La Convalescente
Jai vingt huit ans et jémerge dune longue et douloureuse maladie, malgré le soutient absolu de mon mari jai tendance à sombrer dans la dépression,
Je me rhabille dans la chambre, le docteur vient de mexaminer et il discute avec mon époux dans le couloir, malgré la porte fermée jentends tout ce qui ce dit
- Surveillez là bien, je vais lui ordonner des remontants euphorisants mais il risque dy avoir des effets secondaires
- De quels genres ?
- Sexuel
le sexe est une très bonne thérapie en ce qui concerne votre épouse, elle risque de vouloir satisfaire des fantasmes enfouis au fond delle-même
- Ah si ce nest que cela ! je me sens capable daffronter ses vieux démons
- Nen soyez pas si sûr
. Ce médicament est léquivalent du viagra pour les hommes, surveillez là ne lui refusez rien, essayez de faire face, je la revois dans un mois
- Je vais de suite a la pharmacie
- Un le matin un le soir, commencez dés ce soir
Ça veut dire que je vais avoir très envie de baiser ? avant jadorais ça mais mon mari était loin de combler mes envies alors comment pourrait-il faire si ma chatte se déchaine, le soir même jai avalé une de ces gélules, lorsque que je me suis couchée une étrange chaleur ma irradiée tout le corps
- Adrien, quest-ce qui marrive ? jai chaud
- Ce doit être leffet du médicament, ôte ta nuisette jadore quand tu es nue, tu es belle chérie
- Tu dis ça pour me faire plaisir ?
- Et ça ? cest du chiqué ?
- Tu bande ? je te fais toujours envie ?
. OOhhh ça me picote entre les jambes
baise-moi chéri de suite
- Sans préliminaires ?
- Pas besoin... enfile-moi vite ta queue
Je me positionne sur le coté une jambe relevée et repliée, Adrien se colle a moi et me prend la chatte mécaniquement jusqu'à décharger, je nai pas joui mais ça ma apaisée, je mendors paisiblement, au petit jour ma vulve me titille encore, javance une main vers lentrejambe de mon mari qui ronfle encore, je mempare de sa verge, elle grossit rapidement dans ma main, je prends la même position que la veille et menfile le braquemart dans le con comme la veille
Adrien marmonne quil est fatigué mais me baise correctement, sans plus, cest à peine si jai ressenti du sperme couler de son gland, il se lève pour aller bosser, je reste à flemmarder une heure quand ma moule se réveille encore
Je me précipite dans la salle de bain afin dessayer dapaiser cette envie foudroyante, bien calée en tailleur au fond de la baignoire jexamine ma chatte a laide du miroir grossissant, elle est rose foncé, ainsi grossie elle ressemble a une fleur carnivore qui palpite en attendant de saisir ce qui la rassasiera, mon doigt ramène des glaires épais qui font un fil entre mes lèvres dilatées encore souillées du sperme dAdrien
Je passe une main au dessus de mon épaule et saisi le flacon de gel douche de forme oblongue qui fera office de verge conjugué avec le jet dru dirigé sur mon clito, ces artifices ont eus raison de ce soudain besoin de sexe et mont fait jouir comme une chienne en rut
Vers dix heures la gélule du matin fait son effet
ma chatte réclame son dut, que vais-je menfiler dans le vagin ? tout en réfléchissant dans le salon je mappuie a une chaise, une chaise de la salle a manger ancienne de ma grand-mère, cette chaise a pour particularité de posséder deux boules en haut du dossier, deux boules vernies énormes que je caresse de ma paume
mais bien sûr ! cest décidé, cest ça quil me faut, jy avais déjà pensé il y a longtemps mais javais peur de me blesser et surtout comment faire ? cette fois la technique mapparais clairement, je réuni deux chaises cote-a-cote , je me débarrasse de mes chaussures et de ma culotte déjà gluante, remonte ma robe a ma taille, je prélève de la cyprine entre mes lèvres que jétale de mes doigts sur le haut de la boule, ceci fait je monte un pied dans chaque sièges et me positionne au dessus de ce gode improvisé, je plie les genoux jusquà entrer en contact avec le bois précieux, précieux par lessence mais aussi pour son utilité !
Mes lèvres pelviennes épousent larrondi, le passage souvre lentement comme pour un accouchement, cest trop gros
NON ! je ne vais pas renoncer ! je crache dans mes doigts en enduit copieusement lentrée de ma vulve en feu, en ondulant du bassin je réussi a arriver au plus grand diamètre de la bite factice, jhésite
il suffit dune pression supplémentaire pour passer outre, pourrais- je me retirer ? au diable, je me laisse choir, mes lèvres se referment sur la boule, cest terrible comme sensation, jexerce de pressions de haut en bas, je baise avec la chaise ! petit a petit, aidée par ma lubrification naturelle la boule fait sa place dans ma cavité de chair, je la déplace dans mon vagin en serrant les muscles du sphincter, lorgasme monte, puissant, inévitable, au moment suprême je me cramponne des deux mains pour ne pas chuter sur le carrelage, essoufflée, la sueur coule sur mes yeux, la mouille sur le dossier, je tire sur mes jambes pour me désunir de cet amant fabuleux, un flop de bouteille débouchée accompagne la séparation
Avant dessuyer méthodiquement le bois souillé je le lèche par reconnaissance ! jadore mon suc intime, a midi, par souci pour mon état Adrien rentre déjeuner, il me trouve en robe de chambre entièrement nue dessous
il naurait pas dut vérifier
je lui ai sauté dessus pour menfiler sur sa bite
- Qua tu fais a ta chatte ? je la trouve bien caverneuse ? avec quoi tes-tu amusée
- Un ustensile de cuisine puisque tu nétais pas là pour me prendre
- Matin, midi et soir ? tu vas me crever chérie !
- Le docteur tas dit de ne rien me refuser
- Tu nas pas dautre envies par hasard ?
- Si bien sûr.
- Le, où lesquels ?
- Jaimerais voir des verges
- Seulement les voir ?
- Peut-être les regarder se masturber ?
- Je ne veux que ton bonheur chérie, cest faisable le soir dans les parcs, les grilles sont fermées mais il existe des passages dans le grillage
- Sucer cest tromper pour toi ?
- La prochaine question cest et baiser ?
- Non chéri, pour linstant je me contenterais de toucher
- Et te faire toucher sans doute ?
- Seulement si tu y consens
- Ce soir prépare-toi pour une petite sortie nocturne
- Je mets une culotte ?
- Inutile, il fait chaud habille toi léger, si nous ne voyons personne cest moi qui prendrais ma chaudasse le long dun arbre
- Chic ! a ce soir chéri
- Noublie pas ta gélule
- Certainement pas !
Nue sous une robe boutonnée devant cest ainsi que nous nous somment rendus dans les parcs où certains recoins sont réputés très hot, blottie contre mon mari qui me palpe une fesse en marchant dun pas lent, a voir sa braguette de short gonflée il na certainement pas mis de slip, son sexe peut se développer sans contraintes
- Allons par là, cest bon il fait clair de lune, nai pas peur si tu vois un ou des hommes sortir des lauriers la bite a la main
- Je nai pas peur
- Tu es excitée ?
- Ça commence
- Je peu avoir la primeur de toucher ?
- Si tu veux Adrien, je te dois bien ça
- Je dois te faire un aveu...
- Lequel ?
- Avant de venir jai pris une de tes gélules
- Tes sérieux ?
- Jai limpression quelle me faite effet, je bande et jai envie de baiser nimporte quoi et nimporte qui
- Assoyons-nous sur ce banc
- Déboutonne ta robe jusqu'à la taille et ouvre les genoux
. Mmmuuuuummmmmmmm, que tu es bandante !
- Tu aurais dut ten apercevoir avant non ?
- Je suis daccord et je fais mon mea-culpa, blottie toi contre moi je te dirais si des gars se manifestent
Je sens sa queue donner des coups sous ma main, je dois faire des efforts pour ne pas lui sortir du short et me la mettre dans le minou, soudain jentends en même temps que mon mari des crissements de pas sur les graviers
- Ils arrivent.
- Je mouille dimpatience mon amour
- Ils sont en face dans lombre, que veux-tu faire ?
- Dabord les regarder se branler
- Je distingue des mains qui sagitent...
- Combien ?
- Trois il me semble, traverse lallée
- Tu me protège hein ?
- A toi de prendre les risques que tu désire, je ninterviens quen cas de brutalité
- Ça va jassume, ne me perd pas de vue surtout
Je me retourne face a mes voyeurs, ils sont acceptables sans plus, ma robe est toujours dépattée jusquà mon nombril, ma chatte est parfaitement éclairée par la lune, effectivement je vois des mains manipuler des verges dont je ne peux évaluer les mensurations a cette distance, malheureusement les mouvements cessent face a ma présence déterminée, pour les rassurer je passe lascivement une main entre mes cuisses, je fais un pas, lun deux reprend sa masturbation, très vite suivit par ses potes, javance pas a pas, il me reste trois mètres a faire, suffisamment pour voir distinctement les manches décalottés en cadence
- Restez sage et je viens prés de vous
- Ton mec nest pas jaloux ?
- Mon mari veut simplement assister
- Montre-toi
ouvre ta robe et nous recommençons a nous branler
- Voilà
Les deux pans de ma robe écartés je masse ma poitrine dune main et ma chatte de lautre, les gars sastiquent de plus belle, soudain jai une envie irrésistible de toucher leurs membres raides, je fais les deux pas qui me séparent deux sans me soucier de ce que peut penser mon mari, lune dentre-elles me fascine, son champignon décalotté est bien plus gros que le reste de la hampe qui lui-même est plus long que celui dAdrien, un goupillon qui doit divinement ramoner un vagin
- Je peux ?
- Prend là dans ta main, à condition que tu me laisse palper tes seins
- Allez-y
- Nous pouvons aussi ?
- Bien sur, touchez-moi partout
- Arrête de me pignoler, suce moi
- Jallais le faire
.
- Pompe moi ma belle
Jembouche voracement le gland et tire dessus pour en extraire le sperme au plus vite, évidement me baisser contrarie les caresses des deux autre qui passent derrière moi pour me débarrasser de ma robe et me toucher entre les cuisses, mes deux trous sont sollicités, des exclamations de joie accueillent la découverte de mon vagin dégoulinant, on me débarrasse de ma robe devenue encombrante et inutile
- Elle a envie de baiser la salope
- Attendez vous deux, elle a choisi ma bite pour que je lui passe le premier dessus, surveillez le mari
- Tu sais bien que les nanas ne me branchent pas !
- Fait-toi le mari !
- Rassurez vous je ne suis pas là pour vous empêcher de satisfaire ma femme, au contraire vous me rendez service, seul, je ne peux plus faire face a ses exigences alors je cherche des partenaires
Soulagée par cette affirmation je me place de façon à ce quAdrien ne rate rien de ce qui va suivre, la queue ravage mes amygdales, je le branle énergiquement tout en lui pressant les bourses, jai envie de comparer le goût de son foutre avec celui dont je suis habituée, un pied repousse lun des miens sans ménagement afin que ma fourche soit ouverte, des doigts nerveux massent ma vulve ce qui ne plait pas a celui que jai dans la bouche
- Je tavertis, ne la baise pas avant moi !
- Je te prépare le terrain avec mes doigts !, elle est à tordre, voyons voir son cul
a mon avis elle aime aussi de ce coté ! occupe-toi du mari Dudule !
- Je peux vous caresser monsieur ?
- Je nai jamais essayé, mais je ne suis pas contre
- Alors sort ta queue je vais te sucer
- OK
Je ne le crois pas ? Adrien se fait sucer ? après tout ça me laissera une marge de manuvre sil est occupé ailleurs !, un râle prolongé annonce léjaculation de mon acolyte, javale consciencieusement jusquà la dernière goutte, a peine le temps de me relever en messuyant le menton quil me fait prendre appuis sur un gros marronnier, jai croisé le regard fuyant de mon mari gêné de se faire sucer en ma présence
Moi ça ne me gène pas de cambrer mon cul afin de loffrir a mon amant qui se prépare déjà à menfiler, ceci fait sans peine tellement ma moule est ouverte et gluante il me saisit par les hanches pour me secouer, mes seins ballottent en tous sens, des paroles étouffées mais compréhensibles, cest celles de mon mari en extase qui se soulage dans la gorge de lhomme qui grommèle de satisfaction
- Tu as aimé hein ?
- Je dois admettre que oui
- Alors baisse ton short
- Pour quoi faire ?
- Je vais mamuser avec ton cul
- Daccord, jai envie te tenter cette expérience
- Regarde ta femme se faire troncher, quelle salope ! cest aussi sa première expérience ?
- Oui, cest une longue histoire mais je dois la laisser exaucer tous ses caprices sexuels
- Penche-toi sur larbre a coté de ta femme
Ce nest pas banal comme situation, lhomme et sa femme appuyés sur le même arbre pour se faire emmancher par des inconnus ! complètement confortée je me donne totalement, celui qui reste sur la touche me tend désespérément sa bite à sucer ce que je fais de bon cur, je lâche larbre pour me tenir a sa taille, prise par la chatte et la bouche je vogue dans une totale lubricité , Adrien après avoir poussé des cris de douleurs aux premiers va-et vient qui se transforment vite par des encouragements a lintention de son amant ! la bouche pleine je ne puis que bramer et donner des coups de culs afin de me faire pénétrer jusquaux couilles a me faire péter la chatte
- Attention ! ça vient.
- Moi aussi !
- JE DÉCHARGE !
Dans un ensemble parfait nos amants se lâchent dans nos orifices, terrassée par dinnombrables orgasmes je me laisse tomber à genoux sans compter que son copain veux me baiser à son tour
je me mets docilement en position
tandis quAdrien se prépare à sodomiser son partenaire
Les envies de suicide sont loin ! mais pas question que mon mari me prive de ces précieuses gélules !
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