La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 638)

J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Les aventures d'Aurélia au Château (3/4) -

En effet je n’ai pas eu longtemps à attendre, moins de deux minutes à peine, Marie revient avec Monsieur le Marquis d'Evans.

- Vous voyez, Monsieur le marquis, j’avais raison, cette demoiselle est une fieffée cochonne, que dis-je une cochonne ? Une garce, une salope, une chienne en chaleur. Elle m’a sucé comme une vraie professionnelle. Elle mérite une récompense… et je sais que vous allez vous faire un plaisir de la lui donner. Je ne pense pas que les préliminaires soient vraiment utiles. Elle est déjà bien excitée et là elle vient de me faire une gâterie, elle est toute chaude, vous pouvez la prendre tout de suite. Allez ma salope, mets-toi à quatre pattes sur le bord du lit…
- Tu as raison Marie, elle a l’air de mouiller grave, comme disent les jeunes ! Je vais quand même la lécher un peu avant pour lui lubrifier le con… quelle croupe ! J’ai les mains qui fourmillent… Elle est vraiment à mon goût ! Quel cul !
- Je connais bien vous goûts, Maître. Mais c’est vrai que celle-ci à un derrière qui vaut largement son devant, car ses mamelles ne sont pas mal non plus.

A nouveau, ils parlent de moi, comme d’une marchandise et ça m’excite. Je suis toujours à genoux au bord, sur mon lit, dans l’attente de la queue de Monsieur le marquis… et ils papotent me détaillant de la tête aux pieds comme s’ils voulaient me vendre sur le marché !

Enfin, Monsieur le Marquis d'Evans approche, se baisse légèrement et avec sa langue, il me la fourre longuement entre les cuisses, passant sa main en même temps sur ma raie et mon anus qu’il masturbe en de petits cercles. Je suis aux anges. J’étais déjà bien humide, mais là je dégouline. J’exprime de longs gémissements de plaisirs. Puis sa langue s’arrête, il se redresse et deux mains se positionnent sur mes hanches et une bite, bien gonflée, dure, pénètre mon salon de plaisir.

Que c’est bon de sentir une grosse queue d’homme dans sa grotte ! J’ai adoré me faire lécher de partout mais rien ne vaut un mâle bien monté qui vous ramone la cheminée… Ce n’est pas possible comme mes pensées sont obscènes… il faut dire à ma décharge que ça faisait des mois que je n’avais pas été baisée… enfin je veux dire par un homme ! Car depuis deux jours ça n’arrête pas la bagatelle ! Marie qui regarde doit lire dans mes pensées :

- C’est bon, hein ma salope ! Tu aimes ça te prendre une bonne bite dans la chatte ? Vas-y profite, Monsieur le marquis est un bon baiseur et je sais de quoi je parle !. Il sait taquiner la pétasse…

Et elle encourage son Maître, en se déchaînant verbalement sur moi :

- Astiquez-la bien, cette chienne, montrez-lui qui est le Maître. Bourrez-la profond. Après ça, vous pourrez en faire ce que vous voudrez… Je le sais bien, ce genre de greluche, même si le gouinage ne lui déplait pas, même si elle redemande du broute minou, ce qu’elle préfère c’est un manche de mâle entre les cuisses. De vraies salopes ! … Vos amis vont s’en régaler quand ils seront à deux ou trois dessus. Car c’est ça qui va lui arriver à cette sale petite pute, elle va se faire prendre de partout, on va lui remplir la chatte, mais aussi, la bouche et le cul ! Je crois qu’elle n’a jamais été enculée. Je suis sure qu’elle est vierge du cul. Ce n’est pas son petit puceau qui pouvait avoir ce genre d’initiative. Peut-être qu’il ne l’a même pas fait jouir ! Elle sait se donner du plaisir toute seule, mais c’est quand même mieux de se faire empaler par le membre viril d’un expert de la baise, comme vous Maître.

Pendant que Marie se permets ce genre de commentaires, somme toute très justes, sur ma vie sexuelle, Sir Evans se déchaîne dans ma boutique. C’est vrai qu’il baise comme un dieu. Je ne vais pas tarder à exploser. Je ne parviens même pas à analyser les sous-entendus, pourtant assez précis, de la perverse cuisinière. Il me semble qu’elle a parlé de deux ou trois types sur moi ? ! Qu’est-ce que je dois comprendre ? … Et puis au diable… je verrai bien le moment venu… il faut que je m’attende à tout désormais: Ils ont décidés que j’étais à leur service corps et âme… enfin surtout corps, car mon âme, je crois qu’ils s’en tamponnent complètement.
Ce qu’ils veulent c’est avoir sous la main une fille docile qui accepte d’écarter les cuisses et d’ouvrir la bouche, et pas que pour parler. Alors laisse-toi aller ma fille et profite de bon temps…. A peine cette réflexion terminée que je sens Monsieur le marquis exploser en moi à grands coups de bite, ce qui précède ma jouissance qui suit d’une courte tête

- Oh, la salope, dit-il, qu’il est bon son abricot. Quelle chienne tu fais ! Tu m’as fait sauter les plombs. Tu sembles avoir pris ton pied toi aussi ?
- Ouiiiiiiiiiiii Maitre.
- Comme elle est mignonne ? «Oui Maitre», dit-elle ! Elle retient bien ses leçons. On va pouvoir passer à l’étape suivante plus tôt que prévu. Elle est très douée, elle ira loin cette salope…
Puis Marie prend la parole en s’adressant à moi :;
- Il faudra désormais, à l’avenir, que tu fasses bien le ménage après que Monsieur le marquis ou un autre homme t’ai baisé…

Et devant ma mine interrogative, elle s’empare de la bite de Sir Evans et la lèche pour ôter toute trace de sperme.

-… Voilà, comme ça !...

Et elle m’embrasse pour partager avec moi la saveur de la liqueur du Maître dans un mélange de salive et de sperme frais

- Il faut que tu y prennes goût… ces messieurs aiment souvent faire baver leur grosses queues dans notre bouche ! Tu verras c’est toi qui finira par le demander. C’est comme pour la sodomie, une fois que tu y auras goûté, tu supplieras à genoux pour qu’on t’encule de nouveau. Maintenant, on te laisse te reposer un peu !

Ils m’ont tendrement embrassé tous les deux, comme on le ferait des parents qui embrassent leur avant une nuit de sommeil…

Durant les jours qui suivent, ce ne sont que jeux d’amour. Dans la journée, je vais à mes cours où je m’occupe de l’entretien de la maison. Je ne porte pratiquement plus jamais de sous-vêtements, même à la fac. Mes camarades de promo me trouvent changée, plus épanouie. S’ils savaient que je suis l’esclave sexuelle et consentante d’un couple homosexuel pervers !

Avec Monsieur le Marquis d'Evans, David, ceux que j’appelle Maître et la cuisinière, nous faisons des parties de jambes en l’air tous les soirs.
De véritables partouzes. Comme Marie est plutôt tentée par les filles, elle s’occupe souvent de m’exciter, de me préparer pour mes Maîtres en me léchant la chatte, pendant que Maître Sir Evans baise soit son compagnon, soit la cuisinière. Je suce des bites, des culs, des seins, la bite que Maître me fourre régulièrement dans la bouche pour un nettoyage après qu’il est baisé David ou Marie ou moi : Dans cette situation je reste la «femme de ménage» car je dois aussi nettoyer à chaque fois la queue de David. On me lèche aussi. Marie surtout, mais également David qui apparemment aime ce genre de pratique.

Un soir Maître nous a convoqué Marie et moi dans la chambre « conjugale » pour un trio de nanas avec Rose. Il a branché le caméscope pour garder un souvenir de cette soirée, mais surtout pour montrer à ses amis combien mon éducation s’accélérait :

- Il faut que nos amis se rendent compte de l’évolution de cette petite salope. Elle va bientôt faire son entrée dans le monde du libertinage, elle doit être parfaite.
- Tu as raison, nos invités du vendredi sont de fins connaisseurs, dis David. Ils veulent une marchandise de premier choix et surtout expérimentée. Aurélia doit connaître et admettre tous les vices et les délices des soirées libertines. Son éducation est presque terminée. La leçon de ce soir devrait accélérer les choses.
- Tu vas être docile et soumise et accepter tout ce qu’on te demandera. Tu as bien compris ?
- Oui maître. Je suis entièrement à votre service.

C’est ce soir là que j’ai eu droit pour la première fois d’être pénétrée par un gode. C’est une idée de Maître Sir Evans qui voulait passer à l’étape suivante : Il fallait que je me soumette à tous ses fantasmes. Marie a enfilé un gode ceinture. Je me suis mise à genou devant la cuisinière pour sucer le membre en latex. Quand il a été bien humide, elle m’a solidement attachée sur le lit, les jambes bien écartées, elle a envahi mon antre et fourragé jusqu’à me faire atteindre l’orgasme.
Rose, encouragée par Maître nous embrassait la bouche et nous suçait les seins. Ensuite Marie a pénétré Rose. J’étais toujours attachée au lit et Marie fouillait mon intimité avec un gode vibrant, tout en baisant Rose par le gode ceinture. Maître commentait :

- Vous êtes vraiment des salopes toutes les trois. Je pourrais m’absenter, vous vous débrouilleriez sans moi.
- En ce qui me concerne, je préfère une bonne bite, dit David en regardant les 3 femmes se gouiner . Tu devrais laisser le caméscope en automatique pour venir me baiser.
- J’attendais que tu me le demandes. J’avoue que j’ai la queue qui va exploser à force de les regarder faire les cochonnes.
- Prends-moi le cul, dit David, je vais pendant ce temps me farcir cette chienne de Marie. On va faire une file à la queue leu-leu, dit-il en éclatant de rire.

Maître ne se l’est pas fait dire deux fois. Il a attrapé son compagnon par les hanches et planté son pieu dans sa caverne sombre, après avoir enduit sa bite de lubrifiant et enfilé une capote. Nous avons atteint l’orgasme en cascade, je fus la première, suivit de peu par Rose et Marie. David et Maître explosèrent en même temps.Que c’est bon d’avoir à faire à des experts de la baise. Ce n’est pas avec mon jeune puceau de premier amant que j’aurais connu de telles jouissances. Marie avait raison, je suis faite pour l’amour, j’adore ça. Il ne me reste plus grand-chose à découvrir… C’est du moins ce que je croyais… car un autre soir après avoir copulé joyeusement :

- Cela fait trop longtemps que tu te conduis comme une vilaine fille, dit Maître Sir Evans. Tu penses que c’est bien de te balader quasiment à poil dans le château ou dans le parc, d’émoustiller cette pauvre Marie. Tu profites que Rose vienne pour te faire sucer comme une chienne, sous prétexte de calmer ton excitation. Tu acceptes de soulever tes jupes pour te faire baiser n’importe où et n’importe quand ! On te demande de sucer et toi sans réagir et même en y prenant du plaisir tu suces. Tu n’as aucune retenue, aucune pudeur, aucune morale. !! Tu es une véritable salope !!

Je ne comprenais rien à ce qu’il me disait avec tous ses « faux arguments ». J’avais tout accepté, car c’est ce qu’il attendait de moi. J’étais devenue la salope dont il rêvait, et voilà qu’il me le reprochait. Vraiment j’étais abasourdie par tant d’injustice. Les larmes me montaient aux yeux.

- Tu peux avoir honte, renchérit David. Tu n’es qu’une chienne en chaleur. Tu mérites une punition. Marie va chercher ce que tu sais et rejoins-nous dans l’annexe au fond du parc. Quant à toi, approche. Baisse la tête et arrête de pleurer. Il est bien temps.

J’étais là au milieu du salon, complètement nue, avec seulement des escarpins, nous venions de baiser comme des bêtes. Pendant que David prétextait des « faux reproches », Monsieur le marquis me glissait un bandeau sur les yeux et menottait mes poignets dans le dos. Ensuite je sentis qu’il me passait un collier autour du cou. Il devait y avoir une laisse, car une chaîne glacée se plaça entre mes seins et le long de mon ventre. Quelqu’un attrapa le lien :

- Avance, chienne, gronda Maître. Droit devant toi. Tu ne risques pas de tomber, je te guide.

J’ai bientôt éprouvé une petite fraîcheur, qui m’a fait comprendre que nous étions dans le parc du château. Nous avions déjà batifolé dehors et je savais que personne ne pouvait me voir, pourtant j’étais gênée. J’avais honte d’être la proie consentante de ce couple d’homos. Encore là, alors qu’ils m’humiliaient, j’éprouvais une certaine jouissance. J’étais vraiment une salope. David, comme toujours avait du lire dans mes pensées, car il glissa sa main entre mes cuisses :

- Elle trouve encore le moyen de mouiller cette traînée. Elle va être punie, elle est humiliée comme une pute et elle mouille. Quelle chienne ! Elle tremble de tous ses membres, tellement elle a peur, et elle mouille !
- Elle mouillera peut-être moins tout à l’heure ! On arrive au chalet, je vois que Marie a déjà tout préparé.

Maître passa derrière moi et enlève les menottes. Puis il prend mes poignets, les soulève un après l’autre et je me retrouve attachée les bras en croix au dessus de la tête. Il se saisit de mes chevilles, m’ordonne d’écarter les cuisses et les attache également avec des sangles.

- Elle est bandante comme ça, offerte, nue. J’ai bien envie d’en profité, dit Monsieur le Marquis d'Evans, et toi ?
- Tu as raison, avant la punition, on va s’amuser un peu. Joint-toi à nous Marie.

Des mains caressent alors de mes fesses, des doigts excitent mes seins en les pinçant, d’autres fouillent ma coquille, pénètrent ma caverne. Des lèvres forcent ma bouche et une langue s’empare de ma langue. Un gode remplace des doigts dans mon antre douillet. Je mouille de plus en plus, je suis au bord de l’extase… et puis plus rien… je reste sur ma faim… Une violente douleur explose sur mes fesses… je crie sous ce premier coup, bientôt suivi d’un deuxième, puis d’un troisième… je continue de crier et les coups de fouets tombent. Mon cul me brûle.

- Six ! Vas-y maintenant, Aurélia, ma salope, tu vas compter les coups, tu verras ça aide à penser à autre chose. C’est assez excitant. Surtout quand on ne sait pas quand cela va s’arrêter ! dit David en riant.
- … Douze…

Le fouet s’est arrêté à vingt coups. … Puis ils me ramènent dans ma chambre où le sommeil fut long à trouver à cause de la douleur du fouet. Marie est venue me passer de la pommade afin de calmer la douleur et elle se blottit contre moi jusqu’à que le sommeil me trouva…

(A suivre ...)

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