Le Voyeur
Cette histoire sest réellement passée bien avant que Virginie et moi terminions nos études et bien avant que nous rencontrions Nono, Domi et les autres. Cétait au début même de sa première année de BTS. En aout même, avant la rentrée. Ma chérie et moi aimions aller courir régulièrement le dimanche matin dans la campagne environnante pour se retrouver et faire un peu dexercice. En ce temps là nous ne vivions pas encore ensemble. Elle chez sa mère et moi chez mes parents. Nous nhabitions pas loin lun de lautre, du moins nus habitions la même ville.
Bref, il faisait beau et nous navions quune envie : se voir pour faire lamour lun avec lautre car chez nous, moi chez mes parents et elle chez sa mère en période de vacances dété, cela nous était totalement impossible. Aussi, cest pour cela que nous décidâmes daller courir dans les bois et en campagne près de chez nous.
Jallais donc ainsi chercher ma chérie chez elle pour courir un peu :
- « Je vous lenlève » disais-je alors à sa mère, en ayant bien lintention de baiser sa fille.
Nadia, la mère de Virginie, najouta rien à ma remarque. Elle semblait même faire un peu la tête, imaginant sans doute ce quil métait possible de faire avec sa fille chérie. Mais Virginie et moi avions déjà plus de 18 ans depuis un certain temps. Nous en nétions pas à notre première fois. Et tous les bois et campagnes et prairies de nos environs, depuis, se souviennent bien de nous. Ma chérie en garde un très bon souvenir, autant que moi.
Bref, ce matin là vers 10 heures nous allions courir pour de bon. Et nous le faisions. Un
, deux
, trois kilomètres, au moins. Puis nous marchâmes un peu. Puis nous trouvions une prairie haute un peu en pente pour nous reposer :
- « Tiens, cela te dit daller-là ? » demandais-je innocemment à ma chérie.
Ma belle me répondit toujours oui à mes demandes. Là où je voulais aller elle me suivait.
Cest ainsi que ma belle et moi faisions lamour pour la première fois dans cette prairie. Le cadre était idyllique et bucolique. Ma belle me chevaucha et se mit à califourchon sur mon corps comme elle avait lhabitude de le faire. Très vite, mon sexe se mit à durcir et très vite, elle le prit pour le glisser en elle. Ma chérie fit plusieurs va-et-vient sur mon corps, se redressant comme pour prendre une jouissance quelle sentait venir. Soudain, elle sarrêta net, se coucha sur moi et je ne compris pas pourquoi :
- « Il y a quelquun dans le chemin qui nous regarde » me chuchota-t-elle.
- « Tu es sûre ? » lui demandais-je.
- « Oui, un homme dune quarantaine dannée ».
- « Il est tout seul ? »
Virginie se redressa discrètement pour voir puis se recoucha dans lherbe aussi soudainement que la première fois :
- « Oui, il est seul. »
- « Que fait-il ? » demandais-je alors à ma chérie.
- Je ne sais pas. Je ne suis pas rassurée. Je crois quil nous a vu.
- Tu veux quon parte ?
- Non, jai peur.
Ma belle nétait effectivement pas très rassurée de cette rencontre fortuite. En vain, je tentais de la raisonner lui disant que ce nétait quun promeneur ou voyeur qui prenait plaisir à mater :
- « Si ça se trouve, il veut se joindre à nous » dis-je alors à ma dulcinée en plaisantant.
Virginie ne fit des gros yeux pour me faire comprendre que ce nétait pas drôle et quelle naimait pas mon humour. Je me relevai pour voir lallure du mec :
- « Oh, il a lair cool », fis-je avec amusement.
En regardant le gars, le lui fis le signe de sapprocher.
- « Tu es fou » me dit Virginie en cherchant en vain à se cacher dans lherbe.
- « Ne tinquiète pas, je gère la situation »
Lhomme sapprocha. Ma chérie ne savait plus où se mettre. Le gars mexpliqua quil ne voulait pas nous faire de mal et juste mâter :
- « Ce nest pas tous les jours quon voit un couple par ici, baiser dans les foins »
- « Ah, surement ! » lui-dis-je.
- « Pierre. Jhabite le village à côté »
- « Ah Ok ! », répondis-je.
Assurément, lhomme nétait pas méchant, et je le présentai à ma belle :
- « Il veut juste nous mâter, Pierre nous as vu nous allonger dans lherbe. Il habite le village à côté »
Virginie fit sa connaissance et serra la main que Pierre lui tendit :
- « Vous êtes plus belle de près que de loin » renchérit lhomme.
Il en fallait peu à Virginie pour être flattée et se détendre. Lhomme se présenta, parla de lui et de son village, voisin du notre et de son envie de nous mâter. Virginie accepta finalement lidée, après que nous ayons converser une bonne demi-heure tous les trois. Devant Pierre, Virginie et moi sembrassions finalement à nouveau sur la bouche avec la langue. Pierre jura de ne pas toucher et juste regarder. Je dévoilais les seins de ma chérie en glissant mes mains sous son haut. Lhomme commençais à bander et à se toucher en regardant ma belle qui semblait ne pas être trop gênée par sa présence.
Il faut dire que Pierre se tenait à plusieurs mètres de nous. Cétait une demande de ma chérie qui avait besoin de cela pour se sentir « libérée ». Lhomme séloigna donc de quelques pas. Nous avions choisi un endroit plus loin du chemin et où lherbe était plus basse et plus verte.
Virginie retira son haut. En dévoilant son haut, lhomme se mis à bander et à se caresser. Virginie était peu attentif à lui et oubliais presque sa présence. Je doigtais ma chérie pour bien la faire mouiller. La belle se laissa aller sous mes caresses poussant par intermittence des petits cris de plaisir.
Soudain, jentrepris de baiser ma dulcinée bien comme il faut, position classique, en missionnaire. Ma belle affectionnait cette position quelle disait être reposante pour elle. Soudain, je vins en elle et après deux ou trois va-et-vient, je fis signe dune main à lhomme de sapprocher. Le gars avait déjà le sexe à la main dun beau calibre.
- « Tu aimes ça, salope, avoue ? disais-je à ma chérie.
- « Oui, jaime ça » me répondis la belle
- « Ten veux encore un ? avoue ».
- « Oui, jen veux encore ».
Je fis signe au gars de sapprocher encore plus près. Virginie fermait les yeux et ne vit pas les signes que je fis à lhomme et ne lentendit même pas sapprocher :
- « Tu aimes la queue petite salope, hein ? »
- « Oui, jaime la queue. Encore ! »
Lhomme sapprocha et la belle sen rendit compte quand il fut tout prêts delle. Sans attendre la moindre réaction de sa part, je dis à ma chérie :
- « Tiens, prend sa queue dans sa main. Branle-le ».
Virginie neut le temps de réfléchir et sans aucune réticence, elle prit le gros chibre de lhomme dans sa main tandis que je continuais à la baiser en missionnaire.
- « Branle-le bien » ajoutais-je à ma chérie secouée dans tous les sens.
Lhomme était à hauteur de son visage. Il pouvait sil le désirait se faire sucer et enfoncer son dard dans la gorge profonde de ma dulcinée. Il ne le fit point et respecta en cela notre accord. Virginie le branla puis sur le point de jouir, lhomme prit le relais et vint jouir de longs jets de sperme sur le visage de ma belle. Cette vision fit que jéjacula aussitôt en elle. Ma belle fut surprise de recevoir les jets de sperme sur son visage et semblait à cet instant seulement découvrir la présence de lhomme près delle :
- « Tu as aimé ma chérie ? », lui demandais-je en me retirant delle.
Ma chérie ne savait pas avec quoi sessuyer le visage et semblait désemparée de ne pas avoir pris de mouchoir en papier avec elle. Lhomme nen navait pas plus que nous et finalement ma chérie sessuya avec les mains et les doigts.
- « Tu as aimé ? » répétais-je.
Ma belle sessuya le visage. Elle avait reçu du sperme sur les paupières :
- « Cest spécial quand même. Tu me jures que lon ne refera plus jamais ça ? »
Je laissais ma chérie sans réponse à sa question. Pierre, lhomme, nous abandonna, en nous demandant de ne pas hésiter à le prévenir au cas où on repasserait dans le coin.
Ma chérie essuya ses doigts dans lherbe.
- « Tu en as pris plein la figure », lui fis-je remarquer.
- « Cest malin. Jen ai plain sur les doigts. Tu ne me refais plus jamais un coup comme ça », dit-elle avec une certaine connivence.
Ma belle rassembla ses vêtements et nous nous rhabillâmes. Pierre était parti dun côté et nous partions de lautre en direction de chez nous, rien quà trois petits kilomètres de là. Fin.
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