Fantasme Presque Inavouable

A quel monde bien fade, pour quelles raisons ai-je de tel désirs ? Je sais au font de moi, que se n'ai pas un simple fantasme, caprice d'une âme perdue. Je le sens dans mon être, dans mes entrailles. Je ne vie que pour le jour ou je pourrais rencontrai ma petite chienne.
Une chienne, voilà mon fantasme inavouable ! Je souhaiterai avoir une chienne a MOI, une femme à ma disposition. Qui m'apporte mon café le matin et se faufile sous la couette pour me lécher, sucer mon petit bourgeon.
Quand on recherche une personne qui a les même attentes que soi, c'est toujours compliqué, surtout quand nos envies sont particulières, se qui est mon cas. Je rêve de rencontrer une jeune femme, vierge dans le domaine de la soumission. Je souhaite l'élever au rang de chienne. J'aime l'état naturel du sexe.
J'aime voir la femme retourner à son instinct, celui de soumise comme une véritable chienne en chaleur, montrant en permanence ses fesses pour envoyer le message qu'elle est à disposition pour se faire prendre.
Rencontrer une fille douce timide et la faire prendre confiance en elle, lui montrer son importance, sa beauté. La voire s’épanouir.
Elle devra toujours être nue, à quatre pattes, pour être prête à satisfaire mes envies de tout instant.
Ma petite salope tiendra avec rigueur un carnet de liaison, où elle écrira ses leçons de la journée, ses pensées, mais aussi ses punitions, car je la punirais que cela soit juste ou non.
Parce qu'elle aura besoin de faire une analyse de ses désirs assouvis ou nouvellement découvert. Un écrit journalier, imposé, pour maintenir éveiller chaque souvenir, même inavouables, et ainsi qu'elle puisse se rendre à l'évidence, voir quel être, elle est, sens honte de soi.
Une vrai novice, une vierge du plaisirs et de la soumission , une gentille timide, qui serai entièrement disponible. Une douce brioche au goût de vanille, de celle dont on a envie de saucer avant de déguster puis se resservir à l'infini.

Car être soumise est un régime de vie, la maîtresse est en droit d’instaurer certaines pratique quotidienne.
Je veux la voir gémir de plaisir quand je lui enfoncerai des godes dans ses parties intimes, qu'elle me regarde avec dévoiement quand elle me nettoiera de sa langue mes lèvres toutes mouillaient.
Je veux claquais ses fesses pour les voir rougis, qu'elle se tortille devant moi suppliant ma clémence, car une chienne qui est a se stade est la meilleure des chiennes. Elle ferra tout se que son Maître ou sa Maîtresse ( se que je suis ) souhaite, car c'est son plaisir à elle, de nous contenter.
Je voudrais la voir se faire dilater l'anus par un homme devant moi. Qu'il soit brutal dans ses assauts !
Que serai-je heureuse, si je pouvais rencontrai cette créature magnifique de mes rêves, que se serai beau. Car, oui, pour moi il n'y aurais rien d’avilissant à être ma chienne, je la respecterai en tant que telle et comme personne également.
Si, je pouvais la trouver, elle serait ronde, même une peu grosse souillon honnête, j'aime les femmes minces comme grosses, mais pour moi la meilleure chienne du monde est, à mes yeux grosse, j'aime les rondeurs surtout quand une chienne est a quatre pattes, cela m’excite a un point inqualifiable. J'en mouille actuellement ma culotte, rien que d'écrire ces quelques lignes. Mais je peux toujours rêver, quelle chance ai-je de trouver cette femme de mes rêves. Cette chienne parfaite !
Moi, qui suis une jeune femme comme les autres, aucune chance bien sûr !
Je ne suis pas lesbienne et pourtant je rêve d'être la Maîtresse d'une femme. J'ai essayé d'en trouver une part internet, mais je n'ai eu pour réponses que celles d'homme soumis, et cela n'ai pas se que je recherche. Ou alors, j'ai été contacter par des hommes qui me demandaient de les inviter quand j'en aurais trouver une, pour la partager.
Quel déception que ne pouvoir trouver une femme a éduquer.
Je la pousserais au confient de ses limites, lui faire avouer ses fantasmes les plus noirs, pour qu'elle apprenne tout les plaisirs qui existe. La faire tombé tout doucement dans le trou sans fond de la luxure, lui apprendre l'art de la masturbation, le goût des caresses multiples, qu’elle puisse découvrir chaque partie de son corps. Je commencerais part les pieds. La caresserais lentement avec un foulard du talon aux orteils, des orteils au talon, en passant aussi sur les chevilles. Si, elle me fait le doux plaisirs de remuer, alors je la fouetterais sur le bout de ses orteils, ceux même que je caressais tendrement quelques instants au par avant. Je remonterais ensuite vers ses mollets, puis les genoux, pour continuer à l’extérieur des cuisse, ainsi je l'a ferais languir, un baisé ici, puis là. Elle se mort les lèvres, se cambre, se tortille, gémi
… AILLE…
Je viens de la claquer à l'intérieur des cuisses, ma soumise grimaces de douleur, mais je vois également une lueurs apparaître celui de l’excitation, elle venait de connaître une vrai correction ça première et cela lui avait plus. C'était pour moi le signe de sa soumission, la véritable, ce moment où la soumise prend conscience de la situation où elle sait mise, se moment où elle comprend qu'elle est inférieur, qu'elle mérite et aime son sort, se fabuleux moment où elle devient réellement la soumise de son dominant.
Mais je divague, encore, je disais donc que je l'a caresserais, avec de petites corrections bien-sur, sur ses cuisses, puis sur son ventre, ses seins, ses bras, ses mains, ses fesses, son dos, sa nu, ses cheveux… je l'attrais part ses cheveux est dirigerais son jolie minois vers ma fente déjà tremper d’excitation. Elle devra me lécher, ou plutôt laper mon sexe gonfler car à se stade elle ne mériterais pas encore de me lécher comme une femme. A se stade, elle est encore qu'une petite chienne, celle qui vous nettoie vos lèvres quand vous êtes toute émoustillée. Je l'a ferais se toucher devant moi, comme lorsque l'on regarde un film. Peut être que dans la soirée, l'idée me viendrais de la faire se baisser en avant et de li imposer cette position pendant un long, très long moment. Cette instant sera emprunt d'humiliation pour elle, mais pour moi se sera que plaisirs.

Voilà la fin de mes premières pensées, maladroite, confuses, désordonnées, brutes.