La Table De Sapin 4
- Tu vas pas me croire. Mais tu sais
après notre petite affaire, au téléphone, eh bien je me suis effondré lessivé dans ce fauteuil. Et là je ne sais comment, je me suis assoupie.
- Mon pauvre chou. Il faut avouer que ses derniers temps tu te ménages pas.
Elle sapprocha du fauteuil, fixant ma queue à demi rigide, encore luisante de mouille. Preuve de ma précédente relation.
- Tu nas même pas pris le temps de tessuyer ! Cochon que tu es.
- Oh
Oui. Je vais le faire pas plus tard que tout de suite. Fils-je, en posant mes mains sur chacun des accoudoirs pour me permettre de me redresser.
- Ce nest pas grave. Fit-elle, un sourire salace aux lèvres. Je vais moccuper de ta petite toilette.
Elle me repoussa au fond du fauteuil. Elle se pencha alors, au-dessus de moi. Ouvrait démesurément la bouche. Avaler mon membre maculé de la jouissance de sa sur. Jusquaux couilles. Très vite son visage sagitait. Ses lèvres montaient et descendaient le long de ma colonne. Je sentais la chaleur de ses joues se creuser sur mon gland. Le noyant de salive. Son travail incessant donna très vite
un résultat. Jimaginais Patricia, la chatte shumidifiait derrière la porte.
- Dis-donc. Fit-elle, en me recrachant. Ça ne te dirait pas de recommencer.
Confortablement installé dans mon fauteuil, je ne comprenais pas bien ce quelle me disait.
- Recommencer quoi .
- Tu vas pas me dire que tu as oublié. Me désignant la table du menton.
- Ah oui ! Jy suis.
Le fameux épisode dans la cuisine de ses parents quelques années plus tôt.
- Pourquoi pas. Fils-je, en mextirpant de ma place.
- C'est une excellente idée. Non ?
Mextirpant péniblement de ma place, et précédant mon érection, je me dirigeais vers le lieu si chèrement exprimé. Mon premier réflexe fut dexaminer consciencieusement le plateau de la table. Pour savoir sil ny avait pas de trace de ma précédente aventure.
Ah cette table ! Pensais-je à moi-même. Heureusement quelle ne pouvait pas parler. Que dépisodes dadultères vécus grâce à elle.
Je tournais la tête et aperçus Cathy, dans un coin de la pièce se débarrassait un après lautre de ses vêtements. Quelle jeta au fur et à mesure sur une chaise. Une fois nue, elle est venue me rejoindre.
Coïncidence de taille. Jallais une fois encore, culbuter ma femme sous les yeux dun membre de sa famille. Je sentais mes faits et geste, épié. Je fis installer Cathy, là où je devinais être le meilleur angle de vue, pour Patricia. Ceci fait, je me mis à caresser la chatte de mon épouse. Son sexe bâillait comme un coquillage. Dégoulinait de mouille. Jinsinuais deux doigts dans la vulve. Barattait le sexe dilaté qui émettait des bruits mouillés. Cathy grognait de plaisir, alors que je la branlais. Pinçant le bouton entre deux doigts de ma main libre. Jétais fou dexcitation en pensant au spectacle que joffrais à ma jeune belle-sur. Dont je devinais ses doigts soccupant de sa chatte.
Soucieux de lui en montrer un peu plus. Je fis basculer mon épouse,. Le buste au contact de la table. Elle déplora que le plateau soit froid. Volontairement, je me positionnais afin que de sa cachette, elle puisse avoir une vue imprenable.
Dune poussée, ma verge atteignit le fond de son sexe. Ses muscles intimes se contractèrent comme pour me retenir. Je fouillais sa chair tendre, avec des bruits se sucions. Alors que mes couilles claquaient contre son fessier. Elle se mit à geindre. Javais limpression aussi, dentendre Patricia gémir. Lidée quelle se masturbe en me regardant, fut pour moi, un truc super-fort au niveau de lexcitation. Dans un geste désordonnait, ma verge sortit de son fourreau. Trop détrempé à mon goût. Jempoignais ma queue et la dirigeais vers son anus. Écartant ses fesses de lautre main. Je forçais lentrée avec mon gland. Ses chairs luttèrent avant dabdiquer. D'une poussée, je m'empalais jusquà la garde.
Lidée dêtre maté avait redoublé mon côté pervers. Un entrain qui avait lair de mettre en joie mon épouse. Je la martelais de plus en plus vigoureusement. En plein euphorique, je lui criais que je voulais lui mettre aussi mes couilles. Je glissais ma main sur son pubis. De mes doigts, je fouillais ses poils poisseux. À la recherche de son bouton. Une fois trouvé, je me mis à le caresser dun petit mouvement tournant, jusquà ce quelle succombe à ma caresse. Emporté par sa jouissance, elle méchappa. Faisant ressortir ma queue de son cul alors que je la labourais avec frénésie. Jempoignais de nouveau mon engin pour la remettre dans son rectum. Soucieux de conclure, de mabandonner, la prenant avec encore plus de force. La sodomisant en profondeur. Ma femme criait de plaisir. Sentant de nouveau linstant fatidique arrivait. Je lagrippais aux épaules. Marc-boutant contre elle.
- Tiens ! Prends-le, mon jus ! Rugissais-je.
Et suite à ses paroles, je me vidais les couilles dans son anus, devenu béant. Elle jouit à son tour. Tremblant de tous ces membres. Si fort quelle me désarçonna. Je maffalais sur elle, dans son dernier spasme de plaisir, essoufflé.
De peur de l', je me redresse. Je vis de son anus séchappait une coulée de sperme. Je reprenais peu à peu mon rythme cardiaque. Jen oubliais la voyeuse. En observant ma queue. Je décelais des traces brunes. Discrètement, je me suis avancé jusquà la table de travail. À laide de feuilles dessuie-tout, et je me suis essuyé.
- Que cétait bon. Me lança Cathy, dans mon dos. De lautre côté de la pièce. Elle se rhabillait.
Me revint alors en mémoire le souvenir de Patricia dans les parages. Me demandant bien, quelle pourrait être sa tête devant un tel spectacle.
Quelque minute plus tard, nous avions quitté les lieux. Prenant chacun notre voiture. Au volant, je fus pris de remords. Quallait faire Patricia .
Alors que je me trouvais devant la télé. Je me rendais compte que me belle-sur occupait le centre de mes pensées. Après une nuit mouvementée, je fus réveillé par trois sensations. Biens différents les unes des autres.
La première cétait le bruit que faisait la pluie frappant les carreaux.
La deuxième sensation était ma queue. Elle bandait. Oui
mais avec une impression de lavoir passé dans une essoreuse.
Et la troisième sensation cétait que jallais de nouveau être confronté à la sulfureuse Patricia. Et cétait cette dernière qui me décida de quitter mon lit.
Je sentais quelque chose me nouer dans mon ventre. Au moment où jatteignais au volant de ma voiture, les premières maisons.
La clé en main, je me suis avancé jusquà la porte dentrée de chez mes beaux-parents. Je lai engagé dans la serrure. Après lavoir tourné deux fois, la porte souvrit. Toute seule. Sur Patricia.
- Tiens ! Constata-t-elle ironiquement. Tu ne peux pas te passer de moi.
Je la contemplais du haut en bas. Elle avait passé une combinaison de sa mère. Un truc extraordinaire. Sous lequel je la devinais nue. Mon regard effleura son ventre. Là où sous la soie couleur pêche, était presque transparente. Il me semblait bien apercevoir un triangle noir. Jai pensé dans un premier temps quelle portait une culotte. Mais en faisant bien attention, je décelais que cétait épais et bouclé. .
Il aurait été facile pour moi de lui sauter dessus et de finir ce que javais commencé la veille. Mais était-ce dactualité pour elle. Nul le savait.
Elle seffaça, me laissant entrer à lintérieur. Elle referma la porte et se dirigea, sans un mot en direction de la chambre. Je ne sais pourquoi, je lai suivi.
La pièce baignait dans une demi-pénombre dorée. Grâce aux rayons de soleil. Remplaçant la pluie. Elle prit position près de la fenêtre. Face à moi. Consciente de moffrir en transparence des aperçus palpitants sur les contours de son anatomie.
- Je nai pas besoin de te dire que jai assisté à ton
enfin avec ma sur. Tu as aimé cela . Minterrogea-t-elle. Se décalant un peu.
Je sus à cet instant quelle ne portait rien.
- Il faudrait peut-être que tu thabilles. Tu ne crois pas. Disais-je, dune voix légèrement étranglée. Émue que j'étais, par le spectacle qui m'était offert.
Elle pivota sur elle-même et se pencha pour ramasser ses frusques, rangée en tas à même le sol. Comme laurait fait un promontoire.
- Oh ! Jai le temps. Fit-elle, consciente de la perspective plongeante quelle moffrait dans cette position.
- Ah bon ! Murmurais-je. Lançant ses vêtements en boule sur les draps.
Elle prit place sur le lit. Le creusa sous le poids de sa croupe.
- Oui
dailleurs il est trop tard pour celui de 11H00. Fit-elle, avec un petit rire.
Je me laissais tomber à son côté.
- Et le prochain est à quelle heure ? Interrogeais-je.
Elle se laissa aller en travers le lit. Posée sur un coude.
- Je ne sais pas
et je men fous. Tu es pressé . Toi.
Elle me regarda.
- Non
Elle posa sa main sur la mienne, tout en douceur.
- Dommage pour hier. Dit-elle. Un sourire salace aux lèvres.
- Oui
- Enfin je parlais pour moi.
Après un court silence, elle poursuivit.
- Toi à ce que jai pu constater, tu as pris ton pied. Chuchota-t-elle.
Je souris sans répondre. Elle rampait. Sur le ventre au milieu du lit.
- Tu le sais peut-être pas. Mais moi hier
il m'a manqué quelque chose
si tu vois ce que je veux te faire comprendre. Alors jai pensé. Il serait bien de finir ce que tu as commencé hier. Souffla-t-elle dune voix chaude.
Elle se redressa sur les coudes.
- Je veux jouir autant que ma sur. Si tu vois ce que je veux dire .
Elle posa la main sur mon pantalon. Enveloppant sans complexe ce qui appartenait normalement à sa sur. Avec des gestes dinfirmière elle me débarrassa de tous ce qui l'a gêné.
- Baise-moi. Jen crève denvie.
Ses doigts avaient commencé à me masser. Dune souplesse et dune précision diaboliques. Devenue bien dure, elle la dirigea au plus intime delle-même.
Minclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à sécarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en lair. Jusquà ce quelle se trouve, le dos contre le mur. Minclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à sécarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en lair. Jusquà ce quelle se trouve, le dos contre le mur.
Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle sempala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, séchappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins.
Jallais et venais en elle. Ses yeux nexprimaient que du plaisir.
Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme lauraient fait des ressorts. Toujours suspendue en lair, elle faisait le grand écart.
Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle sempala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, séchappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins.
Jallais et venais en elle. Ses yeux nexprimaient que du plaisir.
Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme lauraient fait des ressorts. Toujours suspendue en lair, elle faisait le grand écart.
Agitée de soubresauts dune violence inouïe, elle se mettait à rebondir contre mes hanches. Nobéissant plus quà son plaisir. Cherchant à sempaler encore plus profondément.
Son plaisir qui fit germer le mien. Incapable de me retenir plus longtemps, jéjaculais avec violence. La clouant contre le mur de coup de boudoirs. Elle accueillit ma semence avec un grand sourire sentant mes jambes fléchir. Je reposais Patricia sur le lit.
Elle me jeta alors, dun regard avide.
- Fais-moi encore jouir
je veux profiter de toi jusquau bout !
Son envie réveilla ma perversion. Ça mexcitait terriblement de la besogner ainsi offerte, totalement abandonnée.
Nous avions changé de position quatre à cinq fois. Patricia avait joui plusieurs fois. À intervalles réguliers.
Je me suis demandé où javais trouvé mes ressources. Je métais payé une érection fabuleuse. Comme je nen avais pas connu depuis longtemps. Il faut avouer que Patricia était pour quelque chose.
À suivre
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