La Mante Religieuse. (4/14)
Après une nouvelle nuit à me faire baiser par mon beau-frère devant mon puceau de mari, je vois Antoine parler à Henri qui a regardé ses freins avant quil rejoigne la plaine comme il lui a demandé.
Après cêtre mis au volant je le vois partir vers la descente du Semnoz en pleine vitesse comme à son habitude.
Il est 11 heures quand une camionnette de la gendarmerie entre dans la cour, ma belle-mère sort et je la vois tomber littéralement à genoux devant le gendarme.
Compatissante je prends limperméable pendu dans lentrée et je la rejoins « tant en petite tenue.
Antoine a eu un accident dans la descente, il a loupé, un virage et sa voiture à passer dessus un pat et sest écrasé 50 mètres plus bas.
Il est blessé.
Non, il est mort.
Je fais voir ma compassion en prenant ma belle-mère dans mes bras pour la relever.
Qui êtes-vous, cest la première fois que je vous voie ?
La femme dAurélien mais vous connaissez ma grand-mère qui habite la maison voisine.
Vous êtes la petite fille de Denise.
Oui cest cela.
La voiture va être remontée et envoyer à lanalyse, avez-vous des doutes sur ce quil pourrait cêtre passé.
Non, Henri le frère mécanicien a regardé les freins avant et arrière ce matin je lai vu sous la voiture à la demande dAntoine qui se plaignait que ses freins étaient un peu mous.
Merci nous consignons cela dans le procès-verbal, nous verrons après lanalyse, encore toutes nos condoléances.
Le fruit dans le ver, en parlant au gendarme quHenri est intervenu à lavant et à larrière, lui seul sait quil a regardé juste à lavant.
Les frères emmènent leur mère auprès du corps dAntoine et je reste seul à la ferme avec le beau-père et sa bouteille.
Jen profite pour visiter et dans le hangar où sont rangées les grosses machines agricoles je constate quHenri travaille à lintérieur des lames de la coupeuse à Maïs.
Je connais ces machines car nous sommes allés en bus dans une des dernières fermes de la région parisienne et le fermier nous a fait monter dans la cabine et je sais comment remettre la protection de sécurité et démarrer le moteur.
Quand je reviens dans la cuisine mon beau-père sest endormi la tête sur la table comme à son habitude.
Je le laisse se reposer et je monte à létage faire les lits des frères.
Dans ce qui aurait dû être ma chambre, jenlève le drap du dessus et je constate quAdrien a expédié beaucoup de cartes de France dans le drap du dessous, il a dû se masturber à mort en revenant de la chambre de feu Antoine.
Ce soir je vais dormir seul profitant de la promesse faite à mon amant de jamais me faire sauter par mon mari.
Je vais discrètement dans la chambre de mes beaux-parents et comme je suis curieuse jexplore larmoire lieu des cachettes des gens rustiques.
Je tombe sur des cahiers type écolier à petit carreau où des textes sont écrits dune belle main à lancre certainement à la plume sergent-major comme jen ai vu chez mamy Denise.
Le plus vieux date des exploits sexuels de Camille quand elle faisait la pute à Toulon avec les petits pompons rouge.
Je retrouve ce que ma dit Antoine sur le fait quelle a consigné sa nuit de noces contrainte de couché avec le grand-père des garçons alors quelle se savait enceinte dun des marins inconnus.
Japprends que comme Aurélien, le poivrot qui cuve en bas est le seul avec qui elle est restée sans aucun rapport.
Je prends le deuxième cahier bien plus intéressant car il parle de la période de la naissance dHenri.
Et là la révélation que fait Camille mapporte un jour nouveau sur ma propre famille.
Voici ce que je peux lire.
Achille, mon beau-père meurt. Mon cocu est bien incapable de me baiser et rapidement ma chatte me démange.
De temps en temps je croise Victor le mari de Denise notre voisine et ce grand gaillard semble fort viril.
Hier en longeant la haie entre nos deux propriétés je suis tombé dessus et rapidement notre attirance physique sest transformée en une attirance fusionnelle.
Nous avons littéralement arraché nos affaires et avec lui jai retrouvé les bons moments où je me faisais tringler en amassant le fric ainsi que le pognon de Luigi que jai bien caché si par malheur mes vieux jours se passent mal.
La queue qui ma labouré pendant des semaines à entraîner la naissance dHenri et qui a précipité ma rupture avec Victor contraint et car ce grand couillon est mort en me baisant dans notre grange un jour de pluie.
Il a fallu que je le tire par les pieds jusquà la clôture pour faire croire quil était mort en se promenant.
Quelle révélation, Henri est le fils de mon grand-père et le demi-frère de ma mère.
Jentends la voiture dHenri qui revient et je remets tous ces cahiers à leur place.
Alors que je descends un grand cri minterpelle, ma belle-mère secoue son mari qui reste inerte.
Moi qui croyais quil dormait, il venait de boire son dernier verre.
Le médecin appelé est obligé de constater le décès par mort naturelle si lon exclut les litres de pinard quil singurgitait.
Son fils et son mari mort le même jour, nous allongeons Camille sur le canapé où le médecin lui fait une piqûre pour la faire dormir.
Je prépare le repas du soir et comme dhabitude mon mari mange seul en bout de table.
Les trois autres frères mangent sans un mot avant de monter ce coucher.
Je débarrasse laissant ma belle-mère dormir, je lui mets une couverture dessus et je monte à mon tour.
Jarrive sur le palier.
Et la pute vient me voir je tavais dit que tu serais à moi rapidement, maintenant cest moi qui vais exercer mon droit de cuissage.
Jentre dans la chambre dHenri il est assis sur son lit la queue au zénith.
Bien moins grosse que celle dAntoine mais plus développé que celle dAurélien je me vois dans lobligation de mavancer.
Je connais déjà ta chatte depuis que mon frère ta acheté tes tenus de pute, fais-moi voir tes seins.
Moi en priorité cest ton cul qui mintéresse à baiser.
Aurait-il des tendances homosexuelles refoulées, même si cest le fils de mon grand-père et le frère de ma mère jai limpression quHenri va me faire commettre un acte réprouvé en me prenant le petit mais philosophe, je me dis que tradition oblige une queue est une queue et que tous ignoreront que jai transgressé des tabous.
Je me désape, monte sur le lit et une nouvelle fois depuis les trois jours de mon mariage jai la bite dun nouvel amant à sucer tout en le masturbant.
Jai nettement plus facile à lui faire une gorge profonde le calibre étant plus à la portée de mon conduit buccal et je vois quil apprécie davoir récupéré la salope que son frère, reposant à la morgue à créer.
Mets-toi à quatre pattes que je te prends comme la chienne que depuis deux jours jentends hurler à la mort sous les coups de bite de mon frère.
Non va chercher mon mari pour quil contemple sa déchéance quand tu seras à fond en moi, il a joué avec moi je tiens à ce quil perde lintégralité de sa dignité.
Henri se lève et Aurélien arrive en larmes dans la chambre pour sasseoir sur une chaise et voir quune nouvelle fois je baise avec un autre que lui.
Tu as raison de lavoir là cela va amplifier mon plaisir, ma mère a voulu se faire mettre par ces Suédois et son rejeton va comprendre que dans notre famille on a de la dignité, remet toi à quatre pattes.
Je mexécute mais sans aucune fioriture il me plante apportant un hoquet à mes lèvres.
Contrairement à Antoine sa résistance est bien moindre et au bout de moins dun quart dheure sans que jaie joui il me fruste et décharge son sperme dans mon anneau.
Au matin ils dorment tous Aurélien après avoir vu sa nouvelle déchéance a rejoint sa chambre qui maintenant jen suis sûr sera tout sauf la mienne.
Au rez-de-chaussée Camille est debout mais son comportement est étrange.
Elle marche en marmonnant des mots inaudibles.
Arrivée à un bout de la pièce elle tourne à 90 degrés et repart idem au mur suivant finissant par faire un carré autour de la table.
Je la prends par les épaules me sentant un peu proche delle, dans cette famille elle a connu lobligation de coucher avec le patriarche même si elle était loin dêtre vierge comme moi.
Deux fois dans ses mots psalmodiés « Armoire » revient, dès quHenri descend je lui parle de létat de sa mère.
Il décide dappeler le médecin qui arrive rapidement après avoir compris que ma belle-mère semble avoir perdu la raison.
Nouveau calmant pour la faire arrêter de marcher et évacuation vers lhôpital me donnant libre cours à mes recherches dans la maison dès quils sont tous à leur travail même Aurélien qui prend sa voiture pour retourner à la fac sans un mot.
Il est onze heures quand une voiture de la gendarmerie vient nous donner des convocations.
Bonjour madame, Noami, monsieur Henri est là.
Dans son atelier il doit travailler sur la faucheuse à maïs, je lappelle.
Deux minutes après il arrive sessuyant les mains grasses avec un chiffon aussi gras.
Vous pouvez vous présenter à 13 heures dans nos bureaux avec votre mère nous avons quelques questions à vous poser.
Vous madame Noami nous vous attendons à 14 heures, messieurs Julien et Jules à 15 heures et monsieur Aurélien à 16 heures.
Notre mère a été hospitalisée ce matin elle semble avoir mal pris le décès de son fils et de son mari le même jour.
Je le consigne nous irons la voir la-bas.
Pour Aurélien mon mari il est retourné à la fac jusquà vendredi, il fait des études de médecine.
Comme pour votre mère nous irons lauditionner.
Quelque chose vous intrigue monsieur ?
Vous verrez cet après-midi nous avons des questions à vous poser.
Henri mange peu à midi mais il se croit obligé de faire voir aux jumeaux quil est le nouveau patron dans la maison.
Quand je passe près de lui pour le servir sa main passe sous ma petite jupe pour mentrer des doigts dans lanus.
Contrairement à son frère il est peu lingerie mais semble apprécier que jaie oublié ma culotte.
Je deviens de plus en plus déluré car jécarte légèrement les cuisses pour quil puisse entrer plus loin.
Les jumeaux ont les yeux qui leur sortent de la tête à cette vue quHenri leur sert sur un plateau.
Henri part et après avoir fermé la maison, les jumeaux étant déjà descendus je prends ma petite C1 Citroën et descends au rendez-vous passant près de lendroit où Antoine a perdu la vie.
Je marrête dans le petit parc à voitures qui suit le virage permettant aux touristes de sarrêter pour contempler la vue, je remonte jusquà la brèche boucher par les services de sécurité par une barrière de bois et mapprochant je jète dans le vide une rose rouge que jai cueillie devant la maison de la fratrie
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!