Il m'ordonna de tout lécher. Ma maîtresse attendait cela impatiemment se tortillant en cambrant le dos pour mieux me voir plonger dans son cul et y déloger de longs filets de sperme. Je dus enfoncer ma langue profondément pour nettoyer parfaitement cette fleur entrouverte. Mon maître me fit alors lécher cm après cm sa queue. Cela fait, je pensais que mon travail était terminé mais ma maîtresse m'appela, d'un fauteuil Louis XIV où elle gisait les cuisses ouvertes. Elle me dit que j'avais été une très bonne chienne et que je méritais une récompense.
- Tu vas avoir le droit de jouir ! Monte sur la table, à 4 pattes et en vitesse, chienne !
J'hésitai .. J'avais peur de ce qui m'attendait.
Avec une claque sur les fesses, Maître Sir Evans m'encouragea dune deuxième claque et je montai sur la table, à 4 pattes jambes peu écartées. Il les écarta de lui-même puis Il m'attacha ensuite avec des cordes pieds et mains liées je ne pouvais donc plus rien faire et j'étais de nouveau à sa disposition. Il me mit ensuite un bandeau sur les yeux et un bâillon avec une boule pour ma bouche qui commença rapidement à baver.
J'avais très peur, je l'entendais se promener autour de moi, me regardant, me massant, me touchant au passage. Puis, il s'arrêta derrière moi. Il me fouetta violemment avec un martinet sur les fesses. Dans la surprise les coups que je nattendais pas, je criai, je pleurais, je ne voulais pas. Je n'ai pas eu le temps de reprendre mon souffle, il me donna un autre coup de fouet, suivi de plusieurs autres. Mes fesses me faisaient terriblement mal et elles devaient être sûrement totalement rouges.
- Tu vois, tu es ma petite chienne maintenant, faut que tu t'y fasses, surtout que ce n'est pas du tout fini!
En lentendant, mon coeur fit un bond, qu'est ce qu'il voulait dire? J'allais bientôt le savoir.
Il rentra un doigt en moi, constatant que je mouillais de nouveau comme une folle !
- Oh mais tu mouilles, je savais bien que tu aimerais ça, n'est-ce pas chienne?
Je fis un signe de tête disant que oui.
Bien, dit-il en rentant un deuxième doigt dans ma chatte trempée par l'excitation. Jouant avec mon clito, je me déhanchais pour me procurer encore plus de plaisir. La vitesse à laquelle il me doigtait augmenta. Je jouis, même derrière mon bâillon, on pouvait entendre mes cris.
Il ne me laissa aucun répit, il me posa des pinces sur mes tétons bien durs. Ensuite, il présentait à mon anus un god lubrifié. Je panique un peu et jessaie de bouger mais en vain.
Me voyant gigoter ainsi et offerte sur cette table à 4 pattes, mon maître riait, se moquait, minsultait, mhumiliait, il introduisit le god encore plus profondément, jusqu'à ce qu'il soit en moi complètement. Douleur et plaisir se mélangeaient en moi, jamais je n'avais ressenti cela.
Puis, il introduisit rapidement un 2 ème god dans ma chatte cette fois, encore plus gros que celui positionné dans mon cul, la mouille facilitait l'introduction. Il me fixa une chaîne à la taille ainsi que une autre passant sur les gods et les interdisant ainsi de sortir.
Il se retira avec la maîtresse et sortis tous les deux de la pièce, en rigolant et me traitant de tous les noms humiliants, me laissant seule mouillée et excitée comme jamais. Soudain, le god dans ma chatte commença à vibrer, il l'avait mis en marche à distance !
Il me cria: Je reviens dans quelques minutes, excite toi bien en attendant !...
Attachée à 4 pattes sur une table, complètement nue, tétons pincés durement, yeux bandés, la bouche bavant à cause du bâillon, un gros god dans mon cul, un autre god encore plus gros dans ma chatte mouillée qui est sur le point d'exploser de plaisir grâce au vibromasseur et 2 chaînes qui les retiennent pour ne pas que mon corps se débarrasse de ces beaux jouets.
Je jouis alors intensément, j'avais l'impression que jallais mourir de plaisirs car le vibromasseur encore en marche me procurait un orgasme quon aurait cru infini !! J'espérais que mon maître allais vite arriver, je n'en peux plus.
Ensuite la porte souvrit et jentendis des voix masculines entrer. Ils devaient être une bonne dizaine dhommes. Jentendis moqueries et insultes. On me retira les gods et le bâillon et je fus abusée par tous les trous, jétais devenue une chose, un jouet sexuel qui servit à soulager la dizaine dhomme qui ne se privait pas de mes orifices Je reçus une véritable douche de sperme, du avaler et mon cul et ma chatte bien remplis furent maintes fois noyés de sperme
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