La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 641)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Le cheptel d'esclaves au Château (2/2) -
- Viens avec moi,, je te dirai tout à lheure ce que tu devras
, continua le Marquis, laissons le harem pour le moment.
Puis avant de se lever, il se tourna vers lesclave e69 qui était enfermé dans une cage suspendue.
- Toi lespèce de chien de rue, tu seras sévèrement puni tout à lheure ainsi que vous 2 mes chiennes. En disant cela il sadressait aussi à e760 et à e49 qui étaient enchaînés au mur.
Il se leva, et e46 laissa son excitation retomber, fit un pas en avant et stoppa net, sa bouche faisant un O de surprise excitée. Elle se tortilla, se trémoussa quelques instants. Elle se croisa les jambes. Elle sentait un objet bouger en elle, cet objet qui la remplissait si totalement, celui que son Maître venait de lui introduire quasi à son insu : un uf vibrant. Elle tenta un autre pas, et trébucha. Sir Evans plaçant une main sur son épaule pour lui permettre de retrouver son équilibre. Il lui donna quelques minutes pour shabi à cet excitant objet en elle. Il saperçu des spasmes de faible intensité qui la fit frémir quand avec la télécommande, le Noble avait appuyé quelque instant sur le bouton « play » Elle tourna des yeux de bonheur envers lui. Elle appréciait être ainsi. Il naurait quà laisser un peu plus de temps en position de fonctionnement pour quelle jouisse intensément.
« Viens. Jai autre chose à te montrer
» dit le marquis calmement
Elle le suivit, presque à reculons, redoutant ce quil pouvait avoir en tête. Il lamena à lécurie lequel on avait accès via un long souterrain et dautres marches descaliers aussi de pierres. Là il shabilla chaudement dune tenue de cavalier qui lattendait sur une barrière de bois, délaissant sa robe de chambre.
Lécurie était un long bâtiment de pierre qui trahissait la richesse du Marquis, tout comme le luxe du château, tout était pensé en fonction des nombreux chevaux pur-sangs que possédait le Marquis, de leur mise en valeur, de leur bien-être. Spacieuse, aérée, bien éclairée, lécurie était dotée de hauts plafonds, de stalles spacieuses, de fourrages abondants et les esclaves qui soccupaient des chevaux maintenaient de hauts standards de salubrité. Les animaux étaient bien exercés et en excellente santé.
Le Maître des lieux pris une bride, et entra dans la stalle de son étalon attitré, un magnifique pur-sang noir anglais dune rare beauté au caractère capricieux qui était parfois dangereux pour les palefreniers. Le cheval dénommé Aramis vit sapprocher le Marquis, et se laissa faire, le Noble lui ayant appris à le respecter, il lavait dressé comme il fallait, à linstar de ses esclaves. Tous les chevaux du haras étaient particulièrement intelligents
pour des chevaux.
Aramis accepta la bride sans tenter de mordre, ses yeux fixés sur e46, comme sil était capable de percevoir sa vraie nature, ce qui naurait pas étonné le Marquis.
Docilement, létalon suivit le couple à la section de lécurie où se trouvaient les armures et harnachements. Avec un petit sourire, il choisit une selle jaune quon aurait dit aussi en or et des plus beaux cuirs, Sir Evans savait que e46 adorait le cuir et ses multiples usages. Le cuir luisait, les pièces métalliques or brillaient de tout leur éclat, et il aimait beaucoup lodeur de ce pur cuivre haut de gamme. Les sangles et courroies étaient aussi nombreuses que celles dune selle de combat.
Aramis accepta la selle en piaffant son mécontentement. Une fois la selle sanglée, le Maître fit face à sa soumise. « Juste pour toi. » En riant, il mis un pied dans létrier et se hissa au sommet du cheval puis, délibérément, regardant son esclave dans les yeux, il défit les boutons de sa braguette et lui révéla son érection rageuse, prête.
Laétitia ou e46MSE comprit ce qui allait se passer, ayant remarqué les étriers supplémentaires, la partie surélevée de la selle en avant. Elle tendit haut la main en faisant contre fortune bon cur, et en acceptant avec un sourire espiègle la main tendue. Elle avait été sans sexe depuis une semaine, empêchée par la ceinture de chasteté de trouver quelque plaisir que ce soit, et ce que le Marquis avait en tête ne lui déplaisait pas totalement.
Elle se retrouva coincée entre son Maître et la haute partie avant de la selle, lespace tout juste suffisant pour être confortable, son postérieur pressé contre le bas du ventre de son Maître. Elle pouvait sentir la puissante érection pressant entre ses fesses. Une dure aspérité du cuir de la selle pressait directement contre sa fente au niveau du sexe. Aramis donna un coup de la tête, et se mouvement se transmis au travers du corps du cheval, de la selle, de laspérité
carrément contre le point névralgique, directement appliqué sur loeuf se trouvant en elle. Sir Evans sentit son frémissement, entendit le petit cri de surprise qui séchappa delle, même si le mouvement en elle navait été que mineur.
Il lenlaça de ses bras, juste sous les seins, la tirant contre sa poitrine. Il la mordilla délicatement à langle du cou et de lépaule, pour ensuite la caresser avec son nez et une joue. Sans un mot, elle se souleva légèrement, jusqu'à ce que le membre pesant du Maître soit encore plus accoté à sa douce peau. Les pieds dans ses étriers, elle se leva de nouveau lentement, pris langle requis, et glissa la chair brûlante jusqu'à ce que le gland soit en contact avec cette délicate partie de son anatomie quétait son anus, qui avait été nettoyée et lubrifiée par deux autres esclaves une heure plus tôt sur ordre du Maître
Comme toujours, les premiers moments furent les plus durs : cette impression de ne pouvoir le faire entrer, de ne pas avoir la capacité de laccommoder.
La sensation de plénitude était intense, le pénis du Marquis pressant parfois contre le gros oeuf qui occupait tout lespace à lintérieur de son sexe quand il remit en marche la télécommande. Pendant ce temps, le Maître la caressait dune joue sur sa nuque, de ses mains pour saisir des seins à la mamelle sensible. De gros doigts de forgeron qui trouvaient la manière de la toucher délicatement, sensuellement.
Pleinement possédée, les deux trous remplis, lesclave était en complète extase
quand elle entendit
- Maintenant tu peux avoir un orgasme
quand je tai dit pour cela : tu devras ... je voulais dire .. tu devras te faire enculer sur un cheval
Ensuite le Marquis attrapa, à portée de main sur une haute barrière en bois au dessus du râtelier, une épaisse et longue parka en pure laine de mouton, très chaude, quil recouvrit sur le devant de la belle et qui retombait de chaque côté de son corps tellement elle était large et longue jusque sous les étriers. Puis dun calme mesuré et toujours enfoncé profondément en elle, il lui dit :
- Prends les rennes, en un murmure à peine audible, savourant les sensations, fermant les yeux. Aramis bougea, obéissant aux désirs de e46 . Au pas, paresseusement, les mouvements la faisant bouger le long de son membre. Il disposa ses mains et plaça ses bras autour des hanches de la soumise.
laétitia, clairement, avait envie de sentir les sensations dêtre ainsi possédée avec le cheval se déplaçant. Le pur-sang avança jusquau portail de lécurie et le Noble neut quà légèrement pousser le battant pour ouvrir en grand les portes de létable.
Elle le connaissait, et avait appris à se servir de son anneau musclé pour le tourmenter, appliquer la pression la ou il le fallait, construire son plaisir, sans le laisser tomber de lautre coté du versant. Elle comptait comme une victoire chaque fois quelle lui faisait perdre le contrôle, chaque fois quelle lincitait à se comporter en barbare pour assouvir ses passions. Il dériva avec satisfaction de la manière avec laquelle ses bras la serrèrent plus fort, Le Marquis comprenant fort bien son petit jeu. Pour ne pas être en reste, il imprima une certaine amplitude à ses mouvements, frottant sa chair profondément en elle, tentant de se presser contre luf bien enfui dans le vagin de la belle, de lui procurer du plaisir de cette manière.
Une semaine, sans rien dans sa chatte
Le combat allait être ardu. Il était heureux pour elle que la position soit aussi bonne que possible dans ces circonstances, était loin dêtre parfaite, et Sir Evans ne pouvait la pénétrer aussi profondément quà laccoutumée. Elle fit varier le pas de létalon, expérimentant jusqu'à ce que la bonne combinaison soit trouvée
Le Maître profitait du moment pour la caresser la ou elle était vulnérable, profitant de ce temps ou ils avaient la route à eux seuls. A cette heure de la soirée, sur cette route de campagne enneigée, il ny avait personne. Il mordillait les oreilles de e46, utilisait parfois sa langue pour offrir un contraste, et savourait les sensations quelle lui offrait. Il savait que sa soumise voyait la reddition de son corps face au plaisir reçu comme une victoire pour elle, sa victoire à elle était son esclavage total à son Maître. Mais le Marquis avait une vue plus nuancée, et aimait bien lui donner de petites victoires lorsquelle les avait méritées.
e46 usa des divers pas dont Aramis était capable. Dabord le pas doux et aidant à faire monter encore lexcitation de la pénétration. Puis le trot était celui quelle appréciait le plus, quelle aimait le plus, se sentant ainsi pénétrée profondément dans ce coït anal, dans cette une cadence agréable, et puis elle sessaya dans le galop pour un choc pénétrant puissant et bien prononcé. Avec la longue foulée de létalon, ils ne prirent guère de temps pour atteindre les longs bois, cette forêt immense sur les terres du Marquis. Arrivé sur le chemin principal avec pour e46 plusieurs orgasmes difficiles à maîtriser tellement les sensations de plaisirs étaient intenses. Alors entre deux spasmes, elle tira sur les brides et le pur-sang retrouva un pas lent et régulier
Elle stoppa le cheval un instant, se concentra sur ses sens, puis lança le cheval au galop droit devant ce long et droit chemin carrossé tout en poussant des cris puissants de jouissance. Au galop, la nuit, dans cette nature neigeuse à la beauté blanche, sen était quasi surréaliste, mais O combien enivrant. Cet uf qui vibrait dans tout son vagin surexcité, ce phallus énorme dune raideur extrême qui la remplissait au maximum, les innombrables secousses du cheval, livresse de la vitesse au galop, Une course folle ponctuée par des mouvements parfois violents, le cheval démontrant toute son agilité, souffrant de son inertie. Plus dune fois, il fut obligé de sauter au-dessus dun obstacle, dun tronc darbre augmentant ainsi encore plus des sensations extrêmes. Sir Evans sajustait aussi bien que laétitia aux mouvements du cheval, mais la course mettait sa volonté à mal, son plaisir grandissant à chaque saut, à chaque poussée de lanimal. La soumise nétait pas sans avoir ses propres problèmes, doublement pénétrée comme elle létait, mais la concentration requise pour mener le cheval laidait à tenir les désirs de son corps en extases.
Jusqu'à ce que le Marquis saisisse les rennes, nen pouvant plus, et force le cheval à sarrêter avec un hennissement de surprise. Brusquement, presque violemment, il poussa e46 et la plaqua contre la crinière de létalon. Debout sur ses étriers, les mains sur les hanches de la femme, il fit usage delle avec une vigueur quAramis aurait bien compris. Fouetté, son érection prisonnière dun cul étroit et chaud depuis trop longtemps, il laissa libre cours à sa passion. Dans lanonymat dun sous-bois ou pas même la lumière de la lune ne filtrait, Lesclave éleva sa voix, laissa au monde entier savoir le plaisir quelle ressentait par une jouissance à en tourner la tête. Ce puissant orgasme la prit donc, la secoua, tirant delle cris et gémissements, la puissance amplifiée par la résonance naturelle de lécho Au même moment où la soumise explosait une nouvelle fois dans cet énième orgasme, le Marquis atteignit son point de non retour, et ses coups de reins devinrent brutaux. Il relâcha, éjacula profondément dans le cul de sa chienne desclave, copieusement, à grands jets de sperme à grands coups de reins. Il laissait échapper des râles puissants de plaisir. On aurait dit un cerf en rut en automne.
De longs moments passèrent, le Noble la tenant plaquée, savourant le moment suivant ses efforts, alors quAramis, toujours sous le coup de la longue course, soufflait bruyamment. Et puis vint se moment ou le Maître se retira lentement delle, encore assez en érection. Elle sentit une partie de son essence visqueuse couler hors delle lorsquil se retira complètement. Il sessuya sur sa peau, la marquant de son odeur, avant de se remettre dans son pantalon tombée au niveau de la selle
Il la redressa, peu après, la tirant contre lui, la caressant de son nez et de ses joues, amoureusement. Il faisait souvent cela, après usage de force excessive. Il lui avait fait mal. Elle avait toujours mal. Quelle sensation bizarre, la douleur et la jouissance en même temps quelle venait de vivre. Elle aurait mal pour un temps encore. Demain, les autres sauraient par sa démarche, sans grande surprise, la manière dont il lavait utilisé. Il lui avait fait mal, mais elle était heureuse, repue, et son Maître était maintenant attentionné, lui murmurant des mots doux, lui chuchotait des promesses.
Il avait aimé et linstant dun moment elle nétait plus esclave mais femme.
Elle reprit les rennes que lui tendait le Marquis, et dirigea Aramis en direction du retour au château...
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