Mon Histoire Avec Bastien

[Suite de « Ma première fois avec Bastien (2) »]

Depuis qu’il m’a annoncé qu’il devait partir en Allemagne, mes larmes coulent toutes seules. Je ne peux pas m’imaginer le quitter, notre histoire est tellement forte.

Après avoir passé l’après midi chez lui, je rentre chez moi et mes parents voient sur mon visage que quelque chose ne vas pas. Ils savent que ce n’est pas à cause du Bac car je l’ai ais appelés après les résultats. Ils me questionnent et je fonds en larme, je ne veux pas leur dire car j’ai peur de leur réaction, que je les dégoutes mais en même temps je ne peux pas le garder pour moi.

Je m’arme de courage et leur dis que Bastien est plus qu’un ami pour moi, que je l’aime et que je vais devoir le quitter car ses parents partent à l’étranger.
Contrairement à ce que je pensais, ils m’ont pris dans leur bras et ma mère s’est mise à pleurer à son tour, elle est triste de me voir dans cette état et me dit que ce n’est pas parce qu’il part que l’on ne peut pas continuer à se voir.
Ses paroles me réconfortent un peu, mes larmes cessent de couler mais même si on continue à se voir, se ne sera pas tout les jours.

Le lendemain, et tout les jours qui précède le départ de Bastien, on passe le plus de temps possible ensemble.
Puisque j’avais fait mon coming-out auprès de mes parents, ils acceptèrent que Bastien dorme à la maison. Le soir on n’avait pas la tête à faire l’amour, on préférait se blottir l’un contre l’autre et profiter de nos derniers instants et à chaque fois que je pose ma tête contre son torse, je ne pouvais m’empêcher de pleurer.

La veille du départ, mes parents demandent aux parents de Bastien de passer à la maison car ils ont quelque chose à leur dire. Ils discutèrent pendant une bonne heure et ma mère est venue me voir avec un énorme sourire et une enveloppe.
Je m’empresse de l’ouvrir et y découvrit un billet d’avion aller-simple pour l’Allemagne.

Je ne pus m’empêcher de la prendre dans mes bras et de la remercier ainsi que mon père et les parents de Bastien d’accepter que je parte avec eux.

Mais mon père me dit que je partais seulement pour un mois car je devais continuer mes études en France, j’étais heureux de partir mais un mois c’est court et je sais que de devoir quitter Bastien à nouveau aller être difficile.

Le soir je passe la nuit chez Bastien après avoir passé le reste de l’après midi à préparer ma valise et dire au revoir à mes parents en les serrant fort dans mes bras et en les remerciant encore et encore.

Une fois dans le Chambre, je le serre fort dans mes bras et l’embrasse tendrement. J’avais une folle envie de lui. Il me rend mon baisser et enlève son T-shirt, je fis de même et vint me blottir contre son torse.
Ma bite prenait de l’ampleur dans mon jean, Bastien s’agenouilla, enleva le bouton de mon jean et le descendit sur mes cuisses. Il sorti ma bite et la pris en bouche. Je ne pouvais me retenir de gémir et de bouger le bassin pour qu’il prenne ma queue plus profondément. Je lui fis signe d’arrêter car je ne voulais pas juter tout de suite.
Je le pousse sur le lit pour lui retirer son jean et son boxer en même temps. Je pris sa longue queue en bouche et commença des vas et viens, je lèche sa bite en descendant vers ses couilles pour les prendre en bouche. Ses soupirs de plus en plus rapide montre à quel point je l’excite. Pour lui procurer encore plus de plaisir, je lui mets des petits coups de langue sur sa rondelle, puis enfonce un doigt pour le dilater.
Je lui demande de se mettre sur le coter et je vins me coller contre lui pour le prendre dans la position de la cuiller. Ma bite s’enfonça dans son cul et ses gémissements indiquaient que la pénétration lui faisait du bien. Il bougea son bassin pour m’inciter à faire des vas et viens d’abord tendre et lent puis se faisant plus rapide. J’aime le prendre comme ça, me sentir contre lui et au fil des vas et viens mon excitation monta et après un dernier coup de rein, mes couilles se vidèrent en lui tout en l’embrassant et en lui disant que je l’aime.

Puis on s’endormi dans cette position après que je me sois retiré.
Le matin nous priment l’avion direction l’Allemagne et des vacances auprès de l’homme que j’aime.