La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 642)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Un soir au Château (1/2) -
Le soir tombe sur la foret immense, cet écrin de verdure, ceinturant limposante demeure du Marquis dEvans. Je suis allongée sur le dos sur un autel apparemment dun luxueux marbre blanc massif, très froid, dans la petite chapelle au fond du grand parc du Château de Sir Evans. Cette belle chapelle aux voûtes peintes et dorées dont le décor vacille sous les mouvements des cierges. Un grand silence menveloppe. Je suis totalement nue sous un tissu noir doù émerge ma tête, ma chevelure soigneusement brossée me sert dauréole. Sous mes fesses un support comme une cale géante rehausse ma zone génitale. Cette immense cale de bois possède des anneaux auxquels mes poignets et chevilles sont attachés sur le côté. Je ne peux bouger, je ne suis pas libre, mes genoux sont fléchis, mes cuisses et mes jambes sont écartées. Je suis comme offerte à je ne sais qui, mon corps est sous un tissu noir. Une multitude de questions me martèlent lesprit. A qui suis-je offerte? Que mest-il arrivé ? Où suis-je ? Je ne me souviens de rien ? ...
Je ne tarde pas à avoir les premières réponses. Une vingtaine de personnes entrent, elles se suivent en file indienne régulière, espacée dun à deux mètres. Les personnes sassoient sur les bancs de part et d'autre dune allée centrale où court un épais tapis rouge sombre. Tout à coup, une clochette retentit. Tous se lèvent. Du côté du chur entre une personne de haute taille et de noir vêtue de la tête au pied, un masque sur le visage. Ses mains masculines, sont puissantes. Il sapproche de moi, fait un signe aux fidèles qui se rassoient. Après un moment dimmobilisation, son regard sombre fixe le mien, il pince le tissu qui me protège au niveau de mon nombril et le soulève lentement. Doucement, mon corps est dénudé.
Ce passage sensuel excite mes sens, ma peau se réchauffe. Les mains du Maître de cérémonie remontent ensuite sur le côté interne de mes jambes, de mes cuisses, et sarrête au niveau de mon périnée. Je mattends à quelque chose de sexuel, une pénétration, une masturbation, rien. Ses mains sarrêtent un instant, puis il les retire. Derrière lui un esclave cagoulé avec un collier épais de métal, aux armoiries des Evans, est enserré autour de son cou. Il approche, il lui tend un plateau sur lequel sont disposés des grelots dorés. Il ressemble à ceux que les pêcheurs mettent à lextrémité des cannes à pêche pour détecter la présence de touches.
Il pose ses mains sur mes seins puis en choisit un quil masse en insistant sur le téton. Il prend un grelot sur le plateau, il le fait tinter pour les fidèles. Il le presse entre son index et son majeur. La pince sécarte et pendant quil le fixe à mes tétons il tinte. Je sens le serrage lent et précis sur mon téton. Je retiens mon souffle, la douleur du pincement est forte, il recommence, me masse lautre sein, pince des ses doigts le tétons, lexcite, prend un grelot, le fait sonner en le montrant aux fidèles puis le pose sur mon deuxième sein. La même douleur me saisie, je me cambre en retenant ma respiration. Il sent que je souffre, il me masse le ventre dun mouvement circulaire annonçant probablement aux invités assis quil va soccuper de cette partie de mon corps. Il fait quelques pas en arrière, un deuxième esclave sapproche et lui tend une poignée dorties, il la saisit, revient vers moi puis la pose sur ma poitrine, les piquants me font réagir, jessaie de me dérober, les grelots teintent.
Il saisit alors un cierge allumé sur un bougeoir. Il commence par faire le tour de mon corps avec puis le passe au dessus de mon visage de ma poitrine en prenant soin que la cire ne tombe pas sur mon corps il se déplace et se met debout entre mes jambes, il lève le cierge enflammé pour le montrer au public puis le descend au niveau de mon clitoris, la chaleur se fait de plus en plus forte, il le laisse une bonne minute réchauffer mon anatomie. Ensuite il approche son visage le souffle et le retourne. Il présente ce cierge devant mon anus ainsi offert et sans prévenir me sodomise avec directement mais doucement, très doucement mais sans aucune préparation. La pénétration me fait alors mal, il poursuit lenfoncement, je souffre, je grimace et laisse échapper un cri de douleur. Alors pour me détendre il me masse le clitoris, retire le cierge et lenfonce à nouveau, toujours en douceur, il fait quelques allés et venus avec et me le laisse dans lanus. Je commence à avoir froid, je devine que la suite va être de la même veine. Il se retire de lautel et se met derrière, face aux invités, il fait teinter une cloche. Une personne se lève et approche. Son visage est caché par un masque un long manteau de fourrure couvre son corps. En passant près dun esclave elle reçoit un objet, je ne perçois pas de quoi il sagit, je minquiète. La personne qui doit être une femme dominante comme lindique ses mains fines aux long doigts se met face à lassemblée. Elle retire les orties sur mon ventre, pose quatre petits disques métalliques, deux de chaque côté de mon nombril. Les disques sont enduits dun gel qui leur évite de glisser. Le Maître approche un boîtier doù sortent des fils électriques qui sachèvent par de petites pinces.
Le Maître appuie sur un bouton sur le boîtier, puis tourne complètement un bouton. Je marque boute sous leffet dune surprenante décharge électrique, supportable mais subite, lassemblée silencieuse murmure. Ensuite il recommence à nouveau pour voir ma réaction. Je me cambre à nouveau ce qui a pour conséquence douvrir mon sexe.
Il baisse lintensité électrique puis avec le boîtier répartit le passage dun disque vers lautre. Lélectro stimulation se fait comme une rotation dans le sens des aiguilles dune montre. Mes abdominaux se crispent alternativement dun côté puis de lautre. Il laisse le boîtier. La femme se baisse légèrement et vicieusement me masturbe le clitoris lentement mais avec une régularité parfaite pendant de longues minutes. Je suis trempée. Puis elle repart sasseoir. Lorsquelle a repris sa place, le Maître de cérémonie agite à nouveau la clochette. Une autre personne se lève dun autre rang il vient vers lautel avec un pas pesant. Il passe derrière se met face aux autres. Le Maître de cérémonie linvite à retirer le cierge qui est toujours dans mon anus. Il le retire extrêmement lentement puis alors quil est sur le point dêtre sorti, il lenfonce à nouveau.
Derrière les deux hommes, Le Maître cagoulé et le Maître de cérémonie, lesclave réapparaît avec son plateau. Sur celui-ci je vois deux tubes aux bout arrondis de métal doré, du diamètre dun manche à balais. Le Maître cagoulé prend un des tubes dans sa main, le pose sur mon ventre, puis prend lautre. Lesclave recule en baissant la tête. Lhomme tourne autour de lautel, se met face à moi. Sur le dos, les jambes et les cuisses attachées, je lui suis offerte. Il montre le tube à lassemblée, le fait tourner sur lui même puis écarte mes petites lèvres et me pénètre dun coup.
Me voilà avec deux banderilles fichées dans le corps, dans mes deux orifices intimes. Dune main il prend le premier tube puis le fait tourner sur lui même. Puis il fait de même pour le second. A côté le Maître de cérémonie qui me fixe dans les yeux depuis le début des pénétrations, se déplace un peu, il empoigne alors le tube dont lautre extrémité est dans mon vagin. Lofficiant empoigne lautre. Dans un premier temps, les deux hommes font des mouvements de haut en bas, utilisant les tubes comme des leviers. Je ressens de curieuses sensations, la pression du tube sur le haut et le bas de la paroi de mon vagin, et en même temps sur le haut et le bas de la paroi anale, les mouvements vont lentement puis le rythme saccélère toujours en accord les deux en haut et les deux en bas. Puis les deux hommes arrêtent. Je pense quils vont me laisser, que je vais avoir un peu de répits, je pense mal. Lofficiant effectue un mouvement circulaire avec sa main, après une impression de levier dans lanus, je ressens la pression sur tout le pourtour de ma rosette, il agrandit le mouvement de rotation, il me dilate un peu plus. Le Maître de cérémonie après une demi-douzaine de tour commence à faire de même. Les deux tubes magrandissent. Lun lanus, lautre le vagin. Je suis de plus en plus mouillée. Jai du mal à retenir ma douleur en même temps que mon excitation, quelle bizarre mélange que ces deux sensations simultanément. Lorsque je me cambre, je suis encore plus offerte, ils en profitent pour enfoncer davantage les tubes, lorsque jessaie de me resserrer malgré mes liens, ils agrandissent le cercle.
Après une bonne centaine de rotation, lofficiant retire le tube de mon anus et retourne sasseoir. Le Maître de cérémonie continue. Il retire le tube et plonge ses doigts dans mon vagin, avec le pouce il masse mon clitoris. Je suis sur un point de tension extrême, des spasmes commencent à me parcourir. Il arrête et sort le tube. Il ne fait plus aucun doute, je ne dois pas avoir dorgasme. Le plaisir mest interdit pour le moment.
Il se remet au milieu de lautel et montre les tubes lun après lautre avec un doigt indiquant une distance. Sans doute la longueur de pénétration que jai subie. Lassemblée murmure.
Un claquement de doigts et lesclave savance, avec son plateau. Le Maître pose les tubes dessus. Le serviteur soumis se retire toujours en baissant la tête. Le Maître de cérémonie arrête lélectricité. Tant jétais pénétrée que jen avais oublié lélectricité. Il retire les disques métalliques.
Lesclave savance à nouveau avec un bol contenant un liquide huileux. Le Maître de cérémonie fait à nouveau teinter la cloche.
Une autre personne sapproche, ses mains sont celles dune vieille femme, ridée avec des doigts extrêmement longs, des ongles coupés courts.
Le Maître de cérémonie prend le bol, le penche, le liquide huileux coule sur mon ventre puis entre mes seins, il le fait passer dans lautre sens et je sens lhuile glisser sur mon mont de Vénus et mon périnée.
La femme commence par étaler lhuile sur mon abdomen, létale sur la poitrine, puis sur mon bas ventre, elle ne manque pas, avec vices, dimmobiliser mon clitoris avec son pouce et me pénètre le vagin avec deux doigts je pense. Le Maître de cérémonie me fixe dans les yeux, il lui fait signe de soccuper de ma poitrine et de mon ventre. Elle commence à me caresser vigoureusement le haut du torse, puis entre les seins, puis ses deux mains se posent sur ma poitrine généreuse. Avec un mouvement de rotation, elle malaxe mes seins, insistant sur les zones où les piqûres dortie sont encore douloureuses. Les grelots sagitent. Le Maître de cérémonie les retire. Cest un soulagement pour moi, mais je sens une légère coulée sur le sein gauche. ais-je ?. Je narrive pas à voir
La femme continue le massage sur mon abdomen, autour de mon nombril. Elle appuie et relâche ses mains. Elle joue sur les effets de pressions. Elle commence à prendre ma peau et la chair entre ses doigts des deux mains, la fait rouler en serrant. Je commence à apprécier, le Maître de cérémonie sen aperçoit. Il le voit dans mon regard. Il ne dit rien cette fois. Il effectue quelques pas en arrière, il se met sur la réserve. Vais-je avoir un peu de plaisir dans cette cérémonie dun genre particulier. Je ne sais pas. La masseuse continue, elle descend vers le bas-ventre, elle insiste sur mon mont de Vénus puis à nouveau le Maître savance. Je comprends quil ne veut pas quelle entre en contact avec mon intimité. Elle remonte lentement de part et dautre de mon abdomen puis glisse ses mains sous mes flancs, comme pour essayer datteindre le milieu de mon dos.
Ce massage ne manque pas de me faire cambrer. Je suis encore plus offerte. Le Maître le sait. Il sonne la cloche à nouveau, la masseuse continue son uvre. Je ne comprends pas, personne ne se lève.
Elle sinterrompt, puis se retire et va sasseoir. Le Maître de cérémonie reste seul près de moi. Je me doute que cest un tournant de la cérémonie. Il détache mes mains et mes chevilles, jallonge aussitôt mes jambes en faisant quelques mouvements.
Jai très mal au dos. Cette position allongée le bassin surélevé ma éreinté. Jaimerai bien me lever, bondir et partir, mais tous les invités se sont levés et ont commencé à former un arc de cercle sur le tapis rouge devant lautel.
Le Maître de cérémonie, me prend par le coude, je pivote sur le côté et me retrouve assise sur le bord de lautel. Face aux Maîtresses et Maîtres. Je suis assise et nue. Mes fesses sont sur ce marbre froid. Jai la chair de poule. Je tremble à moitié. Il le voit. Un esclave sapproche avec son plateau sur lequel il y a un verre et à côté une brique de lait. Il men verse un verre et me le fait boire. Jessaie de saisir le verre de ma main, il me fixe froidement, je comprends quil ne faut pas. Je suis à sa merci. Il repose le verre sur le plateau. Le serviteur se retire. Le Maître de cérémonie me fait signe de descendre de lautel. Je mexécute. Maintenant je suis nue, face à lassemblée. Je tressaille démotion. Il me prend la main et me fait faire quelques mètres...
(A suivre ...)
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