Changement De Plan

Bon, une autre vendredi. Je quitte le service de garde où je viens de déposer les s, ils ont été si gentil cette semaine. J'ai le cœur gros. C'est pareil à chaque fois.

Direction bureau, la journée s'annonce assez tranquille, quelques dossier à régler, 2 petites réunion banales un rapport à commenter et après, direction Rive-Nord, je vais rejoindre Eva.

Je grignote mon lunch sur le coin de mon bureau pour sauver du temps, je réponds avec empressement à quelques courriels la journée semble interminable. Chaque fois que je regarde l'heure sur le téléphone, mes pensées se remplissent d'image d’Eva. Mon stress augmente, mon désir aussi.

Je cherche désespérément à occuper les quelques heures qui me reste à attendre. Puis lorsque le bureau est assez vide pour que je puisse m'éclipser sans me faire remarquer, je range mon bureau en silence et me sauve discrètement jusqu'aux ascenseurs.

Je saute dans ma voiture et m'engage avec 70 000 des mes amis sur le pont. Mon cœur bat à 100 km/h, je pourrais assommer tous les imbéciles qui se dressent entre moi et ma tendre moitié. Le premier connard qui me retarde s'expose à de graves représailles. Entre deux jurons, je me calme assez pour imaginer notre premier baiser, j'ai tellement hâte de sentir la chaleur de son corps contre le miens, les doux parfums fruité qu'elle porte avec tant de délicatesse. Ces lèvres qui savent comment m'envouter, le goût de sa salive dont je raffole... retour à la réalité, j'ai avancé d'à peine 3 mètres. Quelle agonie.

Je lui téléphone, mais son foutu répondeur me répète sans cesse le même message... Rien à faire, je suis seul isolé parmi 70 000 personnes et la frustration me gagne.

Je m'abandonne à ma pensée de nouveau, son peu doux, son rire, le son de sa voix... Plus j'y pense, plus le désir monte en moi, plus je la désir, plus mon cœur s'accélère. Je ne peux pas lui sauter dessus comme une bête en arrivant, elle pourrait penser que c'est la seule chose qui m'intéresse.

.. mais si ça venait d'elle ? Soudain, la crise d'angoisse, à quand remonte ma dernière éjaculation, lundi, non mardi matin ? Aurais-je assez d'endurance pour lui donner un orgasme du premier coup ? Devrais-je me retenir, mon dieu je suis dur dans mon pantalon et tout ce trafic...je sens ma queue chaude et pleine de sang qui gonfle mon pantalon, je la frotte un peu histoire de la rassurer.

Enfin arrivé au condo, je stationne ma voiture à l'endroit habituel. Je monte les escalier lentement, lourdement chargé du nécessaire pour passer la semaine sans devoir retourner chez moi. Je cogne, pas de réponse. Étrange, je réussi tant bien que mal à extraire mes clés de mon sac, j'ouvre la porte, j'entre pour trouver le condo désert. Pas d’Eva. Seulement une note laissée sur le comptoir de la cuisine.

" Allo mon chérie, J'ai oublié mon cellulaire au bureau, je reviens dans 30 min "

Désespoir... 30 min mon œil, avec le trafic du vendredi, 50 min au moins. Une fois le choc initial passé, je cherche une façon de maximiser le temps qui m'est donné. Je m'ouvre une bière froide, cherche dans le frigo quoi lui faire à souper, puis l'idée me vient, c'est moi qui lui sautera dessus, Je lui tendrai un piège romantique. Je mets le couvert, avec les chandelles, la musique d'ambiance. Je place la lasagne au four, concocte une salade en vitesse que je laisse sur la table. Je place des chandelles qui sentent bon dans la salle de bain, Je prends les roses que je lui ai offerts la semaine dernière et je sème les pétales entre l'entrée et la salle de bain. Je borde le sentier de pétale de petites bougie, je me mets nu et je surveille l'entrée du condo. À la vue de sa voiture, je rempli le bain d'eau très chaude. J’ai le temps de tout terminer avant son arrivée. Au son des clés dans la serrure, je ferme toutes les lumières. Elle entre, je la laisse apprécier le décor, elle n'ose pas ouvrir la lumière. Elle referme la porte derrière elle. J'arrive doucement vers elle.
Je lui retire son manteau. Elle comprend immédiatement que ce ne sera pas une séance féroce ou déchainée, qu'il n'y aura pas de dialogue, pas de parole et qu'elle doit se laisser guider.

Je retire donc ces bottes, je détache les boutons de son chemisier lentement, je fais attention de ne pas toucher son corps, seulement de l'effleuré, la température ambiante est augmenté pour rendre la pièce confortable sans vêtement.

Je laisse glisser ces vêtements sur sa peau jusqu'au sol. Je descends la fermeture éclaire de sa jupe, elle se déhanche doucement pour qu'elle tombe d'elle même dévoilant ainsi son string noir. Je détache son soutien gorge et laisse apparaître ces seins magnifiques. L'envie de les prendre dans mes mains et de lui mordiller les bouts est très forte mais ce n'est pas dans le plan et je repousse l'idée avec beaucoup de mal. J'enlève son string et contemple sa peau, lisse et douce, doré à point. Son corps que les heures d'entrainement ont sculpté est nu devant moi, ferme et imberbe, éclairés seulement par les bougies sur le sol. Je la dirige vers la salle de bain, l'odeur des chandelles se mélanges aux sels de bain pour créer une atmosphère relaxante. Elle marche devant moi et je la suis d'assez près pour que mon membre dressé puisse lui frôler les fesses.

Je l'invite à s'assoir dans la baignoire, l'eau est chaude et confortable. Je m'assoie derrière elle sur le bord du bain, je l'enduie de gel exfoliant, pour la première fois de la soirée mes mains touche son corps chaud. Je lui masse les épaules, et le cou, je lui serre les seins et pince ces mamelons entre mes doigts. La mousse est abondante et mes mouvements répétés rendent sa peau extra sensible. Je descends jusqu'aux cuisses où je masse l'intérieure jusqu'à ces lèvres. Ma queue et mes couilles se frotte violement contre son dos. Durant plusieurs minutes je lui masse le corps résistant à mes pulsions de la prendre là....sur le champ...

Puis je passe devant elle, lui présentant ma queue pour qu'elle puisse la mettre dans sa bouche.
Elle la liche doucement, en faisant passer sa langue doucement de mes couilles jusqu'à mon gland, elle place ces doigts dans mon anus, avec l'autre main, elle serre mes couilles et suce ardemment ma graine. Elle va et vient très vite, je me retiens de toutes mes forces. Elle y va si profondément que je sens mon gland se serrer dans sa gorge. J'ai je goût de lui gicler dessus, de venir sur son visage et d'essuyer le sperme avec mes doigts pour lui introduire dans la bouche. Mais ça non plus, ça ne fait pas partie du plan.

Je me retire donc de sa bouche et lui demande de s'assoir à son tour sur le bord du bain. Je lui écarte fermement les jambes, je m'accroupie devant elle et j'introduis mes doigts dans sa vulve et dans son anus. Je cherche son point G avec mon majeur pendant que ma langue laboure sa vulve fraichement épilé. C'est une question de minutes avant que je sente ses forces l'abandonner, elle vibre et frémie sous les mouvements de mes "11" doigts, sa respiration s'accélère, des son de plaisir sortent de sa bouche, elle tient ma tête solidement entre ces mains et au moment de l'orgasme elle enfonce ces ongles dans mon crane en serrant ma tête contre son ventre et laisse sortir des cris de jouissance qui récompensent mes efforts.

Elle soulève ma tête et lèche mon menton et mes lèvre pour goûter le plaisir que je viens de lui extraire. La première phase de mon plan est complétée.

Je la retourne, elle me présente maintenant ces fesse en s'appuyant la tête sur ces bras croisées sur le bord du bain. Mon membre est tellement gonflé que je le crois sur le point d'exploser. Je lui enfonce dans la vulve, en lui tenant les fesses avec mes mains. Le tapis de fond de bain me donne l'adhérence dont j'ai besoin.

Mes mouvements sont secs et fréquents. Ces seins brassent selon mon rythme et se frappent au bord du bain. Son bassin se soulève, m'indiquant l'efficacité de mes mouvements, sa tête se soulève, ces mains agrippent le bord du bain, c'est les moments critique, je ne pourrai pas tenir très longtemps, je dois utiliser chaque poussé chaque allez et chaque retour pour l'amener plus près du but ou c'est perdu.


Je la sens, je suis bien au fond, en contrôle. Ces cheveux et ces seins sont en cadence, elle gémit sous la de mon membre, le 2e orgasme est toujours plus gros, je la brasse j'y donne tout ce que j'ai, je vois ces doigts cramponner le bord du bain avec fermeté. Puis c’est l’apogée... elle a de si gros spasme que j'ai du mal à reste en elle. Elle hurle de plaisir. Elle saisie ma fesse avec sa main. Puis ces forces l'abandonnent, elle s'effondre sur le bord du bain, je me retire doucement, lui donne un bec sur l'épaule, j'ai du mal à reprendre mon souffle. Mes doigts sont tellement ratatinés que je ne sens plus rien.

Elle est sans vie sur le bord du bain, vidé, comme une étoile de mer sur une roche, sa position me laisse entrevoir ses lèvres qui pulsent entre ces jambes. Soudain, elle me jette un regard pour la première fois depuis plusieurs minutes, elle se replace dans la position précédente, agrippe ma graine avec sa main et la frotte contre son anus, je crache entre ces fesse pour lubrifier l'orifice, je m’introduis doucement, son expression faciale traduit son inconfort. Lentement, la douleur laisse la place au plaisir, et quelques secondes plus tard je viens en elle. En me retirant, le liquide blanc s'écoule doucement sur elle.

La lasagne trop cuite et la salade fanée n'ont pas résisté très longtemps, le sommeil vint peu de temps après serré, enlacé, comblé.

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