La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 636)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (1/4) -
Je mappelle Aurélia. Jétais une jeune fille un peu naïve qui ne connaissait pas grand-chose sur les affaires de sexe. Afin de payer mes études, jai fini par trouver quelques heures de bonne de ménage au château de Monsieur le Marquis d'Evans. Nourrie et logée, le Maître des lieux me laissait à ma disposition une chambre, plutôt agréable, par ailleurs avec une salle de bain particulière. Cette chambre rustique était au rez-de-chaussée dans laile gauche du château et avait une entrée indépendante sur le côté. Une porte de communication permettait laccès dans les appartements du Marquis et de son compagnon David. Ce couple homosexuel était très connu dans la région et même estimé car le Marquis Edouard d'Evans était dune grande hospitalité fort légendaire acquise au fil des siècles chez les Evans. Monsieur le Marquis d'Evans était un avocat réputé pour sa verve et David juge dinstruction (ce qui formait donc un couple gays original) et comme je faisais des études de droit, «ça tombait bien», mavaient-ils dit.
Mon travail nétait pas trop pénible. Monsieur le Marquis d'Evans et David nétaient pas souvent chez eux, car en dehors de leur cabinet respectif, ils donnaient aussi des cours à la fac. La seule vraie contrainte était le grand repas mensuel au cours duquel ils recevaient leurs relations en soirée mondaine. Ce jour là, ils tenaient à ce que je serve à table et ma tenue devait être parfaite. David mavait acheté une jupe noire très stricte, un chemisier blanc, un petit tablier en dentelle blanche et une paire descarpins noirs aussi. Moi qui ne portais que des jeans, javais limpression dêtre déguisée. Mais Sir Evans et David étaient intransigeants sur ce point. Ils étaient issus tous les deux dune famille de la grande et noble bourgeoisie et ce genre de détail avait pour eux une grande importance.
Cela faisait maintenant deux mois que jétais chez eux et je my sentais bien. Bien quun peu réservée au début, leur gentillesse avait eu raison de ma timidité. Je nirai pas jusquà dire que je me sentais chez moi, mais jétais bien. Le château se situait au milieu dun immense parc dans le fond duquel ils avaient fait construire une piscine couverte, un sauna et une chambre de repos. Javais le dimanche et lundi comme jours de congé. Mais le samedi et après mes heures de travail, ils mavaient autorisé à me baigner et utiliser le sauna durant leur absence. Ils rentraient en général vers 21 heures le samedi soir et soccupaient eux même du repas du samedi soir, la cuisinière nétant pas au château car le samedi est son jour de congé.
Je passais donc tous mes samedis après-midi dans la dépendance au fond du parc. Javais limpression dêtre aussi un peu en vacances. Souvent après le sauna, jallais me baigner nue dans la piscine. Jaimais le contact de leau sur ma peau, et comme à cette époque je navais pas de petit copain, je me donnais du plaisir toute seule sur un transat au bord de la piscine.
Donc cette après midi là, après une petite sieste, je me suis réveillée avec le cafard. La journée était pourtant belle, il faisait encore beau pour la fin du mois de septembre, et même presque chaud. Je me suis déshabillée et jai plongé dans leau pour me changer les idées. Mais même après plusieurs longueurs, mon moral était toujours aussi bas. Alors jai décidé de me donner un peu de bon temps, comme je le faisais souvent quand je suis seule. Je fermais les yeux et lassais mes mains parcourir mon corps, pinçant un peu mes seins pour en faire durcir les tétons, glissant sur mon ventre pour enfin parvenir à mon bouton damour que je me mis à caresser avec ardeur.
- Humm, cest bon. Tu sais que tu es une petite cochonne ! Tu aimes ça te masturber hein ! Bien sûr, tu préfèrerais un homme mais faute de mieux
!
Allez ma fille, fais toi du bien
hummm
Cest alors que je sentis une bouche semparait de mon sein pendant quune main prenait possession de lautre. Jouvris grand les yeux et je vis penchée sur moi, David qui me titillait la poitrine
Je navais pourtant entendu personne rentrer. Jallais hurler, quand une troisième main se plaqua sur ma bouche et jentendis la voix de Sir Evans :
- Ne crie pas ! De toute façon, personne ne peut tentendre. Tu voulais un homme et bien tu vas être exaucée et en prime tu auras aussi deux ! Tu as déjà fait lamour avec un homosexuel ? Peut-être que tu ne las pas fait non plus avec un homme disons
plus hétéro ! Mais vu la manière dont tu te tripotes, je sens que tu vas aimer ça ! Pas vrai chérie ?
- En effet, cette jeune Aurélia ma lair dune sacrée salope, dit David en lâchant mon sein un instant.
- Comme tu y vas
elle me semble un peu cochonne, mais salope, là tu ne peux vraiment pas dire ça.
- Je te dis quelle a un potentiel de salope et crois-moi, je my connais, tu devrais me faire confiance. Rappelle-toi Katy, il y a deux ans, quand elle est arrivée ici et Claudie, Fiona et Lyla avant elle Au début elles jouaient les saintes nitouches et après trois ou quatre séances, elles se sont révélées être de vraies chiennes.
Le Marquis avait toujours sa main sur ma bouche et de lautre il me maintenait fermement aidé en cela par David qui avait abandonné ses caresses pour parler «marchandise» avec Sir Evans. Jessayais de me débattre, mais à deux contre une, javais perdu davance, dautant que les caresses de David venant juste après les miennes mavaient enlevé de ma vigueur, il reprit :
- Bien sûr, il va falloir léduquer un peu, on ne va pas pouvoir la lâcher toute neuve dans un de nos dîners mensuels. Mais il faudra être rapide car nos amis commencent à simpatienter. Cela fait deux mois que nous ne leur avons rien mis sous la dent. Bien sûr durant nos vacances à Cannes, ils ont pu profiter de Katy, qui a bien voulu rester avec nous malgré lobtention de ses diplômes. Elle avait pris goût à nos petites perversions et puis, grâce aux relations quelle sest faite chez nous en deux ans, elle a pu ouvrir son étude de notaire à Aix en Provence. Elle est la quatrième fille à qui on a mis le pied à létrier. Elles ont toutes étaient parfaites à tous points de vue, autant durant leur séjour chez nous quune fois quelles ont été installées dans la vie.
- Cest vrai on a eu de la chance, Maître Dumont me le disait encore hier :
- «Vos soubrettes sont impeccables, toujours disponibles, prêtes à satisfaire le moindre de nos désirs. Quel est votre secret ?
- Nous savons les choisir, enfin surtout David. Il les repère du premier coup dil. Et puis vient léducation, on ne met pas sur le marché une petite qui ne serait pas prête. David et moi, nous y tenons. Il faut parfois plusieurs semaines avant quelles ne se montrent dociles. Cest tout un art, cher Maître, lui dit ai-je
- Voilà un sacré cochon ce Dumont. Fiona avait un faible pour lui. Faut dire quil a une bite remarquable, quel engin ! Quand tu te prends ça entre les cuisses, tu passes un sacrément bon moment.
- Toi David, aussi tu laimes bien la queue de Maître Dumont ! Je lai bien vu la dernière fois chez lui. Il est venu tenculer pendant que tu suçais sa femme, tu avais lair dapprécier.
Je nen croyais pas mes oreilles. Jétais choquée dentendre ce que jentendais et en même temps une chaleur envahissait tout mon corps. Jétais tellement abasourdie que mon corps sétait décontracté et que je ne songeais même plus à me débattre, ni même à crier. Dailleurs comme lavait si bien dit le marquis, personne ne maurait entendu. David a du le sentir, car il a relâché son étreinte et à commencer à me fouiller lentre jambe.
- Quest-ce que je tavais dit ! Nos histoires ont émoustillé cette petite pute, elle mouille comme une chienne en chaleur. Tient, regarde, touche !
- Mais ? tu as raison ! Dit Monsieur le Marquis d'Evans, alors sale petite vicieuse ! Ca texcite les histoires de cul ! Tu as envie de goûter à ma bite ou tu préfères celle de David ?
- Présente-lui plutôt ton gourdin, moi je vais moccuper de son délicieux minou. Elle est déjà partiellement épilée, je vais pouvoir la sucer à mon gré. Puis sadressant à moi : demain je prendrai rendez-vous pour toi avec lesthéticienne pour une épilation intégrale, elle sait ce quon aime, elle fera ça parfaitement. Allez, petite Aurélia, maintenant tu vas être sage et tu vas bien sucer la queue du plus grand avocat du barreau, cest drôle ça, le barreau ! Tu vas voir le sien va te remplir ta bouche de salope.
Comme je nouvrais pas la bouche :
- Allons, ne fait pas ta mijaurée, tu réclamais un homme tout à lheure, et bien maintenant tu las. Ouvre la bouche et suce avant que je ne me mette en colère.
- Ne la brusque pas, dit le marquis, elle va y venir. En général les femmes aiment bien ma bite, il ny a pas de raison que celle-ci soit différente des autres. Mais peut-être quelle ne la jamais fait ! Tu as déjà sucé un homme ?
- Non !
- Tu vois David, cest une vraie novice ! On va pouvoir l'éduquer correctement.
- Tu ne vas pas nous faire croire que tu es vierge ?
- Non, jai déjà eu un copain il y a 6 mois, mais nous navons jamais fait ça.
- Alors David, montre lui comment on doit sy prendre.
David ne mit à genoux devant son compagnon et après quil lui ait enlevé son pantalon et son caleçon, il commença par lui lécher la hampe comme pour un bâton de glace. Quand la queue de Monsieur le Marquis d'Evans fut bien raide, David se lenfourna dans la bouche et fit des mouvements davant en arrière, simulant la pénétration.
- A toi maintenant. Jallais me mettre à genoux à mon tour, quand David rajouta :
- Non, reste allongée, le Maître se débrouillera pour te fourrer son «barreau» dans ta bouche de petite garce. Pour moi se sera plus facile de te sucer si tu restes sur le transat.
En moins de temps quil ne faut pour le dire, je me retrouvais avec la bite de mon patron dans la bouche pendant que son compagnon ne titillait le bouton, fourrait sa langue dans ma caverne. Je navais jamais rien ressenti de pareil. Jétais partagée entre la honte et le plaisir. Jétais sur le point de jouir, mais la honte retenait mon orgasme.
- Laisse-toi aller, salope, ne pense plus à rien. On ne veut que ton bien et le notre.
Il me parlait comme une mère parle à son , pour laider à franchir une étape difficile. Puis sadressant au marquis :
- Tu viendras que je te finisse, tu ne vas pas jouir dans sa bouche la première fois. Il faut lui laisser le temps. Aujourdhui elle doit accepter de jouir devant nous. Ça nest pas évident. Allez ne te retiens pas, il ny a pas de mal à se faire du bien
Jouir ? Quy a-t-il de plus bon dans la vie ?... Allez, viens
Entre chaque phrase dencouragement, il reprenait sa succion, avec un réel savoir-faire, il faut lavouer. Bientôt il ne sarrêta plus et cest le Maître qui continua à me parler pour me détendre.
- Tu es une bonne fille, tu suces déjà pas mal pour une débutante. Je tapprendrai, je texpliquerai ce quun homme attend de la fellation. Pour aujourdhui, contente-toi de te laisser aller à la jouissance que te donne David. Il est parfait, toutes nos amies et nos amis le disent, il suce divinement bien.
Tous ces encouragements eurent raison de ma honte et je me laissais aller à une jouissance comme je nen avais jamais connue jusque là. Il faut dire que ma vie sexuelle ressemblait plutôt auparavant à un désert.
- Ouiiiiiiiiiiiiiii ! Cest bon, encore David, sucez-moi encore, hummmm ! je perds la tête
Ahhhhhhh ! Ahhhhhh !
- Vas-y ma salope, crie, hurle ton plaisir, libère toi. Tu aimes ce que te fais mon David ? Alors dit-le ! dit que tu es une sale petite pute qui aime se faire sucer !
Sir Evans mencourageait et David ne lâchait pas mon entrecuisse.
- Alors dit-le ! Répète après moi : «Je suis une petite pute et jaime me faire sucer, par mes patrons»
- Je suis une petite pute
Ahhhhhhhhhhhhh ! et jaime que mes patrons me sucent. Ahhhhhhhhh !
Ma tête était en train dexploser quand David vint me rouler un patin où se mêlai le goût de sa bouche et celui de mon nectar. Jétais vidée, je ne savais plus où jétais, ni qui jétais. Mon esprit mavait quitté. Ma personne se résumait à ce clitoris qui venait de jouir comme un malade, à peine si jai entendu les râles du marquis que David finissait dastiquer avant quil ne le prenne là devant moi, à lenculer en levrette et quils jouissent à leur tour, quasi simultanément.
Puis doucement, ils maidèrent à me relever et chacun à leur tour, ils membrassèrent tendrement sur la bouche. Ensuite sans prendre la peine de nous rhabiller, nous avons traversé le parc dans la fraîcheur de cette fin de journée dété, nus comme au jour de notre naissance, dans les bras lun de lautre, Sir Evans et David mentourant de leurs bras oserai-je dire protecteur...
(A suivre ...)
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