La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 637)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (2/4) -
Mon éducation de salope commença dès le lendemain. Leur ayant demandé si je pouvais rester le reste du week-end
Le lendemain donc au petit déjeuner, Sir Evans et David firent comme si rien ne sétait passé. Moi, par contre, jétais terriblement gênée, je gardais la tête dans mon bol, je nosais pas affronter le regard de mes patrons. Eux parlaient comme sil sagissait dun matin ordinaire, ils semblaient même prendre un malin plaisir à être encore plus naturels que dhabitude. Jétais au supplice. Comment après ce qui cétait passé la veille au bord de la piscine, comment pouvaient-ils être si banals en parlant de tout et de rien, avec futilité. Javais sucé mon patron pendant que son compagnon se régalait de mon intimité, ils avaient fait lamour devant moi, et ils étaient là à manger leur croissant et à boire leur thé en toute inconscience.
- Un croissant, Auré ? dit David.
- Non, merci, je nai pas faim.
Et en plus il mappelle Auré ! La honte sempare à nouveau de moi. Comment ais-je pu me laisser aller, comment ! Je me suis conduite comme une traînée !
- Ecoute, ma belle, reprend David, ce qui cest passé hier, nest que le début dune grande aventure qui commence pour toi
et pour nous aussi. Tu es une fille bien, avec un grand potentiel érotique. Tu ne ten rends pas compte, parce que personne ne te la jamais dit, jamais prouvé. Depuis que je tai vu, je sais que je vais faire de toi, une grande salope, une immense salope. Tu as un corps à faire bander un mort et à rendre folle de jalousie ou de désir femmes et hommes que tu vas croiser. Tu vas faire manger tout le monde dans ta main, rien quen agitant ton joli petit cul de pute. Nest-ce pas chéri ?
- Cest sur, enchéri le marquis et si je navais pas eu peur de te faire fuir, je taurais bien baisé autre chose que la bouche, hier soir !
-Tu vois le Maître est daccord avec moi
et nos amis que tu sers à table chaque premier vendredi du mois, ne rêvent que de te posséder, les hommes comme les femmes.
Puis, il sapproche de moi et commence à défaire la ceinture de mon kimono. Il me pétrit les seins à travers le satin de ma nuisette. Monsieur le Marquis d'Evans se colle alors à moi, écarte mes cuisses pour vérifier que je mouille bien. Ses doigts titillent mon bouton damour, avec douceur, puis avec plus de pression. Je perds à nouveau pied, comme hier. Je ne suis vraiment quune fille de rien, qui se met à gémir dès quon lui astique le bonbon. Les caresses de David se font plus pressentes. Il a glissé sa main sous ma chemise de nuit et me le bout dun sein. Leurs mains semblent animées par un même but, me faire jouir.
- Tu vois bien que tu aimes ça ! Tu es faite pour lamour, pour le sexe, insiste David. Cela fait déjà trois semaines quon rentre plus tôt le samedi et quon tobserve quand tu toccupes de ton joli fruit juteux vers la piscine ou dans le sauna. Sir Evans a même pris des photos quil a déjà montrées à nos amis. Ils ont hâte de profiter de ton beau corps de salope. Mais on va dabord tout tapprendre, on va faire de toi la reine des salopes, une pute qui va faire exploser les braguettes et mouiller les culottes de toutes nos relations. Mais attention, il faudra vraiment nous obéir, au doigt et à lil ! Tu devras faire tout ce quon te dit, accepter tout ce quon ordonnera de toi. Pendant les trois ou quatre semaines à venir, tu seras notre esclave sexuelle. Tu devras toujours être prête à écarter les cuisses sur lordre de Monsieur le Marquis d'Evans ou sur le mien. Pour cela, aucun sous-vêtement sur toi, jamais. Tu devras toujours restée nue sous tes vêtements, prête à être prise, quand on veut, où on veut, comme on veut. Dès que tu auras finit ton petit déjeuner, tu iras prendre une douche et tu enfileras la tenue que je vais te poser sur ton lit pendant que tu te laves.
- Tu peux dire partouze, il est temps que cette ingénue apprenne le vocabulaire libertin.
- Est-ce que tu as bien compris tout ce que lon vient de te dire.
- Oui.
- Ah ! Joubliais, durant ton apprentissage, tu devras nous appeler Maître, pour nous deux Cest clair ?
- Oui.
- On dit oui Maître.
- Oui, Maître.
- Cest bien, tu es une bonne femelle. Une dernière chose, pas question de te relâcher dans les études. Tu dois continuer à travailler ton droit avec application, car tu feras, jen suis sure, un très bon avocat... Si tu fais tout ce quon te dit, tout ira bien, sinon, nous serons obligés de sévir et gare aux punitions
- Ah, au fait, tu plais aussi beaucoup à Marie, la cuisinière et comme elle connaît parfaitement nos méthodes déducation, tu devras lui obéir comme à nous. En notre absence, elle a les pleins pouvoirs sur toi. Maintenant mange un peu, à ton âge on a faim.
Je me jette alors littéralement sur les deux croissants qui restent dans la corbeille. Jai juste le temps de prendre une douche quand on sonne au portail. La cuisinière va ouvrir. Cest Rose la voisine de Marie qui vient parfois laider en cuisine. Je les vois venir vers ma chambre par le couloir de communication. Elles sont bras dessus, bras dessous, ce qui me laisse penser quelles sont lesbiennes, et sarrêtent souvent pour sembrasser à pleine bouche.
- Ne fais pas cette tête de prude, on a vu les photos que Monsieur le marquis a prise de toi en train de te triturer la fente, intervient Marie. Tu as une bien belle chatte allez, vient, pour te détendre, je vais te faire un bon massage.
- Bien
Madame, dis-je hésitante.
- Tu peux mappeler Rose et me tutoyer. On est appelé à se voir souvent. Les employés de Maîtres Sir Evans forment une grande famille. Pas vrai Marie ?
- Vrai, ma chérie. Hummmmmmm ! Oui cest vraiment vrai !
Et elles sembrassent de nouveau à pleine bouche, et elles se caressent
Puis Marie se retourne vers moi, me prend la taille, me fourre sa langue dans la bouche et me roule un patin denfer. Je me laisse faire, le marquis ma demandé dobéir à la cuisinière
Ce baiser me trouble et jy réponds avec ardeur.
- Ils ont raison, les patrons ! Tu as un vrai potentiel de salope
à peine quelquun te fourre quelque chose dans la bouche, tu te mets à sucer comme une chienne
Tu veux goûter Rose ?
Rose prend à son tour possession de ma bouche et en même temps glisse sa main entre les pans de mon kimono pour atteindre mon entrecuisse. Elle me caresse avec tant de douceur que je parviens rapidement à la jouissance, dautant plus vite que Marie sest placée derrière moi et me triture les tétons :
- Vas-y ma petite pute, laisse-toi allez. Rose embrasse divinement bien. Rends-lui son baiser, enlace-la. Attends, je tenlève ce peignoir qui nous encombre plus quautre chose. Voilà, pelote-lui ses nibards, Rose ne met jamais de soutif, tu vas te régaler et elle aussi.
Tout en parlant Marie sest agenouillé derrière moi. Elle mécarte les jambes, les fesses et je ne tarde pas à sentir sa langue qui ségaille entre mon illet brun et mon abricot. Je ruisselle, elle lape mon suc. Rose membrasse toujours et nous nous pelotons les seins réciproquement.
- Lèche-moi, goûte comme cest bon une chatte de gouine. Fourre ta langue dans ma caverne, lape mon nectar. Cest bon, tu aimes ça. Cest la première fois que tu suces une femme ?
Je fais oui avec la tête sans arrêter mes coups de langue.
Et bien, ma salope, on dirait que tu as fais ça toute ta vie.
- Maître Sir Evans ne sy est pas trompé, reprend Marie. Je ne crois pas quil lui faille plus de quinze jours avant doffrir cette jeune esclave délurée aux soirées du vendredi. En plus je suis sûre quelle va être ravie des photos que je viens de prendre pendant quelle te suçait le bonbon. Quelle salope, tu fais, ma petite Aurélia
ou devrais-je dire ma chienne en chaleur !
Je trouve de plus en plus excitant dentendre parler de moi, devant moi, comme si jétais un simple objet. Je me sens lâme dune soumise. De toute façon quest-ce que je pourrais être dautre, je nai aucune expérience sexuelle et tous ces gens se proposent de méduquer, de faire de moi une experte de lamour. En échange, je peux bien leur sacrifier un peu de mon libre arbitre. Le jeu en vaut bien la chandelle. Il y a à peine quelques jours, jétais encore toute naïve comme une oie blanche et aujourdhui, je suis complètement nue, entre deux filles habillées, elles, même si leurs vêtements sont assez parlants. Elles viennent de profiter de mon intimité et je les ai moi-même peloté et sucé. Elles commentent abondamment en compliments sur mon cul de salope, ma bouche de salope, mes nichons de salope
La situation est absolument folle
mais je crois que jaime ça.
Rose et Marie prennent alors possession de mon corps quelles couvrent des caresses jusquà déclencher un orgasme torride suite à un doigtage puissant et profond dans ma chatte trempée. Elles membrassent avec fougue. Marie me couche sur le lit, se déshabille et vient sallonger près de moi, elle est nue. Ses mains effleurent ma peau, dessinent de contour de mon visage, glissent dans mon cou, frôlent mes seins, sy arrêtent pour en titiller les mamelons qui se dressent comme des petits soldats. Puis encourager par mes frissons, elle sempare de mon bijou, pénètre de nouveau ma caverne avec ses doigts et membrasse encore avec fougue. Mes mains imitent les siennes et deviennent de plus en plus entreprenantes
- Tu apprends vite, oui je pense que tu seras peut-être prête dici le prochain dîner dans 15 jours. Tu as lair dapprécier les délices de Sapho. Montre-moi un peu comment tu ty prends maintenant ! Allez, viens, mets toi à genoux devant moi et délecte-toi de mon berlingot.
- Bien Marie.
Puis on entend une sonnerie
- Je vous laisse un moment, mon portable sonne dit Rose qui séloigne en cherchant dans son sac, son mobile
Seule avec Marie, je magenouille sur le bord du lit, alors entre ses cuisses et ma langue commence son exploration, je mapplique. En même temps que je la suce, je lui caresse les fesses, puis le ventre avant de maventurer vers ses seins. Je commence par les faire rouler doucement entre mes doigts, juste pour les faire durcir. Puis jaccentue la pression jusquà les lui pincer, les lui tordre sans ménagement. Jai beaucoup aimé subir ce doux supplice, et je pense à juste titre que Marie va aussi bien lapprécier, surtout que ma langue continue à fouiller son intimité, samuse avec son clito, sengouffre dans son corridor damour.
- Mais tu es très douée, petite pute
Et dire que tu navais même jamais goûté au fruit dune femme ! Comme tu toccupes bien de mon bouton, comme tu me s bien les nichons. Vois comme je mouille, lape-moi, chienne que tu es. Régale-toi de mon nectar, je sais que tu aimes ça. Je tai vu te pourlécher les doigts après que tu te sois masturbée. Hummmmmm
, je vais partir, tu suces trop bien. Hummmmmm
, continue salope ! Ouiiiiiiiiiiiiii
, cest bon !
Attends un peu je mallonge, tu seras mieux sur le lit quà quatre pattes sur la moquette. Allez reprend et finis-moi. Fais-moi voir les étoiles. Petite putain, je crois quon a gagné le gros lot, avec toi. Ouiiiiiiiiiiiiiiii
!
Ahhhhhhhhhhh
je pars, continue de bien me martyriser les nibards
Ahhh ! ouiiii ! ouiiii ! Encore ma salope, ouiiiiii !!!....
Marie sécroule dans un râle, son corps qui était tendu comme une corde de violon, se relâche dun seul coup et savoure sa jouissance
- Eh bien ma petite chienne, quel coup de langue. Il y avait bien longtemps quune fille ne mavait pas fait jouir comme toi. Pourtant ce nest pas faute de me faire astiquer labricot par toutes les salopes que je rencontre. Seule Rose arrive à me faire aussi bien jouir, car elle aussi suce comme une reine, la salope.
- Merci Marie. Je suis heureuse que vous soyez contente de mes services.
- Et en plus elle y met de la grâce, cette petite traînée
Tu vas vraiment beaucoup plaire à nos amis du vendredi
Mais jy pense, à part la bite du Maître Sir Evans, que tu tes prise dans ta jolie bouche de pute hier soir, tu as passé ton temps quà te gouiner ? Ca ne te plairait pas une queue dans ton mignon petit temple du plaisir ?
- Je nosais pas le demander. Jai pris beaucoup de plaisir avec vous, mais
-
Mais, dis plutôt que tu voudrais te faire baiser, salope !. Justement le Maître va arriver dune minute à lautre
.Ne bouge pas je vais le chercher...
(A suivre ...)
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