Fiction. La Saga De L'Ascenseur. Partie 3 Le Cadre Et L'Intérimaire La Signature D'Un Contrat Au Mexique.
La signature du contrat au Mexique.
A la fin novembre, Lucas et son assistante Marie-Lou préparent ensemble un voyage daffaires au Mexique où un important contrat doit être négocié directement après plusieurs vidéoconférences entre des responsables des deux sociétés.
Si tout va bien, le séjour mexicain durera cinq jours. Pendant ces préparatifs auxquels jai participé à plusieurs reprises, je suis un peu jalouse de Marie-Lou qui va faire le voyage avec Lucas.
Mais le lundi matin précédant le départ, Lucas mappelle dans son bureau :
Marie-Lou vient dêtre prévenue par lécole de son fils. Ce dernier, âgé dune dizaine dannées, vient de se casser un bras dans la cour. Elle va devoir soccuper de lui et ne pourra pas être du voyage.
In enchaîne :
Vous parlez lespagnol ?
Bien sur ! En plus de langlais, je parle couramment lespagnol ! En fait cest ma langue maternelle.
Très bien
Je le savais ! Faites le nécessaire ! Vous maccompagnez au Mexique. Cest réglé avec les ressources humaines. Comme vous connaissez le dossier cela sera plus facile.
Quelle aubaine ! Je vais passer près de sept jours complets avec Lucas. Nous sommes mardi en milieu de matinée. Une voiture de la société nous emmène tous les deux à laéroport. Le vol avec une escale aux Etats Unis sera long. Nous arriverons vers 22 heures locales.
Pendant tout ce temps Lucas et moi, nous nous comportons comme deux amoureux qui font une beau voyage. Je suis blottie contre lui qui tient dans sa main gauche ma main droite. Je sens contre mon épaule la douce puissance de son bras.
Jappuie mon sein gauche sur son avant bras. Je suis divinement bien ainsi. Nous bavardons de tout et de rien. Je linterroge sur sa femme et ses s. Je parle de moi et deTony. Il ny a aucune gêne ni contrainte dans nos propos.
Lun comme lautre, nous savons que ce que nous vivons est exceptionnel mais que cela prendre fin avec lachèvement de ma mission dintérim.
A laéroport de Mexico, nous sommes accueillis par un cadre de la société mexicaine que jai vu lors dune vidéoconférence. Il nous conduit jusquà notre hôtel et nous indique que la voiture et le chauffeur viendront nous prendre à 10 heures le lendemain.
Nous disposons chacun dune petite suite comprenant un salon, une chambre et une salle de bains mais Lucas me dit :
Cest inutile dutiliser deux chambres ! Installe-toi avec moi !
Je nen attendais pas tant mais jespérais bien que nous nous retrouverions dans le même lit. Je déballe rapidement quelques affaires et me dirige vers la salle de bain :
Je prends une douche rapide et te cède la place.
Daccord, prends ton temps ! Jen ferai autant ensuite !
Je suis sous la douche après mêtre démaquillée quand la porte souvre. Lucas entre dans la salle de bain, entièrement nu, le sexe à moitié bandé, il me rejoint sous le jet. Il prend du gel dans ses mains et commence à masser mes épaules et mon dos. Par moments, je sens sa bite me frôler ! Cest vraiment excitant.
Ensuite il descend encore plus bas, en ouvrant mon entre fesses pour masser par derrière mon sexe inondé de mouille. Comme ce nest guère facile, je me dégage et je fais face à Lucas qui poursuit ses caresses. Dune main il soccupe de ma poitrine en faisant rouler alternativement mes tétons bandés au creux de sa main et de lautre, il masse mon Mont de Vénus en passant un doigt indiscret entre mes lèvres intimes. Cela achève de mexciter. Ma chatte est humide et ce nest pas leau de la douche.
Je nen peux plus ! De mes deux mains jenserre doucement sa belle queue et la masturbe doucement jusquà ce quelle atteigne son plein développement. Ce nest pas long et je lui dis :
Viens ! Jai envie de toi ! »
Nous nous séchons rapidement, malgré lexcitation à son comble.
Ma coquine. Passer tout ce temps près de toi dans lavion sans pouvoir échanger autre chose que des baisers discrets, cétait insoutenable !
Les bras de chaque côté de mon buste, Lucas va et vient dans ma chatte. A chaque fois, il en ressort pour mieux me reprendre ensuite. Son sceptre généreux me remplit bien. Je sens la jouissance monter au fond de moi :
Oui ! Oui ! Que cest bon !
Bientôt, je ne peux plus retenir le plaisir qui menvahit et je le laisse déferler au moment même où je sens les jets de sperme de Lucas se déverser au fond de moi. Nous basculons sur le côté. Lucas nous recouvre avec le drap et étroitement enlacés, nous sombrons immédiatement dans le sommeil. Cest vrai quavec le décalage horaire, cela fait une longue journée.
Le lendemain, malgré la brume de pollution, nous découvrons limmense cité tentaculaire quest la ville de Mexico depuis le 8ème étage de lhôtel.
Les discussions de la journée sont âpres ! Les mexicains ne veulent pas céder un pouce sur les conditions du marché mais cest de bonne guerre ! Mais lors de la petite réception organisée en notre honneur en fin de journée, tout semble aplani.
Après un rapide dîner au restaurant de lhôtel, Lucas et moi, nous navons quune hâte : nous retrouver dans lintimité de la chambre :
Enfin seuls !
Lucas raconte :
Je prends Alice dans mes bras, jenserre sa taille fine de mes mains et la plaque contre moi. Déjà au cours du repas et dans lascenseur javais fantasmé sur ce que jallais faire dès que nous serions dans la chambre et javais la bite qui montait doucement dans mon slip.
Je lui fais sentir cette bosse qui ne demande quà se développer. Alice a compris le message. Elle sarrange pour incruster son bassin au contact le plus étroit avec le mien.
Ensuite elle se dégage et sagenouille devant moi. Elle dégrafe mon pantalon et le fait glisser en même temps que le slip. Comme un ressort qui se détend mon sexe jaillit et Alice gobe mon gland puis elle fait entrer ma hampe le plus loin possible dans sa bouche.
En faisant des mouvements de va-et-vient avec des aspirations profondes elle enduit ma bite de salive. Je passe ma main dans ses cheveux dans une douce caresse.
Je sens rapidement mon plaisir monter. Je me dégage et reprends Alice dans mes bras pour la déshabiller. Dès quelle est nue, elle sinstalle sur le lit dans une pose qui est un appel à la débauche. A genoux, elle est prosternée, les bras allongés de part et dautre de sa tête, ses seins reposant sur la couverture légère. Elle mattend !
Je ne la fait pas languir plus longtemps. Je la rejoins sur le lit, je magenouille entre ses jambes, japproche ma bite de ses fesses et lentement jinvestis sa chatte qui est brûlante et humide. Elle aussi avait du fantasmer sur la suite de la soirée.
On a passé presque la moitie de la nuit à faire lamour sans nous arrêter, tellement on avait envie lun de lautre. On savait chacun de son coté que ceci serait la seule fois quon serait ensemble en voyage. Alors on voulait profiter le maximum possible.
Les deux jours suivants se sont ressemblés, travail la journée suivis de nuits torrides. Je narrivais pas à me lasser de lui faire lamour, cette fille avait lhabilité de me mettre le feu dans le sang et dans mon pantalon.
Et lattraction physique entre nous augmentait chaque fois plus.
Les négociations avec les mexicains se sont conclues rapidement et déjà au troisième jour on a senti quon navait plus besoin de les retrouver, le marché était conclu, signé et fini.
Cela fait, il nous restait encore deux jours complets.
Nous accédons directement à la zone des avions privés où nous attend un couple qui constitue léquipage dun petit bimoteur à hélice où nous embarquons immédiatement. La jeune femme qui est le copilote fait aussi fonction dhôtesse. Alice et moi sommes seuls à bord.
Notre court voyage entre Mexico et Cancun se passe comme dans un rêve. Installés très confortablement dans la petite cabine à six places, nous dégustons un excellent champagne californien servi par notre copilote.
Je suis très heureux de pouvoir faire profiter Alice de cette escapade au bord de la mer des Caraïbes, cette mer qui baigne aussi la terre de mes ancêtres guadeloupéens.
Après un peu plus dune heure de vol, nous survolons la presquîle du Yucatan avant de nous poser sur laéroport local où nous attend une voiture avec chauffeur. Il nous conduit dans une belle et grande villa en bord de plage où une mexicaine dune cinquantaine dannées sera à notre disposition pendant notre séjour.
Nous prenons possession de notre chambre, immense avec un lit bas de plus de deux mètres de côté. Dans la salle de bain attenante, nous trouvons une série des maillots de bains de tailles diverses que nous nous empressons denfiler. Il nous faut profiter de la plage tant quil fait jour.
Pendant quAlice ôte ses vêtements pour revêtir un maillot deux pièces assez réduit, je la lutine un peu, frôlant ses seins encore découverts ou ses fesses où le maillot se réduit à une bande de tissu large de deux doigts à peine. Mon maillot a bien du mal à contenir mon sexe qui bande légèrement. Le spectacle du déshabillage dAlice ma quelque peu échauffé le sens.
Dès que nous sommes prêts, nous courrons vers la plage en nous tenant par la main comme le feraient deux amoureux. Ne sommes-nous pas des amoureux, amants ardents et passionnés ?
Nous entrons dans leau tiède et limpide où le nombre de baigneurs est très réduit. Nous nageons vers le large pendant quelques temps. Leau est peu profonde et nous profitons dun haut fond pour nous reposer un peu. Alice est une bonne nageuse. Elle a suivi mon rythme sans difficultés.
Debout dans leau je lenlace et lui prend les lèvres dans un doux baiser. Alice me souffle à loreille :
Merci Lucas ! Je noublierai jamais tout ça !
Moi non plus ma petite biche
»
Comme nous sommes hors de vue des autres baigneurs, je dénoue les cordons du maillot dAlice et je retire son soutien gorge que je noue autour de mon poignet. Je peux ainsi caresser sa jolie poitrine dont les tétons sont dardés. Je les fais rouler entre mes doigts et Alice vient emprisonner ma bite dans sa main droite pour la masser.
Jai une érection majestueuse. Mon gland sort de la ceinture du maillot. Heureusement nous sommes loin et dans leau.
Je glisse une cuisse entre celles dAlice et je lui fais sentir le désir que jai delle. Nous sommes toujours enlacés, bercés par la houle, nous nous embrassons et nous nous caressons :
Viens sur la plage.
Nous nous désunissons et en nageant lentement lun à côté de lautre nous nous dirigeons vers la rive. Dès quil ne reste plus que quelques dizaines de centimètres deau, nous nous allongeons sur le sable et nous roulons lun sur lautre, les jambes léchées par les vagues. Nous sommes deux jeunes amoureux follement épris, guidés par une envie irrépressible de sexe.
Ma verge raide, frottant chaque partie de son corps, est comme un rouleau qui détend ses nerfs et la pousse à oser des caresses et des gestes quelle naurait jamais faits auparavant, sans ces préliminaires excitants. Jai limpression quelle va hurler fort à chaque fois que ma main glisse entre ses cuisses ruisselantes de mouille.
A la nuit tombante, nous revenons vers la villa. Nous passons rapidement ensemble sous la douche pour nous débarrasser du sable et de leau salée qui a séchée sur nous. Cest encore loccasion de baisers et de caresses. Nous enfilons des vêtements légers et nous passons à table. Nous dégustons des spécialités locales à base de poisson cru mariné dans le citron et un filet de buf mariné également au citron et aux herbes. Cest un délice.
Le repas terminé, nous gagnons la chambre. Alice a trouvé une station de radio qui diffuse de la musique. Elle ne tarde pas à danser lascivement sur ce rythme syncopé et à amorcer un striptease coquin. La matinée sur la plage et les caresses sur le sable nous ont préchauffés sans aucun doute.
Je minstalle dans un fauteuil pour mieux apprécier le spectacle. On dirait une danseuse professionnelle tant sa manière de faire est pleine dun érotisme discret.
Alors quelle ne porte plus quun mini string en dentelle blanche, elle sapproche de moi, se trémousse un peu en me tournant le dos puis Alice sagenouille entre mes cuisses. Elle membrasse amoureusement et de ses mains elle part à la recherche de mon dard qui est dressé dans mon pantalon.
Pour la première fois depuis que nous baisons ensemble, elle me prend en bouche. Elle lèche dabord le gland avant dengloutir mon sexe au plus profond de sa gorge. Je nai pas besoin de la guider, dailleurs je nai jamais aimé guider mes partenaires. Delle-même elle fait le va-et-vient en enduisant copieusement ma queue de salive.
Pendant quelle me fait cette gâterie, jôte mon polo et je fais glisser tant bien que mal mon pantalon. Ensuite, Alice se dirige vers le lit après avoir fait glisser son string, sallonge dessus et me tend les bras en disant :
Viens
Je la rejoins. Je minstalle entre ses cuisses que je remonte en les pliant. Je place mon gland à lentrée de sa chatte et lentement je pénètre cet antre chaud et humide dune seule poussée. Lorsque je suis bien au fond, je marrête et je regarde Alice. Ses yeux et son visage rayonnent de bonheur.
Je commence les va-et-vient, lentement puis de plus en plus vite. Comme je ne peux pas me servir de mes mains, Alice caresse doucement ses seins, pince les tétons et les fait rouler entre ses doigts. Notre jouissance monte, monte, monte de plus en plus et elle finit par nous envahir comme une vague trop forte qui déferle sur la plage et détruit tout sur son passage.
Ma compagne se tétanise au moment où je me vide en elle. Elle bloque sa respiration quand je laisse retomber ses jambes sur le côté. Elle savoure ! Et moi aussi ! Ma bite toujours fichée au plus profond de sa chatte qui en redemande :
Cest dé
délicieux ! Encore
Encoooooooooooore
Je reste encore quelques temps en elle puis je me dégage en mallongeant sur le dos. Quand je veux prendre Alice dans mes bras, elle se dérobe. Ma belle partenaire sallonge de tout son corps sur le mien et par de savants mouvements elle masse mon torse avec ses seins menus, son pubis en contact avec le mien, elle emprisonne mon sexe dans la fourche de ses cuisses et ondule du bassin.
Avec un tel massage sensuel, je ne tarde pas à retrouver une bandaison forte. Mon sexe est de nouveau raide comme une barre dacier.
Si tu veux
tu veux ?
En disant cela, Alice se place en levrette face à un immense miroir qui fait office de porte du dressing, enfilant un doigt dans son anus, sans doute pour le lubrifier. Je finis par comprendre ce quelle veut tester. Elle me demande dêtre doux.
Je me place derrière elle, je fais quelques mouvements dans sa chatte pour enduire mon sexe de cyprine et de foutre et doucement japplique mon gland sur son illet. Je pousse lentement et le pertuis serré souvre comme par enchantement.
Petit à petit, mon sexe senfonce et bientôt mes couilles viennent battre contre lentrée du vagin dAlice. Son antre secret a absorbé le 25 cm de mon membre ! Quel spectacle ! Dans le miroir je nous vois tous les deux. Jai devant moi le dos fin et les hanches étroites de ma maîtresse. Ses cheveux défaits masquent son visage. Quelle vision érotique !
Alice sécrie :
Vas-y, tu peux y aller, fort, prends moi par derrière ! Baise-moi !
Je commence lentement les mouvements de va-et-vient dans sa gaine étroite et au fur et à mesure, jaccélère en prenant soin de ne pas sortir de son anneau qui se plie à la taille de mon sceptre de chair. Soudain Alice hurle au moment où elle jouit.
Oui ! Oui ! Oouuuiiiiii !
Je me dégage et je saisis ma bite dans la main droite pour diriger les jets de sperme sur le bas de son dos.
Repus de jouissance nous nous endormons jusquau lendemain. Au réveil Alice est lovée contre moi, un bras passé au dessus de mon torse. Je sens ses seins collés contre moi et je repense à tout ce que nous avons vécu ensemble depuis quelques semaines.
Comme presque tous les matins je bande légèrement. Je sens mon sexe lourd sur mon pubis. Alice sagite un peu et sa main glisse de mon torse jusquà venir saisir ma bite quelle branle doucement avant de menfourcher quand elle la juge à son goût.
Comme une belle amazone elle me chevauche, montant et descendant sur ce pal doux et chaud fiché en elle. Je sens les muscles internes de son vagin masser lextrémité de ma bite quand elle est bien au fond. Dans le clair obscur de la chambre je vois le visage dAlice qui rayonne de bonheur. Notre plaisir monte une nouvelle fois crescendo pour éclater, toujours aussi violent à chaque fois que je me vide dans lintimité dAlice.
Après un rapide bain de mer, nous reprenons lavion pour Mexico et une heure après nous sommes dans lavion qui, après une nouvelle escale aux Etats-Unis, nous ramènera vers la France.
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