Dans Les Calanques
Nous venions souvent dans cette calanque proche de Marseille.
Une heure de marche environ dans un paysage de rêve, et nous voilà dans notre petit coin favori, sur notre rocher dédié, au bord de leau.
Nous aimions à y passer des après-midi entières à lézarder, nous jetant dans leau dès quil faisait trop chaud.
Et bien sûr, léchauffement des corps produit léchauffement des sens
.
Cest comme ça que la plupart du temps nous finissions naturellement par nous tripoter , voire plus si affinités, à labri des regards.
Enfin quand je dis à labri des regards, ça ne fut pas toujours le cas : en vérité ce coin nétait pas si secret que ça, et plusieurs fois quelques petits chanceux ont pu apercevoir des bouts déternité, la plupart du temps en toute discrétion.
Ainsi de ce promeneur qui débouche sur notre petit coin alors que jétais debout derrière ma chérie, dans une levrette bien envolée qui semblait lui avoir fait perdre conscience de là où nous étions, au vu de ses cris : passant le coin du rocher, il tombe interdit sur nous et, tout rouge, sapprête à faire demi-tour.
Lui faisant signe que cétait Ok, il resta un moment à nous observer, sortant sa queue pour se donner du plaisir devant ce beau spectacle.
Quand jeus terminé, cest à dire pas longtemps après tellement jétais excité par sa présence, il repartit sur un signe de ma part, pendant que je finissais de tartiner les fesses de ma douce de mon sperme crémeux. Très correct et discret.
Mais lhistoire que je vais vous conter là ne sest pas terminée exactement de la même manière.
Cela fait maintenant deux heures quon bronze peinards au bord de leau, et, revenant de me tremper pour me rafraichir, je prends un autre chemin pour te rejoindre, tout au plaisir de tobserver comme si jétais moi-même un voyeur.
Cest donc parvenu au sommet de ce promontoire depuis lequel jai une belle vue sur ce petit coin de paradis que je maperçois que je ne suis pas le seul à me rincer les yeux sur toi.
« Salut »
« Salut »
« Putain elle est bonne hein ? » me dit-il alors, me faisant comprendre quil ne ma donc pas vu avec elle et quil vient darriver.
« Carrément, je suis sûr que cest une sacrée salope » je lui réponds, jouant le jeu du complice voyeur?.
Puis je poursuis mon chemin pour aller te rejoindre.
« ça va chérie ? »
« Mmphh » me réponds-tu dans un demi sommeil.
Alors tout doucement, comme jai lhabitude de le faire, je commence à te caresser, sur tout le corps, à peine plus léger quune brise, tout en vérifiant que notre spectateur est toujours là.
Tu commences à réagir plus visiblement à mes caresses, et entame de lentes ondulations au devant de mes mains, ce que je rends bien visible à notre voyeur en me mettant de côté pour ne pas troubler son champ de vision.
Surexcité par la situation, je bande ferme, ce dont tu ne tardes pas à te rendre compte.
Tu mempoignes fermement, pendant que je continue à te caresser partout, une main néanmoins appuyée sur ton pubis, et me branle doucement pendant que mon doigt caresse ton clitoris en feu.
La position est quelque peu acrobatique car je suis tourné face à notre voyeur et que ma main virevolte sur ta chatte sans jamais masquer le spectacle.
Je vois les herbes sagiter un peu à son emplacement, jespère quil ne se fera pas remarquer car je sais que tu pourrais tarrêter de suite sinon.
Ou pas dailleurs, je me souviens dun certain trouble quand je tai dit une fois « quil me semble que quelquun peut être », ce qui peut se traduire par « je lai bien vu » !, ton rosissement mavait bien plu
Tu tangues de plus en plus et cela commence à prendre la tournure dun rodéo : jai du mal à rester en contact avec toi et ta main se fair de plus en plus active sur ma bite quil nen peut déjà plus.
Jimagine le spectacle offert et ça me fouette les sens.
Je commence à ma faire des scénarii : et sil sapproche, et si il la touche
.
Mais bon aujourdhui, sous le soleil, loin de chez nous donc pas dans notre cercle intime, chauffé à blanc, cette perpective prend un tour nouveau.
Surtout que, pleinement réveillée cette fois-ci, tu viens de te mettre à quatre pattes devant moi et que, cul en lair et chatte luisante tournée vers notre voyeur, tu mas pris en bouche pour mon plus grand plaisir.
Je sens que je perds pied avec la réalité, ta bouche me ravage et mon cerveau fume, dautant que ça bouge derrière nous, ou plutôt derrière toi.
Alors que tu es en train de me faire un de mes plus beaux cadeaux, je vois mon « ami » voyeur déboucher derrière toi une belle queue à la main, à 3 mètres à peine de ton cul levé qui nappelle que la saillie.
Je me souviens très bien de ce moment et du trouble dans lequel jétais quand je lai regardé dans les yeux et lui ai fait signe de sapprocher
.
Le gars sapproche, et jenlève alors mes mains pour que les siennes les relaient sans que tu le sache. Il reste correct, il a compris.
Je vois alors les mains dun autre posée sur tes fesses pour la première fois, cen est trop, jexplose dans ta bouche des étoiles dans le crâne.
Cest le moment que choisit le gars pour rentrer dun coup son engin qui de plus près était encore plus gros dans ta chatte en fusion.
Tu ouvre la bouche en grand sous leffet de la surprise et je vois mes giclées aller te tapisser le fond de la gorge.
Je tatt la tête fermement : « prends : cest pour toi chérie
»
Il y a un instant de flou durant lequel je ne sais pas ce qui va se passer, ton regard semble une seconde lourd de reproches, mais se voile vite dautre chose : du plaisir.
Et tes premiers gémissements commencent alors que ton corps est balloté davant en arrière dans une levrette sauvage : il na pas perdu de temps en préliminaires et te besogne sévèrement.
Et, nul doute nest possible, tu aimes ça : bouche toujours ouverte ta langue passe sue tes lèvres et tes gémissements se changent petit à petit en feulements.
Je nen peux plus, je nai pas débandé, excité à mort par cette première, dans un cadre fabuleux en plus, je me branle comme un furieux.
Tu me reprends alors en bouche et je vis en direct ces centaines de films visionnés de la meuf partagée : un derrière, un devant, et en avant !!
Heureusement que tu as ré-occupé ta bouche car les cris quétouffent ma bite seraient à mon avis autant dappels au viol pour dautres éventuels promeneurs !
Tout ça ne dure pas très longtemps, on nest pas dans la tendresse, et quelques minutes après la gars sort sa bite et tenvoie tout sur le dos, une giclée marrive même sur lépaule !
Je remets moi aussi le couvert, et tu mavales cette fois-ci bouche fermée, tu ne mas jamais aspiré comme ça
.
Tu teffondres sur le ventre, repue, pendant que je fais un signe au gars qui me remercie et sen va.
Tu ne lauras pas vu une seule seconde, je te caresse les cheveux amoureusement en regardant les trainées de son foutre sur ton dos.
« Cétait trop bon chérie
.? »
« Je taime » me réponds-tu.
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