La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 639)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (4/4) -
Demain, cest le grand jour. Mes Maîtres reçoivent leurs amis et je dois leur faire honneur. Ils ont beaucoup investi sur moi, pour mon éducation. Ils mont appris toutes les règles de lamour, du libertinage et de la soumission. Ils ont fait de moi une parfaite petite perverse une vraie vicieuse.
Ils adorent me «punir». La plus part du temps cest Monsieur le Marquis d'Evans qui exécute les corrections : Il sagit souvent du fouet sur les fesses, parfois sur les seins et même quelques fois il lui est arrivé de me faire rougir le coquelicot. De temps en temps il me donne aussi la fessée. Cest David qui mattache alors, car même si je ne vais pas menfuir, ni même résister, les entraves donnent plus de piquant aux châtiments. Dailleurs, je trouve ça très excitant dêtre à leur entière merci. Jaime subir, avoir limpression de navoir dautre choix que celui quils mimposent. Bien que je partage complètement leurs perversités, être attachée, les yeux presque toujours bandés, fait de moi une «victime» de leurs débauches. Je suis leur esclave.
Quelques fois cest David qui me punit : Avec lui pas de coups. Je dois me dévêtir entièrement, puis me mettre à quatre pattes. Il me passe alors un collier et une laisse autour du coup, mattache les poignets dans le dos, me bande les yeux et me fait coucher sur une couverture à côté du canapé. Il me flatte la croupe, comme il le ferait pour sa chienne, cest dailleurs ce que je suis. Je dois rester là jusquà ce quil mordonne de lui lécher sa délicieuse bite, puis de sucer aussi le sucre dorge de Mon Maître, le marquis. Ensuite lorsquils ont jouis tous les deux dans ma bouche, je dois me recoucher à leurs pieds. Si jai été bien sage, il me fourre un gode ou sa queue revigorée dans ma chapelle ardente ou dans ma caverne mystérieuse et mastique jusquà la jouissance.
Cet après midi, Rose vient au château. Jen jouis davance ! car Rose adore me lécher. Je sais aussi que Marie sera de la partie, elle résiste rarement à une partie de gouinage. Elle aime aussi que je lencule avec le gode ceinture. On va bien samuser toutes les trois
Mais demain je serai seule face aux amis de mes Maîtres, et il me faut au moins ça, pour me détendre, car jai vraiment le trac.
Vendredi matin, enfin le grand Jour ! Je nai pratiquement pas fermé lil de la nuit, jai la figure déconfite. Au petit déjeuner David me gronde :
- Tu aurais du prendre quelque chose pour dormir, regarde moi cette tête ! Cest à faire peur. Avale rapidement ce comprimé et va te recoucher. Tu dois être en forme pour ce soir : cest ton soir ! Vers 15 heures, Rose viendra te maquiller et te coiffer. Allez, au lit et cet après midi pas de léchouilles avec Rose et Marie. Je te veux en forme lorsque je rentrerai. Sir Evans devrait rentrer vers 18 heures. Je ne veux pas quil te voit avec cette tête de papier mâché.
Après avoir avalé le somnifère, je suis retourné me coucher et cest Rose qui me réveille. Marie a préparé une collation, car je nai rien mangé depuis la veille au soir. Puis je me laisse aller dans les mains habiles de Rose. A la fin, elle me mène devant le miroir et je nen crois pas mes yeux. Je suis métamorphosée. Ça tient à la fois de la plus grande sophistication et pourtant jai bien lair de ce que je suis : une pute ! De me voir ainsi me fait monter des frissons de partout. Je pense, je suis sûre que les amis de mes Maîtres vont être ravis. Je vais faire un triomphe. Cette transformation me remplit dassurance. Rose a préparé mon corps comme on prépare un objet dart que lon doit livrer aux regards des spectateurs.
- Elle est magnifique ! Sécrit Marie, Rose tu as fais un travail superbe ! Monsieur le marquis sera ravie
et ses invités ne vont pas en revenir !
- Il faut reconnaître que la matière première est dexcellente qualité ! Renchérit Rose.
- Et connaissant Aurélia, comme nous la connaissons, ni ses messieurs, ni ses dames ne vont regretter leur attente dun mois, conclut Marie.
Jai pris lhabitude que lon parle de moi, comme dune chose. Ça mexcite. Je ne réponds pas à leur bavardage, je suis un objet de plaisir pour mes Maîtres et à partir de ce soir pour leurs amis. Il est normal que lon me traite comme telle. Je nai pas à me poser de questions, je dois être sensuelle et obéir. Mon souci du moment est de savoir ce quon a prévu que je porte ce soir. Cest David qui a décidé de ma tenue, il arrive dans moins dune heure. Il va falloir que je patiente jusque là. Pour linstant je prends un peu de repos dans ma chambre. Je suis sagement assise dans le fauteuil de ma chambre quand David fait son entrée avec ma tenue. Il sagit dune jupe noire, stricte, et dun chemisier blanc classique. Seule la possibilité dôter rapidement cette tenue grâce à la fermeture à glissière de la jupe et des boutons pressions du chemisier, la rend un peu provocante. Je suis un peu déçue, je pensais quil aurait choisit quelque chose de plus sexy, bien sûr cest assez moulant et laisse bien deviner mes formes généreuses. Sajoutent, un petit tablier en dentelle blanche, un collier de chienne en cuir blanc et strass, des bas noirs et des escarpins vernis. Comme je my attendais je ne porte aucun sous-vêtement. Cest la seule chose qui mexcite un peu.
- Cest ta tenue pour servir à table, ne fais pas cette tête ! Pour ta première prestation, tu ne te voyais pas servir complètement nue ! Rassure-toi, je ne crois pas que tu la garderas longtemps, tout juste le temps du repas. Ils savent tous que tu nas rien dessous, ils ne vont pas se priver de te tripoter et je gage que tu serviras le café, voir peut-être même le dessert avec juste tes bas et tes talons hauts.
- Ouah, dit Mon Maître dun air coquin, qui vient juste darriver. Je me la ferai bien là tout de suite !
- Tu vois, grande sotte, que cette tenue te va à ravir. Sir Evans en a le pistil tout émoustillé
.
20 heures, les premiers invités arrivent. Cest Marie qui va ouvrir. Je ne dois faire mon apparition quaprès que tout ce beau monde soit passé à table. Ils sont dix, Mes Maîtres compris : Sept hommes et trois femmes, avec moi ça fera quatre.
Rose ne participe que très rarement à ces soirées. Dans loffice, jentends les invités parler de moi. Mes Maîtres vantent mes qualités desclave soumise et de salope, dobjet de plaisir. Les autres ne cessent de poser des questions perverses :
- Elle suce bien ? demande une voix féminine.
- Et les pipes ? Demande un homme. Moi jadore quune femme avale mon jus, est-ce quelle avale ?
- Elle accepte dêtre enculée ? demande un autre et la double pénétration, elle na rien contre jespère ?
- On pourra la baiser avec des godes ? Intervient une autre voix féminine.
- Allons mes amis, répond Monsieur le marquis, navez-vous jamais été déçus par lune de nos soubrettes ? Non !... et bien croyez-moi, celle-ci surpasse toutes les autres ! En plus cest une vraie soumise ! Elle adore être punie quand elle fait des «bêtises». Je la soupçonne même den faire exprès pour recevoir le fouet. On la déjà fouettée partout, cul, nichons et même la chatte et la petite cochonne trouve encore le moyen de mouiller. Enfin, je ne vais pas tout vous dévoiler, il faut que vous ayez la surprise. Passons à table, vous aurez tout le loisir dadmirer notre pouliche. Comme dhabitude, elle ne porte rien sous sa robe, vous pouvez toucher la marchandise, mais essayez quand même de vous tenir jusquà la fin du repas. Cest une novice, et bien quelle soit très vicieuse, il faut la faire languir avant de la consommer. Elle nen sera que plus docile !
- Ca mexcite de tentendre parler ainsi dit David.
Puis David minterpelle :
- Aurélia, mon petit, tu peux commencer ton service.
Je tremble de tous mes membres. Pour me réconforter, Marie glisse sa main entre mes cuisses et caresse un instant mon bouton.
- Courage, ma salope ! pense que tu vas ten prendre de partout ce soir. Belle comme tu es, ils vont te ramoner comme tu ne las jamais été. Fais-moi confiance !
Timidement, je fais mon entrée dans le séjour, avec le plateau des hors duvre. Tous se retourne pour me regarder. Je sens le rouge me monter aux joues, quand le silence se fait. Chaque invité me détaille de la tête aux pieds, comme pour un bestiau. Ça mexcite. Je sais que dici la fin de la soirée, mon corps aura reçu les «hommages» de chacun dentre eux. Cette pensée me rend mon courage. Je relève la tête et gonfle ma poitrine fièrement, comme une bonne petite pute. Je propose le plat à tour de rôle à tous les convives. Personne ne parle. Ils en sont à lobservation. Certains pourtant me frôlent «involontairement» en se tournant vers moi pour se servir. Un dentre eux a même risqué de meffleurer les fesses. Je me cambre légèrement pour lui faciliter la manuvre. Le marquis ne perd rien des gestes de ses amis. Il me sourit gentiment comme pour mencourager. Je repars en cuisine satisfaite de moi. Jai plutôt bien réussi la première épreuve.
Au deuxième service je fais en sorte de me pencher bien en avant afin que chacun dentre eux puisse profiter de mon décolleté, aussi bientôt :
- On ne pourrait pas en voir un peu plus de cette charmante pouliche. Je pense quelle a des nichons de déesses et cest un péché de nous cacher ses mamelles plus longtemps.
- Maître Dumont a raison, on a tous envie de voir et surtout de toucher, renchérit Maître Marsant, lassocié de mon Patron.
- Vous navez aucune patience, mes chers amis, intervient David ironiquement, Aurélia vient ici.
Docile, je mapproche de lui. Il se lève, se place derrière moi, dun geste rapide dégrafe mon chemisier libérant mes seins puis il lenlève aussitôt. Me voilà la poitrine à lair devant des personnes que je ne connaissais pas il y a juste une heure. Je suis fière de mexhiber ainsi. David se colle contre moi et titille mes mamelons pour les faire durcir. Chacun des invités y va de sa plaisanterie salasse. Ça mexcite de les entendre me traiter de : Salope, de chienne en chaleur, de petite pute
jen passe et des meilleures.
- On va passer une bonne soirée avec une cochonne pareille !
Après être passée entre toutes les mains, je retourne à la cuisine chercher le dessert. Il sagit dune mousse au chocolat. Je commence à comprendre pourquoi on a choisit ce dessert
Je crois que je vais servir de plateau repas. Je fais mon entrée avec le plateau sur lequel sont posées les coupes de mousse. Lorsque jai servi chacun des convives, Monsieur le Marquis d'Evans minterpelle :
- Viens, approche. Nos amis veulent en voir davantage. Comme cest David qui ta enlevé ton chemisier, il est normal que le privilège dôter ta jupe revienne à lun de nos hôtes. Cela se fera sous forme de jeux de dés. Tu vas être le lot gagnant de celui ou celle qui fera le plus gros chiffre. Mesdames à vous lavantage.
Il y a de fortes chances que ce soit un homme qui gagne puisquils sont plus nombreux. Mes Maîtres ne jouent pas, cela va de soit honneur aux invités. Chacun lance les dés à tour de rôle et ils samusent comme des fous. Je reste stoïque à côté de de Monsieur le Marquis d'Evans, attendant le vainqueur.
- Douze, annonce un homme.
Il sagit dun jeune médecin, Docteur Pierre Vernain, installé depuis peu dans le quartier. Pendant que ces messieurs dames me jouaient aux dés, Maître avait placé à mon cou, mon collier et ma laisse de chienne docile.
- Bravo, mon cher Pierre vient chercher ton lot. A toi lhonneur de finir de dévêtir cette chienne.
Le Docteur attrapa la laisse et me fit faire un tour de salon, comme pour exhiber son trophée. Ensuite il me fit monter sur une chaise, et sous les encouragements des ses comparses entrepris denlever ma jupe avec la lenteur nécessaire pour exciter mes sens et ceux des invités. Ce nétait que sifflet, mots grossiers, mais tellement excitant, à mon égard, jen avais la chatte humide. Lorsque la jupe fut par terre, il me fit descendre de mon piédestal et me promena encore une fois autour du salon. Les quolibets fusaient toujours et je mouillais de plus en plus. Comme on me lavais prédit, je me retrouvais avant le café, en bas et talons, entièrement nue devant les invités qui salivaient déjà à lidée de la soirée qui allait suivre
. Le Docteur demanda a Monsieur le Marquis d'Evans :
- Puis-je dabord la corriger, cette chienne ?
- Mais je ten prie, Pierre, tu as gagné, fais en ce que tu voudras !
Et il me fit mettre debout face à la table les mains contre celle-ci et me fit cambrer en avant, jambes en arrière et écartées. Il défit sa ceinture et commença à me fouetter le dos. Malgré la brûlure des coups, Je commençais à y trouver presque du plaisir, dautant que lune des femmes sest saisie de mes nichons et les s avec application. Je ne résiste jamais à ce genre de traitement. Je mouille à nouveau tellement que la cyprine coule le long de mes cuisses. Tous comptèrent en même temps les coups :
-
Cinq
Six
Sept
Une langue lèche mon entre jambe, ce qui me fait jouir malgré les coups de fouet. Il sarrêta à dix.
- Vraiment, il ny a rien à dire
cette fille est une vraie salope. Même ta punition gratuite la fait jouir, dit le marquis. Je crois quelle est prête. Nos amis vont être satisfaits.
Puis jentendis David dire :
- Enculez-là, Maître. Je veux que vous soyez le premier à honorer son cul de salope devant vos invités.
On me fait mettre à quatre pattes en position. On me met un bandeau sur les yeux Des doigts pénètrent mon anus pour le dilater, puis je sens la bite de mon Maître senfoncer dans mon arrière-boutique. Je jouis pour la première fois du cul.
Une femme membrasse à pleine bouche. Puis tous un par un, vont me sodomiser à la chaîne, une fois le marquis passé. Je dois sucer des chattes, des bites. Parfois jai mes 3 orifices : cul, chatte et bouche encombrés, pénétrés, quasi violés. Cest la méga partouze. On a profité, abusé à volonté de mon corps toute la nuit. Jai du avaler mainte et mainte fois du sperme. Jai été plusieurs fois attachée, enculée, maltraitée jusquau petit matin. Quand dans la nuit, ils reprenaient tous les forces, on me laissait là sur le tapis par terre comme une simple serpillière jetable ou on me laissait attachée pour ensuite revenir à la charge. Quand le matin fut venu, jétais littéralement épuisée mais comblée, et quand tous partirent ; Je navais jamais passé une nuit dorgies pareille !
Je suis devenue une esclave sexuelle, soumise et heureuse de lêtre
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