Tranche De Vie Dans La Soumission - 3
Une fois « mariés », nous sommes partis en « voyage de noces ». Plus que dhabitude, ce fut de la baise ininterrompue. Il mappelait par son nom « Madame Geneviève » et ça me faisait me cambrer le dos automatiquement pour recevoir sa queue. Au lit, dans la cuisine, en forêt
Il mavait offert un rosebud, une sorte de petit plug anal surmonté dun bijou (faux diamant). Je le portais en permanence pour garder au maximum son sperme en moi. Ca faisait presque office dalliance. Avec mon ras-le-cou, la cage et le rosebud, je me sentais gâté.
Ces moments passés tous les deux en vacances étaient délicieux. Quand lenvie lui prenait, il mattrapait par la taille, me collait à lui et me baissait le pantalon dautorité. Il retirait le rosebud de mon anus et linsérait dans ma bouche ; je gouttais alors le sperme quil avait éjaculé en moi lors du dernier rapport. Que ce soit dans la chambre dhôtel, les toilettes du restaurant ou une petite ruelle la nuit, ce bijou intime passait de mon anus à mes lèvres dès qu'il voulait disposer de sa femme, moi.
Mais les vacances se sont terminées et il a fallu que nous retournions à nos occupations, lui le travail, moi les études. Je passais plus de temps à la faculté afin détudier à la bibliothèque. Le but étant quune fois à la maison, je pouvais me consacrer à lui, et quil puisse faire de moi ce quil entendait sans interférer dans mes études. Quand je rentrais, je me déshabillais (sauf le ras-le-cou) et jexécutais ses désirs. Je conservais le rosebud car jaime sentir cette présence en moi, me rappelant le sexe de mon homme et préparant mon anus à le recevoir.
Cependant, au fil des mois, si je ne me suis pas lassé de la situation, cest la situation qui a changé : il est devenu plus prévenant, moins dominant, me demandant mon avis ou mon approbation quand il sagissait de baiser. Si au début jai pris ça pour de lamour en sus de son tempérament de domination et étais flatté, il ma fallu réaliser quil nentendait plus me soumettre.
Jétais un peu désemparé, javais placé ma vie en lui et en ses désirs, pas les miens. Me soumettre à un autre être et abandonner tout contrôle étaient les raisons dêtre de cette relation.
Le temps passant, jai recommencé à penser à dautres hommes, ceux avec qui javais couché et qui avait fait de moi leur petite pute. Cest là que jai pensé à mon initiateur, le vieux (assez proche dAlain physiquement) qui mavait défloré et donné goût à la soumission. Jai repensé à ma toute première fois avec lui, qui était ma toute première fois avec un homme. Je me suis revu magenouiller face à lui, le sucer, et me sentir soumis pour la 1ère fois de ma vie.
A peine ce souvenir me revenait à lesprit que, malgré moi, jimaginais ce quil se passerait si je le rencontrais au hasard dune rue, ou en face de chez lui
Cest ce que jai fait. Jai profité dun cours annulé pour aller faire un tour près de chez lui. Jai attendu en espérant secrètement le rencontrer. Ca na pas manqué.
Quand il ma aperçu, il ma souri et sest adressé à moi en me faisant comprendre que malgré la fin de la relation, il restait le maître. Sûrement que le détail du ras-le-cou ne lui avait pas échappé. Ou peut être pas. Mais par honte envers Alain, et aussi parce que la relation avec mon initiateur était malgré tout restée ancrée en moi, jai baissé les yeux et ai acté sa domination.
Il ma ordonné de monter chez lui ; je lai suivi. Il ma questionné sur ma vie et je lui ai tout dit sans rien cacher, ma rencontre avec mon homme, la cage, la vie de couple, la cérémonie, son délaissement
Je nai osé rien cacher à mon initiateur.
Voulant constater lui-même, il ma ordonné de me déshabiller. Sentant le désir de me soumettre, jétais excité et je me suis exécuté. Nu devant lui, il a palpé mon pénis dans sa cage et a rigolé en voyant le rosebud ornant mes fesses :
-Mignon ce petit bijou. Cest un cadeau de ton maître
-Oui, ai-je soufflé,
-Bien sûr.
Lentendre me parler ainsi réveillait en moi les souvenirs de soumission qui me manquaient tant.
-Et pourtant te voilà de retour chez moi. Si ton maître na pas su te garder, je vais tôter cet attribut
En disant cela, il ma ôté le rosebud, me la porté à la bouche pour que je le lèche. Le retrait du rosebud était lourd de sens et signifiait quil prenait le contrôle sur moi. Je lai laissé faire.
-Tu es venu car au fond de toi, tu sais que ça a toujours été moi ton maître.
-Je le crois, ai-je soufflé avec un grand pincement au cur.
-Bien sûr. Je tai marqué à vie. Maintenant agenouille toi et fais ce que tu sais vouloir faire depuis que tu es là.
Je me suis agenouillé, lai défroqué et ai mis son pénis dans ma bouche pour le sucer. Le goût et lodeur de son sexe me sont revenus à lesprit ainsi que le plaisir que javais eu à me soumettre à cet homme. Je me suis mis à le sucer avec entrain en oubliant tout dAlain, seul comptait mon initiateur dont le sexe étalait ma salive sur mon visage.
Il ma fait me mettre à quatre pattes sur le sol, a présenté son gland sur ma rosette, et ma dit quil ne me prendrait que si je reniais Alain. Mon émotion était grande : jaimais Alain sincèrement mais mon initiateur avait posé sa marque en moi trop profondément pour que je puisse lui résister. Alors je lai renié.
-Je le renie
En le reniant, il a inséré légèrement son pénis en moi pour me pousser à aller plus loin, ce que jai fait pour sentir son sexe encore plus et pour me sentir dominé.
-Ce nest plus mon maître, cest vous. Ca a toujours été vous. Il ne me domine plus
-Continue
-Je ne laime plus, cest vous mon maître depuis toujours
En disant cela, je pleurais presque : de peine pour Alain et de plaisir de me sentir à nouveau soumis.
Il ma sodomisé pendant un long moment, jusquau moment où jétais redevenu une poupée de chiffon pour lui. Il m'insultait et je lui répondais. Il m'appelait Geneviève pour me blesser ; j'en pleurais mais je jouissais.
Il a finalement joui dans ma bouche et cest naturellement que jai tout avalé. Il est parti en me laissant pantelant sur le sol puis est revenu et ma remis le rosebud en place en me disant que je serai bientôt de retour chez lui.
Sur le chemin du retour, jai mangé un chewinggum pour masquer le goût du sperme et me demandais ce que je devais faire avec Alain. Je laimais encore et je me suis convaincu quil sagissait dune erreur de parcours à taire.
Arrivé à la maison, il ma accueilli, sest fait câlin, puis ma défait le pantalon pour me baiser. Mais il a tout de suite constaté que le rosebud que mon amant avait remis dans mes fesses nétait pas le même : le bijou nétait pas de la même couleur. Il a fallu que je lui dise toute la vérité. Il était furieux, ma giflé et est sorti.
A son retour, il a repris sa position de dominant et de maître mais après quelques jours, il ma mis dehors. Je suis retourné voir mon initiateur, il arborait un sourire carnassier et vainqueur.
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