Espionner, Ça Paye !
Dans les environs de Notre Dame de la Garde, à Marseille, il y a des promenades sympathiques à faire, dans les rares endroits encore boisés de la ville. C'est à l'occasion de cette ballade que cette histoire m'est arrivée.
En passant devant une maison, j'entendis des bruits bizarres. Des soupirs reconnaissables entre tous. Quelqu'un faisait l'amour. Je m'approchai du grillage, et regardai entre les canisses. C'était un beau garçon, blond, qui se tapait une branlette en regardant un film porno. J'étais en équilibre pour regarder, et j'ai glissé. Alerté par le bruit, le garçon, pas gêné, s'est amené, dans le plus simple appareil, et m'a découvert.
- Tu t'es fait mal ? A-t-il demandé.
- Non, j'ai juste glissé.
- Qu'est-ce que tu faisais ?
- Je te regardais !
- Ca t'as plu ? Tu veux participer ?
- Pourquoi pas !
- Fais le tour par en bas !
Il a ouvert le portail dans la même tenue. Je suis entré et après avoir refermé, il a dit :
- Attends, je vais t'aider !
Il a attrapé ma chemise et m'a mis torse nu. Il m'a embrassé les épaules et m'a lèché les lèvres. Dans le même temps, il a aggripé la ceinture du pantalon. En un tournemain, j'étais à poil.
- Comme ça, on est à égalite, dit-il en me prenant par la main.
Il m'a conduit au même endroit qu'il occupait quand je l'ai surpris. Il s'est assis sur une chaise et m'a attiré vers lui. Il m'a pris par les fesses et a embouché ma bite. Il l'a avalée, jusqu'à ce que ses lèvres touchent les poils de mon pubis. Il l'a gardé comme dans sa bouche pendant quelques secondes et a dégluti, comme s'il allait l'avaler. Puis, il s'est levé et s'est dirigé vers une espèce de hamac.
- Allez viens, me dit-il en s'allongeant sur le hamac.
J'allais m'allonger près de lui, quand il dit :
- Non, pas comme ça, dans l'autre sens !
Je me suis couché sur lui, la tête entre ses jambes. J'avais compris ce qu'il voulait. J'ai pris sa queue dans ma bouche et lui, ma bite dans la sienne. Ensuite, il s'est relevé et m'a entraîné vers la chaise. Il s'est assis et m'a attiré vers lui.
- Allez, à cheval !
Je l'ai enjambé. Il tenait sa queue droite et l'a dirigé vers mon trou de balles. Quand elle m'a chatouillé l'anus, je me suis laissé tomber dessus. J'ai posé mes mains sur le dossier de la chaise et j'ai commencé par bouger. Sa queue coulissait entre mes fesses. Dieu que c'était bon. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'il jouisse dans mon cul.
Après ça, il m'a expliqué qu'il adorait se trouver dans des positions simulant le viol. Comme je ne comprenais pas, il m'a dit :
- Ja vais te montrer !
Il m'a approché d'une table.
- Volià, tu vas te coucher à plat ventre sur la table. Je vais t'attacher les mains sous la table. Je vais te fouetter et ensuite je t'enculerai violemment., à grands coups de reins. Toi, tu peux essayer de pleurer et de gémir, j'adore ça. T'es OK
- Ouais, pourquoi pas !
La mise en scène installée, il m'a réellement battu. J'avais le cul en sang. Et, si j'ai crié, ce n'était pas pour lui faire plaisir. Mais, quand il m'a planté son braquemart de toutes ses forces dans le cul, j'ai joui comme jamais auparavant. Je me suis juré que je recommencerais. Quand il est ressorti de mon cul, il est repassé devant moi. Ila relevé ma tête en me prenant par les cheveux. Avec un ultime coup de fouet, il a crié :
- Suces !
C'était la première fois que je testais le goût de mon propre cul.
Quand il m'a relâché, je me suis promis de ne jamais y retourner. Mais, après quelques mois de disette, j'y suis allé, mais il n'habitait plus là
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!