En Forêt
Mon ami - Antoine - et moi sommes en couple depuis 10 ans et de fait, au niveau sexuel, une routine sest peu à peu installée au fil des ans. Aussi nous avons décidés de pimenter nos ébats en cherchant dautres partenaires.
Nous habitons dans une région très touristique sur la côte atlantique et nous avons la chance dêtre à quelques pas de différents lieux de drague fréquentés en toute saison. Nous ne sommes pas des habitués mais nous ne rechignons pas à les fréquenter à loccasion.
Un de ces lieux de drague est situé en forêt à proximité dune nationale et le rythme des allers et venues est souvent soutenu. Personnellement je préfère y être à lheure du déjeuner ou vers 17-19 heures. En effet, à ces horaires, les mecs sont plus directs.
Ce jour-là, nous étions arrivés vers midi et laire était vide. Nous sommes restés dans la voiture en écoutant la radio. Après quelques minutes dattente un fourgon professionnel se gare avec deux personnes à son bord. Linscription indiquait « Électricité générale, climatisation, pompe à chaleur
». Le conducteur descendit. Il était dun physique athlétique, 1m75 environ, les cheveux et sa barbe de trois jours poivre et sel, visiblement poilu il sen dégageait beaucoup de virilité. Il devait avoir une cinquantaine dannées. Il portait un pantalon professionnel avec renfort sur les genoux, un tee-shirt à manche longues boutonné sur le col et une veste sans manche munie de nombreuses poches. Le passager le suivit. Lui était plus grand, élancé, roux et devait avoir aux alentours de 35 ans. Je lui accordais davoir un physique avenant. Il était vêtu dun jean et dun pull camionneur. Une fois descendus du véhicule, ils sont entrés directement dans le bois. Nous les avons suivis sans hésiter un seul moment.
Malheureusement, nous nous sommes aperçus que les deux gars nempruntaient pas les mêmes sentiers. Mon ami suivit le plus âgé et moi le rouquin. Ce dernier semblait hésiter - je ne devais pas être à son goût- il revint sur les pas de son collègue, je le filais ce qui me permit dapprécier le manège qui se tramait entre Antoine et lobjet de sa convoitise.
Maintenant, Antoine soccupait de déboutonner le jean du rouquin. Il en sortit un sexe déjà long, plutôt fin et garni dun prépuce très développé. Lélectricien descendit son pantalon sur ses chevilles dévoilant ainsi un sexe épais au milieu dune toison fournie. Ses jambes aussi étaient poilues. Il commença à se masturber en regardant Antoine sagenouiller pour prendre la verge de son collègue en bouche. Je voyais sa langue sinsinuer entre le gland et le prépuce puis effec un mouvement de rotation. Rompant le rythme, il avala dans sa totalité le sexe maintenant bien tendu. Lélectricien dune main se branlait et de lautre main, posée sur la tête dAntoine, imposait la cadence de la fellation. De mon côté, jétais fasciné par la couleur flamboyante du pubis du rouquin. Mon sexe était raide dans mon boxer et je sentais le pré-foutre mouiller mon sous vêtement. Pour autant je ne me caressais pas hypnotisé par le show quil métait offert dapprécier. Après quelques minutes, le rouquin fit se relever Antoine et sagenouilla devant lui pour lui baisser le pantalon et lui prodiguer une pipe. Jappréciais le contraste entre la carnation pale du rouquin et celle plus mate de mon partenaire. Lélectricien, se plaça derrière Antoine et lui déboutonna la chemise dévoilant ainsi son torse bronzé et poilu. Toujours collé à Antoine, il lui tritura les tétons. Ce plaisir conjugué à celui de la fellation fit gémir mon ami toujours très expressif dans ses ébats. Je le sentais ivre de plaisir ainsi abandonné aux mains expertes de nos deux artisans.
Le rouquin se releva et lélectricien abandonna les tétons meurtris dAntoine puis dune main sur son dos le contraignit à se courber afin de dévoiler ses fesses.
Nos deux artisans se nettoyèrent avec des kleenex et séclipsèrent rapidement en remerciant Antoine. De mon côté, excité par ce show, je le plaçais contre un arbre, sorti mon sexe dur à en avoir mal et sans plus de préliminaires le pénétrais. De sa main libre il se masturba et cest très rapidement quil jouit serrant son anneau autour de mon chibre déclenchant ainsi ma propre jouissance. Je linondais littéralement tant la quantité de foutre libérée était importante. Nous nous nettoyâmes également et nous habillâmes. Respectueux des autres, nous avons ramassés nos kleenex et capotes usagés pour les mettre aux ordures ultérieurement. Au soir, Antoine et moi avons repris nos ébats avec fougue, mais aussi plus tendrement, avec en souvenir ces instants exquis.
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