Le Gym
Le GYM
Jai toujours aimé aller au GYM, mentrainer, faire travailler mon corps et le pousser à la limite. Façonner mon corps et mon esprit pour me sentir mieux dans ma peau mais aussi pour plaire à ma compagne.
Jy vais toujours aux mêmes heures, 3 fois par semaine, la même routine le même GYM. La routine est la mère de la rigueur. Et cest probablement la clé de mon assiduité. Èva aussi, elle est plus flexible que moi et probablement plus rigoureuse, mais jaime quelle maccompagne. On se motive mutuellement, on sencourage.
Cette journée là, nétait pas comme les autres. Je ne me rappelle pas exactement la source de la chicane, en fait oui je men rappelle mais ce nest pas important. Il reste quelle est descendue de la voiture sans mattendre, sans me parler. Est montée au GYM, a réservé sa machine de sans réserver la mienne. (Elle réserve toujours ma machine). Puis est partie se changer sans mattendre.
Je montais les escaliers lentement, ralentie par la culpabilité dune phrase de trop, prononcé dans un élan de passion qui a fait plus de peine à moi quà elle mais bon
Ce fut plus quun entrainement ce jour là, ce fut un purgatoire. La punition quon sinflige à soi-même. Je me suis dirigé vers le panneau des réservations. Elle avait réservé la n°56, un genre de « step elyptique » quelle déteste et qui lui fait très mal. Je me voyais déjà coucher sur le sofa, elle devait être vraiment en crisse pour prendre cette machine là. Je minscris machinalement sur le tapis roulant n° 6 la bête habituelle. Puis aller-retour vestiaire. Je décidai de jouer les durs, lignorer, attendre quelle sexcuse, quelle me supplie de la pardonner. Ce nest pas son genre, cest moi qui a eu tord et ça ne se passe jamais comme ça mais je suis un gars et je ne prends pas toujours la bonne décision
De retour dans la salle dentrainement, je me suis installé sur mon tapis roulant, ai fixé le trajet habituel de 30 minutes et puis on est partis, Jai alors aperçu Èva à 3 machines de moi.
Elle se démenait frénétiquement sur sa machine, dynamisée par la rage et la frustration. Ces mouvements étaient secs et vigoureux, elle suait abondamment. Jétais alors terrorisé par la conversation qui suivrait lentrainement, jabandonnai donc immédiatement mon plan de jouer lindépendant pour envisager un plan de supplication. Cest con un gars mais linstinct de survie, cest tellement fort. Si elle traite cette machine avec la même fougue qui mattend à mon retour à la maison
ça promet, me dis-je.
Je ne pouvais quitter Èva des yeux, ces mouvements intenses faisaient rebondir ces seins malgré le soutien athlétique dont ils étaient pourvus. On pouvait apprécier leur grosseur, leurs rondeurs cétait très excitant. La camisole quelle portait laissait voir clairement la ligne de bronzage sur le côté de son sein, une image sublime. Ces fesses avaient lair en feu, faisant pivoter les pédales de haut en bas. On devinait leur fermeté à travers ces pantalons « Adidas » qui laissait bien peu de place à limagination.
La sueur sécoulait abondement au bas de son dos glissant jusque dans le creux de ces fesses. La scène était perturbante. Je bavais en voyant mon épouse, folle de rage contre moi, sémoustiller sur une machine de .
À cette heure tardive, un mardi soir de tempête, il y avait peu de gens au gym de St-Eustache. À part ma blonde et moi, il y avait 3 autres clients et le responsable qui discutaient diète sportive au comptoir des produits naturels. Cest une bonne chose puisquils nont pas pu observer lérection majeure qui comblait mon short de façon abondante.
Le désir qui est monté en moi était trop fort, je naurais jamais osé, cette fois jai osé.
Jai terminé mon 30 minute de routine, je me suis posté dans les toilette juste à côté du pèse personne. Je savais que dès quÈva aurait fini son 45 min de , elle irait se peser.
Lourdement ralentie par le travail accompli, elle marchait lentement vers le pèse personne. Passant devant moi, Je la saisi brusquement par la taille, je la soulevai et la tira dans la chambre de bain adjacente. La surprise fut totale. Je barrai la porte, la retourna contre le lavabo et descendis ces pantalons jusquà ces chevilles. Elle était bouche bée, immobilisée par la surprise. Lorsquelle senti ma graine passer entre ces fesse et puis entre ces jambes, elle voulu sobjecté. Mais je lui plaçai une main sur la bouche et de lautre la pressa en sandwich entre le lavabo et mon bassin.
Je lai fourré violemment et en silence, échangeant des regards par lentremise du miroir. Sa bouche entre mes mains et sa salive entre mes doigts, La sueur, lodeur, la frustration, le contrôle, labandon et même le pardon se sont mêlé dans cette ambiance surréelle.
Jai labouré sa chatte avec une grande ferveur, ces yeux exprimaient à la fois de plaisir et de la rage. Ces mains tenaient solidement le lavabo. Je sentais ses jambes ramollir au à chaque secousse contre moi.
Je ne sais toujours pas si elle est venue, elle ne me lavouera jamais. Mais je la soupçonne davoir eu un orgasme secret. Quelques spasmes maladroitement retenus ont trahis son plaisir. Je me suis retiré delle en prenant bien soin de faire couler le plus de sève possible entre ces jambes. Jai vu le liquide blanchâtre glisser le long des ces cuisses jusquà ces mollets. Je nai pas relevé son pantalon, je ne lai pas embrassé, je ne lui ai pas dis « je taime » je suis sorti de la salle de bain comme on sort après avoir pissé et suis retourné à ma routine. La laissant derrière moi, souillée, mouillée, utilisée, baisée à moitié nue penchée sur un lavabo de porcelaine.
Les clients navaient apparemment rien remarqué, toujours absorbés par leur discussions portant sur les calories les glucides et les es lipides.
Je repris donc ma routine, surveillant du regard ma douce et tendre épouse.
Madame mignorais royalement. Elle restait sur les tapis, avec les petits poids libres et les ballons théutiques, cachée partiellement par le demi-muret qui sépare les sections du GYM.
Je continuai donc à mentrainer, les pectoraux, les triceps, les abdos, déçu de navoir créé plus de réaction chez ma compagne. Jétais moins inquiet de laccueil que jallais recevoir dans lauto mais curieux des premières paroles quelle madresserait.
Jétais perdu dans mes pensées, debout devant le miroir à lever des poids libre au dessus de ma tête, dans un mouvement de vol doiseau, lorsquelle est apparue devant moi. Avant que je ne puisse réagir, elle était à genou devant moi, ma graine molle dans sa bouche. Jadore quand elle prend ma graine par surprise et réussi à la mettre dans sa bouche avant quelle ne soit bandée. Elle peut ainsi licher mes couilles avec ma queue pliée dans sa bouche et coller ces lèves à la base de mon pénis.
Elle navait même pas pris le temps de descendre mon short, elle avait sortie tout léquipement par le trou de la cuisse. Lérection ne se fit pas attendre. De notre position, les autres clients au comptoir ne pouvaient voir que le haut de mon corps en raison du demi-mur qui nous sépare. Javais beaucoup de difficultés à garder les poids hors détat de nuire, de manière à ne pas lassommer.
Èva a un don pour la fellation, et moi jai un faible pour la fellation. Elle le sait et elle sen sert très bien.
Elle me suça donc vigoureusement, tenant mes couilles dune main et écartant mon short de lautre, sa bouche na besoin daucune aide pour sexécuter. Elle me suça, me suça et me re-suça. Y allant avec beaucoup de salive et dénergie, ne croisant jamais mon regard, sa queue de cheval branlait au rythme de sa tête. Je pouvais voir son clivage trempé de sueur entre les secousses.
Les poids que je tenais étaient devenus tellement lourds que jarrivais à peine à ne pas les échapper.
La vigueur et la force des mouvements me faisaient pénétrer très profondément dans la gorge. Elle némettait aucun son, mon plaisir était très grand. Je me retenais très fort pour ne pas faire de bruit. La fin fut brutale, je suis venu fort et longtemps, elle garda toute ma sève dans sa bouche, chatouillant délicatement le bas de mon gland avec sa langue le temps que je finisse dexpulser les dernières gouttes.
Quand jeu terminé déjaculer, elle replaça ma graine dans ma bobette, souleva mon t-shirt et cracha violement le contenu de sa bouche sur mon ventre. Elle essuya ses lèvres avec son index puis licha son doigt comme si elle venait de goûter à un désert.
Elle se leva, nos regards se croisèrent pour la première fois depuis la salle de bain, puis elle dit : « nous somme quitte, dépêche toi, jai le goût dun bon café et dun désert. ».
Je replaçai les poids à leur place, en me disant que je ne verrai plus jamais le GYM de la même manière.
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