Monumentale
Monumentale
Washington avait tout pour devenir la capitale internationale des monuments. Un égo démesuré, un soutien financier important, centre politique dun empire moderne, moyens technologiques et une imagination limitée. Champion et inventeurs du marketing les Américains ont su maximiser le pouvoir de limage pour véhiculer les idées et soulever les passions. Bref cest une ville quon admire de loin et qui peut même impressionner les plus flegmatiques. Un monument à ciel ouvert.
Jen suis à ma 8e journée de conférence économique sur les plan de relance et la mesure de redressement des pays sous tutelle économique. Lexcitation initiale a laissé place à la routine, les mêmes arguments présentés sous différents angles. La redondance peut les meilleures idées.
Le comble cest que ma compagne tarde à venir me rejoindre. Une négociation dans une impasse qui ne peut être résolue que par elle et elle seule. Èva ne laisserait jamais un contrat aussi important à des juniors, je la comprends mais elle me manque.
Dès quelle sera libre nous nous envolerons pour la Barbade, deux semaines de vacance bien méritées.
Entre la conférence sur les risques liés à leffondrement de lEuro et celle sur les nouvelles normes comptable, je reçu un texto intriguant. « Je suis arrivé, sois à la chambre dans 30 min. »
Mon cerveau semballa, quoi, elle est ici, elle est là, déjà, quelle bonheur. Je me précipitai donc vers ma chambre dhôtel, laissant derrière moi une mer de comptable, davocat et déconomistes désabusés, ennuyé et ennuyeux. Le taxi mit un temps fou à traverser les quelques pâtés de maison qui séparaient le centre des congrès de lhôtel. Lascenseur me semblât bouger plus lentement que sil avait été actionné manuellement. Quel ne fut pas ma surprise de trouver la chambre vide à lexception dune note sur le lit : « voici tes vêtements, rends toi au 2e étage de la galerie nationale des arts à 19h.
La confusion qui habitait mon cerveau était totale, sur le lit se trouvait un complet qui métait complètement inconnue, une chemise neuve fraichement pressée et une pairs de soulier en cuir italien. La galerie fermait à 17h30, comment diable ferais-je pour me rendre au 2e étage et quallais-je y trouver. Le plus surprenant, cétait habituellement moi qui organisais ce genre de rencontre. Jamais Èva navait pris linitiative dorganiser une expédition aussi loin des sentiers battus. Rien nest plus excitant quun mystère nappé de secret et noyé dans lintrigue.
Je pris une douche en vitesse, rasai les endroits stratégiques et enfilai le complet. À ma grande surprise, il mallait comme un gant. La chemise était ajustée à souhait et le complet tombait comme si il avait été fait sur mesure. À bien y penser il ny avait rien de surprenant Èva ne laissait jamais rien au hasard, elle connaissait mes mesures par cur.
Je me rendis au rendez-vous sceptique et soucieux, prévoyant trouver une Èva déçue sur le pas du musée, nayant pas prévue les heures douvertures. Ma surprise déjà bien garnie fut précipité directement en orbite. La cause, un homme ganté, en habits dépoque, muni dune lanterne mannonçant que jétais attendu à létage. Lexpression sur mon visage devait sapparenter à celle dun chevreuil devant les phares dune voiture. Je suivi le valet jusquau 2e étage de la galerie. Latrium était borné de 12 piliers de granit massifs de 10 mètre de haut. Au centre on pouvait voir une énorme fontaine bordée dune table avec 2 couverts et des chandelles. Une douce musique classique résonnait délicatement tout autour de la pièce.
La surprise qui figeait toujours mon visage mempêcha également de voir Èva sortir de derrière une des colonnes, vêtue dune ravissante robe de soirée noire échancrée. Elle sapprocha de moi doucement, avec son habituelle élégance, elle se déplaçait comme soulevé délicatement par une force mystérieuse. La fente de sa robe laissait paraitre le haut dune délicate jarretelle à chaque pas quelle prenait.
Une fois le désert et les cafés servis, le valet sexcusa en nous souhaitant une belle fin de soirée. Je compris quil ne reviendrait pas, que nous serions maintenant seuls.
Depuis plusieurs minutes, je contemplais la poitrine me ma bien aimée, le décolleté de sa robe permettait généreusement une vue imprenable. Éclairée seulement par les chandelles oscillantes, la rondeur de ces seins se gonflant à chaque respiration, la couleur de sa peu laissait deviner un léger bronzage et le soin quelle y portait. Si invitante, si douce, son sourire, ces lèvres et son regard trahissaient son désir et ne faisait que nourrir le mien.
Je me levai, essuyant ma bouche et mes mains à laide des lingettes chaudes et humides préalablement laissée par notre hôte.
Je me placé derrière elle, sa coiffure remontée me laissait apercevoir sa nuque et son décolté plongeant. Elle regardait droit devant elle, ignorant mes déplacements et allant même jusquà prendre quelques gorgées de café de temps en temps. Je déposai mes mains sur ces épaules caressant sa nuque et ces trapèzes, Èva appréciait particulièrement mon touché et mes massages. Guidé par les élans musicaux de Beethoven, je massai Èva jusquà ce que je la sente complétement détendue, conditions idéales pour passer à la prochaine étape.
Èva et moi avons lhabitude de nous démontrer nos sentiments, fréquemment et intensément. Nous avons dès le début de notre relation développé une symbiose sexuelle presque parfaite. Un mode de communication parallèle, porteur de passion, de respect et damour. Dans ce contexte que bien peu de couples partagent, nous avons grandi et nous nous sommes épanouis au fil du temps.
Ce soir, ce ne serait pas une torride passion qui nous animerait, le cachet vénérable et solennel de cet endroit ne sy prêtait pas. Seuls, au cur de la plus grande galerie darts au monde, immergé dans lélégance, lhistoire et la beauté, au centre dune imposante pièce de marbre, il ne pouvait y avoir que douceur et tendresse. Un roi qui fait lamour à sa reine. Entouré par des uvres dart mondialement connues, symbole de beauté, la plus belle dentre elle était assise devant moi.
Èva avait fermés les yeux, la force de mes mains et les pressions bien mesurées avaient eu raison delle. Je glissai ma main lentement vers de devant de son cou. Empoignant fermement sa mâchoire, je lembrassai tendrement mais avec intensité. Magenouillant lentement à côté delle, je la fixai en silence. Ma main glissait maintenant de sa cheville à son mollet, de son mollet à sa cuisse. Nos regards soudés lun à lautre, échangeant en silence lexpression de nos désir et la force de notre amour. Ma main continuais son chemin vers son entre jambe, la texture du nylon sur mes doigts excitait mon touché. Jignorai au passage la bordure de dentelle et la sangle qui retenait la jarretelle en place. Mais mon cur se serra au touché de sa peau, le haut de la cuisse, laissé nu, chaude et légèrement moite.
Èva navait pas bougé dun poil, nos regards toujours soudés, sa respiration sétait légèrement accélérée, ces lèvres sétaient à peine humectées. Lorsque ma main atteint la dentelle de son sous-vêtement, Èva écarta lentement les jambes afin de donner plus de liberté à mes doigts.
Je profitai de cette largesse de sa part pour soulever la bordure de sa culotte et y glisser mes doigts. Je fus rassuré dy trouver une vulve gonflée et humide. Mes doigts pénétrant son intérieure, prenant bien soins de savourer chaque repli, chaque nervure, appliquant une délicate pression. Je plaçai ma main de manière à former une pince et ainsi me permettre de stimuler simultanément son intérieur et son clitoris.
Lefficacité de mes mouvements était témoignée par la position des jambes dÈva qui étaient maintenant complètement écartés. Sa sève coulait abondamment, même son regard bien que rivé sur le mien, trahissait le plaisir que je lui procurais.
Mes mouvements rapides et précis ne prirent que quelques minutes avant de culminer vers lobjectif escompté. Sans jamais détacher nos regards, je sentis en elle les spasmes et secousses de son orgasme. Son expression faciale avait contribué à vendre la mèche de façon plus subtile. Un observateur mal informé aurait pu croire à de léger hoquet tellement elle sétait retenu.
Une fois les tensions dissipées, elle retira doucement ma main de son entre jambe. Elle se leva, détourna son regard et se dirigea derrière une des colonnes. Elle en revint avec une énorme couverture poilue. Peau de bison, dours ou décureuil, franchement je nen avais que faire. Elle étendit sa trouvaille devant moi, se plaça en son centre et détacha lentement la fermeture de sa robe dissimulé sur le côté de son torse. La robe glissa le long de son corps et tomba sur ses pieds, découvrant la magnifique forme dÈva. Javais déjà deviné quelle ne portait pas de soutient gorge. Ces seins fermes me dévisageaient et me défiaient même de ne pas me précipiter vers eux pour les saisir et les licher. Èva me fixaient à nouveau. Jétais figé. Avec une rapidité peu commune, elle détacha les sangles qui retenaient les jarretelles de manière à pouvoir libérer sa culotte. Ce quelle fit sans retirer ni les nylons ni le porte jarretelle. Elle portait toujours ces talons hauts ce qui lui faisait des fesses superbes. Elle se retourna ensuite, se pencha vers lavant, se mis à genoux, plaça ces mains sur la couverture et se tourna vers moi. Aucun mot ne sortis de sa bouche, seulement un regard invitant, remplis de désir et damour.
Je répondis à ce regard par un léger sourire. Le spectacle qui soffrait à moi ne pouvait me laisser insensible. Le membre gorgé de sang dans mon pantalon en était le témoignage. Mon veston était resté sur la chaise, je navais aucune envie de faire attendre ma bien aimée plus longtemps. Je me libéré de mes vêtement en vitesse ne prêtant aucune attention au chaos que je laissai derrière.
Je pris position derrière Èva, glissai ma main de son bassin jusquà sa nuque. Je lempoignai fermement, et sans attendre minséré en elle. Sa chaleur et intérieure était sublime. Sa chatte humique et gonflée maccueillait avec sa douceur habituelle. Mes mouvement saccélérait graduellement, tentant de créer me maximum deffet à chaque passage. Èva demeurait muette mais les contraction de son dos trahissait son plaisir. Cette position de conférait tout le contrôle dont javais besoin pour lui donner son 2e orgasme. Je pouvais la stimuler au maximum sans succomber au plaisir en premier, il nen était pas question.
Je baisait la femme de mes rêves, la femme de ma vie, au milieu de cet atrium, sous le regard des statuts et des peintures, climax dune soirée magique. Les gémissements timidement émis par lobjet de mon désir résonnaient maintenant dans toute la pièce. Lacoustique de cette salle majestueuse était très particulière. Je sentais que mes efforts allaient bientôt être récompensés, le gémissement étaient remplacé par de petits cris, les spasmes dorsaux mindiquaient également lampleur du plaisir communiqué. Les claquements de nos corps résonnaient dans une bonne partie du musée. Je ne pouvais plus tenir bien longtemps, je ne pourrais tenir ce rythme bien longtemps, elle devait venir. Mes vux fut exhaussés, ce mais se crispèrent en serrant la couverte bien fort, son dos sarquas, elle plongea sa tête entre ces bras tendues collant presque ces épaules vers le sol.
Mais je nen avais pas fini avec elle. Je la laissai savourer ce moment ralentissant mes mouvements et lâchant prise momentanément. Lorsque je sentis ces muscles se relâcher, jattrapé ces hanche voluptueuse avec mes 2 mains et mélancé de nouveau, cherchant le plus possible à frotter le dessous de mon gland sur louverture de lorifice. Allant complétement au fond delle et revenant à la limite opposée. Je voulais venir en elle, déverser ma sève en elle, regarder le fruit de mon plaisir sécouler doucement de son corps.
Lorgasme fut brutal, intense et long. Mes doigt planté dans son derrière, au fond delle déversant sans retenue. Mon membre toujours en elle mais sans vie, perdant sa dureté à chaque seconde qui passe, la sueur coulant le long de mon visage, tombant au creux de ces fesses. Elle mexpulsa delle avec la seule contraction de son vagin. Me pris par les épaules et me coucha à ces côtés.
Sans même messuyer mon membre, elle le prit dans sa bouche, lenveloppant dune douceur incomparable. Sa bouche exquise, animée dune énergie débordante, me suça, me fit rebander, me licha, la langue allant de mes couilles à mon gland dans un va et vient endiabler. Ma fiancé sait pertinemment que je ne peux résister à sa technique, mon scrotum bien en main, elle me fit gicler de nouveau, sassurant de savourer chaque goutte de ma semence.
Nous navions que quelques heures devant nous avant le retour de léquipe de nettoyage, elle furent passée enroulés, bien au chaud dans notre peau de yack ou je ne sais quoi, à contempler la coupole de latrium en silence et nous remémorer en silence, chaque instant de cette soirée monumentale.
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