La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 643)
J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - Un soir au Château (2/2) -
Jarrive sur le tapis rouge. Les invités ferment le cercle autour de nous de plus en plus resserré. Je suis au centre avec le Maître de cérémonie. Ils sont à environs trois mètres de moi.
Puis sur un signe du Maître, un esclave entonne un chant lugubre, comme un chant de cérémonie funéraire, après une minute de chant, le Maître de cérémonie, lève la main droite, il se met sur mon côté gauche, un peu derrière moi. Que va-t-il marriver ? Sa main sabat sur ma fesse droite. Cette fessée dont le bruit retentit sous les voûtes est la première, une seconde va arriver sur ma fesse gauche.
Un esclave coupe la ronde des invités et approche une chaise. Le Maître de cérémonie sy assoit. Un second esclave, que je navais pas vu arriver dun autre côté, coupe la ronde et avance un basset. Une sorte de petit banc rehaussé à quatre pieds sur lequel je suis invitée à me mettre à plat ventre.
Comme je ne suis pas exactement au bon endroit le Maître de cérémonie, me donne une petite claque sur le haut de la cuisse, il veut que mes fesses soient exactement au niveau de lextrémité du banc.
A partir de ce moment je sais que je vais subir des châtiments corporels, fessées peut-être, martinet, fouet... je ne sais pas.
Le Maître de cérémonie se rassoit. Il attend. Un des invités se lève. Il se met face à mon postérieur et massène une fessée qui retentit à nouveau. Puis à tour de rôle chacun vient frapper mes fesses. Je ressens des mains larges et puissantes, sans doute des hommes, des mains moins larges mais très énergiques de femmes. Dailleurs jai limpression que ces fessées moins puissantes en apparence sont beaucoup plus douloureuses. Elles sont moins larges et limpact est cinglant. Lorsque tous les invités sont passés, tous sagenouillent.
Un serviteur soumis sapproche à nouveau. Il lui présente un plateau avec divers godemichés. Il en prend un lentoure de son pouce et de son index comme pour le mesurer. Il le pose, en prend un second, le soupèse et le pose. Finalement son choix sarrête sur un troisième. Celui-ci nest pas lisse, il semble en latex noir avec des aspérités.
Il le trempe dans un bol de gel à côté puis me lenfonce doucement mais sans hésitation dans lanus. Il me strie lintérieur, je crie de douleur. Je reçois une cinglante fessée. Il le retire et recommence, cette fois-ci jessaie de ne pas crier, mais la douleur est encore la plus forte, je crie modestement, et reçois à nouveau une fessée.
Alors que le godemiché est enfoncé dans mon anus, un esclave avance avec sur un plateau des baguettes, des martinets. Le Maître de cérémonie, en choisit un avec de courtes lanières terminées de morceaux de métal. Il le tend à un Maître en face.
Ce denier avance denviron deux mètres et prends le martinet. Il lève la main, me frappe une première fois sur les fesses, puis après un répit une seconde fois et rapidement derrière une troisième fois. Visiblement je subis une correction. Je ne dois pas crier quoiquil arrive. Le Maître de cérémonie serait fâché.
Après ces fessées et ces coups de martinets, il me caresse les fesses, insistant sur les marques douloureuses que je porte. Chaque passage de ses mains, me meurtrit davantage. Il arrête un instant.
Les invités à genoux se lèvent et se dirigent vers une grille en fer forgé.
L invité qui tient le martinet me pousse avec le bout. Il veut que je suive le groupe. Je me sens humiliée. Je suis, les Maîtres et Maîtresses sécartent. Le Maître ferme la marche. Arrivée près de la grille, je remarque que la distance entre celle-ci et le piler de soutènement de la voute est relativement court.
Tous se taisent. Le silence est lourd. Le Maître de cérémonie réfléchit ou prépare un plan diabolique. Je ne sais pas. Finalement il attache mon poignet droit à la grille, lautre à la chaîne qui est accrochée au pilier. Il attache ensuite ma cheville droite à la grille. Un serviteur apporte un tabouret sur lequel il exige que je pose le pied, celui-ci est sanglé au tabouret.
Ainsi en équilibre sur le pied droit, la seconde jambe fléchit pied posé et attaché à lassise du tabouret je ne peux plus bouger. Les fidèles se réorganisent pour voir le spectacle. Certains sont devant moi, dautres derrière moi.
Au goût du Maître de cérémonie, le tabouret est trop prêt de ma jambe droite. Il le pousse de son pied, le fait glisser. La position devient très inconfortable. Je suis totalement écartée.
Le Maître ordonne à trois invités de faire ce quils ont à faire. Il sassoit en face de moi, sur une chaise plutôt confortable. Je me sens fragile, comme un chrétien sur une croix. Certes mes mains et mes pieds ne sont pas transpercés, mais je suis nue, offerte aux regards des fidèles présents. Je remarque toutefois que ceux qui sont devant moi nont pas des mains de femmes. Y aurait-il eu un classement, les hommes face à moi, les femmes ayant mon dos comme spectacle ?
Les trois invités font un petit détour et se servent sur une table. Lun deux prend une poche contenant un liquide blanc, il prend un tuyau, lautre prend un seau. Le troisième prend des gants en latex et les enfilent.
Celui qui a des gants se dirige vers moi, il me fait face, il me masturbe le clitoris dune main et pendant ce temps enfonce les doigts de lautre main dans mon vagin, deux doigts dabord, puis trois et quatre. Il les retire et poursuit vers mon anus, il y met deux doigts, quil écarte, puis trois doigts. Mestimant assez dilatée je pense, il fait signe au porteur de poche et de tuyau davancer.
Le Maître de cérémonie se lève, lhomme au gant de latex lui laisse le passage. Il sapproche de moi. Je suis toujours en équilibre sur ma jambe droite, la jambe gauche relevée. Leau circule dans le tuyau qui entre dans mon anus. La poche se vide lentement.
Le Maître de cérémonie, se met à genoux devant moi, il écarte mes petites lèvres, découvre mon clitoris, le pince avec ses doigts puis il le tire, le relache, le pince à nouveau, le tire et le relache, il sort un petit tube de sa poche, pose son extrémité dessus puis aspire lair avec sa bouche. Il est en train de me pomper le clitoris. Je sens que le sang afflue, il me semble quil gonfle quil prend du volume et se fait très sensible. Le maître continue puis ferme lextrémité du tube dans sa bouche avec le doigt. Mon clitoris est entubé. Il le tire un peu puis relâche, le tire à nouveau. IL fait le mouvement une dizaine de fois et retire son doigt. Il me présente au fidèle. Mon clitoris est saillant, gonflé sous leffet du pompage. Il écarte mes petites lèvres, le masturbe pour montrer que je ne suis pas insensible. En effet, jessaie de me retenir, mais je suis à la limite de craquer, je respire profondément. Le Maître de cérémonie le voit. Il se relève me fixe droit dans les yeux, sort de sa poche un gode gonflable. Il me pénètre le vagin puis le gonfle. Lécartement me surprend, il mexcite de plus en plus. Une fois bien en place, il le laisse et retourne sasseoir.
Je sens que quelquun retire le seau de dessus ma tête. Je respire à nouveau lair libre. Je commençais à dessous. Le groupe de invités est toujours devant moi, mais ils semblent très excités. Sans doute la vision de ce lavement. Personnellement je me sens sale, humiliée, souillée et je baisse la tête et les yeux. Le Maître de cérémonie sen aperçoit. Il se lève et vient me caresser les joues puis me pose un baiser prolongé sur la bouche comme pour me remercier de ce spectacle. Je suis toujours accrochée et ne peux lenlacer. Lui me serre dans ses bras. Sous son manteau qui me touche je sens son sexe dur prêt à me pénétrer. Jai peur. Va-t-il me sodomiser maintenant que je suis propre, me pénétrer normalement ou presque pendant que je suis attachée, je ne sais pas. Il entrouvre son manteau. Sur son sexe, il a mis un préservatif. Plus grand que moi il me prend une main sous chaque fesse, me décolle du sol et mempale sur son sexe Je suis coincée, attachée, les pieds dans le vide. Il me bourre violemment, puis fait signe à un esclave de me détacher. Celui-ci libère mes poignets je magrippe aux épaules du Maître de cérémonie, il libère ensuite mes chevilles. Le Maître de cérémonie qui me porte sur son sexe, me pose sur le sol et me pénètre à nouveau de forts coups de reins. Il sort et recommence comme on assène des coups sur un supplicié au sol. Il mexcite mon clitoris, je suis trempée et je suis au bord de lorgasme. Il finit par éjaculer et reste un instant sur moi. Le poids de son corps sur le mien me rappelle que je ne suis pas en position de force. Lorsquil sagenouille. Il fait signe à quatre invités de sapprocher. Ceux-ci à tour de rôle, protégés de préservatifs vont me pénétrer avec force, violence. Je suis fatiguée mais voudrais que ces pénétrations ne cessent pas, tant lexcitation lemporte sur la fatigue. Mon dos sur le tapis me fait mal. Ma paroi vaginale commence à me faire souffrir, elle séchauffe malgré la cyprine qui sen écoule, mais malgré tout ça, je ne veux pas quils sarrêtent.
Le quatrième homme me pénètre, très fort, il me soulève en sasseyant, je me retrouve sur lui. Je suis enfin dans une position dominante. Pas pour longtemps.
Un autre invité sapproche et me sodomise en se mettant à califourchon sur les cuisses de lautre homme. Je suis coincée et prise en double entre deux hommes. Les coups de boutoirs saccélèrent, ma respiration est de plus en plus courte. Un troisième vient se faire sucer. Je le prends en bouche sans aucune hésitation, tant je suis emportée dans un tourbillon de plaisir. Ils multiplient leurs efforts, je suis dans un état second, la fatigue lexcitation, le public qui me regarde je vais mévanouir... je me sens partir
Et dun coup je me réveille en sursaut. Je suis chez moi dans mon lit, seule, intacte, aucune trace sur mon corps. Jai rêvé. Oui rêvé ! Le Plug inséré dans mon anus avant de me coucher nest plus à sa place. Je me réveille
Et je repense d'un coup à l'invitation reçue hier soir par mail du Marquis d'Evans, invitation à venir passer un week-end dans son château, suite à notre abondante correspondance virtuelle ... Ce rêve m'a ouvert les portes de la soumission et est peut être prémonitoire
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