La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 644)
Et voici enfin, le dernier texte ! - J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - 2 histoires de fessées -
LA FESSEE DE MARIE -
Je suis Maître Jacques invité dhonneur du Marquis dEvans dans son immense château. Et à ce titre le Maître des lieux me donne plein pouvoir sur ses soumises et soumis durant mon séjour. Et justement pendant celui-ci, un matin, alors que je rentrais dans la cuisine du Château pour la visiter, je trouvai une de ses soumises, Marie, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassai légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui dis sèchement sur un ton de reproche:
- Casser la luxueuse vaisselle du Château, le Marquis ne sera pas content du tout, cela mérite au moins une fessée !
Intimidée, fautive et en balbutiant, elle me répondit craintivement :
- Je nai pas fait exprès, ce verre de cristal est tombé et
- Silence, jai dit que cela mérite au moins une fessée !
- Heu
Si
Si vous pensez que je le mérite, Maître, alors punissez-moi !
Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe, et commençai à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par sa culotte. Progressivement, j'appuyai mes coups en commençant à claquer sa peau nue. À un moment, Marie poussa un cri et je lui demandai si elle souhaitais que je m'arrête . Elle me répondit :
- Non, au contraire, allez-y plus fort, Maître, je dois payer la vaisselle cassée.
Je baissai alors sa culotte et frappai alternativement, de plus en plus fort ses fesses qui, sous les coups, devenaient cramoisies. À chaque coup, Marie poussais un cri mais ne voulais toujours pas refuser la correction. M'arrêtant, je passai mes doigts dans sa fente et me rendis compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation. Je décidai d'aller plus loin dans la correction. Je redressai Marie et lui demandai de maintenir sa jupe soulevée, debout. Puis, j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge, accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtai, vérifiai que sa fente étais toujours aussi émoustillée, puis jenlevai
sa culotte à terre, en fit un chiffon serré dans ma poigne de ma main et je l'enfonçai dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le Château.
Puis je dégrafai sa jupe et lui demandai d'écarter les jambes. Je recommençai alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. Pour chaque nouveau coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui redemandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuai alors la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis de bon cur. À mesure que les coups pleuvaient, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.
Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je stoppai et lui enlevai son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrai d'un coup sa chatte toute trempée, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir.
Une fois calmée, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirai sa culotte de sa chatte et nettoyai son anus largement ouvert qui laissa échapper quelques traces de sperme.
Marie se souviendra longtemps de sa punition et moi de mon séjour au château
. Et je remercie le Marquis dEvans de son hospitalité
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LA FESSEE DE LA NOUVELLE BONNE -
Le château des Evans, est situé en pleine campagne et il faut vraiment avoir envie dy venir travailler, la demeure étant assez isolée, loin des villes. Cest un vieux bâtiment de pierres du seizième siècle, aux parquets cirés, aux grandes fenêtres, aux salles hautes, aux longs couloirs, où tentures, tableaux et lustres abondent. Tout semblait calme dans cette vieille bâtisse. Lhiver, la neige en cette fin daprès midi de décembre
En plus, le vieux bâtiment est mal chauffé
trop grand pour tout chauffer
.
Emma la nouvelle bonne, embauchée par Sir Evans par petites annonces, était heureuse davoir enfin un emploi, cet emploi, elle, au chômage. Elle venait davoir ses 22 ans
Il était dix-sept heures quand Sir Evans la convoqua dans son bureau pour les formalités dembauche.
Malgré lhiver, elle était en jupe courte en cuir, des bas, et des bottes montant jusquau genoux. Le tout noir
En haut, un chandail de laine recouvrait un chemisier blanc. Une vraie femme déjà, au cul que lon devinait musclé, au charme très sensuel Une fois entrée timidement, elle trouva en face delle, un lourd bureau vernis de style louis XVI où se trouvait le maître des lieux, le marquis Evans appelé communément Sir Evans. Il a du charme dit-on dans son éternel costume noir lui donnant une belle élégance et un certain charisme qui devait en impressionner plus dun.
- « Bien asseyez-vous, nous devons parler de votre contrat de travail, », dit-il en lui indiquant une chaise tout aussi stylée que le bureau. Elle sassit prestement, dun mouvement souple, en relevant légèrement la jupe de façon à bien sentir le velours chaud et doux, velours de haute qualité de la chaise sous ses fesses.
- « Vous mêtes recommandée par lagence pour vos états de service mais je vois dans votre dossier que malgré vos qualités professionnelles lesquelles je ne doute pas, je suis septique en lisant : A perdu son dernier emploi pour affaires privées » Pouvez-vous mexpliquer, ce que cela veut dire ?
- Et bien dit Emma très gênée et rougissante, je
Jai
jai..
- Oui vous ?
Ecoutez dites-moi, jexige de tout savoir si vous voulez ce poste.
- Bien Monsieur le Marquis, jai
jai
heu
voila, jai
couché avec Monsieur mon ancien patron quand sa femme est arrivée et jai perdu ainsi mon emploi, prise en flagrant délit
mais je
je ne voudrai pas que vous croyez que
- « Etes-vous sûre de vouloir travailler ? coupa court alors froidement Sir Evans dun regard perçant
Emma brièvement simagina punie, les fesses à lair.
- « Allez mademoiselle, je ne peux laissé une telle histoire chez moi sans sanction. Enlevez votre culotte et relevez votre jupe ».
Elle se raidit par la surprise, comme figée de stupeur, elle frémit, tressaillit de plaisir en suite. Elle obtempéra tellement Sir Evans limpressionnait, elle se releva donc lentement, essayant de masquer son trouble face à son nouvel employeur. Dun geste maladroit, elle releva le cuir de la jupe sur ses reins, puis se courba en avant, veillant à offrir son décolleté au regard de lhomme, tout en faisant choir le mince morceau de coton blanc qui lui servait de slip. Le marquis fit le tour du bureau puis se mit à tourner autour delle, matant son cul de jeune salope, leffleurant, puis laissant sa main traîner longuement du côté pile. Quel beau sexe, épilé parfaitement, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de mâles avec leurs gros mandrins
Certain quEmma préférait les gros mandrins, avec des réserves bien juteuses. Son sexe, on aurait cru un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus.
Le Maître se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer :
- « Viens sur mes genoux petite salope, fesses sur ma droite ». Après une légère hésitation, les yeux baissés, Emma se glissa en souplesse sur les genoux du marquis. Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main virile dhomme. Main dailleurs, quelle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui nallait plus tarder à rougir. Une main douce, mais elle sentait, grande, protectrice.
Une main qui lui pétrissait le cul, comme le boulanger pétrissait la pâte, oui cest cela sa chair, était de la pâte
Une pâte quon malaxait avant de la frapper. Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse. Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente. Et une deuxième pour la jumelle. Lalternance était respectée. Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau dune main dhomme qui caresse la peau dune fesse de femme. Emma avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants. Le bonheur dune fessée, aussi fort, quune bonne baise, voire plus. Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle dune pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue dEmma devaient savoir dispenser. Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme.
Le cul dEmma était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait. De bonheur ou de douleur ? Si lon en croyait le sourire et les larmes, les deux. Une sensation amplifiée, parce quelle sentait sous le tissu du pantalon du marquis, un bâton raide, gonflé, lourd. Ensuite un dernier coup violent, sec, puis de nouveau une main douce câline. Et puis une agréable sensation dans son entrecuisse. Un index caressait son clitoris, puis elle se sentit délicieusement fouillée
Un cri, une secousse
la jouissance totale
lorgasme était là, puissant, véridique, extrêmement violent à se tortiller en hurlant son plaisir trop fort pour le taire.
Sir Evans la fit alors se relever, déboutonna sa braguette, fit cambrer Emma contre la table et la pénétra par derrière dans ce sexe trempé. Il neu aucune peine à lenfiler tellement sa mouille était abondante. Le marquis la pilonna très fort en des vas et viens à nen plus finir quand son grosse bite explosa dans cet étui si chaud et humide. En éjaculant violemment à fortes secousses en de puissants jets de foutre, il entendit la bonne jouir de nouveau ayant eu 2 orgasmes quasi simultanément
FIN DES TEXTES ''HORS-SERIE'' -
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